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Une allocation pour les jeunes? : entre autonomie et dépendance--

Thirot, Myriam January 2006 (has links) (PDF)
La jeunesse revendique son autonomie. Les hommes politiques tentent d'y répondre en envisageant la création d'une allocation versée dès la majorité.....Que se passe t-il en France, en ce début de 21 ème siècle? Depuis plusieurs années, le débat national portait sur la perte d'autonomie liée au grand âge et sur l'avenir des retraites; serions-nous aussi confrontés à des difficultés chez les jeunes? Nous avons voulu apporter notre éclairage à cette réflexion. Dans cette recherche, nous apportons d'abord des éléments de clarification en exposant deux aspects de la réalité sociale. La jeunesse a des caractéristiques propres, modifiant ainsi son rapport à la société, elle-même, en période de mutation. Les dispositifs créés pour faciliter son insertion ont permis de « colmater des brèches », il en va souvent ainsi de l'action du politique. Puis notre travail s'attache à comprendre où se situent les blocages chez les jeunes. En utilisant les concepts de socialisation et d'identité, nous avons bâti une enquête permettant d'analyser la vie quotidienne de six d'entre eux. Ensuite, nous tentons de comprendre la stratégie mise en place par les décideurs et ainsi dévoiler le rôle et l'action du politique dans la société. La question centrale est de savoir si la proposition d'allocation est une stratégie de renouvellement du lien social entre les différents acteurs. Les éléments recueillis auprès de jeunes, d'hommes politiques et de responsables d'action sociale sont éloquents et enrichissent largement les discussions. Leur confrontation permettra, à qui voudra bien lire cet ouvrage, d'engager une réflexion sur le rôle des institutions en général, et du travail social, en particulier, dans le domaine de l'insertion, comme dans d'autres .... ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Jeunesse, Autonomie, Politique sociales, Lien social.
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"Secourons nos enfants malades" : réponses à l'épidémie de poliomyélite à Montréal en 1946

Poirier, Valérie 03 1900 (has links) (PDF)
Depuis trois décennies, l'historiographie sur la santé et les épidémies, qui s'appuyait autrefois essentiellement sur l'histoire de l'évolution de la science et de la médecine, connaît des transformations profondes. S'inspirant de l'histoire sociale, elle concentre désormais son analyse sur une dimension socio-économique. Ce mémoire s'inscrit dans ce nouveau courant, tout en abordant d'autres champs relatifs à la famille et à l'après-guerre. C'est en se basant sur ces trois historiographies et en prenant comme fil conducteur le contexte de la valorisation de l'enfance et de la famille spécifique au baby boom et à l'après-guerre que nous désirons comprendre l'interaction entre une épidémie et la population montréalaise. À Montréal, quelles réponses a engendrées l'épidémie de poliomyélite de 1946 au sein des familles, des hôpitaux pour enfants et des milieux scolaires? Est-ce que le fait que la polio sévissait majoritairement chez les enfants, alors au centre du système de valeurs de la société, influençait ces réponses? À l'aide d'une analyse de contenu d'un corpus de sources variées, comprenant notamment les journaux La Presse et le Montreal Daily Star, différents fonds d'archives et un recueil de témoignages, nous avons voulu répondre à ces questions. Dans les années 1940, une série de facteurs, comprenant l'amélioration de la santé, les discours des experts et de l'État sur les rôles familiaux, les conditions économiques favorables de l'après-guerre et l'émergence de l'État-providence donne des moyens concrets aux parents afin de valoriser leurs enfants et la santé de ceux-ci. À cet égard, nous démontrons que la principale réponse familiale face à la polio en 1946 est le dévouement. Des traces de « négligence » parentale permettent toutefois de nuancer le portrait et rappellent que certaines familles devaient toujours composer avec des conditions matérielles précaires. Du côté des hôpitaux, les efforts consentis au niveau de l'espace, du matériel, des finances et du personnel témoignent du sentiment d'urgence d'agir ainsi que de l'importance nouvelle que ces institutions revêtaient dans la santé juvénile. Nous pensons que les réponses des hôpitaux s'inscrivent dans l'économie sociale mixte d'après-guerre, où les recours privés et publics coexistent. Quant aux écoles, celles-ci sont d'une importance nouvelle en raison de la loi sur la fréquentation scolaire obligatoire qui touche tous les enfants en deçà de 14 ans. À travers l'étude de la principale réponse à la polio dans les milieux scolaires, la remise de la rentrée des classes, nous constatons l'implication d'une multitude d'acteurs qui témoigne de la redéfinition des valeurs et de la responsabilité associées à l'éducation des enfants. Ces observations nous incitent à rejoindre les conclusions d'autres études sur la polio prouvant que les réponses à la maladie sont influencées par sa particularité de frapper les enfants et de les laisser paralysés. Nous pensons que la valorisation de l'enfance de l'après-guerre a exacerbé ces réponses et a donné des moyens concrets à la société pour prendre soin des enfants. Cette recherche contribue à rendre compte de la nouvelle conception que la société avait de l'enfance à l'époque ainsi que des transitions économiques, politiques et sociales qui s'opéraient au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale à Montréal. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Histoire, Québec, XXe siècle, Épidémie, Santé, Enfance, Famille
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De la charité au bonheur familial : une histoire de la Société d'adoption et de protection de l'enfance à Montréal, 1937-1972

Quesney, Chantale 08 1900 (has links) (PDF)
La Société d'adoption et de protection de l'enfance (SAPE) à Montréal est, de 1937 à 1972, la plus importante agence de placement en adoption du Québec. Elle regroupe, de fait, les services d'adoption des trois principales crèches franco-catholiques de la métropole. L'étude de cette agence permet ainsi de jeter un regard historique sur les origines de l'adoption légale au Québec; sur les enjeux suscités à la suite de l'avènement des nouvelles techniques de placement hors murs; sur les traitements que l'on réservait aux enfants sans famille (illégitimes pour la plupart), aux mères biologiques et aux parents adoptifs; ainsi que sur le rôle de l'État provincial dans la question de l'adoption. S'appuyant en bonne partie sur le dépouillement des fonds issus du Centre Jeunesse de Montréal et des archives du gouvernement provincial, nous pensons que cette thèse saura combler un vide historiographique manifeste puisqu'aucune analyse n'a été menée jusqu'à présent sur l'ensemble des principaux aspects touchant l'histoire de l'adoption au Québec. Ce faisant, on verra à travers cette étude que si seuls les enfants illégitimes ou sans parent peuvent, à partir de 1925, bénéficier des bienfaits de l'adoption légale, ils s'avèrent également les premières victimes du marché noir de l'adoption puisqu'aucune loi ne les protège ni ne régule leur circulation. Or, une telle discrimination ne manque pas d'avoir un impact déterminant sur l'évolution de la SAPE. En effet, le mandat initial de la SAPE, loin de se limiter à l'adoption des bébés, vise également le soutien de l'ensemble des enfants en difficulté. Des enjeux politiques et idéologiques l'amènent cependant, après la Seconde Guerre mondiale, à renoncer à de telles ambitions. Elle investira dès lors l'essentiel de ses ressources dans la promotion et le placement des enfants en adoption. Mais la SAPE ne pourra s'appuyer totalement sur les savoirs théoriques et techniques développés ailleurs en Amérique du Nord pour mener à bien sa mission. Plusieurs facteurs sociaux, dont celui d'un marché de l'adoption qui ne favorise guère la clientèle infantile, la contraignent, en effet, à concevoir son propre ordre de priorités dans l'application de ses pratiques. Elle saura néanmoins, avec la Révolution tranquille, adapter son administration aux nouveaux impératifs de la rationalité managériale afin de «vider les crèches» comme jamais auparavant. C'est également à cette époque que l'État se met de la partie pour favoriser une solution perçue comme la meilleure pour régler le «problème des enfants seuls» en mettant en place, notamment, une politique de soutien à la promotion de l'adoption. C'est cependant la réforme du Code civil et de la loi d'adoption, ainsi que l'application de mesures universelles d'assistance économique qui s'avèreront parmi les stratégies les plus efficaces pour régler cette question. Cependant, la véritable solution au problème ne viendra pas tant de la SAPE ou de l'État, mais bien des mères naturelles elles-mêmes qui, à la fin des années 1960, garderont leur bébé auprès d'elles, boudant dorénavant les crèches et les orphelinats qui, pourtant, constituèrent pendant très longtemps le mode privilégié d'assistance à l'enfant sans famille. Au final, le regard que l'on porte sur l'évolution de la pratique de l'adoption et du discours y afférant, se fait l'écho d'une transformation sociétale beaucoup plus profonde, alors qu'un ordre de régulation basé sur le collectif fortement normé que constitue l'institution familiale fait graduellement place à un mode d'insertion sociale plus individualiste qui caractérise aujourd'hui la majorité de nos sociétés occidentales. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Adoption, enfant naturel, illégitimité, histoire du Québec, XXe siècle, agence de placement, lois, fille-mère, mère célibataire, parent biologique, famille adoptive, foyer d'accueil, protection de l'enfance, assistance à l'enfance en difficulté, institution familiale, politique familiale, Children's Aid Societies
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La Fédération française des Éclaireurs (FFE) : une histoire de jeunes filles et de femmes dans un mouvement scout féminin en France (1911-1970) / The French Girl Guiding Federation : éclaireuses (FFE) : history of girls in the Girl Guiding movement in France (1911-1970)

Tobita, Takako 26 June 2018 (has links)
La Fédération Française des Éclaireuses est le premier mouvement du scoutisme féminin en France, créée en 1921 et dissoute en 1964. Notre recherche s’emploie à retracer l'histoire de ce mouvement associatif atypique qui regroupe des membres interconfessionnels protestants, catholiques, juifs et laïques, sous l’angle du pluralisme socioculturel, ce qui était rare par rapport à d’autres mouvements de jeunesse de l’époque. La spécificité du mouvement du scoutisme tient également à sa méthode éducative, forgée sur l’enfant et l’adolescent par son fondateur, Robert Baden-Powell. Nous commencerons par étudier le début du scoutisme en Grande Bretagne et son adaptation en France dans la première décennie du XXe siècle, puis la fondation de la FFE, et sa dissolution vers la reconstruction des mouvements scouts mixtes jusqu'en 1970. / The French Girl Guides Federation, Éclaireuses (FFE), founded in 1921 and disbanded in 1964, is the first Girl Guiding Movement in France. The present focus is to retrace the history of this movement, since the start of the scout movement in Great Britain, which was introduced to France in the first decade of the 20th century, through the development under the form of an association, which brought to gather the members from various about social culture and religion: Protestants, Roman Catholics, Jews and non-religious peoples, etc. We analyse their difficulties to cooperating each other, their decision for break-up in 1964, which resulting in the recreation of a mixed scouts movements until 1970.

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