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Acculturation and prejudice against sociological minorities among Brussels youth: a multilevel regression approach

Teney, Céline 09 December 2009 (has links)
This thesis aims at analysing the attitudes of youngsters in Brussels towards sociological minorities. The term “minorities” is used to refer to the main social groups that suffer from subordination and misrecognition by the wider society according to the philosophical theory of recognition: women, lesbians and gay men, and ethnic minorities. Our dataset is composed of a sample of seventy schools in the Brussels Capital Region. In total, three thousand one hundred and twenty one pupils attending in 2007 the last grade of secondary education participated in the study. About half of the sample consists of pupils with a migrant background originating from about 100 different countries. This cultural diversity, reflecting one of the main characteristics of the population of the Brussels Capital Region, is at the centre of the thesis. <p>Because of the hierarchical structure of the sample (pupils aggregated within schools), the culturally diverse population of our sample and the multidimensionality of prejudice, multilevel multivariate linear responses models were performed. In brief, these models allowed us to interpret items regrouped according to their common variation across social (and ethnic) groups and not according to their a priori content similarities. Furthermore, these models allowed us to integrate three different research traditions on prejudice: social psychology on the dimensionality of prejudice, sociology on the impact of socio demographic characteristics on prejudice and school effectiveness research on the role schools may play in reducing pupils’ prejudice. With these models, we could demonstrate the capacity of multilevel techniques to encompass the complexity of prejudice and norms, and to provide an interdisciplinary approach of social processes. <p>Besides the impact of gender and socio economic differences on prejudice, the association between ethnic origin and prejudice was the focus of the analysis at the individual level. Hence, the empirical literature showed that respondents of foreign descent and respondents from the receiving society do not hold similar attitudes towards minorities. This association was investigated in a twofold strategy: after having assessed ethnic differences on the different kinds of prejudice, the explanatory power of possible mediators -such as the experience of group-level institutional discrimination or the bidimensional identification- on this association was tested. The choice of these mediators was influenced by different disciplines of the social sciences. Hence, besides the empirical literature specific to the topic of prejudice, these mediators are derived from theories of political sciences, of sociology of immigration, of social psychology and of cross-cultural psychology. The results showed that these mediators could indeed explain to a large extent ethnic differences on prejudice towards minorities. <p>On the school level, we have shown that the impact schools may have on pupils’ prejudice is a differentiated one. Hence, this impact varies according to both the targets and the dimensions of prejudice. Moreover, besides school institutional characteristics, several contextual characteristics were investigated such as the cultural and social diversity within a school. Our results showed that the impact on prejudice of social and cultural diversity within schools was non-significant. This is, however, most probably related to a masking effect by the specificities of the education landscape in Brussels: differences between schools are huge and homogeneity within schools is important, given that the educational field is highly segregated both in social and in cultural terms. The implications of these results based on an interdisciplinary approach for future research and for policymakers are discussed. <p> / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Au-delà des modèles nationaux d'intégration: analyse des politiques d'intégration des personnes issues de l'immigration des entités fédérées belges / Beyond national models of integration: immigrant integration policies of the Belgian regions

Adam, Ilke 12 January 2010 (has links)
L’objectif principal de cette recherche est d’analyser les politiques d’intégration des personnes issues de l’immigration développées par les entités fédérées belges et d’en expliquer les différences principales, et ce depuis la communautarisation de cette politique publique en 1980. Cette date marque également le début d’une période dans laquelle l’installation définitive des immigrés est graduellement acceptée. Marco Martiniello, dans un article publié en 1996, avançait que la coïncidence de la découverte de la question de l’intégration en Belgique, parallèlement au processus des réformes d’Etats consécutives, a donné lieu à des « combinaisons très particulières » (Martiniello, 1996 :87). Ce constat, ainsi que la thèse selon laquelle le nationalisme ethno-culturel flamand et le nationalisme citoyen wallon seraient à l’origine de deux « philosophies » de l’intégration « qui se sont développées dans des directions opposées » sont à la base des interrogations qui constituent le fondement de notre travail. Notre these se situe ainsi dans le débat scientifique international sur les « modèles nationaux de l’intégration », initié par des auteurs, tels que Rogers Brubaker (1992), qui postulent que différents « idiomes culturels de la nation » sont à l’origine de différentes politiques d’accès à la citoyenneté. Cette différenciation des politiques d’intégration, en terme d’idées, a conduit à des catégorisations différentes. En Belgique, la catégorisation dominante des politiques d’intégration des entités fédérées est celle identifiant les politiques d’intégration en Belgique francophone comme proche d’un modèle « assimilationniste » ou « d’intégration individuelle » à la française, et celles menées en Flandre comme « multiculturalistes » et influencées par les Pays-Bas (Rea, 1993 & 1994 & 2000; Martiniello, 1995 & 1996 ;Magnette, 2000 ;Jacobs, 2001 ;Martens et Caestecker, 2001, Verlot, 2001 & 2004 ;Martiniello et Rea, 2004 ;Jacobs et Rea ;2005). Plusieurs constats nous ont amenés à questionner cette interprétation dominante.<p><p>Notre recherche a un premier objectif, d’ordre empirique, et un deuxième, d’ordre interprétatif. Premièrement, nous visons à décrire et à analyser l’élaboration des politiques d’intégration pour vérifier si ces politiques publiques sont effectivement guidées par des cadres de pensée différents. Nous avons cherché à observer où résident les principales différences entre les cadres de pensée, et si les politiques d’intégration sont caractérisées par de longues périodes de stabilité ou, au contraire, par des changements radicaux. Nous avons en effet démontré que les cadres de pensée guidant les politiques d’intégration des entités fédérées sont différents mais que les différences ne se situent pas au niveau de l’objectif d’homogénéité versus diversité culturelle mise en avant par l’assimilationnisme et le multiculturalisme, comme plus approprié pour arriver à une meilleure insertion sociale, économique et politique des immigrés et à la cohésion sociale, mais dans le degré d’interventionnisme d’Etat relatif à la dimension culturelle de l’intégration jugé nécessaire pour atteindre l’un ou l’autre de ces objectifs. Nous avons également mis en lumière que les politiques d’intégration en Belgique francophone sont caractérisées par une plus grande stabilité qu’en Flandre. <p>Deuxièmement, une fois que nous avions déterminé comment nous pouvons catégoriser les différentes politiques d’intégration au regard de leurs cadres de pensée dominants, et que nous avions déterminé si elles sont caractérisées par une longue période de stabilité ou, au contraire, par des changements radicaux, nous avons tenté de répondre au deuxième objectif de cette recherche, à savoir l’interprétation des différences essentielles. La différence quant aux cadres de pensée qui guident les politiques d’intégration a été interprété par des caractéristiques institutionnelles, à savoir les différents systèmes de partis menant à une politisation différente de la politique publique en question, de même que le différent engagement des entités fédérées belges dans un processus de (sub-)nation building. <p> / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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