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Analyse du discours éditorialiste portant sur la campagne à la chefferie du Parti Québécois (1985) : la représentation des candidats femmes /Girard, Lyne, January 1990 (has links)
Mémoire (M.A.)-- Université du Québec à Chicoutimi, 1990. / "Mémoire présenté pour l'obtention du grade de maître es arts (M.A.) dans le cadre d'une entente entre l'Université Laval et l'Université du Québec à Chicoutimi" CaQCU Bibliogr.: f. 87-91. Document électronique également accessible en format PDF. CaQCU
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L'émergence du Bharatiya Janata Party et son interaction avec l'HindutvaLamoureux, Julie-Anne January 2008 (has links) (PDF)
Le Bharatiya Janata Party (BJP) a été fondé en 1980 par les nationalistes hindous, soucieux de légitimer leur option politique. Le parti s'est rapidement imposé dans le système politique indien en transition. De force marginale et marginalisée au début de la décennie, il est parvenu à devenir une réelle menace pour le parti du Congrès dès la fin des années 1980. Il a propulsé son idéologie, l'Hindutva, a participé à la communalisation du jeu politique et a dirigé l'Inde à la fin des années 1990, au moment même où paradoxalement l'idéologie nationaliste hindoue perdait du terrain. Ce mémoire s'interroge donc sur la relation entre le parti politique, le BJP, et l'idéologie, l'Hindutva. Comment un parti politique peut-il connaître une ascension fulgurante sans que l'idéologie sur laquelle il fonde ses idées et son programme en fasse autant? Nous concluons que les contraintes du système moderne indien de partis politiques, le manque de cohésion de la communauté hindoue et l'évolution de l'électorat indien à partir des années 1980 expliquent ce phénomène. En effet, si le système politique indien en transformation dans les décennies 80 et 90 a permis à l'Hindutva de s'imposer, par sa nouvelle structure, il l'a aussi contenu. La nouvelle dynamique politique de l'Inde ne permet plus à un seul parti politique de diriger le pays. Les coalitions s'imposent dans ce système fédéral et obligent les partis à nuancer leurs positions pour construire des alliances solides avec des formations qui évoluent sur la scène fédérale et d'autres qui oeuvrent au niveau régional, dans les États de l'Union. Le système jadis dirigé par un seul parti, celui du Congrès, a évolué à tel point qu'il s'est transformé en système multipartite avec deux pôles principaux, le Congrès et le BJP. L'Hindutva a connu ses moments de gloire, mais la communauté hindoue n'est pas suffisamment unie. Elle est trop diversifiée, elle est dispersée sur un vaste territoire, n'a pas d'autorité religieuse centrale et rassembleuse, et ses membres ne partagent pas les mêmes rituels et les mêmes références. Le BJP, dans un tel contexte, n'a eu d'autres choix que d'assouplir sa promotion de l'Hindutva. D'autant plus que l'électorat indien a bien changé depuis 25 ans. Il y a eu une révolution par les basses castes au cours des dernières décennies. Grâce à la régionalisation de la politique, ces groupes auparavant exclus se sont affirmés et ont réclamé leur part des récents progrès économiques. Ces Indiens moins nantis, n'adhèrent pas naturellement au nationalisme hindou, d'autant plus que cette idéologie les désavantage et tente d'entretenir leur soumission à la hiérarchie sociale défendue par les Indiens brahmanes. Les basses castes ont condamné le BJP en choisissant plutôt en 2004 la coalition dirigée par le parti du Congrès, davantage considérée à l'écoute des besoins des dalits. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Hindutva, Hindouité, Nationalisme hindou, Nationalisme culturel, BJP, Bharatiya Janata Party, Système politique, Partis politiques, Régionalisation, Coalitions, Castes, Communalisme, Nationalisme.
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L'Union nationale : 1932-1939 : un fascisme en Suisse romande /Joseph, Roger, January 1975 (has links)
Thèse--Sc. pol.--Lausanne, 1974. / Bibliogr. p. 415-426. Index.
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Le Bharatiya Janata Party et ses conflits internes tel que vus par le traitement des minorités religieuses de l'IndeSotiron, Jean-Michel 01 1900 (has links) (PDF)
Le Bharatiya Janata Party (BJP) ou parti populaire indien fait partie du mouvement de l'hindutva qui désire rendre l'Inde plus hindoue, qu'elle devienne un pays officiellement hindou. Le mouvement et le parti sont tous les deux controversés. Le présent travail cherche à mieux comprendre le fonctionnement du BJP. Son traitement des minorités religieuses, soit les chrétiens, les musulmans et les sikhs a été étudié dans ce but. C'est par une revue des publications officielles des 25 premières années du parti qu'a été accompli le travail. L'hypothèse était que le parti est principalement divisé selon des lignes idéologiques, entre extrémistes et pragmatiques. Des paroles inclusives envers les minorités étaient considérées comme l'œuvre de l'aile pragmatique, tandis que des paroles discriminatoires viendraient des extrémistes. La conclusion a été que le parti est bel et bien divisé à ce niveau. L'aile pragmatique semble avoir le dessus, la majorité des écrits est inclusive. Les chrétiens et musulmans ont fait l'objet d'une certaine discrimination. Malgré cela, les paroles les concernant sont largement positives. Les sikhs sont très bien traités dans les publications. Les écrits du BJP sont plus axés sur leurs revendications contre le parti du Congrès et le Pakistan.
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La représentation politique de la minorité hongroise de Roumanie : l’Alliance Démocrate Hongroise de RoumanieHorváth, Réka 14 November 2006 (has links)
Dans ma thèse j’analyse l’Alliance Démocrate Hongroise de Roumanie (RMDSZ, UDMR, DAHR), l’organisation qui a représenté la minorité hongroise de Roumanie dans le Parlement de la Roumanie entre 1990-2004. La troisième partie de la thèse qui contient l’analyse de l’Alliance Démocrate Hongroise de Roumanie se structure autour des sujets suivants : l’émergence de l’UDMR ; les résultats électoraux de l’UDMR; les relations qui se sont établies entre l’UDMR et les partis politiques roumaines, les partis politiques de Hongrie, les organisations internationales; les changements des programmes de l’UDMR; l’autonomie; la structure de l’UDMR; les initiatives législatives de l’UDMR; la vie interne de l’UDMR.
La thèse contient aussi une mis en perspective historique, le recensement et la brève analyse des organisations et des partis qui entre 1920-1989 ont voulu représenter la minorité hongroise de Roumanie. La thèse inclut également un chapitre qui analyse les revendications liées à l’enseignement en langue hongroise des partis/des organisations hongroise entre 1920-2004.
The thesis analyses UDMR (RMDSZ/DAHR), the organization that represented the Hungarian minority in the Romanian Parliament between 1990-2004. The third part consists of the analysis of the DAHR and it has as guidelines the following themes: the establishing of DAHR; the electoral results of DAHR; the relationship between DAHR and the Romanian political parties; the relationship between DAHR and the political parties from Hungary; DAHR and the international organizations; the changes of the DAHR’s program; autonomy; the structure of DAHR; the legislative drafts of DAHR; the internal life of DAHR.
The thesis speaks also about the organizations/parties that have been representing the Hungarians in the political life of Romania between 1920-1989. In the same time, the last chapter analyses the demands of the Hungarian organizations/parties regarding the education in the Hungarian language at all levels, demands from the period of 1920-2004.
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L'appareil de l'opinion publique du cabinet du premier ministre Bernard Landry : une analyse à la lumière de l'expérience de la Maison-BlancheCarrier, Emmanuelle January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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L'ordre juridique partisan / The partisan juridical orderPotier de La Varde, Eléonore 18 February 2013 (has links)
Etudier l’ordre juridique partisan, c’est affirmer qu’un parti politique constitue un ordre juridique. Pour cela, il faut d’abord montrer que les règles internes des partis répondent aux critères mobilisés par la doctrine pour qualifier la juridicité puis, en s’inscrivant dans la perspective du pluralisme juridique et en s’appuyant sur la théorie de l’institution, démontrer que le parti politique, en tant qu’institution, est un ordre juridique. Ce constat implique d’étudier ses relations vis-à-vis de l’Etat tant en ce qui concerne son encadrement que son contrôle ce qui permet de prendre la mesure de son autonomie. L’ordre juridique partisan n’est pas seulement un ordre juridique spécifique, c’est encore un ordre juridique flexible, perméable à la société qui l’entoure et au sein duquel le droit est instrumentalisé. La porosité de l’ordre juridique partisan vis-à-vis de son environnement se traduit par une conformation au contexte institutionnel dans lequel il évolue mais aussi par une adaptabilité aux évolutions du contexte social dans lequel il s’inscrit. Au sein du parti, le droit est mis au service de la justification des stratégies politiques et de nombreuses règles se voient contournées ou même jamais appliquées. Le droit disciplinaire, quant à lui, connaît une application circonstancielle motivée par des considérations d’opportunité politique ou résultant des rapports de forces internes au parti qui en font un droit négocié. / The study of the nature of partisan juridical order leads to affirm that a political party constitutes a juridical order. To do so, one must first establish that the internal rules of parties meet the criteria established by existing doctrine to decide that the threshold for lawfulness has been met ; and then, within the perspective of juridical pluralism and based on the theory of institutions, one must demonstrate that a political party, as an institution, is a juridical order. Such a finding implies the need to study the party’s relationship to the state, in both its regula tion and its control, so as to be able to measure its autonomy. The partisan juridical order is not only a specific juridical order; it is also a flexible juridical order, which is open to the society around it and within which the law is made instrumental . The porosity to its environment of the partisan juridical order results in its conforming to the institutional context in which it operates, but also in its adaptability to the evolution of the social context within which it fits. Within the party, the law is used to justify political strategies and a number of rules are bypassed or even never applied. As to disciplinary law, it is applied according to circumstances, and motivated by considerations of political opportunity or as a result of the internal balance of power within the party, which make it a negotiated law.
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Mouvements populaires et Partis politiques (1986-1996) : la restructuration manquée de l’ordre politique agonisant / Popular movements and Political parties (1986-1996) : the missed reorganization of the political order failingChenet, Jean-Baptiste 05 July 2011 (has links)
La chute de la dictature duvaliériste, le 7 février 1986, marque un véritable tournant dans l’évolution politique du pays. La situation nouvelle qui en résulte est généralement analysée ou comprise sous l’angle de l’explication découlant du paradigme des transitions. Ce cadre d’analyse s’est révélé en tous points inadapté pour rendre compte des bouleversements enregistrés. Dès lors, la recherche d’une explication alternative vient à se poser. Cette recherche tente d’explorer cette voie. Et elle soulève un questionnement fondamental qui appréhende la crise haïtienne sous l’angle de l’épuisement de l’ordre politique imposé lors de la première occupation américaine pendant la période 1915-1934. Le défi de cette restructuration du champ politique avait sollicité davantage le rôle et l’action de deux nouveaux acteurs qui ont durablement émergé dans la vie politique du pays à partir des années quatre-vingt : les mouvements populaires et les partis politiques. L’interaction qui s’établit entre ces deux acteurs avait acquis à la fois une dimension complexe et problématique. D’une part, ils (les acteurs) n’avaient pas pu développer une claire conscience de leur rôle dans le processus de transformation politique en cours. D’autre part, il s’est établi entre les deux acteurs un radical antagonisme qui a fini par compromettre la possibilité de construction des capacités politiques nationales en vue de favoriser une évolution positive dudit processus. Le retour à la domination directe américaine, avec l’intervention militaire de 1994, consacrera l’impossibilité de trouver une issue à la crise au plan interne. Cette intervention confirmera la réalité de l’épuisement de l’ordre politique de 1934 tout en provoquant des contradictions nouvelles. Elle a notamment contribué à précipiter la suppression de l’armée, tout en procédant de manière quasi-totale à la confiscation de la souveraineté du pays. Pendant la décennie 1986-1996 qui reste charnière dans le processus de changement politique en Haïti, il n’a pas été possible donc d’aboutir à une redéfinition de l’ordre politique agonisant. Mais l’enjeu de son renouvellement reste indispensable. Malgré leurs faiblesses et les controverses à la base de leur relation, les mouvements populaires et les partis politiques demeurent encore les deux principales formes de représentation politique ou d’action collective qui puissent aider d’avancer dans cette direction. La difficulté majeure est d’arriver à définir l’originalité de l’articulation entre ces deux acteurs qui pourrait bien convenir dans le contexte actuel marqué à la fois par le reflux des mouvements et le faible niveau d’enracinement de la forme partisane. / The fall of the dictatorship duvalierist, on February 7, 1986, mark a true turning point in the political evolution of the country. The new situation which results from it is generally analyzed or included/understood under the angle of the explanation rising from the paradigm of the transitions. This framework of analysis appeared in all points misfit to give an account of the recorded upheavals. Consequently, the search for an alternative explanation has been suddenly posed. This research tries to explore this way. And it raises a fundamental questioning which apprehends the Haitian crisis under the angle of the exhaustion of the political order imposed at the time of the first American occupation for the period 1915-1934. The challenge of this reorganization of the political field had more requested the role and the action of two new actors who durably emerged in the political life of the country as from the Eighties: popular movements and political parties. The interaction which is established between these two actors had acquired at the same time a complex and problematic dimension. On the one hand, they (actors) had not been able to develop a clear conscience of their role in the process of political transformation in progress. In addition, it was established between the two actors a radical antagonism which ended up compromising the possibility of construction of the capacities national policies in order to support a positive development of the known as process. The return to the American direct domination, with the military intervention of 1994, will devote impossibility of finding an exit with the crisis with the internal plan. This intervention will confirm the reality of the exhaustion of the political order of 1934 whole while causing new contradictions. It in particular contributed to precipitate the removal of the army, while proceeding in a quasi-total way to the confiscation of the sovereignty of the country. During the decade 1986-1996 which remains hinge in the process of political change in Haiti, it was not possible thus to lead to a redefinition of the political order failing. But the stake of its renewal remains essential. In spite of their weaknesses and the controversies at the base of their relation, the popular movements and the political parties remain still the two principal forms of political representation or class action suit who can help to advance in this direction. The major difficulty is to manage to define the originality of the articulation between these two actors which could be appropriate well in the current context marked at the same time by the backward flow of the movements and the low level of rooting of the form partisane.
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Le Parti Québécois, entre participation et centralisation : institutionnalisation d’une culture politique à travers les congrès de 1968 à 1984.Corriveau, Maxime January 2016 (has links)
L’histoire des partis politiques canadiens et québécois semble avoir peu intéressé les historiens. En conséquence, la vie de ces organisations politiques complexes échappe encore à ce jour aux connaissances de la science historique. L’évolution de l’histoire politique, autrefois généralement axée presqu’exclusivement sur les grands hommes d’État, ouvre toutefois de nouvelles perspectives pour aborder ces organisations et c’est à travers la perspective de la culture politique que nous avons abordé le Parti Québécois, en nous intéressant plus particulièrement aux différentes luttes internes pour le contrôle de son orientation.
Pour cibler cette culture politique, nous nous sommes attardés principalement au déroulement des neufs congrès nationaux prenant place sous le mandat de René Lévesque à la tête du parti, soit de 1968 à 1985. Nous abordons à travers cette étude l’évolution du rôle des militants, du programme, des structures, ainsi que la dynamique entre les principaux organes qui dirigent le parti (conseil exécutif, conseil national, aile parlementaire). Nous suggérons que malgré les apparences que lui confèrent ses statuts novateurs et démocratiques lors de sa fondation en 1968, le Parti Québécois n’a jamais réellement été ce qu’une partie de ses fondateurs et adhérents auraient souhaité.
Nos conclusions tendent à démontrer que le parti n’a jamais été le regroupement démocratique et dirigé largement par ses membres que plusieurs ont essayé de créer initialement, mais que ses dirigeants, au contraire, ont tenté constamment à travers le temps de contrôler l’enthousiasme de ses membres, de contenir leurs « déviations » idéologiques en plus d’aller parfois contre leurs convictions, pourtant ratifiées par des congrès démocratiques. Il va sans dire également que René Lévesque a joué un rôle important dans cette opposition constante et parfois paradoxale, entre la base et le sommet du parti.
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La contestation institutionnalisée : sociologie d'un parti d'opposition en contexte autoritaire : le cas du Front des forces socialistes algérien / Institutionalised contention : sociology of an opposition party in an authoritarian context : the Algerian Front des forces socialistesBaamara, Layla 09 June 2017 (has links)
À rebours des lectures fonctionnalistes et du rôle de « façade démocratique » souvent prêté aux partis d’opposition en contexte autoritaire, cette thèse étudie les logiques endogènes et exogènes des processus d’institutionnalisation de la contestation en Algérie. À partir d’une enquête menée entre 2009 et 2013 auprès de militants et dirigeants du FFS à Alger, Béjaïa et Tizi-Ouzou, ce travail éclaire à la fois les luttes et les conflits qui fragilisent l’organisation et les processus de (re)production du lien partisan qui favorisent sa perpétuation. Fondé au lendemain de l’indépendance de l’Algérie et communément qualifié de « plus vieux parti d’opposition », le Front des forces socialistes (FFS) se maintient depuis plus de cinquante ans. Contraint d’opérer dans la clandestinité sous le régime de parti unique (1962-1989), ce parti a été légalisé après l’adoption du pluralisme partisan en 1989. Depuis lors, il participe – bien que de manière variable – à la compétition politique. En explorant les pratiques partisanes oppositionnelles au concret avec une approche relationnelle, la thèse analyse comment la trajectoire du FFS s’inscrit à la fois dans l’espace protestataire et dans l’espace politique institutionnel. Elle questionne les tensions et les mises à l’épreuve que génère cette double inscription et montre ainsi comment une organisation partisane se perpétue en restant dans l’opposition dans des configurations de pouvoir ne permettant pas l’alternance / Established in the aftermath of Algeria's independence and commonly referred to as the "oldest opposition party", the Front des Forces Socialistes (FFS) has existed for more than fifty years. Forced to operate clandestinely throughout the single-party regime (1962-1989), this party was legalized after the adoption of party pluralism in 1989. Since then, it has participated - albeit in variable ways - to the political competition. How does a party perpetuates itself by remaining in the opposition within power configurations that prevent political change? Contrarily to functionalist approaches and the role of "democratic façade" often attributed to opposition parties in authoritarian contexts, this dissertation examines the endogenous and exogenous logics of protest institutionalization. By exploring partisan opposition practices with a relational approach, this work analyzes how the FFS trajectory incorporates the protest space as well as the institutional political space. It questions the tensions and the challenges generated by this double inscription. Based on fieldwork carried out between 2009 and 2013 with FFS activists and leaders in Algiers, Béjaïa and Tizi-Ouzou, the dissertation sheds light on both the struggles and conflicts that weaken the organization and processes of (re)production of the partisan link that favour its perpetuation
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