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Wahrnehmung und Bewegung bei Aristoteles : Grundlegung einer Untersuchung der Zeitstruktur kognitiver Prozesse /Eberle, Stephan, January 1900 (has links)
Diss.--Braunschweig--Technische Universität, 1995. / Bibliogr. p. 207-214. Index.
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Vom unbewegten Beweger zur bewegenden Kraft : der pantheistische Charakter der Impetustheorie im Mittelalter /Grün, Klaus-Jürgen, January 1999 (has links)
Habili.-schr.--Fachbereich Philosophie und Geschichtswissenschaften--Frankfurt am Main--Johann Wolfgang Goethe-Universität, 1998. / Bibliogr. 205-219. Index.
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La connaissance scientifique de l'homme et le problème de la libertéJobin, Christian 04 August 2022 (has links)
La possibilité du mensonge, de l’erreur et de l’ignorance doit nous conduire à définir la vérité comme l’adéquation du sujet à l’objet, car c’est par le concours de trois facultés propres au sujet, à savoir la volonté, la raison et la conscience, que ceux-ci sont possibles. Or cette adéquation n’est possible que lorsque le mouvement qui anime l’objet est nécessaire. Les Grecs, et plus particulièrement Aristote, n’ont pu toutefois se représenter qu’un mouvement contingent, ce qui les a conduit à dissocier le mouvement de la connaissance. La découverte du principe d’inertie, rendue possible par la révolution de la science moderne, a cependant permis de découvrir un mouvement nécessaire, ce qui a contribué à réconcilier le mouvement et la connaissance. C’est d’ailleurs en se limitant à l’étude de tels objets que les sciences de la nature sont arrivées à incarner la méthode par excellence pour atteindre la vérité. Lorsqu’on tente d’appliquer cette méthode à l’étude de l’homme, un problème se pose qui est celui de la liberté, car celle-ci se traduit par un mouvement non pas nécessaire, mais contingent. C’est en effet au moyen des trois facultés évoquées que la liberté rend l’homme imprévisible et incommensurable, car la volonté pose les fins, la raison détermine les moyens et la conscience réalise l’unité de la fin et des moyens.
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Le concept répétition du possible: Heidegger, Kierkegaard, NietzscheDaskalakis, Konstantios 08 May 2012 (has links)
A partir de 1919, Heidegger élabore plusieurs projets temporels grâce à une phénoménologie herméneutique caractérisée par la fonction méthodique de l’indication formelle, dont la dernière communication date de 1930. Dans ces projets, on trouve à plusieurs reprises la notion de répétition. Plusieurs commentateurs considèrent Kierkegaard comme source de la répétition heideggérienne tandis que d’autres se réfèrent à Nietzsche. Heidegger emploie le terme Wiederholung, Kierkegaard la notion Gjentagelse, et Nietzsche les notions Wiederkehr, Wiederkunft et Wiederholung. L’expression précise « répétition du possible » se trouve dans certaines œuvres des trois penseurs, et s’insère dans des projets temporels différents. La possibilité, en dehors de sa signification modale, décrit depuis Aristote un caractère de l’étant, en corrélation avec le phénomène fondamental qu’est le mouvement. Tant Kierkegaard que Nietzsche, et par la suite Heidegger, ont abordé la question de la mobilité comme thème fondamental dans leurs recherches, pour promouvoir la possibilité en tant que possibilité. Chez les trois penseurs, répétition n’est pas itération, ni retour de la même facticité empirique, mais répétition de la possibilité. Par l’expression « répétition du possible », il s’agit de décrire un mouvement temporel, accordant un sens spécifique au passé, et même à l’histoire. Ce mouvement temporel non objectivable, précède nécessairement le temps uniforme linéaire qui a déterminé la conception classique du temps depuis Aristote. Nécessairement mien, et à la fois continu et discontinu, ce mouvement qui, par son essence ne se manifeste que rarement, tient ensemble passé et futur autour de l’instant privilégié. L’instant, lié à la possibilité d’une décision qui ne se réfère pas à l’attente devant la réalisation des possibilités quotidiennes, a pour enjeu l’entièreté de la vie, visant la transformation de la vie et la constitution de l’homme. De cette manière dans différents projets chez les trois penseurs, la répétition et l’instant font entrer en jeu la question de la liberté. La conceptualité, ce qui revient à dire, la méthode de cette pensée temporelle, s’avèrent tellement importante, de sorte que cette pensée devient accessible grâce à une communication « indirecte » qui demande une contribution essentielle du lecteur. Le travail envisage l’affinité des trois penseurs tant à travers le caractère indirect de la communication de la temporalité que la tâche d’assumer le passé. / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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