• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 2
  • Tagged with
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Une étude acoustique et comparative sur les voyelles du luxembourgeois / An acoustic and comparative study of Luxembourgish vowels

Thill, Tina 07 July 2017 (has links)
Cette thèse s'inscrit dans le cadre d'un travail descriptif en phonétique acoustique, avec comme objet d'étude les productions des voyelles du luxembourgeois dans la parole native et non native. L'intérêt est de concilier la variation du luxembourgeois, une langue principalement parlée, composée de nombreuses variétés régionales, évoluant dans un contexte multilingue, et son apprentissage dans le cadre de l'enseignement des langues étrangères au Grand-Duché de Luxembourg. Comme nous partons du fait que l'apprentissage d'une langue implique la connaissance des traits contrastifs des sons, nous nous intéressons aux productions de locuteurs dont la langue maternelle possède des traits différents de ceux du luxembourgeois, comme le français, afin de voir si ces traits sont reproduits dans la parole non native. Les productions vocaliques de locuteurs francophones sont étudiées en comparaison aux productions de locuteurs natifs de la région située autour de la capitale du Grand-Duché de Luxembourg, dont la variété sert de référence à l'enseignement du luxembourgeois en tant que langue étrangère. Le but de l'analyse est :- d'étendre les descriptions sur les propriétés acoustiques des voyelles produites dans une variété régionale du Grand-Duché de Luxembourg,- de relever les difficultés de productions de locuteurs francophones qui apprennent le luxembourgeois,- d'interpréter les résultats dans le cadre de l'enseignement du luxembourgeois en tant que langue étrangère. Une partie importante du travail empirique a été consacrée à la collecte des données et la création d'un corpus obtenu à travers des enregistrements de 10 locuteurs luxembourgophones et de 10 locuteurs francophones. Le corpus de compose de 12h30 de parole lue et spontanée, incluant de la parole native et non native du luxembourgeois, ainsi que de la parole native du français. Ce corpus constitue un premier corpus sur la parole native et non native du luxembourgeois et permet de faire divers analyses comparatives. Dans notre étude, nous avons fait des analyses acoustiques sur les données de la parole lue. La méthodologie utilisée a permis d'effectuer des comparaisons entre les données de la parole native et non native du luxembourgeois ainsi qu'entre les données de la L1 et la L2 des francophones. Les résultats ont apporté des informations tant sur les productions natives que sur les productions non natives des voyelles. Ils ont montré que, d'un côté, les productions vocaliques varient en fonction des locuteurs, même si ceux-ci parlent la même variété régionale et, d'un autre côté, les locuteurs francophones apprenant le luxembourgeois en niveau B1/B2 ont des difficultés à produire les contrastes en luxembourgeois, à savoir :- la durée des voyelles longues [i:], [e:], [a:], [o:], [u:] et brèves [i], [e], [ɑ], [ɔ], [u],- le timbre de la voyelle longue [a:] et des voyelles brèves [æ] et [ɑ],- le timbre du début des diphtongues [æi], [æu], [ɑi], [ɑu].Ces résultats, ainsi que les descriptions approfondies sur les voyelles dans la parole native, enrichissent non seulement les connaissances sur le luxembourgeois, mais aussi sur la variété servant de référence au luxembourgeois en tant que langue étrangère. En outre, ils ouvrent des perspectives d'étude sur le luxembourgeois en problématisant l'instauration de règles pour ce type d'enseignement, malgré l'absence d'un enseignement suivi de la langue dans les écoles et l'évolution des variétés régionales sur un territoire géographique concentré. / This thesis is part of a descriptive work in acoustic phonetics, with the aim of studying the productions of Luxembourgish vowels in native and non-native speech. Its objective is to conciliate the variation of Luxembourgish, mainly a spoken language, composed of many regional varieties, evolving in a multilingual context, and the learning of Luxembourgish as a foreign language in the Grand-Duchy of Luxembourg. As we assume the fact that language learning implies knowledge of sound contrast in speech, we investigate the productions of speakers whose mother tongues have different features than Luxembourgish, such as French, to see whether if the contrast are reproduced in non-native speech. Productions of French speakers are compared to those of native speakers from the region around the capital city of the Grand-Duchy of Luxembourg, whose variety serves as a reference to the teaching of Luxembourgish as a foreign language. The purpose of the study is the following :- to extend the descriptions on the acoustic properties of vowels produced in a regional variety of the Grand-Duchy of Luxembourg,- to highlight the specific difficulties of productions by French learners of Luxembourgish,- to interpret the results regarding the teaching of Luxembourgish as a foreign language.Fieldwork and the creation of a corpus through recordings of 10 Luxembourg speakers and 10 French speakers are an important part of the empirical work. We obtained a corpus of 12 hours and a half of spoken and spontaneous speech, including native speech and not native of Luxembourgish and also native speech of French. This corpus represents a first corpus containing native and non-native speech of Luxembourgish and enables to conduct different comparative studies. In our thesis, we did comparative analyses of the data in read speech. The methodology we used made it possible to compare data of native and non-native speech and also data of the L1 and L2 of French speakers.The results gave information about native and non-native productions of vowels. They showed that, on the one hand, vowel productions vary among speakers, even if these speak the same regional variety and, on the other hand, French speakers who learn Luxembourgish at B1/B2 level have difficulties producing contrasts in Luxembourgish. This concerns :- the quantity of the long vowels [i:], [e:], [a:], [o:], [u:] and short vowels [i], [e], [ɑ], [ɔ], [u],- the quality of the long vowel [a:] and the two short vowels [æ] et [ɑ],- the quality of the beginning of the diphthongs [æi], [æu], [ɑi], [ɑu].These results as well as thorough descriptions of the vowels in native speech, extend knowledge not only of Luxembourgish, but also of the variety which serves as the reference for Luxembourgish as a foreign language. In addition, they open up prospects for studying Luxembourgish by problematizing the introduction of rules for this type of education, despite the absence of language instruction in schools and the evolution of regional varieties in a concentrated geographical area.
2

Vers une adaptation autonome des modèles acoustiques multilingues pour le traitement automatique de la parole / Towards autonomous adaptation of multilingual acoustic models for automatic speech processing

Sam, Sethserey 07 June 2011 (has links)
Les technologies de reconnaissance automatique de la parole sont désormais intégrées dans de nombreux systèmes. La performance des systèmes de reconnaissance vocale pour les locuteurs non natifs continue cependant à souffrir de taux d'erreur élevés, en raison de la différence entre la parole non native et les modèles entraînés. La réalisation d'enregistrements en grande quantité de parole non native est généralement une tâche très difficile et peu réaliste pour représenter toutes les origines des locuteurs. Ce travail de thèse porte sur l'amélioration des modèles acoustiques multilingues pour la transcription phonétique de la parole de type « réunion multilingue ». Traiter ce type de parole constitue plusieurs défis : 1) il peut exister de la conversation entre des locuteurs natifs et non natifs ; 2) il y a non seulement de la parole non native d'une langue, mais de plusieurs langues parlées par des locuteurs venant de différentes origines ; 3) il est difficile de collecter suffisamment de données pour amorcer les systèmes de transcription. Pour répondre à ces défis, nous proposons un processus d'adaptation de modèles acoustiques multilingues que nous appelons « adaptation autonome ». Dans l'adaptation autonome, nous étudions plusieurs approches pour adapter les modèles acoustiques multilingues de manière non supervisée (les langues parlées et les origines des locuteurs ne sont pas connues à l'avance) et qui n'utilise aucune donnée supplémentaire lors du processus d'adaptation. Les approches étudiées sont décomposées selon deux modules. Le premier module qui s'appelle « l'observateur de langues » consiste à récupérer les caractéristiques linguistiques (les langues parlées et les origines des locuteurs) des segments à décoder. Le deuxième module consiste à adapter le modèle acoustique multilingue en fonction des connaissances fournies par l'observateur de langue. Pour évaluer l'utilité de l'adaptation autonome d'un modèle acoustique multilingue, nous utilisons les données de test, qui sont extraites de réunions multilingues, contenant de la parole native et non native de trois langues : l'anglais (EN), le français (FR) et le vietnamien (VN). Selon les résultats d'expérimentation, l'adaptation autonome donne des résultats prometteurs pour les paroles non natives mais dégradent très légèrement les performances sur de la parole native. Afin d'améliorer la performance globale des systèmes de transcription pour toutes les paroles natives et non natives, nous étudions plusieurs approches de détection de parole non native et proposons de cascader un tel détecteur avec notre processus d'adaptation autonome. Les résultats obtenus ainsi, sont les meilleurs parmi toutes les expériences réalisées sur notre corpus de réunions multilingues. / Automatic speech recognition technologies are now integrated into many systems. The performance of speech recognition systems for non-native speakers, however, continues to suffer high error rates, due to the difference between native and non-speech models trained. The making of recordings in large quantities of non-native speech is typically a very difficult and impractical to represent all the origins of the speakers. This thesis focuses on improving multilingual acoustic models for automatic phonetic transcription of speech such as “multilingual meeting”. There are several challenges in “multilingual meeting” speech: 1) there can be a conversation between native and non native speakers ; 2) there is not only one spoken language but several languages spoken by speakers from different origins ; 3) it is difficult to collect sufficient data to bootstrapping transcription systems. To meet these challenges, we propose a process of adaptation of multilingual acoustic models is called "autonomous adaptation". In autonomous adaptation, we studied several approaches for adapting multilingual acoustic models in unsupervised way (spoken languages and the origins of the speakers are not known in advance) and no additional data is used during the adaptation process. The approaches studied are decomposed into two modules. The first module called "the language observer" is to recover the linguistic information (spoken languages and the origins of the speakers) of the segments to be decoded. The second module is to adapt the multilingual acoustic model based on knowledge provided by the language observer. To evaluate the usefulness of autonomous adaptation of multilingual acoustic model, we use the test data, which are extracted from multilingual meeting corpus, containing the native and nonnative speech of three languages: English (EN), French (FR) and Vietnamese (VN). According to the experiment results, the autonomous adaptation shows promising results for non native speech but very slightly degrade performance on native speech. To improve the overall performance of transcription systems for all native and non native speech, we study several approaches for detecting non native speech and propose such a detector cascading with our self-adaptation process (autonomous adaptation). The results thus are the best among all experiments done on our corpus of multilingual meetings.

Page generated in 0.1285 seconds