• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 2367
  • 1030
  • 387
  • 324
  • 98
  • 97
  • 74
  • 35
  • 28
  • 19
  • 11
  • 6
  • 5
  • 5
  • 4
  • Tagged with
  • 4884
  • 1730
  • 766
  • 655
  • 509
  • 454
  • 415
  • 322
  • 286
  • 281
  • 244
  • 239
  • 218
  • 207
  • 204
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
401

Temps et quantité dans la Critique de la raison pure : une approche à l’algèbre dans la philosophie critique de Kant

Corsius, Xavier 25 September 2019 (has links)
Dans ce travail nous élaborons une interprétation de la philosophie critique d’Immanuel Kant qui montre qu’elle donne les fondements à l’algèbre. Nous affirmons que les constructions algébriques se distinguent des constructions géométriques et qu’elles forment une théorie de la quantité pure. Dans la première Critique, l’algèbre est une méta-arithmétique qui donne les conditions de la quantification de la grandeur en général. Par conséquent, la théorie mathématique de l’épistémologie critique s’inscrit dans le projet d’algébrisation des sciences pendant l’époque moderne. Nous avons divisé notre travail en cinq chapitres. Avec le chapitre 1, nous montrons le rôle de l’algèbre dans la pensée moderne. L’algèbre, fondée dans l’arithmétique, est la théorie de la quantification des grandeurs non-déterminées. Dans le chapitre 2, nous critiquons les a priori historiques sur lesquels se basent les commentateurs de la philosophie critique pour affirmer que la construction de la quantité, chez Kant, doit nécessairement se ramener à des constructions spatiales. Dans le chapitre 3, nous montrons que le nombre est un schème pur temporel. La théorie kantienne du Schématisme transcendantal des concepts purs de la quantité suppose des relations temporelles a priori sur lesquelles se fondent la numérisation des relations spatio-temporelles. Dans le chapitre 4, en analysant les rapports entre l’Esthétique transcendantale et la Phoronomie des Premiers principes métaphysiques des sciences de la nature (1786), nous affirmons que la quantification des grandeurs spatio-temporelles est fondée sur une conception du temps absolu qui contient une métrique intrinsèque. Dans le chapitre 5, nous nous sommes concentrés sur le rôle de la synthèse pure qui génère la représentation symbolique de la quantité variable. En analysant la relation entre la temporalité et la science de la quantification, nous sommes en mesure d’expliquer et de défendre la possibilité de la construction de la variable x dans l’épistémologie critique. Nos recherchent sur les rapports entre le temps et la quantification dans l’épistémologie critique, nous permettent d’affirmer que la construction de la variable algébrique repose sur une synthèse pure temporelle qui a préséance sur la quantification spatiale. L’algèbre précède la géométrie, la chronométrie et la Phoronomie. Ce qui nous laisse dire que l’algèbre est la mathématique la plus fondamentale dans le système critique.
402

Geteilte Emotionen / Shared Emotions

Grote, Thomas January 2016 (has links) (PDF)
Geteilte Emotionen In dieser Arbeit verteidige ich die Auffassung, dass geteilte Emotionen nicht nur metaphysisch möglich, sondern darüber hinaus auch ein integraler Bestandteil unseres sozialen Lebens sind. Dabei diskutiere ich in dieser Arbeit zunächst die begrifflichen und metaphysischen Vorannahmen, welche einer philosophischen Analyse von geteilten Emotionen zugrunde liegen. Ausgehend davon versuche ich eine Theorie der Emotionen zu entwickeln, welche Emotionen als wesentlich in soziale Kontexte eingebettet begreift. Daneben beleuchte ich die kognitiven und non-kognitiven Mechanismen, etwa die Gefühlsansteckung, Empathie oder geteilte Intentionalität, welche Konstitutiv für die Hervorbringung geteilter Emotionen sind. Das Ergebnis meiner Arbeit besteht darin, dass ich dafür argumentiere, dass die stark intellektualistische Ausrichtung in der gegenwärtigen Sozialphilosophie und in der Philosophie der Emotionen dazu führt, dass die entsprechenden Theorien die Phänomenologie geteilter emotionaler Erfahrungen nicht adäquat erfassen können. Als Konsequenz dessen versuche ich ein alternatives Modell zur Erklärung von geteilten Emotionen zu entwickeln, welches die Bedeutung von körperlicher Interaktion hervorhebt. / Abstract: Shared Emotions In my thesis I defend the proposition, that shared emotions are not merely metaphysically possibe, but instead, the are an essential part of our social lifes. Therefore, in the first part of my thesis, I elucidate the metaphysical und conceptual assumptions guiding the philosophical analysis of emotional sharing. Moreover, I try to develop a theory which regards emotions as being embedded in social contexts. In the second part of my thesis, I identify the cognitive and non-cognitive mechanisms underpinning shared emotional experiences. Moreover, I argue that the intellectualist approach, which is predominant in contempory philosophy of emotions and in social philosophy, has little explanatory power when being applied to shared emotions, as it fails to consider some the shared emotions crucial elements. As a consequence, I argue that a more holistic approach is necessary, which I try to develop in the thesis` third part. The approach is based on the idea of an interactionist framework.
403

Ein philosophischer Rundgang durch den Comenius-Garten /

Arning, Ralf Heinrich. January 2007 (has links)
Zugl.: Aachen, Techn. Hochsch., Diss., 2007.
404

Perspectivisme transcendantal et philosophie appliquée chez J. G. Fichte / Transcendental perspectivism and applied philosophy by J. G. Fichte

Landenne, Quentin 19 March 2010 (has links)
Cette thèse en histoire de la philosophie propose une reconstruction interprétative de la cohérence synchronique et diachronique de la philosophie de Johann Gottlieb Fichte à la lumière de la dynamique perspectiviste de sa pensée transcendantale. Notre recherche part du problème systématique de la philosophie appliquée, c’est-à-dire du passage du point de vue transcendantal à son application dans l’action empirique. En effet, un tel passage est, d’une part, exigé comme une tâche essentielle adressée à la philosophie fichtéenne conformément à son unité théorico–pratique mais, d’autre part, il est rendu problématique par la différenciation principielle entre le point de vue de la réflexion transcendantale et le point de vue de la conscience empirique du donné factuel. Il s’agit d’abord d’élucider les prémisses spéculatives de ce problème dans une théorie des points de vue inscrite au cœur des exposés de la Doctrine de la science (Wissenschaftslehre, WL). Nous tentons ainsi de réinterpréter les différentes versions de la WL qui vont de 1794 à 1804 en nous concentrant sur tous les concepts et procédures épistémologiques qui ressortissent à une logique perspectiviste, pour les appréhender comme des opérateurs de réflexivité du savoir philosophique dans l’auto–construction de la WL. C’est dans une telle dynamique perspectiviste que la tension conceptuelle constitutive du problème de la philosophie appliquée entre le point de vue transcendantal et le point de vue empirique ou entre le système et la vie prend tout son sens philosophique. Cette dynamique perspectiviste qui opère au fondement spéculatif de la WL se prolonge et se concrétise ensuite dans une phénoménologie des visions du monde (Weltansichten) pensées comme points de vue de la liberté, qui trouve sa forme la plus aboutie en 1806. Le point de vue transcendantal de la liberté reconnaît alors sa genèse dans quatre points de vue empiriques qui attachent la liberté respectivement à la nature, à la loi, à l’action créatrice ou à la vie divine. C’est cette phénoménologie que nous mobilisons enfin pour mettre à l’épreuve son potentiel heuristique comme une logique de l’action ou une praxéologie de la liberté dans les écrits de philosophie appliquée et principalement dans le domaine de la philosophie politique. Bref, la philosophie transcendantale de Fichte se développe selon une dynamique perspectiviste qui génère, d’une part, le fondement spéculatif du problème systématique de l’application empirico–pratique de la philosophie transcendantale, et qui livre, d’autre part, en tant que théorie transcendantale des points de vue pratiques, les ressources phénoménologiques et praxéologiques pour une heuristique de la liberté dans la philosophie appliquée. Dans une deuxième partie plus exploratoire, nous cherchons à tester à la fois la signification moderne et le potentiel actuel du lien conceptuel entre réflexivité, perspectivité et liberté mis en exergue dans le système fichtéen. Nous construisons d’abord une série de dialogues que Fichte a pu ou aurait pu mener avec d’autres philosophes de l’époque moderne, en ciblant particulièrement l’idée perspectiviste comme fil conducteur des confrontations avec ces différents systèmes (Leibniz, Kant, Schelling et Hegel). Nous tentons pour finir une incursion dans le champ de la philosophie contemporaine en vue de mettre au jour une postérité cachée de la philosophie fichtéenne dans la pragmatique transcendantale de Karl–Otto Apel à travers une homologie structurelle entre ces deux philosophies, s’attestant notamment dans les questions de la fondation transcendantale du point de vue moral, de son application politique et des rapports qu’il doit entretenir avec d’autres points de vue inscrits dans la dialectique perspectiviste des intérêts de connaissance.
405

Aspects du sujet dans la philosophie du langage ordinaire

Bonnet, Valerie 28 June 2012 (has links) (PDF)
De quelle notion de sujet avons-nous besoin rendre compte de nos pratiques et notamment de notre pratique du langage ? Cette question du sujet et de la subjectivité se pose à nouveaux frais dans le cadre de la philosophie du langage ordinaire et tout particulièrement à partir de la théorie des actes de parole de J.L. Austin. En effet, si le langage n'a de signification qu'en tant que parole, et même qu'en tant qu'acte d'un sujet qui prend la parole, le langage ne saurait être un processus sans sujet. Un acte nécessite un agent et si cet acte est un acte de parole, il faut un agent capable de comprendre la signification de ce qui est dit, en d'autres termes, il semble bien qu'il faille un sujet pensant, un sujet psychologique. C'est dans cette voie que s'engagèrent les premières interprétations d'Austin. Les actes de parole donnèrent naissance d'une nouvelle discipline : la pragmatique, où le rôle de l'intention dans la signification est primordial. Or, la philosophie du langage ordinaire se situe dans le projet initial de la philosophie analytique, tel que mené par Frege, Russell et le premier Wittgenstein, qui détachaient la signification de la subjectivité des représentations en la liant à la référence ou dénotation. Le sujet psychologique se trouve alors hors du champ de la pensée et de la vérité. Austin poursuit et radicalise ce projet : dans la théorie des actes de parole, la vérité devient la dimension d'évaluation de certains énoncés à l'intérieur de la catégorie plus générale de la félicité, évaluation qui n'est possible qu'en situant l'énonciation dans son contexte. C'est donc le contexte, et non l'intériorité du sujet parlant qui permet la compréhension. Ainsi, Le sujet des actes de paroles n'est pas le sujet intentionnel du mentalisme. C'est en fait un sujet pensant dont la pensée se lit dans le comportement, un sujet dont la pensée publique se fonde et s'exprime dans des conventions sociales qui le rendent responsables de ses paroles. Le sujet parlant est un sujet social pour qui l'enjeu est de parvenir à trouver et faire entendre sa voix alors même qu'il parle dans les mots des autres, un sujet responsable et mis en position de fragilité car il doit répondre de plus qu'il ne le voudrait.
406

La synchronisation et la cadence

Sainte-Marie, Maxime January 2008 (has links) (PDF)
Le temps constitue sans contredit l'une des grandes énigmes auxquelles s'est vue confrontée l'entreprise philosophique. Historiquement, la réflexion sur ce concept s'est essentiellement centrée sur l'aspect perceptif, cherchant en vain à comprendre comment l'homme peut percevoir ce qui fondamentalement demeure imperceptible. S'inspirant de l'étude cybernétique des processus d'autorégulation par rétroaction négative à l'oeuvre dans les systèmes autonomes, le présent mémoire consiste à abandonner cette approche perceptive traditionnelle au profit d'une perspective active axée sur le processus de synchronisation à l'oeuvre dans le monde physique et biologique. Dans le cadre de la vaste dynamique oscillatoire, la figure de la cadence, synonyme de régularité et de couplage rythmiques, joue un rôle fondamental en tant qu'attracteur dynamique, régulateur homéostatique et principe d'efficacité énergétique. Ce « mouvement vers la cadence » résultant du processus physique de synchronisation est ici abordé dans le cadre des quatre principaux processus de développement déterminant la dynamique énergétique des organismes vivants, nommément l'évolution, l'apprentissage, la socialisation et la technocratisation, ce dernier étant propre à l'espèce humaine. Cette quadruple activité de régulation par équilibration dynamique, contribuant de manière originale à la dynamique « temporelle » de la vie, constitue précisément la toile de fond de laquelle émerge la sensibilisation au « temps », celui-ci n'étant plus conçu comme une réalité perçue mais bien comme le produit de l'interaction entre oscillateurs et synchroniseurs. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Temps (philosophie), Synchronisation, Cadence, Temps (biologie), Temps (psychologie), Temps (société), Technologie.
407

La manière d'une modalité : une analyse logique et philosophique de la modalité d'ordre supérieur

Kennedy, Neil 02 1900 (has links) (PDF)
La thèse porte sur la notion de modalité d'ordre supérieur. La modalité d'ordre supérieur peut être caractérisée comme une modalité agissant sur une proposition dans laquelle figure déjà une modalité, un aspect de la modalité qui, étonnamment, a été très peu étudié. Une analyse de ce phénomène est proposée et je présente certains problèmes philosophiques où ce phénomène se manifeste. Je considère, entre autres, le problème de la transparence épistémique (l'idée qu'un agent sait qu'il sait lorsqu'il sait) et j'applique l'analyse générale de la modalité d'ordre supérieur à la résolution de celui-ci. De même, une solution du paradoxe de Fitch est proposée, qui s'appuie essentiellement sur l'idée que certaines des notions modales impliquées dans ce paradoxe sont d'ordre supérieur et que celles-ci sont mal représentées dans un langage modal conventionnel. La discussion de ces problèmes sert de point départ à l'articulation d'une généralisation de la sémantique des mondes possibles. J'introduis un nouveau type de langage modal et montre comment il est interprété dans cette sémantique. Une étude des propriétés formelles de ce langage est donnée (axiomatisation, complétude, calcul de tableaux, etc.). Comme application subséquente de ces idées, je montre comment la modalité d'ordre supérieur est sous-jacente à deux analyses célèbres en logique philosophique : tout d'abord, dans la conception « ockhamiste » de Prior du temps et de la possibilité, et, par la suite, dans l'analyse des conditionnelles contrefactuelles de Stalnaker-Lewis. ______________________________________________________________________________
408

Die Universalisierbarkeit moralischer Urteile /

Schroth, Jörg. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Philosophische Fakultät--Göttingen--Georg-August Universität, 1999. / Bibliogr. p. 243-255. Index.
409

Die Evolutionstheorie und ihr Gegenstand : Beitrag der methodischen Philosophie zu einer konstruktiven Theorie der Evolution /

Gutmann, Mathias. January 1996 (has links)
Diss.--Fachbereich Gesellschaftswissenschaften und Philosophie--Marburg--Philipps-Universität. / Bibliogr. p. 319-330. Index.
410

Aristotelische Diskurse : Aristoteles in der politischen Philosophie des 20. Jahrhunderts /

Gutschker, Thomas. January 2002 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Philosophische Fakultät I--Universität Augsburg, 2001. / Bibliogr. p. 487-506. Index.

Page generated in 0.0483 seconds