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The fragmentation of painting or the art of associations

Brault, Dan 11 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2006-2007 / Depuis plusieurs années, il est possible de constater des changements majeurs dans l'approche des artistes pratiquant la peinture. Si la pensée moderniste n'est plus, on réalise toutefois que certaines notions y sont toujours. En effet, le post-modernisme n'a peut-être pas fait table rase comme nous aurions pu l'envisager. Ainsi, qu'en est-il de la pratique de la peinture aujourd'hui? Ce texte tente d'illustrer certaines stratégies employées dans ma pratique de la peinture qui en quelque sorte démontrent comment passé et présent sont toujours inter-reliés. Faisant référence à des notions telles que la citation, l'hybridation, l'hétérogénéité et la multiplicité, ce travail tente d'élaborer une réflexion sur les enjeux de ma pratique. Posant à la fois une réflexion sur la nature même de la peinture et sur l'espace qu'elle occupe dans le lieu d'exposition, j'aimerais proposer par cet essai une introspection sur les questions et les découvertes qui animent ma recherche en création.
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Polymorphie

Boisvert, Jean-François 11 April 2018 (has links)
J'accumule les formes les unes avec les autres, je dessine le regard concentré sur la pointe de mon crayon. Vient un moment où je m'arrête et observe l'ensemble de la forme. Elle est composée de blanc et de noir. Les formes noires ressemblent à de petites îles isolées alors que le blanc serait l'eau qui l'entoure. On découvre que le dessin n'est pas que grumeaux hétérogènes, mais réseau de veines aux parcours infinis. Cette ambivalence questionne ma perception des objets. Pourquoi percevons-nous les objets comme des formes fermées? L'objet n'est en fait qu'une tentative de notre conscience d'isoler, d'individualiser une forme prise dans le tout. Le plus rapidement possible, on veut résoudre l'incompréhension. On voit vite par exemple l'image graphique comme un système codé, comme une représentation de quelque chose. Cela vient peut-être du fait que cette surface en deux dimensions où je trace mon dessin, l'homme l'utilise depuis longtemps comme lieu de représentation, comme espace pour traduire ses images mentales. Le choix de présenter mon travail dans une bibliothèque n'est pas innocent. Je joue avec cette ressemblance qu'a mon dessin avec le texte.
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Dualisme dans la représentation

Laberge, Janick 12 April 2018 (has links)
Le dualisme dans la représentation artistique est le reflet des éléments de dualité présents dans la nature, dans la pensée et la condition humaine. Mon travail de création émerge naturellement des principes de dualité. J'utilise la géométrie pour représenter les réalités structurées de la pensée, de la nature et de la vie humaine. Les formes organiques, les références au corps humain en particulier, témoignent des réalités aléatoires du statut de vivant. Pour moi, ces deux types de réalités cohabitent en toute chose. La forme organique, forcément imparfaite et temporelle, est constituée d'éléments de base infiniment petits, proches de la perfection géométrique. Mais je veux aller au delà de la force expressive des antithèses entre la figuration plus ou moins affirmée du corps humain, et les formes géométriques, pures créations de l'esprit. / Je cherche plutôt à unifier, à intégrer ces éléments plastiques ayant des composantes sémantiques et formelles qui semblent se contredire au départ, déterminant ainsi une sorte de dialectique entre les éléments constituants. Je ne crois pas que l'abstraction géométrique soit opposée à la figuration comme s'il s'agissait de deux entités opposées qui se nient l'une l'autre historiquement et plastiquement. Dans mon travail, ce sera le plus souvent l'utilisation de la transparence qui rendra possible la manifestation du dualisme. La transparence est un moyen privilégié pour faire apparaître les dualités du monde réel et de la représentation. La transparence pour unifier les images, moduler la lumière et les couleurs, en changer les qualités. La transparence questionne la limite. Limite du visible, limite du tangible. Voir à travers, cristallin de l'image, voir de près, microcosme, macrocosme. Dualité : verre et béton, réel et virtuel, superpositions de couches, superpositions de temps.
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Vernaculaire

Cloutier, Richard 11 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2006-2007 / II serait juste d'affirmer que ma problématique artistique, depuis les dernières années, tourne autour de l'assimilation du langage formel et graphique de l'architecture dans une peinture abstraite. Plus précisément dans une catégorie d'abstraction qui demeure près du monde visible, ancrée dans la mémoire du dessein et du dessin de l'objet construit. Ainsi, mes tableaux des séries Charlevoix et Gaspésie, exécutés dans le cadre de la maîtrise, s'inscrivent dans une tentative de reconstruction picturale inspirée d'éléments de l'architecture vernaculaire. Ces oeuvres qui, de par leur échelle et leur matérialité, sont vaguement assimilables à des fragments architecturaux de notre patrimoine rural, questionnent aussi une certaine tradition de la peinture de paysage.
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Traversée

Leghari, Safia 11 April 2018 (has links)
Ma démarche créatrice repose sur l'empreinte. Mes matrices sont des corps humains couverts de peinture. Les recto et verso des supports utilisés donnent à des toiles bifaces. L'œuvre qui s'organise dans le processus est ainsi réversible. Les éléments non contrôlés - touchant, touché mou, dur, pigment, support - provoquent une traversée dans une zone de passage momentanée. Les apparitions et les disparitions du sujet m'amènent au cœur de ma recherche où j'entrevois exploiter une perte de matérialité à tous les niveaux par l'utilisation de supports translucides et transparents superposés, par la superposition et la juxtaposition des voiles, des entoilages, des plastiques et par les rabattements changeant le format des supports. Dans la dernière œuvre, Mouvance éthérée, une danse s'opère lorsque s'ajoutent au devant et au dos du corps les deux faces manquantes, celles des côtés gauche et droit. Ainsi s'achèvent le corpus et l'expérience de la Traversée.
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Chroniques surannées

Caron, Alexandra 11 April 2018 (has links)
La nature de la gravure et le processus qui l'engendre font, dans mon esprit, un écho direct à la façon dont s'articule la mémoire et se manifestent les souvenirs. Dans cette optique, je poursuis depuis plusieurs années une production en gravure qui exploite l'analogie entre le procédé, trace gravée sur le métal et reportée sur papier, et la mémoire, cette trace dans notre esprit qui se révèle par le souvenir. Le temps, comme l'absence de transmission, affecte les souvenirs, leur fait perdre de la précision, en change la portée, va même jusqu'à les anéantir. En inscrivant des marques dans la matière, l'estampe devient la trace tangible d'un souvenir passé. Elle me permet de revisiter mes souvenirs, de les transformer et de les actualiser. Je choisis des souvenirs qui me sont chers, incarnés sous la forme de photographies issues de mon passé familial et s'étendant sur plusieurs générations. Je transforme ces souvenirs en estampes et je les insère dans des univers que je crée de toutes pièces à l'aide d'armoirettes. Ces mises en scène nouvelles viennent à leur tour influencer l'interrelation complexe qui unit et définit chaque souvenir, en plus d'en bonifier l'interprétation. S'initie alors un jeu d'anachronismes où les réminiscences se multiplient d'une œuvre à l'autre jusqu'à susciter l'écho chez le regardeur : la reconnaissance d'une intimité qui, à défaut d'être partagée, n'en reste pas moins une expérience profondément personnelle.
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La distance dans la sculpture ou le paysage opaque

Roy, Jean-Philippe 11 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2006-2007 / J'aimerais que de ce texte transparaisse la même attitude que celle adoptée vis-à-vis mon travail d'atelier, à savoir une ouverture face à ce qui va naître de la mise en forme de la matière, soit la mise en forme simultanée de la pensée par l'écriture. Bien que cette réflexion sur la sculpture provienne de mon expérience concrète de la création, un mot pourtant aura suffi à lancer son activité : le paysage. À l'origine, donc, une intuition. Utiliser le paysage comme figure de comparaison en vue d'analyser une œuvre installative où la sculpture est au cœur de toutes investigations. Par l'écriture, il aura fallu arpenter le mot pour en prendre la juste mesure, remonter sa généalogie jusqu'à obtenir un point de vue sur l'étendue de sa signification et les possibilités interprétatives qui l'enracinent à la langue. À la manière du paysan auscultant la terre, il aura fallu chercher dans les signes, une cause et un sens au paysage; suivre les chemins qui le lient à d'autres mots, d'autres images, pour finalement découvrir le pays qui le borde et marque sa limite conceptuelle. Dans ce lent processus d'imprégnation, où la phrase est l'horizon qui les collige, les mots m'auront révélé ce que je n'ai jamais su identifier au sein de mon expérience de la sculpture et qui me semblait pourtant en constituer l'essentiel : la distance. Espace compris entre moi et les choses, la distance est cette disparité insurmontable de la connaissance mais, aussi, la marque de mon appartenance au monde. Autour de cette notion fondamentale, j'ai également trouvé des textes, des auteurs, des artistes, des philosophes et une attitude similaire. Celle-là même qui, enfant, a façonné au travers de dessins mon approche de la création; une manière de penser la réalité dans l'action, de la formuler au plus vif de mon actualité. Le paysage opaque est le titre de l'installation qui fait l'objet du présent texte. C'est une œuvre évolutive déjà présentée en 2005 à la galerie R3, à Trois-Rivières. Dans le contexte de ce mémoire, elle a été présentée en 2006, dans la grande Galerie de l'ŒIL de Poisson, à Québec. C'est une œuvre, à l'image de l'attitude dépeinte ici, faite d'allers-retours entre la théorie et la création.
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La couleur ou la métaconstruction d'un lieu

Richer, Pierrette 11 April 2018 (has links)
Ce texte se veut un accompagnement des œuvres présentées dans le cadre de ma maîtrise. Une recherche qui m'a amenée à réfléchir sur les réseaux et les structures, plus particulièrement ceux qui se trouvent dans la nature et ceux que j'ai créés. D'avoir à transposer sur papier mes gestes et mes idées m'a permis de percevoir le lien cohérent qui liait chacun de mes choix. Le passage de l'action à la réflexion m'a révélé qu'un processus de création génère ses propres exigences et qu'il se nourrit dans mon cas autant d'échanges littéraires que d'actions sur le terrain. Lors de ma recherche, étant réceptive à l'environnement naturel et à tout ce qui le compose, j'ai utilisé la spécificité de la nature comme vecteur de création pour chacune de mes explorations. Le concept qui régit mon activité créatrice est la transparence, celle-ci agit comme médiateur dans ce lieu. J'ai donc adopté des matériaux et des médiums qui correspondent à cette caractéristique. Et dans ce sens, cette réflexion se présente sous forme narrative en rapportant chacune des étapes déterminantes de mon parcours et en racontant mes tentatives pour traduire l'idée de la nature autrement que par l'évidence d'un lieu.

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