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La causalité du Bien

Curodeau, Jean-Philippe 01 June 2021 (has links)
Le présent mémoire tente, autant que possible, de trouver une piste de solution au problème du sens de l’existence par le truchement de l’éthique. Plus spécifiquement, la question de la dignité humaine est envisagée comme un indice du sens de l’existence. Toutefois, cette dignité demande d’être démontrée. Les cinq chapitres de ce mémoire constituent ensemble un cheminement progressif vers une réponse au problème de la dignité, notamment en mettant de l’avant celle qu’a offerte Aristote. Puisque le bien semble être connu en étant désiré et aimé, ce sont les expériences de l’amour et du désir qui seront examinées en premier lieu. Une approche trop rationaliste est d’emblée écartée. Par l’étude du rapport de l'homme au temps nous verrons que le bien est effectivement l’objet du désir. Toutefois, de longs développements sont consacrés à l’hypothèse selon laquelle le bien n’est tel que parce qu’il est désiré. Finalement, il sera question de remettre en cause cette dernière perspective grâce aux arguments d’Aristote et de tenter de montrer que le bien en lui-même existe réellement dans les êtres vivants, qu’ils sont donc dignes. / This essay is an attempt to find a solution to the problem of the meaning of existence through ethics. The question of human dignity is treated as a clue to the meaning of existence. However, this dignity needs to be demonstrated. The five chapters of this essay constitute a progressive journey towards a response to the problem of dignity, notably by putting forward the solution offered by Aristotle. Since goodness seems to be experienced by being desired and loved, it is the experiences of love and desire that will be examined first. An overly rationalist approach is rejected from the outset. By studying the human being's relationship to time, we will see that goodness is indeed the object of desire. However, long discussions are devoted to the hypothesis that goodnessis such only because it is desired. Finally, it will be a question of contradicting this last perspective, thanks to Aristotle's arguments, and of trying to show that goodness exists in living beings, that they are therefore worthy of dignity.
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Les enjeux de la 'différance' chez Jacques Derrida. Prolégomènes à une praxis de la responsabilité.

Okitadjonga Anyikoy Wa Anyikoy, Gaspard 12 December 2003 (has links)
La thèse comprend deux parties, qui visent à vérifier deux hypothèses principales. La première consiste à se demander si la déconstruction derridienne de la métaphysique traditionnelle ne joue pas, au su ou à l’insu de Derrida, un double rôle : d’une part, délimiter les prétentions de ladite métaphysique à révéler et/ou à livrer la présence pleine du sens ou de la vérité et, d’autre part, constituer le fondement de la logique de la différance. Celle-ci, posée comme ‘’principe des principes’’ de la pensée de Derrida, jouerait un rôle unificateur de son œuvre, en dépit de l’argument commun aux disciples de l’impossibilité de fixer son travail en aucune forme d’unité. Derrida n’est-il pas, soutient-on, le penseur de la fragmentation, à l’opposé de Heidegger qui, lui serait le philosophe du rassemblement ? Contrairement à cette thèse, nous posons la différance comme tissu de l’unité de fond sans fond de l’œuvre de Derrida ou, plus précisément, comme clef interprétative obligée permettant d’aborder son travail sous la forme d’une unité en différance et fragmentée. La différance commanderait ainsi l’ensemble de l’œuvre de Derrida comme une sorte de logique non-logique à l’œuvre, partout et toujours déjà, active dans chaque champ de son déploiement. Au lieu de constituer un auxiliaire à la déconstruction, la différance en commanderait la genèse et l’économie. Notre seconde hypothèse repose sur l’idée que la différance, érigée en logique non logique, déborderait le contexte et le champ de recherche que lui assignerait son auteur. De sorte qu’il deviendrait possible de la mettre en dialogue avec la révolution linguistico-pragmatique pour, d’une part décloisonner le terrain de la théorie du performatif et des speech acts et, d’autre part, envisager une transgression de ladite révolution par des thématiques dont elle revendiquerait l’exclusivité en montrant qu’elle reste incapable d’en rendre rigoureusement compte. L’incapacité de la révolution linguistico-pragmatique à rendre compte, par exemple, de la pratique de l’événement sous forme de la promesse à la fois possible et impossible, du don de rien, du pardon sans demande ni repentir, de l’hospitalité inconditionnelle offerte et donnée à/par l’étranger en tant qu’arrivant en général, de la décision impossible, en un mot de la responsabilité incalculable sous le régime de l’aporie, témoignerait de sa restance dans l’orbite du logocentrisme ou, simplement, de la logique identitaire de tout ou rien. Il appert ainsi que la volonté affichée par ce tournant de dépasser la métaphysique traditionnelle tourne à l’échec, à telle enseigne que seule la prise en compte de la logique non oppositionnelle de la différance présenterait une alternative nouvelle. Cette dernière serait de nature non seulement à déconstruire la métaphysique de la présence et à délimiter les prétentions du Linguistic-turn mais aussi à tracer la voie vers une praxis de la responsabilité non réductrice, encore moins répressive de l’incommensurable altérité de l’autre, voire de son autre, en général. La question reste ouverte de savoir si Derrida peut être considéré comme un ‘’métaphysicien’’ à la recherche du dépassement de la métaphysique et de tout ce qui pourrait s’y rattacher ou un philosophe de l’action tendant à subvertir la morale, au moyen de la différance, en vue d’une nouvelle praxis.
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La distinction épistémologique entre sciences de la culture et sciences de la nature chez Heinrich Rickert

Leduc, Étienne January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La substitution du Dasein chez Levinas

Doyon, Maxime January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
365

Heidegger's reading of Nietzsche as a point of access to his interpretation of modern technology

Catanu, Paul January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
366

Analyse et critique des travaux d'Adolf Grünbaum sur la psychanalyse

Dufour, Frederik January 2002 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
367

Le rôle du sublime dans le système critique kantien

Cahill, Karina January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
368

Langage et commencement dans la pensée de Martin Heidegger

St-Pierre, Alexandre January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
369

La spécificité des habiletés critiques au sein du mouvement de la logique informelle du XXe siècle

Léveillé, Pascal January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
370

Heidegger et le tournant dans la vérité : le réveil du savoir

Schürch, Franz-Emmanuel January 2004 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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