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The limits of unmarkedness : A semantic analysis of adjunct clauses in Middle Egyptian documentary texts / Gränserna för icke-markerade bisatser : En semantisk analys av bisatser i mellanegyptiska dokumentära texter

Perón Flodström, Mirka January 2022 (has links)
The aim of this study is to semantically analyze the use of marked and unmarked adjunct clauses in Middle Egyptian documentary texts in order to investigate the limits of choosing an unmarked form in more informal language use. Both quantitative and qualitative approaches were used in the analysis. The results show that marked adjunct clauses are more frequent than unmarked, and the choice between these two is to a great extent based on the semantic role of the clause. Additionally, unmarked forms can often be regarded as marked, e.g. by tense or mood, and the overall co(n)text, which indicates that markedness should be seen as a continuum, instead of two polar opposites marked and unmarked. Consequently, the results indicate that markedness – although in different forms – is the norm in non-literary Middle Egyptian texts, thus differing from the official language that is used in literary, royal, and religious texts. Furthermore, the present study has a diachronic dimension. The comparison between texts from the earlier and later Middle Kingdom clearly show the development in the use of adjunct clauses that took place between Old and Late Egyptian, when marked forms eventually became the norm in all language use. / Syftet med denna uppsats är att semantiskt analysera markerade och icke-markerade bisatser i mellanegyptiska dokumentära texter för att klargöra gränserna för användningen av icke-markerade former i ledigare språkbruk. För denna studie tillämpades både en kvalitativ och en kvantitativ metod. Resultaten visar att markerade bisatser är mer frekventa än icke-markerade, och att valet mellan dessa två former i stort sett beror på bisatsens semantiska roll. I många fall kan icke-markerade bisatser dessutom vara mer eller mindre markerade, bl.a. med hjälp av tempus och modus. Därför bör fenomenet markerad och icke-markerad betraktas som ett kontinuum istället för två motpoler. Resultaten tyder med andra ord på att markering – om än på olika sätt – är norm i det mindre formella mellanegyptiska språkbruket. Denna norm skiljer sig i detta avseende från det officiella språkbruket, som är typiskt i bl.a. litterära och religiösa texter. Denna studie innefattar dessutom en diakronisk del. Jämförelsen mellan tidigare och senare texter från Mellersta riket visar tydligt den utveckling i användningen av bisatser som skedde mellan gammalegyptiska och senegyptiska, då markerade bisatser till slut blev norm i allt språkbruk.
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La narration et ses structures en égyptien de tradition :approche philologique et narratologique des textes royaux de la XXVe dynastie

Delhove, Arnaud 20 April 2017 (has links)
Ce travail porte sur la question de la verbalisation du récit dans sa structure formelle, par une approche philologique et narratologique, dans les textes royaux de la XXVe dynastie (dynastie couchite – 8e/7e s. avant notre ère), rédigés en égyptien de tradition. L’étude se fonde sur un corpus composé de 11 textes ayant comme caractéristiques d’être couchites, royaux, en égyptien de tradition, comportant des parties narratives, et suffisamment conservés. Parmi ceux-ci, l’on trouve la Stèle de la Victoire de Piânkhy (Caire JE 48862 ;JE 47086-47089) et la Stèle du Songe de Tanoutamon (Caire JE 48863). En outre, un corpus secondaire de 9 textes a été constitué dans une perspective synchronique et diachronique, avec par exemple les Annales d’Osorkon, ou encore les Annales de l’an 1-2 d’Irike-Amannote (Kawa IX), souverain de Couch postérieur à la XXVe dynastie. Pour répondre à la question de la structure formelle du récit, nous procédons en deux temps :d’abord par une étude des marqueurs narratifs (comme les auxiliaires séquentiels) ;puis par celle des structures et macrostructures du texte, en lien avec les séquences narratives ;enfin, par l’examen de facteurs influençant la verbalisation du récit. Dans la première partie, nous précisons dans une série de chapitres les formes et emplois des marqueurs narratifs (auxiliaires séquentiels, śpr pw ỉr.n⸗f, infinitifs narratifs, śḏm.ỉn⸗f, particules, dates, etc.). Pour chacun de ces marqueurs, nous faisons d’abord le point sur leurs formes et emplois en égyptien classique, néo-égyptien et égyptien de tradition, d’après les grandes synthèses grammaticales, avant de procéder à un examen systématique de leurs occurrences dans notre double corpus. En outre, précédant cette analyse, nous traitons de la situation linguistique à la XXVe dynastie (notamment la diglossie), et des caractéristiques de l’égyptien de tradition. Nous examinons également pour notre corpus principal la question de l’opposition des formes śḏm⸗f et śḏm.n⸗f. La seconde partie, qui s’appuie sur les marqueurs étudiés dans la première, traite des différents niveaux dans la structure générale du texte et du récit. Nous envisageons donc là les niveaux supérieurs à la proposition. Après des éléments théoriques sur la narration et sur la mise en récit de l’histoire, nous étudions le niveau séquentiel dans les récits du corpus, et mettons en évidence les structures épisodiques que l’on peut y trouver. Ensuite, nous examinons les éléments non-narratifs, descriptifs et dialogaux, et la façon dont ils intègrent ou sont intégrés dans les parties narratives. En nous appuyant sur les données de ces deux chapitres, nous envisageons alors les structures d’ordre supérieur à la séquence, pour remonter jusqu’au texte dans son ensemble. Enfin, pour montrer le lien entre la première et la deuxième partie, nous présentons la façon dont les marqueurs narratifs se spécialisent dans certains rôles dans la narration et la structuration du récit, et comment ils se hiérarchisent. Ce travail apporte donc une série de données sur la langue littéraire de la XXVe dynastie et ses caractéristiques, ainsi que sur la façon dont les rédacteurs recourent aux moyens linguistiques de l’égyptien de tradition pour organiser formellement leurs textes et transmettre, via le récit, l’histoire qu’ils voulaient communiquer. / Doctorat en Langues, lettres et traductologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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