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La théorie du marketing politique et le repositionnement du Parti conservateur du Canada lors de l'élection de 2006

Dufresne, Yannick January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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La théorie du marketing politique et le repositionnement du Parti conservateur du Canada lors de l'élection de 2006

Dufresne, Yannick January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Les commémorations du bicentenaire de la guerre de 1812 sous le gouvernement Harper : Une tentative de transformation des mythes nationaux canadiens

Blais-Lacombe, Ariane 15 October 2018 (has links)
La présente thèse se penche sur la tentative de transformation des mythes nationaux canadiens par le gouvernement Harper entre 2006 et 2015. La question à laquelle nous souhaitons répondre est : Comment le gouvernement Harper a-t-il cherché à transformer les mythes nationaux canadiens pendant sa décennie au pouvoir? Notre compréhension du concept de « mythe national » est basée sur la théorie des mythes sociaux de Gérard Bouchard (2014). En guise de réponse provisoire à notre question de recherche, nous proposons comme hypothèse que le gouvernement conservateur de Stephen Harper a tenté d’ériger trois mythes nationaux d’orientation conservatrice trouvant leur source dans son interprétation de la guerre de 1812. Le premier mythe est que le Canada est une « nation guerrière » avec un riche passé militaire. Le second est que l’histoire nationale canadienne est longue et remonte à un passé lointain. Le troisième est finalement qu’une part importante de l’identité canadienne correspond à son héritage britannique. L’établissement de ces nouveaux (ou anciens) mythes nationaux s’oppose à l’identité canadienne libérale. Au-delà de l’apparent rapprochement avec les États-Unis opéré par le gouvernement Harper, son récit identitaire prend bien soin de distinguer la nation canadienne de son puissant voisin. Notre étude se concentre sur le bicentenaire de la guerre de 1812, abondamment célébré par les Conservateurs en 2012, pendant l’unique mandat majoritaire du gouvernement Harper. Pour vérifier notre hypothèse, nous analysons une série de documents produits ou financés par le gouvernement canadien dans le cadre de ces commémorations. Notre analyse de contenu permet de mettre en lumière le message véhiculé par les Conservateurs sur l’identité canadienne à partir de cette guerre. Notre étude contribue également dans une plus large mesure à la littérature sur les mythes sociaux et les imaginaires collectifs en proposant une application pratique de la théorie de Bouchard.
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The Conservative Party and bilingualism 1967-1976

Stairs, William J. 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Albert Sévigny et le Parti conservateur (1902-1918)

Bélanger, Réal 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Relégué aux oubliettes ou toujours vivant? : la place du Québec dans la stratégie de marketing électoral du Parti conservateur du Canada de 2006 à 2011

Pineault-Desrosiers, Samuel 23 April 2018 (has links)
Peu de recherches en marketing politique se sont intéressées à la sélection des territoires (provinces, États, régions) ciblés par les partis politiques en période électorale. En analysant les déplacements de Stephen Harper et les plateformes électorales du Parti conservateur du Canada (PCC) lors des trois dernières élections fédérales, nous vérifions si les provinces ciblées sont celles qui détiennent le plus de circonscriptions de type champs de bataille. Malgré certaines nuances, le PCC cible davantage les provinces qui comptent le plus de champs de bataille. Toutefois, les champs de bataille perdus aux élections précédentes prédisent plus précisément quelles provinces seront ciblées dans les efforts de communication électorale. Lorsque le PCC contrôle plus de la moitié des circonscriptions d’une province, il semble confier la campagne aux exécutifs provinciaux. Enfin, le Québec semble détenir une place particulière dans la stratégie conservatrice, indépendamment du faible nombre de circonscriptions où le parti est compétitif. / A limited body of work in political marketing research has focused so far on the selection of territories (provinces, states, regions) targeted by political parties during election periods. By analyzing Stephen Harper’s appearances and the election platforms of the Conservative Party of Canada, we wanted to know if the targeted provinces were those that held the largest amount of battleground ridings. Our analysis reveals that, indeed, the CPC targets provinces that contain the most battlefields. However, this finding should be nuanced. For instance, lost battlegrounds are the most important ridings in the development of a strategy and more effectively predict targeted provinces. Also, when the CPC controls more than half of the constituencies in a province, the national executive appears to entrust its regional campaign to the provincial executive. Finally, Québec seems to hold a special place in the conservative strategy, regardless of its limited share of battleground ridings.
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La politique de brèche conservatrice au Canada : le cas de l'abolition du registre des armes à feu d'épaule

Dumouchel, David 19 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2013-2014. / Alors que la littérature scientifique commence à s’intéresser aux effets du recours aux enjeux de brèche sur la participation électorale et sur la valence du vote, aucune étude n’a encore cherché à comprendre comment ces enjeux étaient mobilisés par les acteurs politiques qui tentent de maximiser leur efficacité. Ce mémoire de maitrise vise à combler ce vide en décrivant les tactiques de politique de brèche mises en œuvre par le Parti conservateur du Canada (PCC) dans le dossier de l’abolition du registre des armes à feu d’épaule (ARAF). Pour ce faire, il propose une analyse de contenu des débats parlementaires fédéraux tenus entre 2006 et 2011. Il teste quatre hypothèses principales. La première d’entre elles veut que la probabilité qu’un politicien invoque volontairement un enjeu de brèche donné dépende de son allégeance partisane. La deuxième établit un lien entre l’allégeance d’un politicien et la probabilité qu’il mentionne certains segments électoraux lorsqu’il invoque un enjeu de brèche donné. La troisième hypothèse propose un lien entre l’allégeance politique d’un politicien et la probabilité qu’il cible une circonscription électorale que son parti ne représente pas lorsqu’il invoque un enjeu de brèche donné. Enfin, la dernière hypothèse examine si la probabilité qu’un politicien qui invoque un enjeu de brèche donné pointe la dissension que ce dernier génère chez ses adversaires dépende de son allégeance partisane. Les résultats des régressions probit menées avec les données obtenues grâce à l’analyse de contenu démontrent que les élus conservateurs agissent différemment des autres députés lorsqu’il est question de l’ARAF. Cette différence est d’ailleurs systématique à travers toutes les dimensions mesurées. Les parlementaires du PCC sont en effet plus susceptibles de faire de la politique de brèche à partir de l’enjeu en l’invoquant de leur propre gré plus souvent que leurs adversaires (la différence avec les bloquistes n’est toutefois pas significative au plan statistique), en ciblant avec constance trois segments ruraux ainsi que des circonscriptions qui ne leur appartiennent pas et en soulignant la dissension qui gangrène les autres coalitions politiques à ce sujet. Ces résultats s’arriment toutefois à de complexes patrons d’invocation. D’une part, la plupart des interventions volontaires conservatrices sont concentrées pendant cinq périodes d’activités, qui correspondent le plus souvent à des périodes où la fièvre électorale monte à Ottawa. D’autre part, le recours aux tactiques de « ciblage » et de « mise en évidence de la dissension » est presque limité à la 40e législature (2008 à 2011) et semble catalysé par les soubresauts législatifs qui surviennent dans le dossier de l’ARAF. Ces données offrent un éclairage novateur sur la façon dont les propriétés fractionnistes des enjeux de brèche sont activées par les acteurs politiques et ouvrent des perspectives de recherche qui permettraient de mieux évaluer l’effet de la politique de brèche sur les comportements électoraux des citoyens. L’étude contribue par ailleurs au développement d’une perspective canadienne sur la politique de brèche, un concept souvent évoqué dans les médias du pays, mais qui tarde à être analysé de manière systématique par la recherche scientifique.
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Le parti conservateur fédéral et le Québec, 1927-1957

La Terreur, Marc 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Rock et politique au Royaume-Uni (1994-2007) : de "Cool Britannia" à " Broken Britain" / The Politics of Rock Music in the United Kingdom (1994 – 2007) : from "Cool Britannia" to "Broken Britain".

Clément, Guillaume 01 December 2014 (has links)
Dans les années 1990, le rock britannique revient sur le devant de la scène, porté par des groupes tels Blur, Oasis, Pulp et Suede, que la presse rassemble sous l'étiquette Britpop. Non contents de s'inspirer des grands groupes locaux des années 1960, comme les Beatles, ces musiciens se distinguent par une écriture et une image profondément ancrées dans leur propre identité britannique, et évoquent volontiers dans leurs chansons le mode de vie de la jeunesse comme la culture de la classe ouvrière. Cette renaissance sur les plans musical et culturel (participant au phénomène Cool Britannia) est contemporaine de la rénovation de l'idéologie et de l'image du Parti travailliste, qui devient New Labour sous la férule de Tony Blair, intéressé par la vision positive de la britannicité dépeinte par la Britpop. Dans la course aux élections législatives de 1997, le chef de l'opposition cherche à présenter son parti comme jeune et moderne, et se rapproche des acteurs de la scène rock de l'époque dans le but de courtiser l'électorat jeune qui fait défaut à la gauche depuis les années 1980. L'utilisation du rock en tant qu'outil de soutien politique pourrait néanmoins paraître contre-Nature à cause du rôle traditionnel de ce genre musical, lié aux sous-Cultures et mouvements contestataires. L'étude des excroissances du mouvement Britpop, visibles jusqu'à l'accession de Gordon Brown au poste de Premier ministre en 2007, permettra de dégager l'existence d'une veine critique et contestataire au sein de cette même scène rock, proposant une vision plus réaliste de la société, rappelant l'idée de Broken Britain mise en avant par les Conservateurs à cette époque. / In the 1990s, a string of successful bands such as Blur, Oasis, Pulp and Suede, inspired by glorious forefathers like the Beatles, revived the British rock genre. The press was quick to dub this new scene "Britpop", to describe the way these bands drew their inspiration from their own sense of Britishness, both in their appearance and in their lyrics, which documented several aspects of youth and working-Class cultures in Britain. Meanwhile, the Labour Party was undergoing a similar kind of rebirth under the influence of Tony Blair, who rebranded his party as New Labour. Since Britpop offered a positive, near-Patriotic vision of Britishness in line with the spirit of "Cool Britannia", Blair sought to obtain a very visible support from the Britpop scene in the run-Up to the 1997 general election. This was conceived as a way to help rejuvenate the Labour Party's image and to secure the youth vote which had eluded the left since the 1980s. However, the traditional view of rock music (as a type of protest music, prone to generating subcultures) hardly seems compatible with the idea that it could be used to support a mainstream political party. As the Britpop format went on to influence homegrown rock music into the next decade, with Gordon Brown succeeding Blair as Prime Minister in 2007, it seems several bands took British rock back to its primary, subversive function by painting a realistic picture of British society, closer to the concept of "Broken Britain" than to that of "Cool Britannia".
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Le Parti conservateur et le processus de prise de décision en matière de politique étrangère et de défense au Royaume-Uni : les cas de la signature des Traités de Lancaster House et de la guerre en Libye, 2005-2011 / The Conservative Party and the Foreign and Defence Policy Decision-Making Process in the United Kingdom : the Cases of the Signing of the Lancaster House Treaties and the War in Libya, 2005-2011

Harrois, Thibaud 10 November 2016 (has links)
Dès 2005 et son élection à la tête du Parti conservateur, David Cameron fit connaître son intention de réviser la politique étrangère britannique selon les principes du « conservatisme libéral ». Prenant ses distances avec le réalisme qui avait guidé les choix de Margaret Thatcher et de John Major aux lendemains de la guerre froide, Cameron associait la défense des intérêts nationaux et le maintien du rôle du Royaume-Uni sur la scène internationale avec le renouveau d’une tradition libérale, qu’il prenait cependant soin de distinguer des excès de l’interventionnisme dont avait fait preuve Tony Blair après 2001. Arrivés au pouvoir en mai 2010 au sein d’un gouvernement de coalition, les Conservateurs refusaient l’idée de tout repli stratégique, en dépit du décalage qui existait entre leurs ambitions et les moyens limités qu’ils étaient en mesure de consacrer à la politique de sécurité. Par le biais de l’analyse de deux études de cas : la signature d’accords de coopération bilatérale avec la France, le 2 novembre 2010, et l’intervention militaire en Libye de 2011, cette thèse examine les facteurs qui influencèrent les décisions prises par le nouveau gouvernement, ainsi que les mécanismes ayant conduit à leur adoption. Suivant une approche interprétiviste, ce travail étudie les traditions, c’est-à-dire l’héritage historique, dans lesquelles les actions du gouvernement de coalition s’inscrivirent, mais aussi la manière dont les différents acteurs de ce domaine spécifique de la politique du pays ont fait évoluer cet héritage pour répondre aux dilemmes posés par l’émergence de nouvelles menaces dans un contexte de réduction des dépenses de l’Etat et d’incertitude stratégique. / Soon after he was elected leader of the Conservative Party in 2005, David Cameron signalled his intention to implement a foreign policy based on ‘liberal Conservative’ principles. Cameron distanced himself from the realism that had guided the choices made by Margaret Thatcher and John Major in the aftermath of the Cold War. Therefore, he associated the defence of national interests, as well as the preservation of Britain’s role in the world, to the revival of the liberal tradition. However, he also insisted on the difference between his approach and the excesses of Tony Blair’s interventionism after 2001. The Conservatives, who were part of the Coalition Government that took office in May 2010, rejected the idea of strategic shrinkage, in spite of the existing gap between their ambitions and the limited resources they could allocate to security policy. Through the analysis of two case studies – the signing of the Lancaster House Treaties on 2 November 2010, and the 2011 military intervention in Libya – this thesis examines the factors that influenced the decisions made by the new government, as well as the mechanisms that led to them. By adopting an interpretivist perspective on these events, the thesis studies the traditions, that is to say the historical inheritance that formed the background of the government’s actions, but also the way the various actors involved in that specific area of policy modified that inheritance to respond to the dilemmas created by the emergence of new threats in a context of cuts in government spending and strategic uncertainty.

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