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Tussen loyauteit en selectiviteit : over de ambivalente verhouding tussen nieuwe sociale bewegingen en groene partij in Vlaanderen /Walgrave, Stefaan, January 1900 (has links)
Proefschrift--Sociale wetenschappen--Katholieke universiteit Leuven, 1994. / Bibliogr. p. 317-337.
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New pragmatic nationalists in Europe: experienced flemish and scottish nationalists in times of economic crisis, 2004-2012Ferreira Antunes, Sandrina 25 April 2013 (has links)
In the 90´s, Europe used to be depicted as the most privileged political arena for regional nationalist political parties to access for “more” political power. In that sense, whereas formal channels of regional interest representation were taken for granted by those standing within federal political systems; informal channels of regional interest representation were highly valued by regional nationalists standing in decentralized or devolutionary constitutional settlements. In spite of nuanced institutional preferences, Europe was rationally inspired (Ostrom 2005) as it used to be perceived as an aggregation of formal-legal structures that could be used as a means to prescribe, proscribe and permit a certain behavior in exchange of a personal utility. Moreover, regional nationalists were policy “maximizers” who acted in isolation, away from the center, using their own limited political resources to maximize their policy gains by pursuing distinctive forms of political autonomy. However, by the end of the 90’s, both categories of regional nationalists plunged into European disillusion due to the limits of a sovereign logic prevailing in Europe.<p>However, in the 21st century, as soon as a new European policy cycle started to emerge and the economic crisis started to cripple, experienced regional nationalists realized that they could use the benefits of regional economic resources in face of the European Economic strategy to justify further concessions of policy competences that are still shared, either in theory or in practice, as well as to argue for new ones. The political plan would consist of using the reference of the European Economic targets to deliver policies, which would allow them to legitimize their nationalist aspirations, in both layers of governance, as well as to induce regional citizens into their political plan so they can finally reach the legal threshold to endorse a new state reform. Moreover, since they were rationally bounded, in the sense that they were lacking the policy expertise to perform these goals, they have learned to rely on a policy narrative (Shabahan et al 2011; Jones and Beth 2010; Radaelli 2010) embedded in a territorial economic argument to make sense of an advocacy coalition framework (Sabatier and Jenkins-Smith 1993), using informal channels of regional interest intermediation as “cognitive” structures (Scot 1995a) to articulate a policy strategy to be implemented in Europe and at the regional level of governance. <p>Therefore, and irrespectively of nuanced constitutional settlements, all experienced regional nationalists have returned to the center, using informal channels as an instrument of governance (Salamon 2002) to clarify the best policy options to be implemented in both layers of governance. In other words, regional nationalists have become “policy satisficers” (Simon 1954) who have learned to forgo immediate satisfaction in Europe to collect major gains of political power across multiple layers of governance. If the term “usage” can be defined as the act of using something to achieve certain political goals (Jacquot and Wolf 2003), in this research, we will apply the concept of “usage” to demonstrate that experienced regional nationalists in government have moved from a rational to a cognitive “usage” of the European institutions to perform renewed political preferences across multiple layers of governance. <p>Departing from an actor centered institutionalist approach (Mayntz and Sharp 1997), we will demonstrate that the N-VA in Flanders, since 2004, and the SNP in Scotland, since 2007, have become new pragmatic nationalists. In that sense, we will argue that, in a clear contrast with pragmatic nationalists of the 90’s who expected to legitimize their nationalist aspirations in Europe by the means of a rational “usage” of the European institutions; experienced regional nationalists have become new pragmatic nationalists as they have learned to rely on a cognitive “usage” of the European institutions to legitimize their nationalist aspirations, no longer in Europe, but through Europe. <p>We will then conclude that in the 21st century, and against traditional dogmas of the 90’s, the “usage” of Europe by regional nationalists is cognitively twisted, economically driven and collectively performed. It embraces all experienced regional nationalist political parties in government, irrespectively of their constitutional settlement or nationalist credo, as long as they possess the ability to anchor a political strategy embedded in “identity” without sticking to strict politics of nationalism. <p> / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le rapport des adhérents à l'idéologie: un facteur discriminant entre partis ?contribution à l'analyse de l'idéologie et de l'adhésion au sein du CD&V et du VLD en FlandreVan Haute, Emilie 18 January 2008 (has links)
Notre analyse se centre sur l’étude approfondie du rapport des adhérents à l’idéologie. Nous avons opté pour une approche qui envisage ces positionnements comme des facteurs explicatifs potentiels. En effet, nous partons du postulat selon lequel l’homogénéité idéologique qui peut être perçue entre partis au sein d’un système, ou même entre partis auxquels on attribue une place similaire sur l’échelle générique gauche-droite, reflète en réalité des sensibilités parfois très divergentes. Nous avançons, à l’instar de Sartori, que les différences en termes d’idéologie ont un potentiel explicatif fort .Ce postulat va à contre-courant de beaucoup d’études qui prennent comme point de départ l’homogénéisation des idéologies, la convergence au centre, la dissolution des différences.<p>Le choix d’envisager le rapport des adhérents à l’idéologie comme facteur explicatif a été opéré au terme d’une revue de la littérature ayant mis en évidence les lacunes et axes de recherche originaux potentiels. Cette revue de la littérature a mené à l’élaboration d’un cadre synthétique des recherches sur la participation politique et l’adhésion (Chapitres I et II). Celui-ci distingue six grands types d’études, selon que l’adhésion soit envisagée en tant que variable dépendante ou indépendante, et en fonction du niveau d’analyse (macro, méso, micro). Au vu de ce grand nombre d’approches potentielles, il nous a fallu effectuer des choix pour élaborer notre problématique.<p>Parmi l’ensemble des analyses possibles, nous avons opté pour une approche au niveau méso. La littérature sur les partis aborde la question de l’adhésion, mais de façon souvent périphérique, et sur base de postulats qui sont rarement appuyés. Ce rapport indirect à l’adhésion a suscité notre curiosité et notre volonté de l’approfondir. Parmi les études envisageant les rapports entre adhésion et organisation, plusieurs approches sont développées en parallèle dans la littérature (approche fonctionnaliste, de choix rationnel, institutionnelle et génétique). Au final, nous en avons retenu deux, complémentaires :les approches institutionnelle et génétique des partis. Toutes deux postulent un certain rapport à l’adhésion et à l’idéologie. Ces deux approches sont complémentaires plus qu’exclusives. Sur base de ces deux approches, nous avons formulé deux hypothèses centrales. La première vise à vérifier si les caractéristiques de l’adhésion en termes d’idéologie permettent ou non de différencier les types d’organisations partisanes entre elles (approche institutionnelle). La seconde vise à vérifier si les positionnements idéologiques des adhérents permettent de confirmer ou d’infirmer la structuration des clivages à l’œuvre au sein des partis (approche génétique).<p>Afin de tester ces hypothèses et de mener à bien notre démonstration, la recherche est présentée sous forme de trois grandes parties correspondant aux étapes du raisonnement et de l’argumentaire. <p>La première partie a pour objectif de définir le cadre d’analyse et la problématique de notre recherche. Elle s’attache dans un premier temps à définir les concepts centraux de notre étude et à proposer des cadres analytiques pour chacun d’eux (Partie I, Chapitres I et II). Ces deux concepts centraux sont les notions de participation politique et de participation partisane, ou d’adhésion. Ces deux premiers chapitres reviennent sur ces deux notions de participation politique et de participation partisane ou d’adhésion, en définissent les contours, les modalités, et proposent des cadres d’analyse pour leur étude. Ils permettent de mieux cerner notre objet d’étude par un triple travail de définition et de classification, d’état de la littérature, de présentation et de discussion critique d’un cadre d’analyse pour les approches retenues.<p>Cette démarche facilite et autorise dans un deuxième temps l’élaboration de notre problématique (Partie I, Chapitre III). Le chapitre consacré à la précision de celle-ci revient dans un premier temps sur la notion de positionnement idéologique. Nous précisons la notion à l’aide des travaux de Sartori, qui distingue deux niveaux au concept :un aspect cognitif (rapport à la connaissance) et un aspect émotif (degré d’attachement) ,et quatre formes de rapport à l’idéologie en fonction de la position sur chaque niveau (fixe, souple, ferme, flexible). Cette distinction originale est appliquée aux approches institutionnelle et génétique développées dans le Chapitre II. Cette démarche autorise à préciser les hypothèses qui guident la suite de l’analyse. Après avoir ainsi déterminé le cœur de la problématique, le Chapitre III revient sur la justification de la sélection des cas retenus pour l’analyse (CD&V et VLD). Il s’attarde également sur la méthode adoptée et les sources mobilisées pour mener à bien la démonstration et vérifier les hypothèses (méthode d’enquête par questionnaire principalement). Toutes les informations relatives à la sélection et au traitement des sources sont fournies.<p>La deuxième partie de la recherche a pour objectif de présenter les informations nécessaires au test de nos hypothèses. Trois chapitres y sont consacrés. Le premier (Chapitre IV) a pour ambition de situer les deux partis retenus pour l’analyse dans le paysage politique belge en général, et flamand en particulier. Il adopte pour cela une perspective chronologique, mettant en évidence les évolutions en termes de structuration progressive des clivages en Belgique, et les impacts éventuels sur le système partisan belgo-flamand, et sur nos deux cas d’étude en particulier. Cette vision met en avant l’origine différente des deux partis. Elle attire également l’attention sur l’accroissement progressif des clivages actifs au sein du système de partis.<p>Après cette mise en perspective générale, les deux chapitres suivants fournissent une série d’informations sur les partis retenus. Le Chapitre V présente quatre caractéristiques du parti en relation avec l’adhésion, retenues par l’approche institutionnelle :les effectifs d’adhésion, l’activité des adhérents, leur profil, et leur place dans l’organisation. Le Chapitre VI vise pour sa part à esquisser le projet idéologique et la structuration des clivages au sein du CD&V et du VLD.<p>Après avoir recueilli ces informations, la troisième et dernière partie de la recherche se constitue du test de nos hypothèses (Chapitre VII). Elle s’attache au rapport à l’idéologie et aux positionnements idéologiques des adhérents des deux partis. Dans un premier temps, elle tente de les qualifier et d’en identifier le caractère fixe, souple, ferme ou flexible, soit de manière générale (test de la première hypothèse), soit sur des thématiques particulières liées aux clivages (test de la seconde hypothèse). Dans un deuxième temps, l’objectif est de vérifier si ce rapport des adhérents à l’idéologie permet de prédire le type de parti auquel l’adhérent est affilié, et de confirmer une certaine structuration des clivages au sein des deux partis. Dans un troisième temps, nous discutons les implications des résultats empiriques pour nos postulats théoriques.<p>Enfin, la conclusion revient sur les hypothèses de départ. Elle s’attache à mettre en évidence les aspects originaux de notre travail, et revient sur les apports principaux. Elle effectue également un retour sur les hypothèses de départ, et met en évidence le rôle et l’impact du rapport des adhérents à l’idéologie, à la fois dans la capacité à identifier un type de parti, mais aussi à en identifier la configuration des clivages en interne.<p><p> / Doctorat en sciences politiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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