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Le rôle de la participation active de l'enfant de 6 mois dans sa perception de la causalitéErzépa, Annabelle 18 March 2021 (has links)
La présente étude a pour objectif de vérifier si la participation active de l'enfant âgé de 6 mois est nécessaire à sa conception de la causalité. Trente-deux bébés de 6 mois sont soumis soit à une session d'habituation visuelle au cours de laquelle deux boules reliées de façon causale ou non se déclenchent de manière dépendante de l'orientation du regard du nourrisson, ou soit à une session d'habituation visuelle au cours de laquelle deux boules reliées de façon causale ou non sont en mouvement continuellement. Les données empiriques indiquent que les enfants confrontés à un événement causal, dont ils contrôlent le déclenchement, manifestent une réaction à la nouveauté envers l'inversion de l'événement causal significativement plus importante que celle des enfants des autres groupes expérimentaux. Ces résultats suggèrent ainsi que le bébé de 6 mois joue un rôle actif dans sa reconnaissance des liens causaux.
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La reconnaissance du visage du père par les enfants de cinq moisArseneau, Isabelle 13 April 2021 (has links)
La présente étude vise à vérifier si 24 bébés âgés de cinq mois sont capables de reconnaître le visage de leur père. Les enfants sont successivement habitués au visage du père et à celui d’un étranger qui lui ressemble. Les résultats suggèrent que les enfants âgés de cinq mois regardent significativement plus longtemps le visage de leur père comparativement à celui de l’étranger. Ces résultats sont comparés avec ceux obtenus dans les différentes études concernant l’habileté des bébés à reconnaître un visage familier.
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La reconnaissance du visage du père chez les nourrissons de cinq moisFortier, Nathalie. 02 March 2021 (has links)
Cette étude a pour but de vérifier si 25 bébés âgés de cinq mois, soumis à une tâche d'habituation visuelle, peuvent reconnaître le visage de leur père. Les sujets sont successivement habitués au visage de leur père et au visage d'un étranger qui lui ressemble. Seules les caractéristiques internes des visages sont présentées aux enfants. Les résultats indiquent que les garçons obtiennent des scores plus élevés p o u r le père, comparativement à l'étranger, sur certaines variables (par exemple: la durée du premier essai, la durée moyenne des essais, la durée du niveau de base ,etc.). Toutefois, ces différences significatives sont fonction de certains attributs des visages présentés(lunettes, barbe). Les filles ne démontrent aucune différence significative. Les résultats sont comparés avec ceux obtenus dans les études antérieures qui visaient à évaluer la capacité des bébés à reconnaître le visage de leur mère.
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La dynamique de la dépression post-partum sur la socialisation de l'enfantLestienne, Alain 16 April 2018 (has links)
Notre mémoire se situe dans une vision compréhensive psychodynamique composée des théories interactionnistes de Georges Hébert Mead ainsi gue de la psychopathologie et de la psychodynamique du travail de Christophe Dejours. Il consiste à s'interroger sur le rôle de la dépression maternelle en lien avec le développement et l'avenir social de l'enfant. Nous mettrons en valeur l'organisation de soins de la mère comme un travail qui aura des conséquences sur l'expérience et sur le développement de l'enfant. Nous montrerons d'une part que les différents types de relations que la personne a eues dans sa famille, et cela, depuis le début de sa vie, vont s'enraciner et se répéter, voire s'amplifier, dans son histoire de vie. Nous saisirons d'autre part que les conduites individuelles constituent le fruit de l'expérience issue des interactions dans la communauté que forment la mère et l'enfant ainsi que la résultante de l'absence de triangulation avec le père.
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La reconnaissance du visage du père chez les nourrissons de trois moisBisson, Caroline 29 May 2021 (has links)
Le but de la présente étude consiste à vérifier, avec la technique de l'habituation visuelle, si les nourrissons de trois mois ont la capacité de reconnaître le visage filmé de leur père, dans la condition où ce dernier est comparé au visage d’un étranger. L’échantillon est composés de 24 enfants, âgés de 93 jours en moyenne. Selon les analyses effectuées, il est démontré que les nourrissons de trois mois ont des comportements différents envers le visage de leur père comparativement à celui de l'étranger, mais uniquement selon certaines variables. Les résultats suggèrent que l’ordre de présentation ainsi que le sexe de l'enfant influencent grandement la capacité du nourrisson de trois mois à distinguer le visage de son père.
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Les types de désorganisation de l'attachement et leurs distinctions en termes d'antécédents et d'aspects développementauxMoisan, Caroline 18 April 2018 (has links)
La désorganisation de l'attachement se veut un des indicateurs précoces les plus importants de difficultés de développement (Sroufe, 2005; van IJzendoorn, Schuengel & Bakermans-Kranenburg, 1999). Or, l'attachement désorganisé peut prendre différentes formes et se caractériser par divers comportements lors de moments d'alarme chez l'enfant, laissant croire qu'il existe diverses façons pour un enfant d'être désorganisé. En effet, Main et Solomon (1990) identifient sept différentes classes de comportement pouvant caractériser l'enfant désorganisé, soulignant l'aspect hétérogène de cet attachement. Cependant, peu de chercheurs ont tenté de vérifier si la désorganisation est un concept multidimentionnel. Trois principales raisons ont amené l'auteur de cette présente thèse à atteindre cet objectif. Premièrement, les résultats de recherche suggèrent plusieurs processus développementaux pouvant mener à la désorganisation, donc une étiologie variée pouvant mener à diverses formes de désorganisation. Deuxièmement, la désorganisation prédit des problèmes d'adaptation très variés chez l'enfant d'une étude à l'autre pouvant possiblement s'expliquer par la présence de diverses formes de désorganisation. Troisièmement, plusieurs tentatives ont été réalisées afin de catégoriser la désorganisation. Des sous-types empiriques de désorganisation ont déjà été identifiés au préscolaire (3-6 ans) et ceux-ci arrivent à distinguer certains antécédents maternels et caractéristiques de l'environnement familial ainsi que différents aspects du développement de l'enfant, autant socio-émotionnel que cognitif. Ainsi, à la petite enfance, il n'y a pas de tentative dans la recherche d'arriver à une catégorisation de cet important phénomène de la petite enfance sur un plan empirique et conceptuel, bien que Lyons-Ruth et ses collègues (1991) proposent une classification intuitive de la désorganisation basée sur les classifications d'attachement habituelles (D/A, D/B, D/C). L'objectif du premier article est d'identifier, sur une base empirique et conceptuelle, différents sous-groupes à la désorganisation durant la petite enfance. Cent trente enfants provenant de familles à risque sur le plan social (mères adolescentes) et de familles de classe moyenne (mères adultes) sont observées par le biais de la Situation Étrangère d'Ainsworth lorsqu'ils étaient âgés de 15 mois. En tout, 60 sont évalués comme étant désorganisés. Suite à des analyses de regroupement hiérarchique sur les résultats de fréquences aux sept grandes dimensions, trois sous-groupes de D sont identifiés. Les trois sous-groupes se distinguent particulièrement sur la base des comportements contradictoires (D/contradictoire), des comportements de peur directe (D/peur/directe) et des comportements de peur indirecte (D/peur indirecte) envers le parent. Ce dernier sous-groupe est identifié comme étant particulièrement à risque, ayant un niveau de désorganisation significativement plus élevé. Ces nouvelles catégories sont significativement liées à la classification habituelle de Lyons-Ruth et ses collègues (D/AC et D/B), mais sont davantage associées aux antécédents: la sensibilité maternelle, l'ajustement conjugal de la mère, les symptômes de dépression maternelle et les événements de vie récents. Ces résultats sont un premier pas vers la validation des trois sous-groupes de désorganisation identifiés. Le deuxième article a comme objectif de poursuivre cette validation et démontre que la nouvelle classification apporte des distinctions en ce qui concerne le développement de l'enfant. Les enfants identifiés comme plus à risque dans le premier article (D/peur indirecte) semblent avoir davantage de difficultés au niveau de la régulation de leurs émotions à 18 mois. Leurs mères rapportent significativement plus de problèmes spécifiques au niveau de l'externalisation (e.g. Déficit d'attention/hyperactivité et trouble oppositionnel avec provocation) et de symptômes d'allure autistique. Les enfants du sous-groupe "D/contradictoire" ont un développement cognitif moindre à 15 mois en comparaison avec les enfants du sous-groupe "D/peur directe" qui présentent de meilleures habiletés dans l'exploration de leur environnement social et matériel.
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Structure de la réaction comportementale face à la nouveauté chez les enfants âgés de 18 moisPouliot, Sandra 08 April 2021 (has links)
L'objectif principal de cette étude est d'examiner la structure de la réaction comportementale en situation de nouveauté. L'étude est conduite auprès d'un échantillon normatif de 414 jumeaux âgés de 18 mois. Une procédure d'observation standardisée en laboratoire a permis de mesurer les comportements d'approche et la réactivité émotionnelle dans deux situations nouvelles (clown et robot). Une analyse par classes latentes révèle que l'inhibition de l'approche en situation de nouveauté est un construit multidimensionnel. Une évaluation continue du degré et de la qualité de la réactivité émotionnelle démontre que la manifestation d'affects positifs et négatifs présentent une variabilité intra et inter-contextuelle. Enfin, une série de régressions logistiques indiquent qu'il y a peu de convergence entre les types d'inhibition de l'approche et les trajectoires d'affects. Conséquemment, la structure de la réaction comportementale face à la nouveauté devrait être établie en fonction de l'organisation particulière des indices comportementaux d'approche et de réactivité émotionnelle.
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Évaluations parentales du tempérament du nourrisson à 5 et à 18 mois dans des contextes de naissances uniques et gémellairesGoulet, Véronique 25 May 2021 (has links)
Ce mémoire examine le rôle du sexe du parent et de l’expérience parentale dans l’évaluation de l’irritabilité de nourrissons de 5 et 18 mois en contexte de naissances uniques et gémellaires. Les résultats indiquent qu’en général, les pères évaluent les enfants comme plus irritables comparativement aux mères, même si la corrélation entre les évaluations du père et de la mère varie entre .50 et .56 pour chacun des temps de mesure et chacun des contextes familiaux. Par ailleurs, les variances des évaluations des pères sont plus petites que celles des mères indiquant que l’utilisation de l’échelle de cotation est différente selon le sexe du parent. Les comparaisons réalisées en fonction du contexte familial, soit entre parents d’un seul nourrisson et parents de jumeaux, indiquent qu’en présence de deux enfants, les parents évaluent leurs nourrissons comme plus irritables. Comme pour les pères, la variance des évaluations de parents de deux nourrissons est plus grande que chez les parents d’un seul nourrisson, suggérant ainsi que l’expérience parentale, en particulier en présence de jumeaux, porte le parent à comparer les enfants lors de l’évaluation. Les implications de ces résultats pour l’utilisation des rapports parentaux du tempérament de nourrissons sont discutées.
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