• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 3
  • 3
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 13
  • 13
  • 13
  • 5
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 2
  • 2
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
11

MACROPHAGE MIGRATION INHIBITORY FACTOR AND LIVER DISEASE: THE ROLE OF MIF IN ALCOHOL-INDUCED LIVER INJURY AND CARBON TETRACHLORIDE (CCI4)-INDUCED LIVER FIBROSIS

Barnes, Mark Aaron, Jr 11 June 2014 (has links)
No description available.
12

Cytochrome P450s and Alcoholic Liver Disease

Lu, Yongke, Cederbaum, Arthur I. 01 January 2018 (has links)
Alcohol consumption causes liver diseases, designated as Alcoholic Liver Disease (ALD). Because alcohol is detoxified by alcohol dehydrogenase (ADH), a major ethanol metabolism system, the development of ALD was initially believed to be due to malnutrition caused by alcohol metabolism in liver. The discovery of the microsomal ethanol oxidizing system (MEOS) changed this dogma. Cytochrome P450 enzymes (CYP) constitute the major components of MEOS. Cytochrome P450 2E1 (CYP2E1) in MEOS is one of the major ROS generators in liver and is considered to be contributive to ALD. Our labs have been studying the relationship between CYP2E1 and ALD for many years. Recently, we found that human CYP2A6 and its mouse analog CYP2A5 are also induced by alcohol. In mice, the alcohol induction of CYP2A5 is CYP2E1-dependent. Unlike CYP2E1, CYP2A5 protects against the development of ALD. The relationship of CYP2E1, CYP2A5, and ALD is a major focus of this review.
13

Role of genetic factors in the progression of fibrosis in alcoholic liver disease and chronic hepatitis C / Rôle des facteurs génétiques dans l'évolution de la fibrose des hépatopathies chroniques alcooliques et virales C

Trepo, Eric 29 May 2012 (has links)
La maladie alcoolique du foie (MAF) et l’hépatite C chronique (HCC) sont les causes les plus fréquentes de cirrhose, carcinome hépatocellulaire (CHC) et transplantation hépatique dans les pays industrialisés. La fibrose hépatique est le stigmate lésionnel de la progression de la maladie vers la cirrhose comme dans toutes les hépatopathies chroniques. Certains facteurs de risque cliniques environnementaux ont été identifiés. Toutefois, ils n’expliquent pas l’extrême variabilité individuelle de la progression de la fibrose. L’influence ethnique à développer une maladie plus sévère ainsi que les études de concordance des jumeaux mono- et di-zygotiques sur la prévalence de la cirrhose alcoolique ont suggéré l’existence de facteurs génétiques associés. Les nombreuses études de gènes candidats réalisées n’ont identifié que très peu de variants associés de manière reproductible. Pour l’HCC par exemple, le score de risque de cirrhose ou « CRS » a montré sa capacité à prédire une fibrose avancée dans diverses cohortes caucasiennes. Récemment, une étude d’association pangénomique (GWAS) dans la stéatohépatopathie non-alcoolique (NAFLD) a mis en évidence un singleton (single nucleotide polymorphism [SNP]) particulier (rs738409 C>G) dans le gène PNPLA3. Ce dernier s’est révélé être, dans diverses études, le SNP ayant l’impact le plus robuste et le plus reproductible dans cette maladie. Par ailleurs, ce même variant a également été significativement associé à la cirrhose alcoolique chez les hispaniques.<p><p>Les travaux réalisés dans le cadre de cette thèse ont permis de montrer que :<p><p>1) Le CRS avait la capacité de prédire la progression de la fibrose chez des patients caucasiens ayant une HCC dans 2 cohortes européennes indépendantes.<p><p>2) Par ailleurs, dans la MAF, nous avons répliqué chez des patients caucasiens l’association entre le SNP rs738409 dans le gène PNPLA3 et la cirrhose. Nous avons également montré pour la première fois, que l’expression de PNPLA3 était significativement diminuée chez les patients avec une fibrose plus avancée. De plus, nous avons observé dans 2 cohortes européennes que rs738409 était également associé à la prévalence du CHC.<p><p>3) Enfin, nous avons également mis en évidence l’impact de ce même SNP sur la stéatose hépatique et la fibrose dans l’HCC sans toutefois qu’il influence la réponse à la thérapie antivirale dans 3 cohortes caucasiennes indépendantes.<p><p>Ainsi de manière remarquable, un même SNP (rs738409) apparait associé à des lésions hépatiques sévères dans les trois pathologies hépatiques chroniques les plus fréquentes (la MAF, l’HCC et la NAFLD). Ceci suggère des voies pathogéniques communes de la fibrogénèse hépatique. Par ailleurs, ces travaux soulignent indirectement que les GWAS ont la capacité d’ouvrir de nouvelles voies physiopathologiques et d’identifier de nouveaux variants, gènes ou région génétiques capables de constituer de nouveaux biomarqueurs et cibles thérapeutiques dans l’HCC et la MAF. / Doctorat en Sciences médicales / info:eu-repo/semantics/nonPublished

Page generated in 0.2739 seconds