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Étude de la cooccurrence du trouble de l'opposition avec provocation et du trouble des conduites : symptomatologie, caractéristiques associées et trajectoires évolutives

Lapalme, Mélanie. January 1900 (has links)
Thèses (Ph.D.)--Université de Sherbrooke (Canada), 2007. / Titre de l'écran-titre (visionné le 26 févr. 2008). In ProQuest dissertations and theses. Publié aussi en version papier.
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Utilisation de la remédiation cognitive comme stratégie d'intervention auprès d'enfants présentant des difficultés d'adaptation

Parent, Véronique January 2010 (has links) (PDF)
Cette thèse de doctorat a pour objectif général d'évaluer l'efficacité d'interventions de remédiation cognitive auprès d'enfants qui présentent des difficultés d'adaptation, plus spécifiquement un trouble oppositionnel avec provocation (TOP) ou un trouble déficitaire de l'attention/hyperactivité (TDAH). La remédiation cognitive, développée à partir d'études sur la plasticité cérébrale, est en fait une méthode d'intervention qui a pour objectif principal d'améliorer les fonctions cognitives déficitaires au sein d'une population clinique. L'hypothèse sous-tendant la remédiation cognitive est que les déficits cognitifs affectent la capacité des personnes à fonctionner adéquatement dans la vie de tous les jours et que cette intervention peut améliorer leur sort (Medalia & Lim, 2004). Bien que cette stratégie d'intervention soit utilisée depuis plusieurs années auprès de diverses populations cliniques (traumatisés cranio-cérébral, victimes d'accidents vasculo-cérébral, schizophrènes, personnes âgées), elle a fait l'objet de peu d'investigations auprès d'une clientèle d'enfants présentant des difficultés d'adaptation. En particulier, aucune étude n'a à ce jour permis d'évaluer l'efficacité de la remédiation cognitive comme stratégie d'intervention auprès d'enfants présentant un TOP. Quelques études se sont en revanche intéressées à l'utilisation de la remédiation cognitive comme stratégie d'intervention auprès d'enfants avec un TDAH. Toutefois, les études qui s'intéressent à l'apport d'entraînements cognitifs spécifiques sur une fonction cognitive déficitaire et à la généralisation de tels entraînements sur des fonctions cognitives secondaires demeurent peu nombreuses. De plus, à notre connaissance, aucune étude n'a comparé l'efficacité d'un programme de remédiation cognitive axé sur le déficit cognitif primaire selon le modèle explicatif du TDAH de Barkley (1997), soit l'inhibition, à un second programme de remédiation cognitive axé sur la mémoire de travail (déficit cognitif secondaire selon le modèle de Barkley). La première étude proposée s'intéresse donc à l'utilisation de la remédiation cognitive comme stratégie d'intervention auprès d'une clientèle d'enfants présentant un TOP. L'objectif principal de cette étude est d'évaluer l'efficacité de programmes de remédiation cognitive visant le développement des habiletés d'inhibition ou le développement des habiletés de mémoire de travail quant à l'amélioration du fonctionnement cognitif et de l'autorégulation du comportement, auprès d'enfants avec un TOP. Afin de vérifier cet objectif, le rendement des enfants recevant l'un ou l'autre des programmes de remédiation cognitive et le rendement des enfants d'un groupe de comparaison ne recevant aucune intervention sont comparés. Les résultats montrent une amélioration du rendement à des mesures secondaires d'inhibition et de résolution de problèmes, pour les enfants ayant bénéficié du programme mémoire de travail seulement. Sur le plan comportemental, des améliorations sont également rapportées par les enseignants en ce qui concerne les comportements de bris de règles, d'inattention et d'hyperactivité-impulsivité, toujours pour les enfants ayant reçu le programme mémoire de travail. Aucun effet d'intervention n'est observé par les enfants ayant reçu le programme inhibition. Dans leur ensemble, ces résultats tendent donc à appuyer l'utilité d'un programme de remédiation cognitive visant le développement des habiletés de mémoire de travail avec une population d'enfants présentant un TOP. La seconde étude proposée a, quant à elle, pour objectif de vérifier l'impact de deux programmes de remédiation cognitive axés spécifiquement sur deux fonctions exécutives déficitaires dans le TDAH, soit l'inhibition et la mémoire de travail, sur (1) les fonctions attentionnelles et exécutives (attention soutenue, inhibition, résolution de problèmes et mémoire de travail) et (2) l'autorégulation du comportement. Pour ce faire, le rendement des groupes d'enfants recevant un programme de remédiation cognitive (groupe mémoire de travail et groupe inhibition) et le rendement d'un groupe d'enfants en liste d'attente sont comparés. Les résultats obtenus montrent uniquement une amélioration des capacités de mémoire de travail non-verbale directement entraînées et une diminution des comportements d'inattention rapportée par les parents seulement pour les enfants ayant bénéficié du programme mémoire de travail, ce qui constitue un effet limité de l'intervention. Pour expliquer ces résultats, deux hypothèses sont avancées et discutées, soit l'intensité de l'intervention et la motivation de l'enfant. En conclusion, les résultats obtenus par ces études supportent l'idée que la remédiation cognitive peut s'avérer une stratégie d'intervention intéressante pour certains enfants. Toutefois, les conditions dans lesquelles l'intervention se tient doivent être favorables et il demeure nécessaire de bien documenter ces conditions à l'aide de devis expérimentaux. Ainsi, la vente libre de programmes informatisés ayant pour objectif l'entraînement cognitif n'est pas suffisante pour en justifier l'efficacité et l'utilisation universelle. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Remédiation cognitive, Trouble déficitaire de l'attention/hyperactivité, Trouble oppositionnel avec provocation, Fonctionnement cognitif, Autorégulation du comportement.
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Prédire l'évolution des comportements d'opposition au primaire dès la maternelle?

Tremblay, Marc 16 April 2018 (has links)
Les conduites d'opposition (CO) comptent parmi les problèmes de comportement les plus fréquents en milieu scolaire (McMahon & Kotler, 2006). Étonnamment, peu d'études longitudinales ont porté sur ces conduites. La présente étude poursuit deux objectifs : 1) explorer la présence de trajectoires de CO au primaire; 2) examiner les facteurs de risque présent à la maternelle associés à ces trajectoires. L'échantillon utilisé pour cette étude comportait 2885 enfants (1494 garçons et 1391 filles) provenant d'écoles publiques francophones du Québec. Les comportements d'opposition ont été évalués par les enseignantes. Les résultats basés sur les analyses de trajectoires développementales (Nagin, 2005) ont révélé la présence de trois groupes : Opposition Élevée, Opposition Modérée, Faible Opposition. Près de la moitié des garçons de l'échantillon (49,3 %) et plus des trois quarts des filles (79,4 %) manifestent très peu de conduites d'opposition en classe tout au long du primaire. Et quelle que soit la trajectoire dans laquelle s'insèrent les enfants, leurs conduites apparaissent relativement stables de la première à la sixième année. Par ailleurs, les enfants qui se retrouvent dans la trajectoire d'opposition élevée se distinguent de leurs petits camarades sur l'ensemble des facteurs de risque présents à la maternelle (genre, adversité sociofamiliale, engagement et discipline maternelle, anxiété, hyperactivité, agressivité physique et opposition). Ces résultats suggèrent qu'il est possible dès la maternelle de repérer les enfants plus à risque de présenter des comportements d'opposition de la première à la sixième année du primaire. Ces résultats seront discutés en lien avec la perspective de la psychopathologie développementale (Cicchetti & Rogosh, 2002).

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