• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 6
  • 3
  • Tagged with
  • 9
  • 5
  • 4
  • 3
  • 3
  • 3
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Karnac est en paix" : analyse et étude des pièces provenant du temple de Karnak et appartenant au Musée Egyptien de Turin. / "Karnak is in peace" : analysis and study of finds from the Temple of Karnak and belonging to the Egyptian Museum of Turin.

Cincotti, Silvana 15 December 2015 (has links)
Cette Thèse de doctorat a pour objectif la définition et le catalogage des éléments provenant du temple de Karnak qui sont conservés dans la collection du Musée Égyptien de Turin. Parmi ces pièces, quelques-unes, depuis longtemps identifiées par les savants comme provenant probablement de Karnak, sont flanquées d’autres pièces dont la provenance, jusqu’à présent, n’a pas encore été l’objet d’étude. De la même façon, le groupe d’œuvres dont la provenance est plus sûre n’a jamais été inséré dans un contexte d’étude apte à en définir leur origine. Bien que beaucoup de choses aient été publiées au sujet du Musée Égyptien de Turin, ce travail de recherche se propose de réunir des sources de différentes provenance, des cahiers de voyage, des documents d’archive et des actes notariés, des publications, des études et des documents inédits. La recherche a permis de mettre au jour et d’étudier plus précisément les activités des fouilles des agents du consul français, Bernardino Drovetti : Joseph Rossignana, Antonio Lebolo et surtout Jean-Jacques Rifaud. Pour ce dernier il a été nécessaire de consacrer beaucoup de temps afin de recréer l’historique de ses fouilles en Égypte. La recherche a requis la vérification d’un grand nombre de documents d’archives et de nombreux contacts avec différentes institutions, bibliothèques et musées, en particulier, la Bibliothèque Publique de Genève. La recherche a prévu enfin la création d'un programme informatique qui permet, par exemple avec un « touch screen », de créer un dialogue interactif entre la recherche et les systèmes : un plan interactif du temple de Karnak permettra d’afficher les informations relatives aux objets et à l’histoire de leur découverte. / The starting point of this PhD research has been the desire to make a new approach to the study of the Egyptian collection in Turin and the debated contexts of archaeological contextualisation. Although much has been published about the Egyptian Museum of Turin, this research aims to gather data from different sources, travel notebooks, archives and unpublished documents. The research has study more precisely the activities of the agents of the French consul Bernardino Drovetti: Joseph Rossignana Antonio Lebolo and especially Jean-Jacques Rifaud. For Rifaud it was necessary to devote time to recreate his excavations in Egypt. The research required the verification of a large number of archive documents and contacts with various institutions, libraries and museums, in particular the Geneva Public Library. Research has finally provided the creation of a computer program in html that allows, for example with a touch screen, to create an interactive dialogue between research and tecnology: an interactive map of Karnak Temple will display information about objects and the history of their discovery.
2

Le bateau pré- et protodynastique dans l'iconographie et l'archéologie égyptiennes. Pour une étude analytique et sémiologique de la navigation au 4e millénaire avant J.-C.

Vanhulle, Dorian 05 December 2016 (has links)
Le bateau occupe une place privilégiée dans la documentation nagadienne, celui-ci apparaissant sur l’ensemble des médias qui nous sont parvenus et comptant parmi les motifs iconographiques les plus anciens. Il est omniprésent, que ce soit sous la forme de véritables embarcations ou de modèles en argile, de marques de potiers, de représentations peintes sur les vases ou encore gravées dans la roche. Les domaines auxquels ces sources font référence sont multiples :elles informent tant sur les pratiques funéraires et religieuses que sur les sphères politique et économique des périodes pré- et protodynastiques (ca 4500-2700 avant J.-C.). L’ensemble des catégories de sources considérées dans ce travail illustre un même processus à l’œuvre durant le 4e millénaire et dont l’aboutissement n’est autre que l’apparition de l’idéologie pharaonique, bâtie autour de ce concept phare qu’était la Maât. Loin d’être limitées à une seule fonction, les représentations de bateaux surprennent par leur forte variabilité sémantique. Le bateau est en effet rapidement investi de diverses notions symboliques parmi les plus fondamentales de l’idéologie nagadienne :marque de prestige et de pouvoir, il pouvait également incarner l’Ordre dominant le Chaos, voire l’institution royale. Ces concepts sont marqués par des divergences régionales et influencés par des traditions séculaires. Les modèles réduits témoignent quant à eux de l’évolution des pratiques cultuelles. La concentration de ces objets dans les premiers temples et dépôts cultuels atteste l’homogénéisation de ces pratiques et le développement de la composante religieuse en Égypte. La politique de standardisation artistique, religieuse et philosophique menée sous les deux premières dynasties décide quel concept idéologique conserver et quel autre définitivement écarter. Dès les premières personnifications iconographiques du roi, seul garant de l’ordre cosmique sur terre, le bateau perd progressivement de ses prérogatives allégoriques pour se voir cantonné à des fonctions funéraires et religieuses. C’est à cette époque que se développent les inhumations de barques, pratique qui culminera sous les rois bâtisseurs de l’Ancien Empire. L’objectif de ce travail est d’analyser l’ensemble des productions artistiques, artisanales et architecturales pré- et protodynastiques en lien avec le bateau afin de mettre en lumière le processus global qui l’a conduit à incarner ces notions symboliques et idéologiques primordiales. Il vise également à fournir une synthèse portant sur les débuts de la navigation en Égypte et sur ses implications dans la formation de l’État pharaonique. / Doctorat en Histoire, histoire de l'art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
3

Le lotus et l'oignon: l'égyptologie et l'égyptomanie en Belgique au XIXème siècle

Warmenbol, Eugène January 1999 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
4

Les Libyens en Egypte (XVe siècle a.C.-IIe siècle p.C.). Onomastique et histoire

Colin, Frederic 01 March 1996 (has links) (PDF)
La première partie de la thèse consiste en une étude sociolinguistique de l'onomastique associée aux populations machouach et rebou présentes en Egypte à partir du Nouvel Empire (anthroponymes, ethnonymes, toponymes). Les données fournies par les documents hiéroglyphiques sont comparées à celles qui proviennent des inscriptions libyques, puniques, latines, latino-puniques et grecques de l'Antiquité Classique. Il est ainsi démontré qu'une parenté linguistique et culturelle rattache les Machouach et les Rebou des sources égyptiennes aux Libyes des sources grecques. De la sorte, les premières traces d'une langue Libyque sont mises en évidence près de mille ans avant l'apparition du Libyque dans la documentation classique et un segment entier de l'histoire des langues afro-asiatiques se découvre à nos yeux : j'ai donné à cette « nouvelle » langue le nom de « vieux libyque ».<br />La deuxième partie, présentée séparément pour la commodité du lecteur, prend la forme d'un onomasticon prosopographique : les informations biographiques et historiques concernant tous les personnages porteurs d'un nom vieux Libyque y sont rassemblées, de même que les graphies et variantes graphiques de leurs anthroponymes (en hiéroglyphes, en démotique et en transcription grecque).<br />La troisième partie exploite les données rassemblées dans les sections précédentes afin d'établir l'histoire des peuples lymphokines en Egypte et dans les régions voisines. Ceux-ci entrent en contact avec la vallée du Nil au moins dès le XVe/XIVe siècle. Leurs mouvements de population sont à l'origine de conflits importants sous les souverains ramessides, tandis que certains éléments s'intègrent progressivement dans la campagne égyptienne. L'influence des grands chefs libyens augmente pendant la XXIe dynastie, parvient à cumuler la grande chefferie et le pouvoir pharaonique. Des éléments d'origine lymphokine occupent les principaux rouages de l'Etat de la seconde moitié du Xe siècle au VIIIe siècle. Durant cette période, les Libyens adoptent les formes matérielles, institutionnelles et cultuelles de la culture égyptienne, mais ils conservent en substrat certains éléments religieux. Ce phénomène, jusqu'à présent parfaitement inconnu, se concrétise à l'occasion par un processus d'interpretatio Libyca. Sous la XXVIe dynastie, le pouvoir des grands chefs diminue, ainsi que la vitalité de l'onomastique vieux Libyque parmi les hauts fonctionnaires de l'Etat. Des traditions locales se maintiennent néanmoins très tard, notamment jusque dans la Thèbes romaine, au IIe siècle de notre ère. Une dernière partie étudie les monuments de l'oasis de Siwa (désert Libyque), où une dynastie libyenne locale construisit le sanctuaire d'Ammon, où Alexandre le Grand ira procéder à sa fameuse consultation oraculaire. Considéré comme un Libys par les Grecs, le premier grand chef connu sur place porte un vieux nom Libyque, et permet ainsi de rattacher définitivement le dossier égyptologique au dossier d'histoire antique : c'est le missing link.<br />La conclusion élargit la perspective en retraçant la proto-histoire des peuples libycophones dans l'ensemble de l'Afrique du Nord à la lumière des recherches résumées ici.
5

La narration et ses structures en égyptien de tradition :approche philologique et narratologique des textes royaux de la XXVe dynastie

Delhove, Arnaud 20 April 2017 (has links)
Ce travail porte sur la question de la verbalisation du récit dans sa structure formelle, par une approche philologique et narratologique, dans les textes royaux de la XXVe dynastie (dynastie couchite – 8e/7e s. avant notre ère), rédigés en égyptien de tradition. L’étude se fonde sur un corpus composé de 11 textes ayant comme caractéristiques d’être couchites, royaux, en égyptien de tradition, comportant des parties narratives, et suffisamment conservés. Parmi ceux-ci, l’on trouve la Stèle de la Victoire de Piânkhy (Caire JE 48862 ;JE 47086-47089) et la Stèle du Songe de Tanoutamon (Caire JE 48863). En outre, un corpus secondaire de 9 textes a été constitué dans une perspective synchronique et diachronique, avec par exemple les Annales d’Osorkon, ou encore les Annales de l’an 1-2 d’Irike-Amannote (Kawa IX), souverain de Couch postérieur à la XXVe dynastie. Pour répondre à la question de la structure formelle du récit, nous procédons en deux temps :d’abord par une étude des marqueurs narratifs (comme les auxiliaires séquentiels) ;puis par celle des structures et macrostructures du texte, en lien avec les séquences narratives ;enfin, par l’examen de facteurs influençant la verbalisation du récit. Dans la première partie, nous précisons dans une série de chapitres les formes et emplois des marqueurs narratifs (auxiliaires séquentiels, śpr pw ỉr.n⸗f, infinitifs narratifs, śḏm.ỉn⸗f, particules, dates, etc.). Pour chacun de ces marqueurs, nous faisons d’abord le point sur leurs formes et emplois en égyptien classique, néo-égyptien et égyptien de tradition, d’après les grandes synthèses grammaticales, avant de procéder à un examen systématique de leurs occurrences dans notre double corpus. En outre, précédant cette analyse, nous traitons de la situation linguistique à la XXVe dynastie (notamment la diglossie), et des caractéristiques de l’égyptien de tradition. Nous examinons également pour notre corpus principal la question de l’opposition des formes śḏm⸗f et śḏm.n⸗f. La seconde partie, qui s’appuie sur les marqueurs étudiés dans la première, traite des différents niveaux dans la structure générale du texte et du récit. Nous envisageons donc là les niveaux supérieurs à la proposition. Après des éléments théoriques sur la narration et sur la mise en récit de l’histoire, nous étudions le niveau séquentiel dans les récits du corpus, et mettons en évidence les structures épisodiques que l’on peut y trouver. Ensuite, nous examinons les éléments non-narratifs, descriptifs et dialogaux, et la façon dont ils intègrent ou sont intégrés dans les parties narratives. En nous appuyant sur les données de ces deux chapitres, nous envisageons alors les structures d’ordre supérieur à la séquence, pour remonter jusqu’au texte dans son ensemble. Enfin, pour montrer le lien entre la première et la deuxième partie, nous présentons la façon dont les marqueurs narratifs se spécialisent dans certains rôles dans la narration et la structuration du récit, et comment ils se hiérarchisent. Ce travail apporte donc une série de données sur la langue littéraire de la XXVe dynastie et ses caractéristiques, ainsi que sur la façon dont les rédacteurs recourent aux moyens linguistiques de l’égyptien de tradition pour organiser formellement leurs textes et transmettre, via le récit, l’histoire qu’ils voulaient communiquer. / Doctorat en Langues, lettres et traductologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
6

Les divinités gréco-égyptiennes dans les textes magiques coptes: Une étude du syncrétisme religieux en Égypte tardo-antique et médiévale

Bélanger Sarrazin, Roxanne 14 August 2020 (has links) (PDF)
Aujourd’hui, le corpus des textes magiques coptes compte 314 manuscrits publiés et plusieurs dizaines de textes toujours inédits, datés pour la plupart entre le 5e et le 12e siècle de notre ère. Parmi ceux-ci, un petit groupe composé de vingt-trois manuscrits magiques comprend des charmes qui présentent des invocations à des divinités grecques ou égyptiennes (p. ex. Artémis, Isis, Horus, Seth, Petbe) ou de courts récits mythologiques (historiolae) les mettant en scène. L’existence même de ces charmes soulève plusieurs questions :comment des références à des divinités traditionnelles se sont-elles retrouvées dans des textes « chrétiens » datés des 5e–12e siècles, et surtout, quels mécanismes ont été utilisés par les experts en rituels de l’Égypte tardo-antique et médiévale pour intégrer ces références dans leurs charmes ?Afin de répondre à ces questions, cette étude propose le premier examen exhaustif de l’ensemble de ces vingt-trois textes magiques coptes. Dans les trois premiers chapitres, nous étudions chacun des vingt-trois textes coptes en détail—les types de textes, les objectifs des charmes, les éléments traditionnels et chrétiens utilisés, les différentes façons dont ceux-ci ont été combinés—en plus de les comparer avec des textes magiques datés des périodes pharaonique (en moyen égyptien) et gréco-romaine (en démotique et en grec). Dans le dernier chapitre, nous offrons un examen plus général du groupe de vingt-trois textes en discutant entre autres de la datation et de la provenance des manuscrits, ainsi que des expressions récurrentes utilisées, ce qui nous permet également de les replacer dans le contexte plus large de l’ensemble du corpus des textes magiques coptes. Cette étude montre, d’une part, que nos vingt-trois textes magiques coptes témoignent d’une grande continuité dans les pratiques magiques en Égypte, puisque les éléments traditionnels utilisés (références aux divinités grecques et égyptiennes, historiolae, formules et expressions) ont été transmis, par l’intermédiaire de manuscrits magiques, depuis l’époque pharaonique jusqu’à l’époque médiévale. D’autre part, ces textes témoignent également de changements, et plus particulièrement, de nombreux processus syncrétiques, puisque les éléments traditionnels ont été réinterprétés, puis juxtaposés ou fusionnés à des éléments chrétiens. Ainsi, notre examen révèle comment les experts en rituels de l’Égypte tardo-antique et médiévale, en s’inspirant de manuscrits magiques plus anciens et en combinant des éléments de différentes traditions religieuses dans leurs charmes, sont devenus des agents du syncrétisme religieux et, de façon plus générale, de la transformation religieuse. / Doctorat en Langues, lettres et traductologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
7

Společenský kontext mědi ve starověkém Egyptě do konce Střední říše / The Social Context of Copper in Ancient Egypt down to the end of Middle Kingdom

Odler, Martin January 2020 (has links)
1 Odler, Martin 2020: The social context of copper in Ancient Egypt down to the end of Middle Kingdom. PhD thesis. Prague: Charles University, Faculty of Arts. Supervisor: Prof. Mgr. Miroslav Bárta, Dr. Abstract The subject of the doctoral thesis is a reconstruction of the chaîne opératoire of copper in ancient Egypt from its earliest occurrence in the fourth millennium BC until the end of the Middle Kingdom. As copper was the metal most widely used in ancient Egyptian society, its study can offer statistical "big data" otherwise rarely available for ancient cultures. Three large groups of sources are discussed successively: written and iconographic sources, archaeological sources (material culture, i.e. artefacts), and archaeometallurgical sources, divided into several consecutive stages of the chaîne opératoire. Copper was named bjA and read [byr] in the periods under study, while an interpretation as arsenical copper with a low and high content of arsenic, respectively, is proposed for so- called Asian copper and Hsmn. In the Middle Kingdom, the term Hsmn begun to be used also for tin bronze. The word for crucible was bD(.t) and the word for metalworker (incorporating both metallurgists and smiths) was bD.ty. There is no substantial Egyptian evidence from the periods under study for the current...
8

La contribution de l'Afrique francophone a la theologie africaine: specialement le travail de Kä Mana = The contribution of francophone Africa to African theology: a special focus on the work of Kä Mana / Contribution of francophone Africa to African theology: a special focus on the work of Kä Mana

Mwambazambi, Kalemba 04 1900 (has links)
La mission de la théologie africaine face à une situation socio-politique, culturo-économique catastrophique de l'Afrique, due essentiellement à la question de la spiritualité sociale, d'intelligence sociale et l'aliénation culturelle, est de redynamiser la mission chrétienne, stimuler la renaissance spirituelle africaine et défendre les pauvres et les opprimés, parce que Dieu est toujours du côté d'eux. En effet, l'homme africain et sa société peuvent toujours être au centre de l'engagement théologique et de l'église d'Afrique, pour l'évangélisation comme pour la promotion sociale. Parce que l'homme africain n'est pas seulement individu, il est aussi société et culture. De ce fait, L'église d'Afrique avec ses différentes formes de théologies, n'existe pas pour elle-même, mais pour annoncer la Bonne Nouvelle aux africains. Cependant, cette Bonne Nouvelle n'a aucune pertinence aux yeux des africains si elle tombe en dehors de l'essentiel de leur vie. En d'autres termes, une théologie africaine, quelle que soit sa forme, mais, sans promouvoir la libération totale spirituelle et physique de l'homme Africain et motiver la reconstruction de l'Afrique telle que prônée par Kä Mana n'a pas sa raison d'être. En plus, la théologie africaine peut également stimuler la vraie démocratisation des pays africaines comme principal enjeu de la pastorale théologique et politique des églises chrétiennes et religions traditionnelles africaines. Parce qu'au nom de la dignité de chaque personne, de l'amour de Dieu et l'amour du prochain, de la foi et du salut de tout homme, la théologie africaine ne peut négliger l'identité culturelle et anthropologique du terroir africain et le construit socioculturel inspiré de l'évangile. Cette théologie africaine peut également motiver la remise en question du néocolonialisme africain sous toutes ses formes. Dès lors, le résultat de cette étude peut aider le missiologue/théologien africain qui est l'église de Dieu à bien accomplir sa mission prophétique selon la vision de Dieu, dans le but de transformer spirituellement et physiquement l'Afrique, aussi reconstruirer positivement la société africaine. Evidemment, le développement intégral de l'homme africain, selon moi, suppose le respect de la dignité humaine qui ne peut se réaliser que dans la justice, la paix, l'auto-transformation personnelle, l'éthique et une inculturation personnifiante. Summary The mission of african theology facing African socio-polical, cultural and economic catastrophe that due mainly to social spirituality, social intelligence and cultural alienation, is to revitilise christian mission, stimulate spiritual african renaissance and to defend the poor and oppressed, people by whom God always stands. Of course, the african and their community should always be at the heart of the theological engagement and of the action of the African church concerning evangelism as well ass social promotion. For the African embodies both his or her society and culture. Therefore, the African church and all their different theologies do not exist for their on sake, but rather for the African people to whom they should bring the good news. This good news is not relevant for the Africans as long as it does not deal with their main concern. In other words, whatever the forms of African theology, as long as it overlooks the complete liberation of the Africans, freeing them spirituality, promoting their spiritual and physical liberation and motivating the reconstruction of Africa as promoted by Kä Mana here, it will serve no practical purpose. Besides, African theology has also to stimulate the democratisation of African countries as one of the targets of the African Christian churches and traditional religions. In the name of the dignity of each and every person, of the love of God and the love for the neighbour, that of faith and salvation of the humankind, African theology is not expected to neglect cultural and anthropological identity of the Africans terror and the sociocultural construct inspired by the Gospel. African theology can thus motivate the questioning of African neocolonialism in all its forms. The result of this study can help African missiologists and theologians that are the church of God to fulfil well the prophetic mission after the vision of God, so as to bring about spiritual and physical transformation, and positively reconstruct the African society. As for me, the integral development of the African supposes the respect of their human dignity that can be materialised through peace, justice, personal sel-transformation, ethics and personifying inculturation. / Christian Spirituality, Church History and Missiology / D. Div. (Missiology)
9

La contribution de l'Afrique francophone a la theologie africaine: specialement le travail de Kä Mana = The contribution of francophone Africa to African theology: a special focus on the work of Kä Mana / Contribution of francophone Africa to African theology: a special focus on the work of Kä Mana

Mwambazambi, Kalemba 04 1900 (has links)
La mission de la théologie africaine face à une situation socio-politique, culturo-économique catastrophique de l'Afrique, due essentiellement à la question de la spiritualité sociale, d'intelligence sociale et l'aliénation culturelle, est de redynamiser la mission chrétienne, stimuler la renaissance spirituelle africaine et défendre les pauvres et les opprimés, parce que Dieu est toujours du côté d'eux. En effet, l'homme africain et sa société peuvent toujours être au centre de l'engagement théologique et de l'église d'Afrique, pour l'évangélisation comme pour la promotion sociale. Parce que l'homme africain n'est pas seulement individu, il est aussi société et culture. De ce fait, L'église d'Afrique avec ses différentes formes de théologies, n'existe pas pour elle-même, mais pour annoncer la Bonne Nouvelle aux africains. Cependant, cette Bonne Nouvelle n'a aucune pertinence aux yeux des africains si elle tombe en dehors de l'essentiel de leur vie. En d'autres termes, une théologie africaine, quelle que soit sa forme, mais, sans promouvoir la libération totale spirituelle et physique de l'homme Africain et motiver la reconstruction de l'Afrique telle que prônée par Kä Mana n'a pas sa raison d'être. En plus, la théologie africaine peut également stimuler la vraie démocratisation des pays africaines comme principal enjeu de la pastorale théologique et politique des églises chrétiennes et religions traditionnelles africaines. Parce qu'au nom de la dignité de chaque personne, de l'amour de Dieu et l'amour du prochain, de la foi et du salut de tout homme, la théologie africaine ne peut négliger l'identité culturelle et anthropologique du terroir africain et le construit socioculturel inspiré de l'évangile. Cette théologie africaine peut également motiver la remise en question du néocolonialisme africain sous toutes ses formes. Dès lors, le résultat de cette étude peut aider le missiologue/théologien africain qui est l'église de Dieu à bien accomplir sa mission prophétique selon la vision de Dieu, dans le but de transformer spirituellement et physiquement l'Afrique, aussi reconstruirer positivement la société africaine. Evidemment, le développement intégral de l'homme africain, selon moi, suppose le respect de la dignité humaine qui ne peut se réaliser que dans la justice, la paix, l'auto-transformation personnelle, l'éthique et une inculturation personnifiante. Summary The mission of african theology facing African socio-polical, cultural and economic catastrophe that due mainly to social spirituality, social intelligence and cultural alienation, is to revitilise christian mission, stimulate spiritual african renaissance and to defend the poor and oppressed, people by whom God always stands. Of course, the african and their community should always be at the heart of the theological engagement and of the action of the African church concerning evangelism as well ass social promotion. For the African embodies both his or her society and culture. Therefore, the African church and all their different theologies do not exist for their on sake, but rather for the African people to whom they should bring the good news. This good news is not relevant for the Africans as long as it does not deal with their main concern. In other words, whatever the forms of African theology, as long as it overlooks the complete liberation of the Africans, freeing them spirituality, promoting their spiritual and physical liberation and motivating the reconstruction of Africa as promoted by Kä Mana here, it will serve no practical purpose. Besides, African theology has also to stimulate the democratisation of African countries as one of the targets of the African Christian churches and traditional religions. In the name of the dignity of each and every person, of the love of God and the love for the neighbour, that of faith and salvation of the humankind, African theology is not expected to neglect cultural and anthropological identity of the Africans terror and the sociocultural construct inspired by the Gospel. African theology can thus motivate the questioning of African neocolonialism in all its forms. The result of this study can help African missiologists and theologians that are the church of God to fulfil well the prophetic mission after the vision of God, so as to bring about spiritual and physical transformation, and positively reconstruct the African society. As for me, the integral development of the African supposes the respect of their human dignity that can be materialised through peace, justice, personal sel-transformation, ethics and personifying inculturation. / Christian Spirituality, Church History and Missiology / D. Div. (Missiology)

Page generated in 0.0318 seconds