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Discrimination d'événements par analyse des signaux enregistrés par le projet PICASSOArchambault, Simon 07 1900 (has links)
La matière sombre est un mystère dans le domaine de l’astrophysique depuis déjà plusieurs années. De nombreuses observations montrent que jusqu’à 85 % de la masse gravitationnelle
totale de l’univers serait composée de cette matière de nature inconnue.
Une théorie expliquant cette masse manquante considérerait les WIMPs (Weakly Interacting
Massive Particles), particules stables, non chargées, prédites par des extensions
du modèle standard, comme candidats.
Le projet PICASSO (Projet d’Identification des CAndidats Supersymétriques à la
matière Sombre) est une expérience qui tente de détecter directement le WIMP. Le projet
utilise des détecteurs à gouttelettes de fréon (C4F10) surchauffées. La collision entre un
WIMP et le noyau de fluor crée un recul nucléaire qui cause à son tour une transition de
phase de la gouttelette liquide à une bulle gazeuse. Le bruit de ce phénomène est alors
capté par des senseurs piézoélectriques montés sur les parois des détecteurs.
Le WIMP n’est cependant pas la seule particule pouvant causer une telle transition
de phase. D’autres particules environnantes peuvent former des bulles, telles les particules
alpha où même des rayons gamma . Le système d’acquisition de données (DAQ) est aussi
en proie à du bruit électronique qui peut être enregistré, ainsi que sensible à du bruit
acoustique extérieur au détecteur. Finalement, des fractures dans le polymère qui tient
les gouttelettes en place peut également causer des transitions de phase spontanées.
Il faut donc minimiser l’impact de tous ces différents bruit de fond. La pureté du
matériel utilisé dans la fabrication des détecteurs devient alors très importante. On fait
aussi appel à des méthodes qui impliquent l’utilisation de variables de discrimination
développées dans le but d’améliorer les limites d’exclusion de détection du WIMP. / Dark matter has been a mystery for astrophysicists for years now. Numerous observations
have shown that up to 85 % of the gravitation mass of the universe is made of this
unknown type of matter. One of the theories explaining this missing mass problem considers
WIMPs (Weakly Interacting Massive Particles), neutral stable particles predicted
by extensions of the standard model, as possible candidates.
The PICASSO experiment (Project In Canada to Search for Supersymetric Objects)
tries to detect this particle directly. The technique uses superheated droplet detectors,
with freon (C4F10) as the active medium. When a WIMP hits the fluorine nucleus, it
creates a nuclear recoil, which in turn triggers a phase transition from a liquid droplet
to a gaseous bubble. The acoustic noise of this event is then recorded by piezoelectric
transducers mounted on the walls of the detector.
There are however other particles than the WIMPs that can trigger this phase transition.
Alpha particles, or even gamma rays can create bubbles. The Data Acquisition System (DAQ)
is also subject to electronic noise that can be picked up, and to acoustic noise coming
from an exterior source. Fractures in the polymer holding the droplets in place can also
trigger spontaneous phase transitions.
There is therefore a need to minimize the impact of these background noises. The
level of purity of the ingredients used in detector fabrication then becomes very important.
Digital processing methods are also used to develop discrimination variables that
improve the limits of detection of the WIMP.
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Analyse des données et étude systématique de la réponse des détecteurs dans le cadre du projet PICASSOGiroux, Guillaume January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Direct detection of dark matter with the PICO Experiment and the PICO-0.1 calibration chamberTardif, Frédéric 08 1900 (has links)
No description available.
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Combinaisons de sondes cosmologiques : deux applications avec les données de Planck et SDSS-III/BOSS / Combinations of cosmic microwave background and large-scale structure cosmological probesDoux, Cyrille 14 November 2017 (has links)
Cette thèse s’intéresse aux combinaisons d’observables cosmologiques provenant des mesures du fond diffus cosmologique et des relevés de galaxies, et est basée sur l’exploitation des données du satellite Planck et du Baryon Oscillation Spectroscopic Survey (BOSS) du Sloan Digital Sky Survey. On explore l’utilisation de corrélations croisées entre les jeux de données afin de mettre en évidence de nouveaux effets et d’améliorer les contraintes statistiques sur les paramètres cosmologiques. Dans un premier temps, on mesure pour la première fois une corrélation entre le lentillage gravitationnel du fond diffus cosmologique et le spectre de puissance des fluctuations de la forêt Lyman-α des quasars. Cet effet, d’origine purement non-linéaire, est interprété comme la réponse du spectre de puissance à des grandes échelles. Il montre comment les fluctuations dans la densité en hydrogène neutre dans le milieu intergalactique sont influencées par des fluctuations à grande échelle dans la densité de matière noire. Le signal mesuré est compatible avec l’approche théorique et des simulations menées par d’autres groupes. Dans un deuxième temps, on développe un formalisme permettant une analyse conjointe de la densité de galaxies et de quasars de BOSS avec le lentillage gravitationnel du fond diffus cosmologique. La prise en compte des corrélations croisées entre ces sondes permet de diminuer les barres d’erreurs de certains paramètres cosmologiques de 20%, ce qui équivaut à augmenter la surface couverte par les relevés de presque 50%. Cette analyse est complétée par la mesure des anisotropies de température du fond diffus cosmologique afin de contraindre tous les paramètres du modèle standard ΛCDM, ainsi que les biais des galaxies. Puis on étend le modèle afin d’explorer les contraintes sur l’équation d’état de l’énergie noire et la somme des masses des neutrinos / This thesis addresses the combinations of cosmological probes from the measurements of the cosmic microwave background (CMB) and galaxy redshift surveys, and exploits data from the Planck satellite and the Baryon Oscillation Spectroscopic Survey (BOSS) of the Sloan Digital Sky Survey. It explores how cross-correlations between different data sets can be used to detect new signals and improve contraints on cosmological parameters. First, we measure, for the first time, the cross-correlation between gravitational lensing of the CMB and the power spectrum of the Lyman-α forest in the spectra of quasars. This effect, which emerges from purely non-linear evolution, is interpreted as the response of the power spectrum to large-scale modes. It shows how fluctuations in the density of neutral hydrogen in the intergalactic medium are affected by large-scale fluctuations in the density of dark matter. The measured signal is compatible with the theoretical approach and simulations run by another group. In a second time, we develop a formalism enabling the joint analysis of the galaxy/quasar density contrast and CMB lensing. Taking cross-correlations between these probes into account reduces error bars on some cosmological parameters by up to 20%, equivalent to an increase in the size of the survey of about 50%. This analysis is completed by CMB temperature anisotropies information in order to constrain all the parameters of the ΛCDM standard model and galaxy biases at once. Finally, it is extended to obtain contraints on the dark energy equation of state as well as the sum of the masses of neutrinos
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Théorie et Phénoménologie du MSSM avec des Scalaires LourdsBernal, Nicolas 30 September 2008 (has links) (PDF)
Ce mémoire de thèse sera consacré à l'étude de quelques aspects phénoménologiques de la supersymétrie avec, comme principaux sujets, d'une part, la physique du MSSM dans le cas où les superparticules scalaires sont lourdes et les implications possibles auprès de collisionneurs à haute énergie tels que le LHC et, d'autre part, les caractéristiques des particules de matière noire et leurs détermination auprès des collisionneurs et dans des expériences d'astroparticules.
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Discrimination d'événements par analyse des signaux enregistrés par le projet PICASSOArchambault, Simon 07 1900 (has links)
La matière sombre est un mystère dans le domaine de l’astrophysique depuis déjà plusieurs années. De nombreuses observations montrent que jusqu’à 85 % de la masse gravitationnelle
totale de l’univers serait composée de cette matière de nature inconnue.
Une théorie expliquant cette masse manquante considérerait les WIMPs (Weakly Interacting
Massive Particles), particules stables, non chargées, prédites par des extensions
du modèle standard, comme candidats.
Le projet PICASSO (Projet d’Identification des CAndidats Supersymétriques à la
matière Sombre) est une expérience qui tente de détecter directement le WIMP. Le projet
utilise des détecteurs à gouttelettes de fréon (C4F10) surchauffées. La collision entre un
WIMP et le noyau de fluor crée un recul nucléaire qui cause à son tour une transition de
phase de la gouttelette liquide à une bulle gazeuse. Le bruit de ce phénomène est alors
capté par des senseurs piézoélectriques montés sur les parois des détecteurs.
Le WIMP n’est cependant pas la seule particule pouvant causer une telle transition
de phase. D’autres particules environnantes peuvent former des bulles, telles les particules
alpha où même des rayons gamma . Le système d’acquisition de données (DAQ) est aussi
en proie à du bruit électronique qui peut être enregistré, ainsi que sensible à du bruit
acoustique extérieur au détecteur. Finalement, des fractures dans le polymère qui tient
les gouttelettes en place peut également causer des transitions de phase spontanées.
Il faut donc minimiser l’impact de tous ces différents bruit de fond. La pureté du
matériel utilisé dans la fabrication des détecteurs devient alors très importante. On fait
aussi appel à des méthodes qui impliquent l’utilisation de variables de discrimination
développées dans le but d’améliorer les limites d’exclusion de détection du WIMP. / Dark matter has been a mystery for astrophysicists for years now. Numerous observations
have shown that up to 85 % of the gravitation mass of the universe is made of this
unknown type of matter. One of the theories explaining this missing mass problem considers
WIMPs (Weakly Interacting Massive Particles), neutral stable particles predicted
by extensions of the standard model, as possible candidates.
The PICASSO experiment (Project In Canada to Search for Supersymetric Objects)
tries to detect this particle directly. The technique uses superheated droplet detectors,
with freon (C4F10) as the active medium. When a WIMP hits the fluorine nucleus, it
creates a nuclear recoil, which in turn triggers a phase transition from a liquid droplet
to a gaseous bubble. The acoustic noise of this event is then recorded by piezoelectric
transducers mounted on the walls of the detector.
There are however other particles than the WIMPs that can trigger this phase transition.
Alpha particles, or even gamma rays can create bubbles. The Data Acquisition System (DAQ)
is also subject to electronic noise that can be picked up, and to acoustic noise coming
from an exterior source. Fractures in the polymer holding the droplets in place can also
trigger spontaneous phase transitions.
There is therefore a need to minimize the impact of these background noises. The
level of purity of the ingredients used in detector fabrication then becomes very important.
Digital processing methods are also used to develop discrimination variables that
improve the limits of detection of the WIMP.
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Analyse des données et étude systématique de la réponse des détecteurs dans le cadre du projet PICASSOGiroux, Guillaume January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Détection directionnelle de matière sombre avec MIMACBillard, Julien 27 June 2012 (has links) (PDF)
De nombreuses mesures cosmologiques et astrophysiques tendent à montrer que notre galaxie serait englobée par un halo de matière sombre non-baryonique. La détection directionnelle vise à mesurer la direction du recul nucléaire issu d'une interaction avec une particule de matière sombre. Cela permettrait de mettre en évidence la forte dépendance angulaire de la distribution de reculs due à la rotation du système solaire autour du centre galactique. Cette thèse aborde la détection directionnelle par une approche multi-thématique : phénoménologie, expérimentale et analyse de données. L'objectif des études phénoménologiques est de montrer l'apport d'un détecteur directionnel en terme de recherche de matière sombre. Grâce au développement de méthodes statistiques dédiées, on montre qu'un détecteur tel que celui proposé par la collaboration MIMAC, devrait permettre de découvrir la matière sombre avec une grande significance jusqu'à des sections efficaces 2 à 3 ordres de grandeur en dessous des limites actuelles. La mise en place d'une méthodologie d'analyse de données directionnelles constitue un second objectif de cette thèse car la reconstruction 3D des traces mesurées est un point clef de cette nouvelle stratégie de détection. On présente ainsi une nouvelle méthode d'analyse basée sur une approche par vraisemblance, permettant d'optimiser l'estimation des paramètres de chaque événement mesuré: position dans le détecteur et direction. Dans le cadre de la discrimination du bruit de fond électronique, on a mis en place une étude basée sur la topologie de la trace et utilisant une analyse par arbres de décision boostés qui nous permet d'obtenir des facteurs de rejet environ 20 fois supérieurs à ceux obtenus avec des analyses séquentielles. Du point de vue expérimental, on présente une méthode originale de la mesure de vitesse de dérive des électrons permettant d'obtenir des incertitudes de l'ordre du pourcent et de contraindre simultanément les coefficients de diffusion longitudinale. On termine enfin sur l'analyse des données obtenues auprès du champ de neutrons AMANDE permettant de valider la stratégie de détection du projet MIMAC.
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Calibration d’un détecteur HVeV en utilisant des neutrons de 56 keVDe Brienne, François 08 1900 (has links)
L'un des grands mystères de la physique qu'il nous reste à élucider est d'identifier de quoi est composée la matière sombre. L'expérience SuperCDMS a décidé de se pencher sur la question il y a plus de 20 ans. Nous utilisons des détecteurs semi-conducteurs qui mesurent le signal de phonons engendré par des événements de recul.Nous mesurons également l'énergie déposée sous forme de d'ionisation à l'aide de l'effet Neganov-Trofimov-Luke (NTL) qui produit des phonons d'énergie totale proportionnelle à l'énergie d'ionisation initiale. Pour ce faire, nous appliquons un voltage sur le détecteur qui amplifie également le signal par un facteur proportionnel au voltage appliqué.
Nous sommes allés à TUNL en Caroline du Nord, afin de calibrer notre détecteur HVeV fait d'un cristal de silicium. Le but de cette calibration est de déterminer le taux d'ionisation produit par des reculs nucléaires produits par le faisceau de neutrons fourni par TUNL. Cette mesure est importante puisque le taux d'ionisation est atténué pour le recul nucléaire par rapport au recul électronique et qu'il détermine l'amplification du signal par l'effet NTL. Nous avons utilisé des scintillateurs liquides couplés à des PMTs afin de déterminer l'énergie déposée dans le HVeV en les positionnant à des angles de diffusion précis. Nous avons jusqu'ici uniquement effectué l'analyse des données pour lesquelles il n'y a pas d'amplification NTL. Par conséquant, nous ne pouvons pas encore déterminer le taux d'ionisation. Cependant, nous concluons que notre méthode d'analyse est valide et que l'énergie déposée dans le HVeV est bien celle qui correspond aux angles de diffusion auxquels nous avions placé nos PMTs. / One of the biggest mysteries left to be solved in physics is the question of what dark matter is made of. The SuperCDMS experiment decided to explore this question and has done so for the last 20 years. We use semiconducting detectors that measure phonon signals generated by recoils. The HVeV detectors also use the Neganov-Trofimov-Luke (NTL) effect to generate a phonon signal proportional to the ionization signal that is also produced by the recoil. To do so, we apply a voltage bias the HVeV detector, which also amplify the signal by a factor proportional to the bias.
We went to TUNL in North Carolina to calibrate our HVeV detector, made of a silicon crystal. The goal of the experiment is to determine the ionization yield of the nuclear recoil produced by the neutron beam provided to us by TUNL. This measurement is important since the ionization yield is dampened for nuclear recoil compared to electronic recoil and is linked to the gain of the signal in the HVeV. We use liquid scintillators coupled to PMTs to determine the energy deposited in the HVeV using the scattering angle between the HVeV and the chosen position of the PMTs. At this point, we only have the analyses for the data with no NTL gain, meaning that we do not yet have a measure for the ionization yield. Still, this analysis allowed us to validate our analysis method and the energy deposited in the HVeV for coincident events with PMTs of different position.
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Calibration of the sensitivity of perfluorocarbon mixtures to nuclear recoilSavoie, Jeremy 08 1900 (has links)
L’expérience PICO fait partie des chefs de file mondiaux dans la tentative de détection
directe de la matière sombre. Cette expérience se spécialise dans l’utilisation des détecteurs à
liquide surchauffé pour y parvenir. Le futur détecteur de la collaboration, PICO-500, tentera
de détecter les WIMPs (Weakly Interacting Massive Particle) une fois construit dans le
laboratoire sous-terrain SNOLAB. Ce détecteur utilisera un mélange de perfluorocarbone
comme fluide actif, une nouveauté pour les chambres à bulles. L’utilisation d’un mélange
présente des avantages importants dans la conception du détecteur. Celle-ci permettra de
diminuer les contraintes d’ingénierie tout en offrant une sensibilité de détection importante.
La chambre à bulles PICO-0.1 est utilisée principalement pour la calibration de perfluorocarbone.
À l’aide du tandem situé à l’Université de Montréal et d’une cible de vanadium-51,
j’ai pu envoyer des neutrons monoénergétiques afin d’évaluer l’énergie de seuil de la formation
de bulles dans ce mélange. Le modèle de Seitz décrivant la formation des bulles a été
bien étudié dans le cadre de fluide pur, mais pas dans le cas de mélange de perfluorocarbone.
Ce type de calibration effectuée avec le détecteur PICO-0.1 nous a permis de confirmer
la validité du modèle de Seitz et que les effets du transport de masse peut être négligés
pour ce mélange. La vérification de cette hypothèse était cruciale à la compréhension de la
dynamique impliquée dans la formation des bulles et nécessaire pour l’utilisation du futur
détecteur PICO-500. / The PICO experiment is one of the world’s leading experiments in the effort to directly
detect dark matter. This experiment specializes in the use of superheated liquid detectors
for that end. The future PICO detector, PICO-500, will attempt to detect WIMPs (Weakly
Interacting Massive Particle) once it will be built at the underground laboratory SNOLAB.
This detector will use a mixture of perfluorocarbon as an active fluid, a novelty for bubble
chambers in dark matter searches. The use of mixture presents important advantages in the
design of this detector. This will allow to lessen some of the engineering constraints while
still offering a high sensitivity.
The PICO-0.1 bubble chamber is mainly used for the calibration of perfluorocarbon.
With the help of the Université de Montréal’s tandem and a target of vanadium-51, I was
able to send monoenergetic neutrons to evaluate the threshold energy of bubble nucleation
of this mixture. The Seitz model describing bubble formation has been widely studied in
the context of pure fluid, but not in the case of perfluorocarbon mixture. This type of
calibration with PICO-0.1 has allowed us to confirm that the Seitz model still apply and
that the effects of mass transport can be neglected for this mixture. The verification of this
hypothesis was crucial to the understanding of the dynamics implicated in bubble formation
and was necessary for the future use of PICO-500.
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