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En quête de Perceval : étude sur un mythe littéraire / In Quest of Perceval : study on a Literary Myth

Imperiali, Christophe 13 December 2008 (has links)
Après avoir proposé une définition opératoire du mythe littéraire, et suggéré, sous l’étiquette de « mytholectures », un mode d’approche de cet objet, le travail se subdivise en deux grandes parties. La première, diachronique, cherche à sonder le devenir historique du mythe de Perceval, de Chrétien de Troyes à nos jours ; il s’agit essentiellement d’observer comment la valeur et le sens du mythe se sont élaborés progressivement au fil de ses réécritures – comment chaque période, chaque auteur a rencontré le mythe sous un rapport singulier, susceptible de lui fournir un « miroir » qui reflète certaines de ses préoccupations et lui permette, parallèlement, de configurer son expérience du monde. Les principales étapes de ce parcours (qui touche à environ quatre-vingts auteurs) sont Richard Wagner et Julien Gracq. La seconde partie propose deux approches thématiques du mythe de Perceval : l’une d’elles est centrée sur la problématique familiale et les enjeux relationnels qui, de reprise en reprise, ne cessent d’être réinterprétés sous divers angles (dont Œdipe, cet « anti-Perceval » n’est jamais très loin). L’autre axe thématique s’intéresse à la propension marquée du mythe de Perceval à fonctionner comme modèle des deux pôles de l’activité littéraire que sont la lecture (quête de sens) et de l’écriture (quête poétique) : divers « arts poétiques percevaliens » (de Wagner à Perec, en passant par Proust ou Handke) closent ainsi le parcours. / After having outlined a functional definition of the “literary myth”, and having proposed a new way of approaching this object under the label “myrhoreadings”, the present work is divided into two main parts. The first one is diachronic. Its aim is to analyse the historical construction of the myth of Percival, from Chrétien of Troyes until now. The main purpose of this inquiry is to examine how the myth’s value and meaning were gradually elaborated through its rewritings, and how each period, each author have met the myth as a “mirror” reflecting his personal concerns and allowing him to configure his experience of the world. The main figures along this journey are (among about eighty authors) Richard Wagner and Julien Gracq. The second part proposes two thematic approaches to the myth of Percival: the first one focuses on the family issues and the relational stuctures central to most of the rewritings of the myth (where Oedipus, this “anti-percival”, is rarely far away). The second theme examines the frequent use of this myth as a model for the two poles of the literary activity: reading (quest of meaning) and writing (poetic quest). A few “percivalian poetic arts” thus conclude this study, from Wagner to Proust, Handke or Perec.
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Paris capitale spirituelle des polonais : Exploration d'une représentation litteraire et artistique polonaise dans une classe de Francais Langue Etrangere / Paris spiritual capital of Polish people : use a Polish literary and artistic representation in a class of French as a Foreign Language

Roswag, Izabela 06 January 2016 (has links)
Paris a fourni à des écrivains et à des peintres polonais de multiples motifs textuels et iconiques. Il a été transformé, voire déformé, représenté sans cesse par des générations de créateurs slaves qui ont contribué à la naissance du mythe d’un Paris polonais. Si tout mythe apparaît comme irrationnel, s’il ne se préoccupe pas de la vérité historique, il n’en a pas moins un lien nécessaire avec l’Histoire et une fonction sociale. Leur connaissance reste fondamentale pour le déchiffrage du symbole, de l’allégorie et de la métaphore du Paris polonais qui revêt plusieurs significations. Il témoigne du fait que la nation polonaise s’y est créée au XIXe siècle sa « capitale » - le lieu de refuge et de rassemblement des exilés voulant reconquérir l’indépendance de la Pologne dès la fin du XVIIIe et tout au long du XIXe siècle. Plus tard, Paris devient une patrie spirituelle pour des paysans venus en France pour des raisons économiques ou politiques. Mais Paris en lui-même a également exercé sur les Polonais une influence profonde. Si le Paris cosmopolite a éduqué les Sarmates du XVIIe au XVIIIe siècle, il s’est imposé en tant que foyer de culture universelle et d’innovation dans tous les domaines de la création dans les années 1890-1939. Certes, le Paris des Polonais a une place légitime parmi les représentations nationales slaves. Toutefois, son exploitation dans une classe de Français Langue Etrangère permet l’étude des relations franco-polonaises sous le double signe de la fascination et de la désillusion. Tandis que l’Esprit français reste synonyme d’élégance et que le langage parisien témoigne d’un art de vivre, Maria Walewska demeure l’emblème de la relation affective franco-polonaise. A son tour, la représentation de l’émigré polonais rappelle l’exil, et Paris occupé par les nazis, le combat pour « notre liberté et la vôtre ». Quant aux artistes slaves de l’Ecole de Paris, ont-ils réussi à réinventer le Paris polonais ? / Paris has provided writers and Polish painters, multiple textual and iconic motifs. It has been transformed or deformed, constantly represented by generations of Slavic artists who contributed to the birth of the myth of a Polish Paris.If every myth appears as irrational, if it is not concerned with historical truth, than there is not a necessary link with history and a social function neither. Their knowledge remains fundamental to deciphering the symbol, allegory and metaphor of the Polish Paris that has several meanings.It reflects the fact that the Polish nation has created in the XIXe century his “capital” - the place of refuge and ingathering of the exiles wanting to regain the independence of Poland abroad since the late XVIIIe and all throughout the XIXe century. Later, Paris becomes the spiritual capital of peasants polish who came in France for economic and political reasons. But Paris had also a profound influence over Poles. If the Paris cosmopolitan has educated the Sarmatians of the XVIIe and XVIIIe centuries, it has established itself as a universal center of culture and innovation in all areas of creation in the years 1890-1939.Certainly, the Polish Paris has a rightful place among the Slavic national representations. However, his use in a class of French as a foreign language allows the study of Franco- Polish relations under the double sign of the fascination and disillusionment. While the French Spirit remains synonymous with elegance and the Parisian language reflects a lifestyle, Maria Walewska remains the emblem of the Franco-Polish emotional relationship. In turn, the representation of the brave Polish immigrant reminds the exile and the occupied Paris - the struggle for “our freedom and yours”. As for the Slavic artists of the Ecole de Paris, did they manage to reinvent the Polish Paris?
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L'Orient d'Arthur de Gobineau / The Arthur de Gobineau’s East

Bel Hadj Yahia, Emna 14 June 2016 (has links)
Arthur de Gobineau est un auteur qui a suscité de nombreuses controverses engendrées par ses théories raciales. Ces théories ont cependant contribué à brouiller l’image de cet auteur, souvent présenté comme le père des dérives racistes. Ce n’est pas à l’essayiste que nous avons souhaité consacrer cette thèse, mais bien à l’écrivain, fin connaisseur de l’Orient, humaniste, parce que curieux de l’autre, et surtout méconnu.Par delà ces théories sur les races, Gobineau est l’auteur d’une oeuvre littéraire qui, sous les apparences d’un classicisme parfois hiératique nous donne la vision d’un homme d’une extrême complexité. Il est l’un des derniers représentants de la littérature de l’analyse que l’on considère comme une spécificité française. Mais il s’est également positionné en marge de la vision orientaliste de son époque.Son cheminement vers l’Orient s’est opéré d’abord par une approche toute subjective faite de sensation et d’émotion avant que la passion ne finisse par l’emporter sur les préjugés. Les Nouvelles Asiatiques opèrent une transfiguration du mythe personnel en mythe littéraire : la quête personnelle des origines se traduit par le retour au berceau de l’humanité. La fiction littéraire fait sa matrice là où tout a commencé.L’auteur met à l’épreuve de l’Orient des motifs et des figures qui lui viennent du corpus occidental en transposant dans cet ailleurs des réminiscences de sa culture d’origine. Une pensée qui évolue au gré de la fiction, ou bien un ensemble d’obsessions qui reviennent dans les replis du récit comme en contrebande ? C’est à cette question que nous avons tenté de répondre pour sonder le mystère oriental d’un auteur méconnu. / Arthur Gobineau is an author who sparked controversy over his racial theories. These theories, however, have contributed to blur the image of the author, often described as the father of racist tendencies. This thesis is not concerned with the essayist, but with the writer, as a knowledgeable of the East, humanist, curious of the other, and especially unknown.Beyond these racial theories, Gobineau is the author of a literary work which, under the appearance of a hieratic classicism, sometimes gives us a vision of a highly complex man. It is one of the last representatives of the analysis literature, which is peculiar to French. But he is also positioned on the margins of the orientalist vision of his time.His journey to the East was operated first on an approach that was based upon subjective sensation and emotion before that the passion would eventually outweigh prejudices. The New Asians operates a transfiguration of the personal myth into a literary myth: the personal quest for origins is reflected in the return to the cradle of humanity. Literary fiction made its matrices wherein it all began.Transposing to the East reminiscences of his native culture, the author puts to the test of this elsewhere western patterns and figures. Is it the thought that grows with the fiction or the same obsessions that come back into the folds of the story as contraband? It is this question that we tried to answer by probing the eastern mystery of an unknown author.
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L'illusion heroïque : Rodrigue et la représentation du héros tragique dans le premier XVIIe siècle / The heroic illusion : Rodrigue and the tragic hero representation in the early 17th century

Aronica, Claire 16 September 2016 (has links)
Le point de départ de ce travail réside d’une part dans la découverte d’une différence considérable de nature entre le héros du Cid et les protagonistes du théâtre contemporain ; et d’autre part sur l’intuition que l’analyse littéraire utilise presque exclusivement Rodrigue comme personnage représentatif du premier XVIIe siècle. Notre première démarche a été de chercher à confirmer ces impressions en démontrant le statut particulier de ce personnage. Nous avons étudié la réception du Cid et de son héros au fil des siècles dans cette optique, jugeant que les réactions des spectateurs, des lecteurs et des critiques construisaient progressivement notre image actuelle de Rodrigue. Nous avons cherché à voir comment depuis janvier 1637 jusqu’au début du XXIe siècle la pièce et son héros ont été accueillis. Nous avons ainsi établi la longévité du texte, ainsi que les exceptionnelles réactions d’engouement qu’il a pu rencontrer. Cela nous a permis d’établir la mythification de la pièce et de dégager sa portée universelle. Ces premières conclusions nous ont invité à rechercher les causes d’un tel succès. C’est à nouveau l’étude de la réception qui nous a permis de découvrir que cette unanimité tenait essentiellement au personnage de Rodrigue. C’est lui qui semble d’abord retenir l’intérêt des lecteurs et des spectateurs. Nous avons donc cherché dans une deuxième partie à comprendre ce qui fascinait tant en Rodrigue. Pour cette raison, nous l’avons confronté à l’idée de héros. La coïncidence saisissante que les réactions publiques révèlent entre ce personnage archétypal et le protagoniste du Cid nous a permis d’aboutir à un premier stade de compréhension : la pièce est accueillie avec enthousiasme au XVIIe siècle parce que son personnage principal actualise l’idéal humain tel que l’époque se le représente. Cependant, l’engouement des siècles suivants repose sur le même motif : c’est parce que Rodrigue incarne le héros du XVIIe siècle que le spectateur du siècle des Lumières, du Romantisme, de la Troisième République ou de l’entre-deux-guerres l’apprécie. Le protagoniste du Cid apparaît comme un héros révéré mais regretté car appartenant à une époque révolue. Au sein de l’œuvre de Corneille, il est également envisagé comme un paradigme héroïque et incarne le modèle dont tous les personnages masculins du théâtre cornélien ne seraient que la déclinaison. Il est l’élément fondateur du mythe du « héros cornélien ». Cependant, l’unanimité de réception face à Rodrigue pose question : Le Cid a-t-il réellement eu une place à part sur le théâtre du premier XVIIe siècle ? À l’ouverture de notre troisième partie, une brève étude de ce théâtre permet de révéler l’écart entre l’image de Rodrigue façonnée par la réception et la réalité dramaturgique des années 1630-1650. La tragi-comédie de Corneille n’est pas la seule pièce à connaître le succès et son héros n’est pas l’unique incarnation sur scène de l’homme tel qu’on se le représente alors. De nombreux autres dramaturges connaissent de réelles réussites. Toutefois, la réception critique les oublie. L’histoire littéraire semble ne vouloir retenir que Corneille pour la postérité. Elle impose Le Cid comme pièce modèle ; mais, se faisant, elle fausse l’appréciation que nous nous faisons du théâtre et des mentalités du XVIIe siècle. Nombre de théories critiques se sont en effet élaborées sur l’idée d’un premier XVIIe siècle glorieux à l’image de Rodrigue et d’une seconde moitié de siècle déclinante et sombre. C’est le cas de Paul Bénichou et de sa « démolition du héros ». Mais peut-on en garantir la véracité si elles reposent pour affirmer la grandeur des premières décennies du siècle sur le seul exemple de Rodrigue ? Une relecture de la littérature de cette période permet pour finir de revenir sur des conceptions altérées notamment par l’éclat du succès incomparable du Cid et d’envisager le premier XVIIe siècle sous une autre lumière. / The basis of this work lies primarily in the discovery of a huge nature difference between the hero in “Le Cid”, and the far less glorious contemporary drama protagonists. On the other hand, it is based upon the intuition that most literary analysis almost exclusively use Rodrigue as the character of the first decades of the17th century.The first step of our work was therefore to try to confirm these impressions by conveying the very special status of this character. We have studied the treatment of “Le Cid” and its hero throughout the centuries with this goal in mind, assessing that the way audiences, readers and critics reacted to the play steadily built our perception of Rodrigue. We have tried to understand how the play and its hero were welcomed from January 1637 to the outcome of the 21st century. We have thus established the longevity of the text as well as the outstanding praise reactions it met with. This enabled us to substantiate the mythification of the play and bring into light its universal scope.From these first conclusions, we then tried to find out the reasons why the success of the play has never been denied. Here again it is the study of the critic treatment that quickly showed us that the unanimous public feeling was essentially due to Rodrigue as a character. For it is he mainly who seems to captivate the audience and the readers’interest. In the second part, we therefore tried to understand why Rodrigue is so mesmerising. With this purpose in mind, we confronted our character to the very hero notion. The stiking coincidence that public reactions convey between this archetypal character and “Le Cid” protagonist brought us to a first conclusion: the play is enthusiastically welcomed in the 17th century because the main character updates the human ideal as it was viewed at the time. Yet, the passion that the play generated in later periods is based on the same principle: it is because Rodrigue embodies the 17th century hero that the public from the age of enlightenment, from the great romantic era, from the French 3rd Republic or the interwar period do feel fond of him. “Le Cid” protagonist appears both as a revered and missed hero because he belongs to days gone by, a past example of the ideal man. In Corneille’s entire works, he is also regarded as a heroic paradygm and is viewed as the Cornelian male reference from which other male characters are derived in the works of the playwright. He is the very source of “the Cornelian hero” myth.However, Rodrigue’s unanimous critic treatment brings forward another issue: does “Le Cid” really stand apart in the early 17th century drama? At the outset of our third part, a brief survey of the period drama reveals the gap between Rodrigue’s image as it was made by the critic treatment and the dramatic reality of the 1630-1650 era. Corneille’s tragicomedy is not the only successful play and its hero is not the only stage embodiment of the male figure as it was then represented. Several other playwrights were successful too. Yet, the critic treatment does not take them into account. It seems as if Corneille is the only author to be remembered in the history of literature. Thus, “Le Cid” is the play reference. But it alters our vision of the 17th century drama and mentalities.In fact, scores of critic theories were based on the idea of a glorious early 17th century (impersonated by Rodrigue) as opposed to a gloomier and declining period at the end of the century. But can one guarantee their truthfulness if they are only based on the character of Rodrigue to assert the grandeur of the early 17th century decades?To conclude, a precise and detailed reading of the period literature allows one to study many misinterpretations, particularly because of “Le Cid” unmatched success, and to consider the early 17th century with a brand new perspective.

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