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Sozialisten und Radicaux, eine schwierige Allianz : Linksbündnisse in der Dritten Französischen Republik, 1919-1938 /

Neri, Daniela, January 2005 (has links)
Texte abrégé de: Habilitationsschrift--Philosophische Fakultät--Universität Regensburg, Wintersemester 2003/2004. / Bibliogr. p. 470-499.
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Sozialdemokratie und Europa die Europapolitik von SPD, Labour Party und Parti Socialiste

Krell, Christian January 2007 (has links)
Zugl.: Siegen, Univ., Diss., 2007
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Les guesdistes le mouvement socialiste en France, 1893-1905.

Willard, Claude. January 1900 (has links)
Thèse--Paris, 1964. / Without thesis statement. Bibliography: p. [667]-745.
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Sozialdemokratie und Europa : die Europapolitik von SPD, Labour Party und Parti Socialiste /

Krell, Christian. January 2009 (has links)
Diss. Univ. Siegen, 2007.
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Les guesdistes; le mouvement socialiste en France, 1893-1905.

Willard, Claude. January 1900 (has links)
Thèse--Paris, 1964. / Without thesis statement. Bibliography: p. [667]-745.
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Linksradikalismus in der Deutschen Schweiz : 1914-1918 /

Jost, Hans Ulrich. January 1900 (has links)
Zugl.: Diss. phil.hist. Bern. / Die wichtigste Literatur der Jahre 1970 bis 1972 wurde nachträgl. noch beigezogen und zum Teil eingearbeitet.
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The French Left and Indochina, 1945-1954

Rice-Maximin, Edward Francis, January 1900 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of Wisconsin--Madison, 1974. / Typescript. Vita. eContent provider-neutral record in process. Description based on print version record. Includes bibliographical references (leaves 418-440).
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Pourquoi et comment désarmer? : le discours public de la SFIO et du Labour sur le désarmement (1925-1932) : étude d'histoire comparée

Huntzinger, Damien 24 September 2024 (has links)
Pour les partis politiques attachés à des idéaux pacifiques et internationalistes, comme les partis socialistes, la période de préparation à la Conférence mondiale du désarmement, soit entre 1925 et 1932, put paraître pleine de possibilités pour la réduction des armements nationaux. Bien que ces partis aient partagé un lien transnational, par leur adhésion à l’Internationale ouvrière socialiste, ils étaient avant tout des organisations évoluant dans des cadres nationaux différents. Ainsi, les positions qu’ils mirent de l’avant afin de convaincre leur électorat respectif ne purent être totalement semblables. Dans ce mémoire, le discours public, ainsi que les arguments le sous-tendant, de la SFIO et du Labour concernant le désarmement entre le 12 décembre 1925 et le 3 février 1932 est décrit, analysé et comparé. Les raisons du désarmement, les appréciations des développements sur la question autant dans le contexte de la SDN que dans les autres réunions internationales ainsi qu’au niveau strictement national pour les deux partis sont l’objet de cette étude. Il apparaît que la SFIO et le Labour ont présenté des arguments similaires afin de justifier le désarmement. De plus, bien qu’ils aient tous deux appuyé un potentiel rôle d’arbitrage pour la SDN, alors que les socialistes ont insisté sur leur rôle de lobbyistes, les travaillistes tablèrent plutôt sur les responsabilités des chefs d’État et des « grands hommes » dans le processus, tout particulièrement lorsque leur parti fut au pouvoir. Les travaillistes démontrèrent également une ouverture pour toute avancée du désarmement, même minime, alors que les socialistes préférèrent manifestement les ententes globales. Finalement, des approches nationales aux implications différentes furent promues : l’organisation de la nation en temps de guerre en France et la promotion d’un esprit de paix en Grande-Bretagne. / For political parties which held pacifist and internationalist ideals, particularly socialist parties, the period leading to the World Disarmament Conference of Geneva, between 1925 and 1932, might have appeared as full of possibilities for national arms control and reduction. While these parties shared a transnational link, through their membership in the Labour and Socialist International, they were, first and foremost, organisations active at the national level. As such, the policies that they advocated in order to convince voters could not be totally similar. In this master’s thesis, the public discourse, as well as the underlying arguments, advocated by the French Section française de l’Internationale ouvrière (SFIO) and the British Labour party on the disarmament process between December 12, 1925 and February 3, 1932 are described, analysed and compared. The reasons to disarm, the opinions on the disarmament process at the League of Nations and on other international stages as well as at the national level for both parties, are the subjects of this study. It appears that the SFIO and the Labour employed similar arguments in order to explain the importance of disarmament. Moreover, even though they both supported a potential arbitration role for the League, while the French Socialists considered themselves principally as lobbyists, the British Labourites insisted on the responsibilities of heads of states and other “great figures” in the process, particularly when their party held power in the United Kingdom. The Labour party also demonstrated openness towards any progress on disarmament, even small developments, while the SFIO favoured a more general approach. Finally, the two parties promoted national endeavours with very different implications: the organisation of the nation during wartime in France and the promotion of a global, if somewhat vague, peace spirit in the United Kingdom.
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« Les changements d'une organisation. Le Parti socialiste, entre configuration partisane et cartellisation (1971-2007) »

Barboni, Thierry 27 November 2008 (has links) (PDF)
En 1971, le Parti socialiste est refondé. L'objectif est alors de conquérir le pouvoir. En 2007, le PS perd des élections présidentielles devenues son objectif « naturel » : il est aujourd'hui un parti de gouvernement et dispose d'une implantation électorale sans précédent. Cette réussite électorale n'a pas été sans générer de profondes mutations du parti. Celui-ci a été structuré sur le modèle du parti de masse et ses membres le pensent intrinsèquement comme un parti de militants. Mais, tiraillés entre ce qu'est effectivement le PS et ce qu'il devrait être, ses dirigeants ont dû adapter l'organisation socialiste à son statut. Cette adaptation est étroitement liée aux rapports qu'entretiennent désormais les socialistes à l'Etat : il a fallu intégrer les contraintes du pouvoir et surtout ajuster le parti à la professionnalisation croissante de ses élites. Or, si la croissance du financement public dans son budget, la recomposition de son organisation centrale, ou bien encore le poids des élus sur le parti semblent corroborer cette idée, l'imbrication croissante du PS dans l'Etat, sa cartellisation donc, ne saurait s'effectuer mécaniquement. L'organisation du PS est avant tout l'objectivation de la configuration partisane socialiste, c'est-àdire le produit des interdépendances qui lient l'ensemble des membres du parti entre eux. L'accession au pouvoir et la réussite électorale ont profondément bouleversé cette configuration, heurtant ainsi directement la forme et les représentations de l'organisation socialiste. La cartellisation de l'organisation constitue donc la traduction contrariée et toujours inachevée dans sa forme des transformations qui affectent la configuration partisane socialiste. Autrement dit, s'il est dorénavant « normal » que le Parti socialiste prétende au pouvoir, cette évidence n'a été rendue possible qu'au prix de la cartellisation de son organisation, condition nécessaire au bon fonctionnement d'une configuration partisane lentement – et parfois douloureusement – adaptée aux exigences que le statut du parti requiert. Aussi, au terme de cette évolution, même si les représentations du PS comme « parti de militants » perdurent encore, celui-ci est désormais bel et bien, et avant tout, une véritable entreprise partisane.
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Léon Blum et la politique étrangère de la France en Europe de l'Est (1919-1936) : du socialisme intégriste à la conception militaire de la sécurité

Jolin Gignac, Jean-Sébastien 11 April 2018 (has links)
Le présent mémoire consiste à analyser la politique étrangère est-européenne de la Section française de l'Internationale ouvrière (SFIO) par l'entremise des conceptions idéologiques de Léon Blum entre 1919, date à laquelle il est élu député du parti en Chambre, et 1936, date à laquelle il accède au poste de président du Conseil. Notre objectif consiste à démontrer que l'idéologie socialiste ne s'affirma pas pendant toute la période comme étant la base argumentative exclusive des prises de position blumistes sur les moyens d'assurer le maintien de la pacification européenne et que, lorsqu'il y eut des écarts entre celle-ci et les propositions concrètes que fit Blum, il les justifia systématiquement en invoquant la prééminence nécessaire de la cause de la paix sur les dogmes idéologiques. Nous désirons également attester que la doctrine socialiste, telle que définie par Blum et en tant que cadre analytique prédominant, ne constitua pas un outil favorisant la compréhension des implications, sur l'Europe de l'Est, des problèmes d'entre-deux-guerres. Elle attenta donc sérieusement à la pertinence des propositions blumistes visant à éradiquer ces litiges déterminants pour l'avenir du 'Vieux Continent'. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014

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