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Möglichkeiten und Grenzen der Verbesserung des nachhaltigen Kanalunterhalts durch bäuerliche Selbstorganisation : das Beispiel der OERT im Bewässerungsgebiet des Office du Niger/Mali

Etz, Swen January 2007 (has links)
Wasser erweist sich immer mehr als eine der kostbarsten und zukünftig knappsten Ressourcen auf unserem Planeten. Effizienter Umgang mit dieser Ressource ist deshalb auch in Großbewässerungsgebieten weltweit zu einer obersten Priorität geworden. Dabei spielt verstärkte Mitbestimmung und Partizipation der lokalen Bevölkerung erwiesenerweise eine wichtige Rolle. In einer viermonatigen Feldstudie wurden im Bewässerungsgebiet Office du Niger, Mali, in zwei Dörfern die örtlichen „Bauernorganisationen zum Unterhalt des tertiären Bewässerungssystems“ evaluiert. Welchen Nutzen und welche Erfolge können sie vorweisen? Wo liegen Probleme in Umsetzung und Akzeptanz der lokalen Organisationsstrukturen? Die vorliegende Arbeit stellt umfassend die Möglichkeiten und Grenzen bäuerlicher Selbstorganisation zum nachhaltigen Kanalunterhalt in der Forschungsregion dar, ergründet die vorliegenden Problemfaktoren und zeigt Schritte zur Überwindung derselbigen auf.
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Travail de Blanc, travail de Noir : la migration des paysans dogon vers l'Office du Niger et au Ghana : 1910-1980 /

Dougnon, Isaïe. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Thesis Ph. D.--Anthropologie--Bayreuth--Université, 2003. Titre de soutenance : Travail de Blanc, travail de Noir : la migration paysanne du pays dogon à l'Office du Niger et au Ghana. / Contient des éléments de l'enquête. Bibliogr. p. 259-264. Index.
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The Office du Niger under colonial rule : its origin, evolution, and character, 1920-1960

Filipovich, Jean, 1947- January 1985 (has links)
The Office du Niger irrigation scheme, located on the Niger River in the Republic of Mali, originated in a grandiose but seriously flawed proposal devised in 1920 by a French colonial Public Works engineer named Emile Bélime. Originaly conceived as a means of transforming the Niger Valley into a cotton belt, and later promoted as the heart of a French West African granary, the scheme never attained more than a tiny fraction of its presumed agricultural potential. Its construction and exploitation required the forced uprooting of tens of thousands of Africans. It absorbed a large portion of scarce colonial revenues until after the Second World War and generated no profits. During the inter-war period, the Office du Niger gradually acquired the de facto status of a state within the State, with Emile Bélime at its head. When the scheme was finally recognized as an economic and humanitarian failure in 1945, colonial authorities endeavoured to eliminate its worst shortcomings and give it a new identity as a prototype of economic and technical assistance to an underdeveloped area. After 1961, Malian leaders felt that the scheme could be used as a pilot project for agricultural development in the new republlc, and the scheme's existence has dictated the course of Malian agricultural policy ever since. / Le projet d'irrigation de l'Office du Niger, situé dans le delta intérieur du Niger au Mali, est né d'une proposition très insuffisante mais grandiose conçue en 1920 par un ingénieur des Travaux Publics Coloniaux, Émile Bélime. Conçu à l'origine comme un moyen de transformer la Vallée du Niger en une vaste plantation de coton, et envisagé par la suite comme le grenier central de l'Afrique Occidentale, ce projet n'a jamais atteint qu'une petite partie de son potentiel agricole espéré. Sa réalisation et sa mise en exploitation on nécessité le déracinement par contrainte de dizaines de milliers d'Africains. Même après la deuxième guerre mondiale, le projet a absorbé encore une grande partie des revenus coloniaux, déjà limités, mais il n'a généré aucun revenu. Pendant l'entre-deux-guerres, l'Office du Niger a acqui petit à petit le statut de facto d'un état dans l'État, dirigé par Émile Bélime. En 1945, quand le projet a été finalement reconnu comme une échec sur le plan économique et humanitaire, les autorités coloniales ont essayé de corriger les erreurs les plus graves et lui ont accordé le nouveau statu de prototype pour d'autres projets d'assistance économique et technique aux régions sous-développées. En 1961, le Gouvernement du Mali, qui avait récemment accédé à l'indépendance, pensait en faire un projet pilote pour le développement agricole du pays. Sa réalisation détermine encore aujourd'hui la politique agricole du Mali. fr
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The Office du Niger under colonial rule : its origin, evolution, and character, 1920-1960

Filipovich, Jean, 1947- January 1985 (has links)
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De la norme à la diversité : L'intensification rizicole face à la diversité paysanne dans les périmètres irrigués de l'Office du Niger (Mali)

Jamin, Jean-Yves 04 November 1994 (has links) (PDF)
Pour des raisons techniques et historiques, les périmètres irrigués sahéliens constituent des entités très normatives, au sein desquelles il y a peu de place pour l'initiative individuelle. Malgré cela, les modèles techniques proposés, uniquement orientés vers la riziculture, ont eu beaucoup de mal à s'imposer. Le modèle intensif conseillé dans le cadre de l'Office du Niger par le projet Retail est performant et bien adapté aux conditions physiques du milieu. Il a pourtant été adopté par les paysans selon des modalités variées.<br /><br />Cette diversité des réponses nous a conduit à nous interroger sur la diversité des fonctionnements des exploitations agricoles. Celle-ci a été analysée dans une démarche "systèmes de production" prenant en compte aussi bien le riz que les activités non-rizicoles, mais aussi dans une démarche de "recherche-développement" associant étroitement les cadres du développement aux travaux entrepris.<br /><br />La typologie élaborée met en évidence l'importance des composantes non rizicoles des systèmes de production dans le fonctionnement global de ceux-ci, mais aussi la sensibilité des exploitations de l'Office du Niger aux aléas extérieurs. Les suivis de parcelles effectués montrent que cette diversité des fonctionnements a des conséquences sur la conduite des rizières, puisque l'on retrouve à ce niveau une assez forte variabilité des pratiques culturales. A partir de là, des recherches plus techniques ont été entreprises pour répondre aux problèmes identifiés, avec le souci d'élaborer des références susceptibles de valoriser la diversité des exploitations agricoles et utilisables facilement par des conseillers agricoles.<br /><br />La typologie n'est pas restée un outil de description de la réalité, elle a pu être utilisée pour définir des actions prenant en compte la diversité des exploitations. Pour les recherches techniques, elle a conduit à mettre l'accent sur la mise au point de modèles d'intensification différenciés, plus souples. Pour le conseil technique rizicole, elle a permis de moduler les conseils en fonction des objectifs et des contraintes des différents types d'exploitations. Elle a aussi permis, en montrant l'importance des activités non-rizicoles dans le fonctionnement de certains types d'exploitations, de développer un conseil sur le maraîchage et l'élevage, auparavant négligés. Enfin, elle fournit aux décideurs politiques et financiers des éléments sur les mesures à prendre en matière de réhabilitation des casiers, de réattribution foncière, d'aménagement de l'espace, d'intégration sociale et d'organisation des producteurs.
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Conséquences du développement des cultures de contre-saison sur l'irrigation et la dynamique de la nappe phréatique à l'Office du Niger (Mali).

Tangara, Bréhima 15 November 2011 (has links) (PDF)
Ces 10 dernières années ont été marquée à l'Office du Niger par une augmentation spectaculaire des superficies aménagées et cultivées en contre-saison qui ont engendré un accroissement de la demande en eau en période d'étiage du fleuve. Du fait des caractéristiques structurelles du réseau et de pratiques de gestion peu performantes induisant des pertes substantielles d'eau par infiltration, la nappe phréatique est aujourd'hui quasi sub-affleurante avec toutes ses conséquences néfastes sur les facteurs de productions. L'objectif de ce travail est de mieux comprendre et de quantifier les dynamiques engendrées par les cultures de contre-saison, auxquelles il est communément reproché d'être surconsommatrices de la ressource en eau et de favoriser des conditions favorables à la dégradation de sols par alcalinisation. Traduit en termes scientifiques, l'objectif est de développer un modèle permettant d'évaluer l'impact des modes de gestion des cultures de contre-saison sur les performances de l'irrigation et sur la dynamique de la nappe phréatique. La démarche a consisté à collecter et analyser les données secondaires disponibles, mettre en place un dispositif d'enquête et de suivis de terrain sur la base desquels a été développée une modélisation des performances de l'irrigation et de la dynamique d'évolution des caractéristiques la nappe phréatique. L'analyse des données secondaires descriptives de l'évolution des systèmes de culture de contre saison à l'Office du Niger montre un accroissement notoire des superficies cultivées en contre-saison induisant une disparition du schéma de mise en valeur initialement prévu lors de la conception des aménagements. La recherche d'amélioration de leur autosuffisance alimentaire et de leurs revenus, sont les principaux déterminants de cette évolution des pratiques. Les données secondaires descriptives de la gestion de l'eau montrent que si cette dynamique a eu pour conséquence une augmentation importante du taux de prélèvement des eaux du fleuve Niger, elle a induit une réduction de moitié des vii apports par hectare cultivés en contre saison sous l'effet d'une amélioration de l'efficience de transport qui structurellement tend à s'améliorer en fonction de l'accroissement des superficies irriguées. Les résultats des études de terrain montrent qu'à l'échelle d'un arroseur cultivé en riz, le type de sol est le principal facteur explicatif de la variabilité des apports d'eau (en moyenne 15 000 m3/ha). L'efficience moyenne de l'irrigation de l'arroseur à la parcelle, bien que meilleure qu'en hivernage, reste faible (65%) ; elle croit au cours du cycle de 20 à 85% avec le taux de repiquage. Si les pertes dans le réseau de drainage restent généralement faibles (12%), les épandages systématiques d'eau sur les surfaces non encore repiquées en début de campagne sont la principale cause explicative de la valeur de l'efficience de l'irrigation et représentent de l'ordre 25% de la lame d'eau contribuant à la recharge de la nappe phréatique par hectare rizicultivé (200 mm). Leur réduction par une meilleure maîtrise de l'irrigation diminuerait d'autant contribution de la riziculture de contre-saison au soutien de la nappe. La situation du maraîchage est beaucoup plus critique : les apports par hectares en tête de partiteur (14 500 m3/ha) ne sont pas statistiquement différents de ceux du riz alors que les besoins en eau sont deux fois plus faibles. L'analyse des données du suivi de la nappe entre 1995 et 2006 à l'échelle du Kala inférieur confirme la continuité entre nappe de surface, alluviale et continentale et montre que le niveau moyen piézométrique de la nappe à l'aplomb des périmètres du Kala inférieur, augmentation de son volume et sommes des surfaces cultivées en saison des pluies et saison sèche sont significativement corrélés malgré la décroissance graduelle du niveau piézométrique de la nappe à mesure qu'on s'éloigne des périmètres. Ces constatations ont permis de modéliser, sur la base d'un bilan en eau, l'impact combiné des cultures de contre-saison et d'hivernage sur la dynamique de la nappe phréatique. Cette modélisation tend à montrer que les cultures de contre saison n'expliqueraient que de l'ordre de 25% de l'augmentation du volume de la nappe entre 2001 et 2006; le reste est à attribuer à l'irrigation des cultures d'hivernage. Cette remontée de la nappe et la continuité entre nappe de surface et nappe régionale confirmée tendent à diminuer la drainabilité naturelle des zones cultivées particulièrement en contre saison et contribuent à expliquer le faible battement de la nappe dans ces zones entrainant un engorgement pratiquement continu des sols qui contraint les conditions d'exploitation et augmente les risques d'apparition de phénomène d'alcalinisation. Compte tenu des approches utilisées basées sur des bilans d'eau et des hypothèses de représentativité supposées, les processus biophysiques des tendances que cette étude a permis d'identifier, mériteraient d'être confirmés. La poursuite de campagnes périodiques de suivi de la nappe, une caractérisation de ses propriétés hydrodynamiques ainsi que le développement de la modélisation hydrogéologique de son fonctionnement devraient être envisagés face aux enjeux qu'elle représente en termes de contraintes à la mise en valeur agricole et de risques environnementaux mais aussi de possible exploitation des ressources en eau souterraines pour la double culture.

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