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Tyran et magicien? : Représentation de la figure de l'empereur Julien dans les sources littéraires grecques, latines et syriaques de l'Antiquité tardive

Robert, Maryse 24 April 2018 (has links)
Même si les Humanistes et les Lumières tentèrent de réhabiliter le personnage de Julien l'Apostat, leurs tentatives furent somme toute vaines. En effet, encore au début du siècle dernier on parlait de l'Apostat sans même qu'il soit nécessaire de nommer Julien. Systématiquement, il était qualifié de suppôt de Satan, de magicien, d'impie pratiquant des sacrifices humains. Le présent travail se propose d'analyser l'évolution de la figure de l'empereur Julien durant les deux siècles qui suivirent sa mort, en 363, et se divise en trois chapitres. Le premier se concentre sur les faits historiquement attestés dans les différentes sources (épigraphiques, numismatiques, littéraires) au sujet de l'homme et traite des épisodes principaux de sa vie - sa naissance, son césarat, sa proclamation - sous la forme d'une analyse historique. Le deuxième étudie l'évolution de son image à travers les sources littéraires païennes et chrétiennes du IVe au VIe siècle, en analysant, dans un premier lieu, le portrait-bilan que les auteurs ont peint (portrait de Julien par lui-même ; portrait physique ; portrait psychologique). Le troisième chapitre est consacré au Roman syriaque de Julien l'Apostat et à l'étude du personnage désormais légendaire, où des extraits illustrant les thèmes du deuxième chapitre sont analysés. Le mémoire sert principalement à mettre en place le contexte des siècles précédant la mise par écrit du Roman.
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Évolution du sens des termes de couleur et de leur traitement poétique : l'élégie romaine et ses modèles grecs

Pelletier-Michaud, Lydia 23 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2015-2016 / Les termes de couleur, anciens ou modernes, ne peuvent être réduits à la dénomination de catégories servant à diviser le spectre des visibles : cet ensemble lexical unique mérite d’être considéré comme un phénomène linguistique et littéraire à part entière. Pourtant, trop souvent encore, les études portant sur le vocabulaire de la couleur tendent à subordonner le système langagier au phénomène physique, conséquence indirecte de la recherche d’objectivité qu’une vision positiviste attribue aux sciences de la nature. Les termes de couleur sont alors examinés selon des critères qui ne correspondent pas à leur véritable essence – une attitude qui, dans le cas des langues anciennes, mène à des constats d’imprécision injustifiés. Dans les faits, l’emploi des termes de couleur transcende largement la dimension visuelle : leur nature se révèle essentiellement subjective, et ce à plus forte raison dans les textes littéraires, dont se compose l’essentiel du matériel dont nous disposons pour étudier les cas du grec et du latin. Plutôt que de mettre l’accent sur les différences entre conceptions anciennes et modernes, cette étude aborde la couleur en tant que phénomène culturel dans une optique de continuité ; elle vise à montrer que l’analyse littéraire de textes poétiques anciens peut nourrir une réflexion sur la nature des couleurs et sur les processus qui mènent à leur conceptualisation. Après avoir posé les bases d’une réflexion sur la nature de la couleur (Chapitre I), cette thèse étudie le traitement poétique des termes de couleur et, de façon plus générale, l’utilisation des procédés littéraires faisant appel au chromatisme, chez les élégiaques latins (Ovide, Properce, Tibulle et le Corpus Tibullianum) et Catulle, à partir de leurs principaux modèles grecs d’époque alexandrine (Théocrite, Callimaque) et archaïque (poésie lyrique et épopée homérique). L’étude se focalise autour de quatre grands thèmes qui correspondent à des images littéraires développées par les poètes élégiaques – le « petit livre coloré » (Chapitre II), le « portrait en rouge et blanc » (Chapitre III), l’« amant pâle » (Chapitre IV) et la « mer céruléenne » (Chapitre V). Le corpus principal, approché dans l’ordre chronologique inverse, est envisagé sous l’angle de la réécriture. En effet, l’imitation émulative se trouve au cœur du processus créatif des poètes latins, qui élaborent leur identité d’auteurs en réinventant les vers de leurs prédécesseurs ; ce procédé amène les poètes à reprendre et à enrichir des images littéraires colorées, donnant naissance à des topoi et à des associations d’idées qui, au fil des siècles, tendent à se cristalliser sous la forme de termes de couleur abstraits. / Color terms, in modern and ancient languages alike, cannot be reduced to sections of the visible spectrum: this complex and rather unique lexical ensemble deserves our full attention as a linguistic and literary phenomenon. Yet color vocabulary is still too often regarded as an imperfect means to describe visual perceptions, a system that fails to achieve the precision of optical science. This idea, a consequence of the quest for objectivity which natural sciences are hoped to provide, does not reflect the true nature of color terms and induces an important bias in their study: as a result, many classical philologists have come to judge Greek and Latin color vocabularies as underdeveloped and their use by ancient authors as clumsy. The purpose of color terms is not limited to description in terms of chromatic acuteness: in fact, this vocabulary proves to be subjective by nature. This is even truer about its literary use, and literature constitutes the main material available to study color terms in Greek and Latin. Instead of looking for differences between ancient and modern conceptions, this study focuses on continuity and on color as a cultural phenomenon; its aim is to show that the analysis of ancient poetry can contribute to a more general reflection on the nature of colors and to our understanding of how they become concepts. Beginning with a chapter devoted to the nature of color (Chapter I), this dissertation studies the poetic treatment of color terms and, more generally, the use of literary devices pertaining to chromatism in Roman Elegists (Ovid, Propertius, Tibullus and the Corpus Tibullianum) and Catullus, as well as in their Greek models from the Hellenistic (Theocritus, Callimachus) and Archaic (lyric poetry and Homeric epics) periods. The study focuses on four poetic figures – the “little, colorful book” (Chapter II), the “red and white portrait” (Chapter III), the “pale lover” (Chapter IV) and the “cerulean sea” (Chapter V). Each of these chapters surveys the meaning of Latin vocabulary and expressions through the Greek verses they refer to. The corpus is approached in reverse chronological order, with more specific attention paid to intertextuality and rewriting: imitatio plays in fact a crucial role in the creative process of Latin poets, who construct their identity as authors as they interpret and transform pre-existing text. The colorful imageries that are thus being developed over centuries give birth to topoi and strong associations between emotions and realities that tend to crystallize in the form of abstract color terms.
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La règle des syzygies et le dualisme dans les Homélies et les Reconnaissances pseudo-clémentines : études littéraires

Therrien, Philippe 24 April 2018 (has links)
Les Homélies et les Reconnaissances du Pseudo-Clément, aussi appelées Pseudo-Clémentines, sont des témoins privilégiés du foisonnement intellectuel et théologique des premiers siècles chrétiens. Alors que la recherche moderne a longtemps tenté de déterminer les différentes étapes de leur constitution (ne posant pour seule conclusion certaine que l’existence d’un « Écrit de base » à leur origine), le présent mémoire offre une enquête littéraire qui permettra de situer l’état final des Pseudo-Clémentines dans leur contexte rédaction, en établissant comment elles dialoguent avec les principaux groupes religieux de leur milieu (chrétiens, judéo-chrétiens, juifs, gnostiques et païens). Dans ce cadre, cette étude définit le dualisme pseudo-clémentin selon ses quatre aspects : la règle de syzygies ou des couples antagonistes, qui veut que tout, dans la création, soit organisé par Dieu en couples opposés ; les prophéties masculine et féminine, dont la première apporte la vérité alors que la seconde apporte le mensonge ; la doctrine des deux rois, dont l’un, qui est bon, gouverne le royaume du monde à venir, alors que l’autre, qui est mauvais, règne sur le monde présent ; la doctrine des deux voies, dont l’une mène au salut et l’autre à la perdition. Après une analyse de ces thèmes au sein des Pseudo-Clémentines, qui révèle les différences qui existent entre les deux textes, ces mêmes motifs sont recherchés dans la littérature apparentée, en particulier dans les textes gnostiques de la bibliothèque de Nag Hammadi, les textes découverts à Qumrân et la littérature judéo-chrétienne. Les conclusions dégagées permettent de définir précisément le dualisme des Homélies et celui des Reconnaissances, d’identifier des fonctions polémiques et rhétoriques de ce dualisme et de cerner des groupes religieux possiblement alliés et ennemis des Pseudo-Clémentines. / Pseudo-Clement’s Homilies and Recognitions, also called the Pseudo-Clementines, are important witnesses of the intellectual and theological explosion that took place in the first Christian centuries. Modern research tried for a long time to elucidate the multiples steps of their constitution, and the only result was that the existence of a ‘‘ Basic Writing’’ that had been the source material for the Pseudo-Clementines. This master’s thesis presents a literary investigation that will resituates the Pseudo-Clementines in their final form in the context of their redaction, while establishing their relations to the main religious groups of their milieu (Christians, Judeo-Christians, Jews, Gnostics and Pagans). This study defines the four aspects of the Pseudo-Clementine’s dualism : the rule of syzygies or antagonist couples, which states that everything in the creation is organized by God in opposite couples ; male and female prophecies, in which the first one brings truth while the second one brings falseness ; the doctrine of the two kings, in which one, who is good, rules the kingdom of the world to come and the other, who is evil, rules the present world ; the doctrine of the two ways, in which one leads to salvation, the other to damnation. After an analysis of these themes in the Pseudo-Clementines, one that reveals the differences between the two texts, this project looks for these patterns in similar literature, especially in the Gnostics writings of the library of Nag Hammadi, the Qumrân’s scrolls and Judeo-Christian literature. The other results are the identification of the dualism's polemic and its rhetorical functions, as well as the establishment of possible religious allies and enemies of the Pseudo-Clementines.
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Love's calling : how eroticism encourages religious intentions in "Joseph and Aseneth" and the "Æthiopika"

Glass, Rivkah Gillian 24 April 2018 (has links)
Ce mémoire s’intéresse à l’emploi de l’érotisme et de l’amour comme outils littéraires dans deux romans de l’Antiquité. Le texte principal est un écrit dérivé de la Torah intitulé Joseph et Aséneth. Le second est le roman grec d’Héliodore d’Émèse, Les Éthiopiques. Puisque tout auteur, peu importe sa foi, avait une éducation hellénique semblable, on retrouve des motifs similaires dont les détails se distinguent et les buts sont aux antipodes dans ces textes. Dans le cas de cette recherche, il s’agit de deux oeuvres du genre romanesque écrites en grec qui emploient chacune une histoire romantique à des fins édifiantes. Les buts de cette analyse sont triples. Ce travail cherche à montrer que Joseph et Aseneth a droit au titre de « roman grec, » de qualifier les expériences religieuses présentées dans ces oeuvres et de participer au débat sur la datation de Joseph et Aseneth par une étude comparée. Cette recherche se divise en trois sections. D’abord, le topos bien connu des romans a été analysé : la maladie d’amour. Dans les deux cas, le coup de foudre et la maladie émotionnelle qui s’en suit ont été dévoilés comme moteur important de la trame narrative, ainsi qu’une manière d’introduire des thèmes religieux ou philosophiques. En second lieu, les paroles des personnages au sujet de l’amour et le mariage ont été considérées. Puisque les protagonistes refusent le mariage initialement, les raisons données pour ce refus ont été révélatrices encore une fois de soucis sociaux, soit religieux, soit politiques. En dernier lieu, la relation entre le couple romantique et les dieux présents dans ces récits a été analysée. Les deux romans témoignent de la croyance contemporaine du grand rôle des dieux dans la vie des humains. Cette implication divine dans la vie mortelle s’est manifestée de manières différentes, car elle relève des buts divergents des deux romans. Le parallèle qui se présente est un lien individuel avec les dieux qui est évident dans les romans d’amour. / This thesis examines the use of eroticism and love as literary devices in two ancient novels. The primary text analysed is a work derived from the Torah entitled Joseph and Aseneth. The second piece is the Æthiopika, the romance written by Heliodorus of Emesa. Despite their divergent backgrounds, all authors received a similar Hellenic education, and motifs bearing striking similarities are thus found in these narratives of antithetical purposes. Moreover, both of these texts are novels, were written in Greek, and exploit romance in order to edify their public. This thesis has three purposes. It aims to show that Joseph and Aseneth is deserving of classification as a Greek romance, to qualify the religious experiences had by the characters, and to contribute to the discussion of dating of Joseph and Aseneth by this comparative study. A tripartite analysis is used in this research. To begin with, the well known romantic trope of lovesickness is analysed. In both cases, the use of love at first sight and the emotional illness that follows are shown to be not merely genre requirements, but motors of the plot, as well as a means by which an author can introduce either religious or philosophical elements. The second section takes up speech pertaining to love and romance. As protagonists from both novels initially refuse matrimony, the language regarding these refusals is highly informative of social anxieties, particularly political or religious concerns, regarding marriage. Lastly, the relationship between the romantic couple and the gods present in their narrative is considered. The two novels display the historically appropriate understanding that the gods intervene in the private lives of mortals. The fashions and reasons for which they do so is different in each story, a convergence stemming from the purposes of these two works. Parallels can be drawn, however, for both narratives display a shift from institutional to personal religion, through the individual relationships of characters with divinities.
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Au-deçà de la Cité de Dieu

Gariépy, Charles January 2016 (has links)
La Cité de Dieu a été rédigée dans une perspective polémique vis-à-vis les païens. La prise de Rome, en 410, a entraîné en Afrique du Nord la venue d’une élite cultivée, revivaliste et admirative du vieux polythéisme. Contre cette mouvance nostalgique, tributaire des anciens majoritairement sur le plan intellectuel et livresque, Augustin s’en prend à la bibliothèque des nouveaux arrivants. La Cité de Dieu peut, le cas échéant, être lue par la négative, c’est-à-dire par le biais de la critique qu’élabore Augustin de trois auteurs choisis, Varron, Cicéron et Salluste, qui résument et représentent conjointement l’essence de la culture classique. Tant chez les païens que chez l’évêque d’Hippone – leur détracteur –, Varron incarne la fine pointe de la théologie romano-hellénistique, Salluste est celui qui a mené à sa perfection la discipline de l’histoire, Cicéron a écrit le parachèvement des oeuvres sur la République, et chacun préconise sa structure idéologique propre, les trois domaines formant pourtant un ensemble systémique. Tout en louant ses illustres prédécesseurs, Augustin leur porte une critique générale et c’est à cette critique que seront consacrées nos analyses. / The City of God was written from a polemical perspective in opposition to the pagans. In 410 DC, the Fall of Rome led to the rise of a cultured elite in North Africa who were revivalist and admired the ancient polytheism. Against this nostalgic movement, which was mainly dependent on the Ancients, intellectually and in terms of the literature, Augustine attacked the newcomers’ literary basis. The City of God can be read in the negative, that is, in terms of the criticism Augustine develops of three chosen authors, Varro, Cicero and Sallust, who summarize and jointly represent the essence of classical culture. To both the pagans and the bishop of Hippo – their detractor –, Varro embodies the cutting edge of Roman-Hellenistic theology, while Sallust led the discipline of history to its perfection, and Cicero wrote the definitive works on the Republic – each promoting his own ideological structure, yet with the three areas forming a systemic whole. While praising his illustrious predecessors, Augustine levels a general criticism against them and it is on this criticism that our analyses will focus.

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