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Settling an 18th-century faubourg : property and family in the Saint-Laurent suburb, 1735-1810Stewart, Alan M. (Alan Maxwell), 1953- January 1988 (has links)
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The Montreal maternity, 1843-1926 : evolution of a hospitalKenneally, Rhona Richman, 1956- January 1983 (has links)
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St. Lawrence Blvd. as third city : place, gender and difference along Montréal's 'Main'Podmore, Julie. January 1999 (has links)
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St. Lawrence Blvd. as third city : place, gender and difference along Montréal's 'Main' / St. Lawrence Boulevard as third cityPodmore, Julie. January 1999 (has links)
At the end of the nineteenth century, St. Lawrence Boulevard, popularly known as 'the Main', attained mythical status in Montreal. Due to its particular location in the social and cultural geography of Montreal, the Main, which symbolically divides the working-class Francophone east and the Anglophone bourgeois west, has developed as a mixed-use commercial artery, an eclectic border zone of a bilingual, multi-ethnic city. The heterogeneous character of the Main is reflected in its material landscape---with its old and now largely re-used garment sweat-shops and labour halls, theatres of the red-light district, cafes, and the shops and restaurants of the mid-twentieth century immigrant shopping corridor. Shaped by the diversity of the populations that came to live, work, protest, shop or be entertained in these sites, it is an example of the social and cultural diversity of the metropolis. Such heterogeneous sites have often been interpreted as liminal spaces, but this research demonstrates that the construction and experience of the Main as a border zone have rarely been gender neutral. While physical, social and cultural heterogeneity are components of this landscape, these sites also attest to the importance of gender relations in the experience of the Main as a place of work and social life and, ultimately, as a space of representation. Its border status has often been represented through discourses and images of 'marginal' womanhood, articulated in terms of social, occupational, political, sexual and/or ethnic identity. Many of its locales, moreover, have been sites where women entered urban public life in contentious and distinctive ways. / As a place that highlights the social and cultural heterogeneity of a supposedly 'divided' city, the Main is an ideal site from which to explore how ethnicity, language, class, occupation and sexual identity intersect with gender in the experience and representation of urban life. This thesis examines how a multiplicity of female gender identities have been defined and contested along the Main over the past century. It contributes to a broad literature on geographies of gender, difference and urban public cultures through an analysis of the relationships between feminist spatial metaphors and the material production of urban space. Through a series of events that move through time and sections of St. Lawrence, I examine how portions of the landscape of this boulevard have been marked by the enactment of specific sets of gender relations and forms of representation that became central to civic debates regarding gender. I argue that the construction and experience of the Main as a border zone has involved the production of specific relations of gender, alterity and space. / A variety of qualitative methods and archival sources are used to illustrate the importance of representations of gender to the production of this place and to illustrate how women have experienced and made use of material sites to express their specific occupational, cultural, religious, social or sexual identities. This thesis demonstrates the crucial role played by the border zones of urban public cultures in the construction of female identities that depart from dominant gender norms in the expression of social, cultural and sexual differences.
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Le retard de Montréal sur Toronto en matière de journalisme économiqueDesjardins, Stéphane 06 1900 (has links) (PDF)
Le présent mémoire porte sur le retard de Montréal sur Toronto en matière de journalisme économique. Dans un contexte démographique où les Québécois sont plus endettés que jamais, ont un niveau insuffisant d'épargne et de littératie financière, ne contrôlent pas les leviers importants de leur économie, alors que l'économie planétaire est en mutation, avec la montée en puissance des pays émergents, l'information économique et financière joue plus que jamais un rôle stratégique. Malheureusement, le Québec, et plus particulièrement la région de Montréal, où se concentre l'essentiel de la richesse, des emplois de haut niveau, du pouvoir économique, de l'économie du savoir, de la recherche scientifique et des sièges sociaux des grandes entreprises, des médias, des universités et de la culture, accuse un retard important dans la qualité, la pertinence, la profondeur et même l'influence de l'information économique. Pendant qu'à Toronto, on dispose d'une presse de classe mondiale, Montréal est desservie par une presse provinciale. Le retard s'explique par un décalage sociohistorique du Québec par rapport aux questions d'argent, qui remonte à la Conquête. Malgré un rattrapage certain depuis la Révolution tranquille, ce décalage persiste et se répercute aussi sur la culture des salles de rédaction. Les médias québécois se constituent depuis peu une culture journalistique économique, qui existe depuis plusieurs générations dans des journaux comme le Globe and Mail et le National Post. L'encadrement du travail journalistique, au sein de ces quotidiens, est plus rigoureux et davantage tourné vers une notion de qualité qui est basée sur des standards plus élevés qu'au Québec, dans une volonté manifeste d'influencer les cercles du pouvoir. L'information pratiquée au Québec, qui dessert avant tout un lectorat de classe moyenne, est basée principalement sur un journalisme de vulgarisation et de couverture primaire de l'actualité. Les médias québécois, moins riches que ceux de Toronto, où se concentre le pouvoir financier et économique du pays, doivent avant tout couvrir l'actualité locale, pour plaire à des lecteurs a priori ethnocentriques et portés avant tout sur l'actualité dite "triviale". Mais un rattrapage est commencé et il est possible de concurrencer les plus grands médias de la planète avec des moyens moins imposants, pourvu que les entreprises de presse québécoises prennent un virage qualité.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Journalisme, économie, littératie financière, histoire, Québec (Province), Montréal, Toronto, médias, La Presse, Radio-Canada, Globe and Mail, National Post, qualité du journalisme, Conquête, Révolution tranquille, The Economist.
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De la charité au bonheur familial : une histoire de la Société d'adoption et de protection de l'enfance à Montréal, 1937-1972Quesney, Chantale 08 1900 (has links) (PDF)
La Société d'adoption et de protection de l'enfance (SAPE) à Montréal est, de 1937 à 1972, la plus importante agence de placement en adoption du Québec. Elle regroupe, de fait, les services d'adoption des trois principales crèches franco-catholiques de la métropole. L'étude de cette agence permet ainsi de jeter un regard historique sur les origines de l'adoption légale au Québec; sur les enjeux suscités à la suite de l'avènement des nouvelles techniques de placement hors murs; sur les traitements que l'on réservait aux enfants sans famille (illégitimes pour la plupart), aux mères biologiques et aux parents adoptifs; ainsi que sur le rôle de l'État provincial dans la question de l'adoption. S'appuyant en bonne partie sur le dépouillement des fonds issus du Centre Jeunesse de Montréal et des archives du gouvernement provincial, nous pensons que cette thèse saura combler un vide historiographique manifeste puisqu'aucune analyse n'a été menée jusqu'à présent sur l'ensemble des principaux aspects touchant l'histoire de l'adoption au Québec. Ce faisant, on verra à travers cette étude que si seuls les enfants illégitimes ou sans parent peuvent, à partir de 1925, bénéficier des bienfaits de l'adoption légale, ils s'avèrent également les premières victimes du marché noir de l'adoption puisqu'aucune loi ne les protège ni ne régule leur circulation. Or, une telle discrimination ne manque pas d'avoir un impact déterminant sur l'évolution de la SAPE. En effet, le mandat initial de la SAPE, loin de se limiter à l'adoption des bébés, vise également le soutien de l'ensemble des enfants en difficulté. Des enjeux politiques et idéologiques l'amènent cependant, après la Seconde Guerre mondiale, à renoncer à de telles ambitions. Elle investira dès lors l'essentiel de ses ressources dans la promotion et le placement des enfants en adoption. Mais la SAPE ne pourra s'appuyer totalement sur les savoirs théoriques et techniques développés ailleurs en Amérique du Nord pour mener à bien sa mission. Plusieurs facteurs sociaux, dont celui d'un marché de l'adoption qui ne favorise guère la clientèle infantile, la contraignent, en effet, à concevoir son propre ordre de priorités dans l'application de ses pratiques. Elle saura néanmoins, avec la Révolution tranquille, adapter son administration aux nouveaux impératifs de la rationalité managériale afin de «vider les crèches» comme jamais auparavant. C'est également à cette époque que l'État se met de la partie pour favoriser une solution perçue comme la meilleure pour régler le «problème des enfants seuls» en mettant en place, notamment, une politique de soutien à la promotion de l'adoption. C'est cependant la réforme du Code civil et de la loi d'adoption, ainsi que l'application de mesures universelles d'assistance économique qui s'avèreront parmi les stratégies les plus efficaces pour régler cette question. Cependant, la véritable solution au problème ne viendra pas tant de la SAPE ou de l'État, mais bien des mères naturelles elles-mêmes qui, à la fin des années 1960, garderont leur bébé auprès d'elles, boudant dorénavant les crèches et les orphelinats qui, pourtant, constituèrent pendant très longtemps le mode privilégié d'assistance à l'enfant sans famille. Au final, le regard que l'on porte sur l'évolution de la pratique de l'adoption et du discours y afférant, se fait l'écho d'une transformation sociétale beaucoup plus profonde, alors qu'un ordre de régulation basé sur le collectif fortement normé que constitue l'institution familiale fait graduellement place à un mode d'insertion sociale plus individualiste qui caractérise aujourd'hui la majorité de nos sociétés occidentales.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Adoption, enfant naturel, illégitimité, histoire du Québec, XXe siècle, agence de placement, lois, fille-mère, mère célibataire, parent biologique, famille adoptive, foyer d'accueil, protection de l'enfance, assistance à l'enfance en difficulté, institution familiale, politique familiale, Children's Aid Societies
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L'education "ideale" dans un monde "ideal" : le Dunham Ladies' CollegeSt. Helen's School et l'elite anglicane du diocese de Montreal (1870-1930)Harbec, Marie-Eve. January 2001 (has links)
The idea of establishing a denominational college for young women in the Anglican Deanery of Bedford was first submitted to the Montreal's Synod in 1873. Following a contest which was held between local municipalities, the overwhelmingly Anglo-Protestant rural village of Dunham won the honors and six years later, the Dunham Ladies' College (the college would become St. Helen's School in 1913) opened its doors. This thesis examines the reactions and readjustments of the Anglican Church, and those of their followers, attributable to its disestablishment (in the 1840's and 1850's) and to the rise of liberalism and to the transformation of traditional social order that went on in the same age. The example that we have selected---the DLC/ SHS---will allow us to scrutinize de 1870 to 1930 period. It will demonstrate the importance of religion in the construction of women's social identities: education being a means borrowed by the local and diocesan Anglican elite (both lay and ecclesiastical ones) to promote the new spiritual mandate of the Church and a conservative vision of social organization. The elite's men wished for the DLC/SHS to be an oasis of peace and of purity, the ideal place for young ladies to become gentlewomen. Throughout our study of the methods employed for their education, we will demonstrate how this elite planned the education of these young ladies in a way that would insure their becoming conveyances of the values necessary for the implementation of a spiritual Anglican society.
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The civil architecture of John Ostell /James, Ellen S., 1940- January 1982 (has links)
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Du silence à l'affirmation : women making history in Point St. CharlesKruzynski, Anna January 2004 (has links)
Women made, and continue to make history in Point St. Charles, and in doing so, transform selves, groups and community. / Building on the literature on class and gender in community organising, read through the conceptual lens of "translocational positionality" (Anthias, 2002a), I tell a story of the journeys of a group of ten women activists through four decades of neighbourhood organising. I show that although all the women were first involved in citizens' committees around practical needs such as housing, welfare, urban renewal and education, most of them, stimulated by feminist agitators in their midst, came to new awareness about gender inequalities, to new and deepening analyses, and to individual and collective actions around strategic gender needs. Part and parcel of this spiral of change (Nadeau, 1996) were the tensions that emerged with their families, friends and neighbours, and even with the agitators themselves. Out of these tensions came transformations at the macro level---community, public opinion and government, at the meso level---organisational structures and cultures, and at the micro level---family and selves. / Next I do a metanarrative on the methodology that underlies the project upon which my thesis is based, one that borrows from feminist community organising practice (Gutierrez & Lewis, 1994) to deal with the many ethical dilemmas inherent to feminist life history methodology (Geiger, 1990). In line with the notion of "translocational imaginings in dialogue", the project was conceptualised to pre-figure power-with (Starhawk, 1987) in order to construct narratives of belonging that break with processes of differentiation and stratification. The project is about doing community history with the people who make that history. Because of this, when tensions emerged around power relations, instead of paralysis, individual, interpersonal and collective transformations emerged. / Through this work, I am not only releasing new voices into the collective narrative, but I am also contributing to debates on life history methodology. And, my thesis, and the other historical products that will emerge from this project, will enable organisers and activists to learn from the past, and will, hopefully, entice younger people to get involved in community activism.
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Du silence à l'affirmation : women making history in Point St. CharlesKruzynski, Anna January 2004 (has links)
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