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Narcisse contrarié : l'amour propre dans le discours moral en France, 1650-1715 /Stiker-Métral, Charles-Olivier, January 2007 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Littérature française--Paris 4, 2005. / Bibliogr. p. 741-790. Index.
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Untersuchungen zur Interdependenz von Moralistik und höfischer Gesellschaft am Beispiel La Rochefoucaulds /Hartwich, Kai-Ulrich. January 1997 (has links)
Diss.--Philosophischen Fakultät--Universität zu Köln, 1996. / Bibliogr. p. 280-307.
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Trois moralistes Marie Linage, François de la Rochefoucauld et Nicolás Gómez Dávila /Goenaga, Francia Elena Poulain, Jacques January 2007 (has links) (PDF)
Reproduction de : Thèse de doctorat : Philosophie : Paris 8 : 2006. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr. f. 245-251.
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Les formes brèves de la description morale : quatrains, maximes, remarques /Tourrette, Éric, January 2008 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Langue et littérature française--Lyon 3, 2004. Titre de soutenance : Une écriture du discernement : enquête sur les formes brèves de la description morale, 1574-1701. / Bibliogr. p. 501-511. Index.
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Moralistik und Erzählkunst : von La Rochefoucauld und Mme de Lafayette bis Marivaux /Steland, Dieter. January 1900 (has links)
Habilitationsschrift--Historisch-philologische Wissenschaften--Göttingen--Universität Göttingen. / Bibliogr. p. 347-354.
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Une écriture du discernementTourrette, Éric Landry, Jean-Pierre. January 2005 (has links)
Reproduction de : Thèse de doctorat : Langue et littérature françaises : Lyon 3 : 2004. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr.
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Le style paradoxal des moralistes classiques : Montaigne, Pascal, La Rochefoucauld, La Bruyère / The paradoxical style of the classical moralists : Montaigne, Pascal, La Rochefoucauld, La BruyèreGallard, Pierre-Yves 10 December 2016 (has links)
Notre travail interroge l’affinité entre une figure – le paradoxe – et le discours sur les mœurs, tel qu’il s’invente et se développe de Montaigne à La Bruyère : il étudie l’appropriation d’un fait de langue et sa requalification en fait de style. La confrontation des théories existantes sur le paradoxe aux exemples de notre corpus fait apparaître la gradualité de la figure, dont la configuration prototypique connaît des réalisations discursives de forme et d’étendue variables, et dont l’étude stylistique implique l’articulation des points de vue microstructural et macrostructural. En promouvant une approche englobante, continuiste et contextualisée des formes de l’écriture paradoxale, nous soulignons la dimension matricielle du paradoxe, sa propension à constituer, pour les textes que nous étudions, un principe générateur, une forme ordonnatrice : l’étymon d’un style. Nous défendons en effet l’idée selon laquelle le paradoxe constitue un lieu commun de la prose moraliste, c'est-à-dire la forme-sens dans laquelle se cristallisent une éthique et une esthétique, un rapport soupçonneux aux vérités admises et aux discours institués. L’examen des différents usages de la figure et des fonctions qui lui sont dévolues nous permet ainsi d’éclairer les soubassements épistémologiques de l’entreprise moraliste. / Our work reflects upon the affinity between a figure of speech – the paradox – and the moral discourse, as it emerges and evolves from Montaigne to La Bruyère. We study the appropriation of a linguistic form and its revaluation as a stylistic trait. The comparative examination of the theoretical descriptions of the paradox, and their application to our corpus examples reveal the gradualness of the figure, and the variety of its discursive actualizations. By promoting a global, continuist and contextualized approach to the paradox, we stress out its functionality as well as its propensity to shape the reflection and the writing of the classical moralists.
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La négation dans le fragment moraliste (La Rochefoucauld, Pascal, Vauvenargues, Chamfort) / Negation in Moralist FragmentsRiocreux, Ingrid 23 November 2013 (has links)
Fait de langue omniprésent et multiforme (impliquant des données morpho-syntaxiques et lexicales), la négation constitue véritablement un stylème de la moralistique classique. Focalisation, incidence, forclusion, négation uniceptive, implicite, préfixale, lexématique, problèmes de polarité et de scalarité : le statut central de la négation permet de saisir un positionnement énonciatif commun aux quatre auteurs du corpus autant qu’une prise de position philosophique spécifique à chacun d’eux. L’ambiguïté pragmatique communément associée à la négation est levée, dès lors que l’on admet la possibilité d’une lecture à plusieurs niveaux : la négation descriptive correspond à la représentation traditionnelle du discours moraliste comme une parole solitaire, isolée entre deux blancs typographiques. Mais précisément, lorsqu’on considère cette parole comme un discours adressé, la dimension polémique de la négation apparaît pleinement, plus précisément sa portée contre-doxique et métalinguistique. Les moralistes dénoncent le caractère faussé du discours commun ; ils conçoivent la négation comme un moyen de rompre le lien de référentialité abusif établi par celui-ci entre des concepts moraux et des comportements qui n’ont de vertueux que l’apparence. De l’héritage apophatique, sensible chez Pascal, jusqu’au prénihilisme chamfortien, en passant par l’anthropologie négative de La Rochefoucauld et l’immanentisme anti-artificialiste de la morale chez Vauvenargues, la négation offre une grille de lecture nouvelle pour étudier l’évolution du genre moraliste. / Based on quantitative data, this study shows how essential negation is in the understanding of moralistique as a literary genre that can be identified as such through precise formal elements. I examine many aspects of negation, including the questions of scope, internal and external negations, restricted negation, forclusion, implicit negation, prefixal and lexematic negation and polarity scales. Not only is negation a linguistic scheme (involving various morpho-syntactic as well as lexical patterns) but it also works as a stylistic device which the moralists make a constant and specific use of. Whereas it is commonly held that negation is pragmatically ambiguous, I argue that, in focusing on the moralist as a spectator of society, the critiques have implicitly considered negation to be mostly descriptive. While correct, this interpretation should be qualified. The main aspect of the moralists’ negation rests in its polemical power. The moralists intend to rectify a biased use of words resulting from a false conception of moral values. Therefore, these writers do not say what things are as much as what they are not. From Pascal’s apophatic views, through La Rochefoucauld’s negative anthropology and Vauvenargues’ refusal of artificial morality, to Chamfort’s prenihilistic philosophy, negation appears as a new way to get a better understanding of the evolution of moralistique.
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