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Vieillissement cognitif et accès au lexique : étude des processus d’activation et d’inhibition / Cognitive aging and lexicon access : a study of activation and inhibition processes

Dorot, Delphine 29 November 2010 (has links)
L’objectif du présent travail est d’une part d’évaluer les performances d’accès au mot chez des adultes jeunes (M = 22.1 ans) et âgés (M = 68.7 ans) et, d’autre part, de préciser la fonctionnalité des processus d’activation et d’inhibition lexicales avec l’âge. Dans le domaine du traitement des mots écrits, six études sont conduites en contrôlant le niveau de vocabulaire des participants. En utilisant des indices lexicaux objectifs et subjectifs adaptés aux adultes jeunes et âgés (Expérience 1a), nous observons une diminution des effets de fréquence objective (Expériences 1b-2) et de fréquence du voisinage orthographique avec l’âge (Expérience 4) dans la tâche de décision lexicale. D’autres données, obtenues avec cette tâche, précisent que la modification de l’effet de fréquence du voisinage avec l’âge est sensible à la familiarité des mots (Expériences 5-6), recueillie auprès d’adultes jeunes et âgés (Expérience 3). Dans le domaine de la production langagière orale, deux études utilisant un paradigme d’induction de Mot sur le Bout de la Langue (MBL) sont menées. Les résultats montrent que le nombre de MBL augmente avec l’âge (Expérience 7), indépendamment du niveau de vocabulaire. De plus, traiter un mot lié en son à la cible facilite autant sa récupération chez les adultes jeunes et âgés, tandis que traiter un mot lié en sens à la cible gêne sa récupération, et ce d’autant plus que les adultes sont âgés (Expérience 8). Dans l’ensemble, l’hypothèse combinée d’un déficit d’activation et d’inhibition, mise en lien avec les caractéristiques langagières des populations, permet de rendre compte de la modification des performances lexicales avec l’âge. / The aim of this study is to evaluate word access performances of young (M = 22.1 years) and older (M = 68.7 years) adults, and to specify possible changes in lexical activation and inhibition processes with aging. In the field of written word processing, six studies were conducted in which the participant vocabulary level was controlled. When using objective and subjective lexical measures appropriated to young and older adults (Experiment 1a), an age-related decreased was found for the objective frequency effect (Experiments 1b-2) and for the orthographic neighborhood frequency effect (Experiment 4) in the lexical decision task. Other data from this task indicated that the age-related change in the neighborhood frequency effect was sensitive to word familiarity ratings (Experiments 5-6) collected from young and older adults (Experiment 3). In field of the oral language production, two studies were run with a paradigm for inducing tip of the tongue (TOT) states. The results indicated that the number of TOT increased with aging (Experiment 7), which was not due to the vocabulary level. In addition, processing a word phonologically related to the target facilitated its recovery in young and older adults while processing a word semantically related to the target hindered its recovery, more for the older that for the young adults (Experiment 8). Overall, the combined hypothesis of activation and inhibition deficits, associated with linguistic characteristics of populations, can account for lexical performance changes with aging.
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Manifestations du manque du mot dans les narrations et les explications d’enfants québécois unilingues et bilingues

Rondeau, Alexia 08 1900 (has links)
Des avantages et désavantages cognitifs existeraient chez l’enfant bilingue par rapport à son homologue unilingue, dû à l’activation constante des deux langues chez le bilingue et à son traitement langagier plus complexe. Cette surcharge de traitement affecterait d’ailleurs l’accès lexical des bilingues, qui auraient davantage de « mots sur le bout de la langue ». Puisque le discours pourrait être une mesure d’évaluation moins biaisée que les tests de vocabulaire normés et qui permettrait de saisir les compétences fondamentales lexicales des enfants, le Test of Word Finding in Discourse (TWFD ; German, 1991) a été utilisé afin d’évaluer l’incidence des manifestations des difficultés d’accès lexical (DAL ; répétition, révision, mot vide, commentaire métalinguistique ou métacognitif, substitution, pause ou interjection) dans trois situations discursives (2 narratives, 1 explicative) de 30 enfants québécois entre 7;1 et 10;8 ans (15 unilingues francophones et 15 bilingues simultanés français–anglais, dominants en français. L’alternance codique (code-switching), pertinente par la présence de la population bilingue, a aussi été étudiée. Aucune différence n’a été obtenue entre les enfants unilingues et bilingues pour l’incidence des manifestations des DAL. Davantage de mots vides et de révisions ont par ailleurs été obtenus dans le discours explicatif alors que le taux de pauses était plus élevé dans le discours narratif et ce, pour tous les enfants. L’évaluation de la productivité de langage a montré une différence entre les enfants bilingues et unilingues, où ces derniers ont obtenus des moyennes supérieures pour le nombre d’énoncés total, le nombre de mots total et le nombre de mots différents. Aussi, la longueur moyenne de l’énoncé était en moyenne plus longue, pour tous les enfants, dans le discours explicatif que dans la narration. Enfin, les manifestations du MBL en discours seraient une mesure sensible d’évaluation des enfants typiques bilingues, puisque leurs résultats de production ne diffèrent pas de ceux des unilingues typiques, ce qui pourrait éviter de les surdiagnostiquer avec un trouble de langage. / Cognitive advantages and disadvantages seem to exist in the bilingual child compared to his unilingual counterpart, due to the constant activation of the two languages in the bilingual and to his subsequent more complex language processing. This processing overload seems to affect the lexical access of bilinguals, who would have more words on the “tip of their tongue". Since discourse could be a less biased assessment measure than standardized vocabulary tests and would capture children's basic lexical skills, the Test of Word Finding in Discourse (TWFD ; German, 1991) was used to assess the presence of word-finding difficulties (WFD ; repetition, revision, empty word, metalinguistic or metacognitive comment, substitution, pause or interjection) in three discourse situations (2 narrative, 1 expository) of 30 Quebec children between 7;1 and 10;8 years old (15 unilingual francophones and 15 French-English bilinguals (French dominant)). Code-switching, relevant to the presence of the bilingual population, was also studied. No difference was found between monolingual and bilingual children in the WFD measure for the incidence of WFD. More empty words and revisions were obtained in the expository speech for all children, while the rate of pauses was higher in the narrative speech. The assessment of language productivity showed a difference between bilingual and monolingual children, where the latter obtained higher averages for the total number of utterances, the total number of words and the number of different words. Also, the mean length of utterances was longer in the expository discourse than in the narrative, regardless of languages spoken by the children. Finally, WFD manifestations in discourse could be a sensitive measure of assessment for typical bilingual children, since their production scores did not differ from those of typical monolinguals. This could prevent overidentification of language disorders in this population.

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