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Pragmatique de l'action publique: Etat réflexif, subjectivité et délibération :le cas de la prévention du VIH/sida en Belgique

Cantelli, Fabrizio 10 February 2006 (has links)
Il s'agit d'une analyse de l'action publique destinée à prévenir le sida en Belgique dans le contexte de normalisation du sida. La prévention du sida a été reliée à la nouvelle question sociale et aux modes d'action publique qui se donnent à voir, en passant par le recours à des pratiques qui individualisent et subjectivent la relation aux usagers en situation de précarité et de vulnérabilité. La phase d'élaboration et la phase de mise en oeuvre (via quatre associations thématiques, analysées au travers des notions de capacitation, responsabilisation et confiance)sont étudiées et approchées au moyen d'un travail d'enquête mobilisant une observation et des entretiens. Dans les deux phases, une approche pragmatique de l'action publique est développée, puis l'analyse se prolonge en utilisant des modèles d'Etat pour comprendre et décrypter ces deux phases de l'action publique. / Doctorat en sciences politiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Gouverner la ville: Bruxelles à l'épreuve de son internationalisation, 2001-2008

Calay, Vincent 17 June 2009 (has links)
Cette thèse propose d’explorer les modalités de formation des savoirs urbains et leur processus de normalisation. Dès lors, à rebours de la majorité des approches en vigueur en études urbaines, elle n’étudie pas les politiques urbaines à travers les acteurs qui les organisent ou les structures qui les déterminent. De ce fait, en déplaçant le champ d’analyse des acteurs et des structures vers la production des savoirs et de leur normativité, la thèse propose de revisiter les approches traditionnellement employées dans l’analyse des politiques urbaines contemporaines. <p>Au plan théorique, ce choix se construit autour de deux courants sociologiques issus des sociologies dites « pragmatistes ». Premièrement, la thèse développe un travail ethnographique sur des situations spatialement et temporellement délimitées dans lesquelles se jouent des épreuves d’urbanités. Celles-ci révèlent et distribuent les statuts des différents êtres qui participent à la composition de l’urbanité de la ville. C’est donc à l’examen de telles épreuves que peuvent se reconstruire les modalités de production de savoirs sur la ville qui donnent forme aux mondes urbains. Ce travail se complète ensuite d’une étude du processus de normalisation, inspiré de la théorie de l’acteur-réseau. La notion d’épreuve est là conçue comme un ensemble de situations où s’observe la stabilisation de différentes formes de savoirs. Cette stabilisation peut ainsi se comprendre comme un processus de normalisation de certains cadres cognitifs qui conditionnent des manières différentes d’agencer l’ordre urbain, c’est-à-dire de le gouverner.<p>Au plan empirique, ce type d’approche implique l’étude de situations concrètes où se joue le gouvernement de la ville. De ce fait, la thèse structure la description du processus d’internationalisation de la ville à travers l’ethnographie de six situations spécifiques où le lien entre la ville et son internationalisation est mis à l’épreuve :un débat parlementaire, une assemblée consultative, la constitution d’un groupe de pression, une exposition d’architecture, une occupation artistique d’espace public et la production d’un guide touristique. L’étude de telles situations permet d’isoler cinq modèles du gouvernement de la ville (administrer, gérer, projeter, dénoncer et imaginer). Ceux-ci sont observés autant dans leur version purement discursive au sein de l’assemblée parlementaire que dans le contexte matériel, discursif et visuel qui organise leur pratique dans les cinq autres situations. Cette étude permet ainsi d’aborder, en profondeur, une histoire très contemporaine de l’internationalisation de Bruxelles qui montre la manière dont certaines modalités de son gouvernement se sont développées et stabilisées.<p>Enfin dans une dernière partie, les différents modèles sont respécifiés afin de saisir le processus de normalisation de certaines manières de gouverner la ville. Cette respécification des modèles passe par l’exploitation de la notion de "régime" telle qu’elle est conçue dans les sociologies pragmatistes, c’est-à-dire l'isolement, à partir des observations de terrain, d’un ensemble conventionnel qui ordonne la tenue des situations. Une telle respécification des modèles en régimes s’opère par l’intermédiaire d’une grille d’analyse qui rassemble dix-sept valeurs correspondant à six régimes particuliers (les régimes d’énonciation publique, d’action, d’engagement, cognitif, figuratif et d’urbanité). Ceux-ci permettent d’appréhender dans le même mouvement autant les modalités d’action retrouvées dans l’ensemble des modèles que le type d’urbanité auquel il fait droit. Dans un deuxième temps, les modèles sont évalués dans leurs rapports réciproques afin de saisir les valeurs qui les caractérisent le plus par rapport aux autres. Enfin, ce travail permet de hiérarchiser les différentes valeurs orientant les cinq régimes de gouvernement de la ville et d’évaluer les rapports de domination et de marginalisation entretenus entre les différents modèles.<p>Une telle exploitation de l’hypothèse des « régimes de gouvernement de la ville » permet ainsi de ne pas dissocier les modalités de gouvernement de la ville des situations dans lesquelles elles sont mises à l’épreuve. De ce fait, cette hypothèse incite directement à un travail comparatif qui permettent leur réévaluation à partir de nouveaux terrains. L’examen de leur hiérarchie permet en outre d’appréhender la question des rapports de force et de pouvoir non entre acteurs mais entre cadres cognitifs.<p> <p> / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'institutionnalisation de l'évaluation des politiques publiques en Europe: étude comparée des dispositifs institutionnels en Belgique, en France, en Suisse et aux Pays-Bas

Jacob, Steve January 2004 (has links)
Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Au-delà des modèles nationaux d'intégration: analyse des politiques d'intégration des personnes issues de l'immigration des entités fédérées belges / Beyond national models of integration: immigrant integration policies of the Belgian regions

Adam, Ilke 12 January 2010 (has links)
L’objectif principal de cette recherche est d’analyser les politiques d’intégration des personnes issues de l’immigration développées par les entités fédérées belges et d’en expliquer les différences principales, et ce depuis la communautarisation de cette politique publique en 1980. Cette date marque également le début d’une période dans laquelle l’installation définitive des immigrés est graduellement acceptée. Marco Martiniello, dans un article publié en 1996, avançait que la coïncidence de la découverte de la question de l’intégration en Belgique, parallèlement au processus des réformes d’Etats consécutives, a donné lieu à des « combinaisons très particulières » (Martiniello, 1996 :87). Ce constat, ainsi que la thèse selon laquelle le nationalisme ethno-culturel flamand et le nationalisme citoyen wallon seraient à l’origine de deux « philosophies » de l’intégration « qui se sont développées dans des directions opposées » sont à la base des interrogations qui constituent le fondement de notre travail. Notre these se situe ainsi dans le débat scientifique international sur les « modèles nationaux de l’intégration », initié par des auteurs, tels que Rogers Brubaker (1992), qui postulent que différents « idiomes culturels de la nation » sont à l’origine de différentes politiques d’accès à la citoyenneté. Cette différenciation des politiques d’intégration, en terme d’idées, a conduit à des catégorisations différentes. En Belgique, la catégorisation dominante des politiques d’intégration des entités fédérées est celle identifiant les politiques d’intégration en Belgique francophone comme proche d’un modèle « assimilationniste » ou « d’intégration individuelle » à la française, et celles menées en Flandre comme « multiculturalistes » et influencées par les Pays-Bas (Rea, 1993 & 1994 & 2000; Martiniello, 1995 & 1996 ;Magnette, 2000 ;Jacobs, 2001 ;Martens et Caestecker, 2001, Verlot, 2001 & 2004 ;Martiniello et Rea, 2004 ;Jacobs et Rea ;2005). Plusieurs constats nous ont amenés à questionner cette interprétation dominante.<p><p>Notre recherche a un premier objectif, d’ordre empirique, et un deuxième, d’ordre interprétatif. Premièrement, nous visons à décrire et à analyser l’élaboration des politiques d’intégration pour vérifier si ces politiques publiques sont effectivement guidées par des cadres de pensée différents. Nous avons cherché à observer où résident les principales différences entre les cadres de pensée, et si les politiques d’intégration sont caractérisées par de longues périodes de stabilité ou, au contraire, par des changements radicaux. Nous avons en effet démontré que les cadres de pensée guidant les politiques d’intégration des entités fédérées sont différents mais que les différences ne se situent pas au niveau de l’objectif d’homogénéité versus diversité culturelle mise en avant par l’assimilationnisme et le multiculturalisme, comme plus approprié pour arriver à une meilleure insertion sociale, économique et politique des immigrés et à la cohésion sociale, mais dans le degré d’interventionnisme d’Etat relatif à la dimension culturelle de l’intégration jugé nécessaire pour atteindre l’un ou l’autre de ces objectifs. Nous avons également mis en lumière que les politiques d’intégration en Belgique francophone sont caractérisées par une plus grande stabilité qu’en Flandre. <p>Deuxièmement, une fois que nous avions déterminé comment nous pouvons catégoriser les différentes politiques d’intégration au regard de leurs cadres de pensée dominants, et que nous avions déterminé si elles sont caractérisées par une longue période de stabilité ou, au contraire, par des changements radicaux, nous avons tenté de répondre au deuxième objectif de cette recherche, à savoir l’interprétation des différences essentielles. La différence quant aux cadres de pensée qui guident les politiques d’intégration a été interprété par des caractéristiques institutionnelles, à savoir les différents systèmes de partis menant à une politisation différente de la politique publique en question, de même que le différent engagement des entités fédérées belges dans un processus de (sub-)nation building. <p> / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Lutter contre la dualisation socio-spatiale dans les quartiers défavorisés de Bruxelles et de Montréal: changements et convergences à l'épreuve des logiques d'acteurs et des dynamiques institutionnelles / Struggling against social and urban polarization in popular neighbourhoods of Brussels and Montreal :bchanges and convergences framed by logics of actors and institutionnal dynamics

Sacco, Muriel 10 December 2011 (has links)
Notre recherche doctorale porte sur les politiques de lutte contre la dualisation socio-spatiale menées à Bruxelles et Montréal. Ces politiques publiques ont été introduites à la fin des années 1980 dans un très grand nombre de villes occidentales (Equal Opportunity Policies et Urban Regeneration Policies dans le cadre du programme Action for Cities en Grande-Bretagne, Soziale Stadt en Allemagne, la politique de la ville en France, Urban et Objectif 2 au niveau européen, etc.) en raison de la montée de l’exclusion et de menace pesant sur la cohésion sociale urbaine. Ces politiques publiques se fondent sur la logique de ciblage territorial, de mobilisation locale et sur une approche intégrée mêlant des actions sur le bâti, les équipements collectifs et des actions sociales. C’est pourquoi elles introduisent plusieurs ruptures par rapport aux modes d’intervention publique à l’œuvre jusqu’alors. La diffusion de ces politiques publiques nous a incitée à interroger la standardisation et les transformations de l’action publique véhiculées par ce type de politiques publiques. Notre démarche se caractérise non seulement par la comparaison de deux villes, mais aussi de deux politiques publiques et de trois quartiers dans chacune des deux villes. <p>1.\ / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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