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Comparaison de la survie des patientes atteintes d'un cancer du sein ayant participé à un ou des essai(s) clinique(s) par rapport à celles qui n'y ont pas participé

Filion, Myriam 19 April 2018 (has links)
L'objectif principal de ce mémoire était de mesurer l'association entre la survie des patientes avec un cancer du sein ayant participé à un essai clinique (EC) par rapport à celles qui n'y avaient pas participé. MÉTHODES : L'étude est basée sur une cohorte de 6 794 femmes issues d'un centre spécialisé dans les maladies du sein, diagnostiquées d'un cancer du sein infiltrant non métastatique entre 1982 et 2008. Des courbes de Kaplan-Meier ont été représentées graphiquement et le modèle de Cox, ajusté pour différents facteurs pronostiques, a été utilisé. RÉSULTATS : Au total, 1 137 (16,7%) femmes diagnostiquées d'un cancer du sein ont participé à au moins un EC. Ces patientes étaient significativement plus jeunes et présentaient des facteurs pronostiques plus défavorables. Le rapport de hasard brut pour la survie de toutes causes était de 0,84 (IC 95% [0,73-0,97]; p = 0,02) et ajusté de 0,96 (IC 95% [0,81-1,14]; p = 0,61) en faveur des patientes sous EC. CONCLUSION : La participation à un EC n'améliore pas la survie des patientes atteintes d'un cancer du sein.
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Situation au travail pour les femmes atteintes de cancer du sein

Leclerc, Audrey 12 April 2018 (has links)
Le cancer du sein peut affecter de façon négative l'expérience de travail des femmes atteintes. Des modifications négatives ou involontaires peuvent donc être observées dans leur situation d'emploi. Dans leur étude, Maunsell et al (2004) ont étudié cette problématique en comparant un échantillon de cancéreuses et un échantillon témoin composé de femmes qui n'ont pas le cancer du sein. On appréhende l'effet du cancer en comparant les moyennes relatives aux deux groupes de nombreuses variables reliées au marché du travail. La principale conclusion est que les femmes cancéreuses ne sont pas différentes des femmes témoins. Dans ce mémoire, on refait la même démarche en utilisant toutefois un échantillon témoin possiblement composé de femmes cancéreuses. Par ailleurs, les comparaisons sont fondées sur la méthode de l'appariement (« matching » ) et non sur de simples moyennes. On remarque quelques petites différences dans les résultats relatifs à chacun des groupes au niveau de certaines caractéristiques d'emploi. Par contre, ces différences sont assez faibles. De façon générale, on peut conclure que les échantillons de femmes témoins sont relativement semblables à l'échantillon de femmes atteintes de cancer du sein.
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Contexte psychosocial des femmes souffrant d'infertilité inexpliquée

Noël, Ingrid 08 May 2024 (has links)
Objectif : Notre objectif était de décrire la fréquence des troubles anxieux et dépressifs chez les femmes souffrant d’infertilité inexpliquée et d’en identifier les facteurs prédictifs. Méthodologie : Nous avons mené une étude descriptive nichée dans un essai clinique randomisé auprès de 42 patientes de la clinique de fertilité au CHU de Québec. Le questionnaire « Hospital Anxiety and Depression Scale » (HADS) a été utilisé afin d’estimer la prévalence des troubles anxio-dépressifs (score≥8). Résultat : Un trouble anxieux ou dépressif a été détecté chez 55% (n=23) des participantes. Les troubles anxieux étaient plus fréquents (55%) que les troubles dépressifs (10%). Selon un modèle de régression logistique multiple, le fait d’être âgée de moins de 35 ans (RC = 16.6, IC 1.9-25.0), de n’avoir jamais eu de grossesse ayant mené à un avortement spontané (RC = 5.6, IC 1.1-43.5) et de n’avoir jamais eu recours à des traitements de fertilité (RC = 5.5, 1.1-45.4) étaient associés à une augmentation du risque de souffrir de troubles anxieux et/ou dépressifs. Conclusion : Les troubles anxio-dépressifs sont fréquents chez les femmes souffrant d’infertilité inexpliquée et devraient être recherchés chez cette population à risque. / The objective of this study was to establish the frequency of anxiety and depressive disorders among women diagnosed with unexplained infertility and to identify risk factors. Methods : We conducted a descriptive cross-sectional study. Forty-two patients from the CHU de Quebec fertility clinic were recruited. The patients completed the “Hospital Anxiety and Depression Scale” (HADS) self-administered questionnaire, used to estimate prevalence of anxiety and depressive disorders (score≥8). Results : Overall, 55 % (n=23) of participants were identified with a anxio-depressive disorder according to the HADS questionnaire. Anxiety disorders were more frequent (55 %) compared to depressive disorders (10%). According to a logistic regression model, being under 35 years old (OR = 16.6, CI 1.9-25.0), having never had a previous spontaneous abortion (OR = 5.6, CI 1.1-43.5) and having never sought fertility treatment (OR = 5.5, CI 1.1-45.4) was associated with a higher risk of anxiety and/or depressive disorders. Conclusion : Anxiety and depressive disorders are frequent among women with unexplained infertility and should be sought in this at-risk population.
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Le rôle de la régulation émotionnelle dans l'adaptation psychologique au cancer

Guimond, Anne-Josée 13 December 2024 (has links)
Cette thèse doctorale visait à investiguer le rôle de la régulation émotionnelle (RÉ) mesurée subjectivement (réévaluation cognitive, suppression émotionnelle et évitement expérientiel) et objectivement (variabilité de la fréquence cardiaque; VFC) comme processus sous-jacent à une variété de symptômes associés au cancer (dépression, anxiété, peur de la récidive de cancer [PRC], insomnie, fatigue, douleur et difficultés cognitives subjectives) pris isolément et de manière regroupée (clusters de symptômes), chez des patientes atteintes d’un cancer du sein. Plus spécifiquement, cette étude a évalué: 1) Les relations transversales entre la RÉ et les symptômes et clusters de symptômes avant (T1) et après (T2) la radiothérapie; et 2) Le rôle prédicteur de la RÉ mesurée au T1 dans la survenue et l’exacerbation des symptômes et des clusters de symptômes au T2. Pour ce faire, 81 patientes ayant reçu un diagnostic de cancer du sein ont été recrutées à L’Hôtel-Dieu de Québec. Au T1 et au T2, les participantes ont rempli des questionnaires évaluant des mesures subjectives de RÉ et les symptômes associés au cancer. La VFC a été évaluée au repos (5 minutes) au T1. Les résultats ont révélé que deux stratégies de RÉ généralement considérées comme maladaptées, soit la suppression émotionnelle et l’évitement expérientiel, étaient significativement associées à des niveaux plus élevés d’anxiété, de dépression, de PRC, de fatigue et de difficultés cognitives de façon transversale au T1 et au T2. L’usage de ces mêmes stratégies prédisait aussi l’appartenance à un cluster comprenant des niveaux plus élevés de ces symptômes à chaque temps de mesure. Toutefois, les stratégies de RÉ ne prédisaient pas significativement les changements observés dans les clusters de symptômes entre le T1 et le T2. De plus, aucune association significative transversale ou prospective n’a été trouvée entre la VFC et les symptômes psychologiques isolés et les clusters de symptômes. En somme, l’évitement expérientiel et la suppression émotionnelle pourraient être des mécanismes transdiagnostiques communs à un ensemble de symptômes psychologiques fréquents chez les patientes atteintes d’un cancer du sein, mesurés au même moment (analyses transversales). Les résultats de cette thèse soulignent la pertinence de poursuivre les recherches pour identifier d’autres mécanismes psychologiques communs pouvant influencer l’adaptation psychologique au cancer, et particulièrement l’évolution longitudinale des symptômes psychologiques et de leurs clusters.
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Faisabilité d'une intervention préventive de l'insomnie chez des femmes traitées en chimiothérapie pour un cancer du sein

Marion, Louis-Philippe 13 December 2024 (has links)
Le présent mémoire doctoral avait pour objectif d’évaluer la faisabilité d’une intervention préventive de l’insomnie chez des femmes atteintes d’un cancer du sein débutant leur chimiothérapie, une population particulièrement à risque de développer des difficultés de sommeil. Cette intervention a été élaborée à partir du protocole de thérapie cognitivecomportementale de l’insomnie (TCC-I) développé par Morin (1993) et de la thérapie cognitive-comportementale de l’insomnie comorbide au cancer autoadministrée développée par Savard, Villa, Simard, Ivers et Morin (2011). L’intervention développée prenait la forme d’un bref dépliant préventif (15 pages) qui se voulait simple, accessible et attrayant afin de susciter l’intérêt des patientes ne présentant pas initialement de difficultés de sommeil cliniquement significatives. Vingt participantes ont reçu le dépliant lors de leur premier traitement de chimiothérapie. Un mois plus tard, une entrevue téléphonique a été effectuée pour évaluer la satisfaction envers le dépliant préventif ainsi que l’adhérence aux stratégies proposées. Un objectif secondaire était de vérifier si la satisfaction et l’adhérence à l’égard de l’intervention préventive variaient selon certaines variables sociodémographiques (ex., l’âge, le revenu et le niveau de scolarité) ainsi que le niveau de littératie de la santé. Les résultats obtenus sont encourageants et confirment la faisabilité d’une intervention préventive de l’insomnie chez des femmes atteintes d’un cancer du sein au début de leur trajectoire de soins. En effet, un taux de satisfaction élevé et un taux d’adhérence modéré ont été observés et les commentaires recueillis sur l’intervention préventive étaient majoritairement positifs. Enfin, les résultats de cette étude de faisabilité, quoique préliminaires, soutiennent la pertinence d’adopter une approche préventive de l’insomnie afin d’éviter que cette problématique gagne en sévérité et nécessite le recours à des interventions moins accessibles et plus coûteuses.
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Développement et pré-test d'un plan de soins de suivi pour des femmes atteintes du cancer de l'endomètre avec traitements adjuvants lors de la transition de la fin du traitement actif vers la survie au cancer

Hébert, Johanne 12 December 2024 (has links)
La fin du traitement actif et le début de la phase de survie correspondent à une période de transition qui présente de nombreux défis pour la personne survivante au cancer, les soignants et le système de santé. La phase de survie au cancer est une phase distincte mais négligée du continuum de soins. Pour faciliter la transition de la fin du traitement actif vers la survie et optimiser la coordination des soins de suivi, la mise en place d’un plan de soins de suivi (PSS) est proposée. Le but de cette recherche est de développer, de mettre en place et d’évaluer si un plan de soins de suivi (PSS) permet de répondre aux besoins globaux, de diminuer la détresse émotionnelle et de favoriser les comportements d’autogestion de santé de femmes atteintes du cancer de l’endomètre (FACE) lors de la transition de la fin du traitement actif vers la survie au cancer. Elle comprend deux phases distinctes. La première phase visait d’abord le développement d’un plan de soins de suivi (PSS) pour des femmes atteintes du cancer de l’endomètre avec traitements adjuvants. La sélection du contenu du PSS a été faite à partir de la recension des écrits et des données recueillies lors d’entrevues individuelles avec 19 FACE, 24 professionnels de la santé travaillant avec cette clientèle et quatre gestionnaires de proximité en oncologie. Cette première phase avait également pour but la validation du contenu du PSS auprès de dix professionnels de la santé impliqués dans l’étude. La seconde phase consistait à évaluer la faisabilité, l’acceptabilité du PSS et à en pré-tester l’utilité à répondre aux besoins globaux, à diminuer la détresse émotionnelle (peur de la récidive) et à favoriser l’autogestion de santé auprès d’un groupe de 18 femmes atteintes du cancer de l’endomètre avec traitements adjuvants à la fin du traitement actif vers la survie. Sur le plan de la faisabilité, les résultats suggèrent que la mise en place du PSS comporte des défis en termes de temps, de ressources et de coordination pour l’infirmière pivot en oncologie (IPO). Concernant l’acceptabilité du PSS, les FACE le perçoivent comme un outil d’information utile qui favorise la communication avec le médecin de famille ou d’autres professionnels de la santé. Les IPO soutiennent sa valeur ajoutée à la fin du traitement et soulignent que la discussion du contenu du PSS fait ressortir des éléments de surveillance et de suivi essentiels à prendre en compte pour la phase de survie et permet de mettre l’emphase sur l’autogestion de sa santé. Pour les médecins de famille, le PSS est un outil d’information pour les survivantes qui favorise la réassurance, la communication et la continuité des soins entre professionnels de la santé. Enfin, pour ce qui est de l’utilité du PSS à répondre aux besoins globaux, les résultats suggèrent que l’ensemble des besoins sont plus satisfaits trois mois après la fin des traitements pour le groupe ayant reçu un PSS. Bien que la peur de récidive du cancer (PRC) s’améliore au suivi de trois mois pour le groupe exposé au PSS, 55% des FACE conservent un score cliniquement significatif de 13 à la sous-échelle de sévérité de peur de récidive à la fin du traitement et 42% au suivi de trois mois. Les comportements d’autogestion de santé s’améliorent entre la fin du traitement et le suivi de trois mois pour le groupe exposé un PSS. Considérant ces résultats, la démarche soutient la pertinence de mettre en place un PSS à la fin du traitement actif pour les FACE pour répondre à des besoins d’information, favoriser la communication et la continuité des soins avec les professionnels de la santé et les comportements d’autogestion de santé dans la phase de survie. Cependant, des contraintes de temps, de ressources et de coordination doivent être prises en compte pour sa mise en place dans le milieu clinique. Mots-clés : Transition, fin du traitement actif, besoins, survie au cancer, plan de soins de suivi. / The end of active treatment and the beginning of survivorship correspond to a period of transition which presents many challenges for cancer survivors, caregivers and the health care system. The cancer survivorship phase (that follows primary treatment) is a distinct phase but overlooked in the continuum of care. To facilitate the transition from the end of active treatment to survivorship and optimize the coordination of follow-up care, the implementation of a survivorship care plan is proposed. The purpose of this research is to develop, implement and evaluate whether a survivorship care plan (SCP) meets global needs, reduce emotional distress (fear of cancer recurrence) and promote the empowerment of women with endometrial cancer during the transition from the end of active treatment to survivorship. The research consists of two distinct phases. The first phase was to develop a survivorship care plan (SCP) for women with endometrial cancer and adjuvant treatments. The content of the SCP was selected from the literature review and data collected during interviews with 19 women with endometrial cancer, 24 health professionals working with this population and four managers dedicated to oncology. This first phase included the validation of the SCP by ten health professionals involved in the study. The second phase was to evaluate the feasibility, the acceptability of the SCP and pre-test its use to meet global needs, reduce emotional distress (fear of recurrence) and promote empowerment for 18 women with endometrial cancer and adjuvant treatments at the end of the active treatment towards survivorship. In terms of feasibility, the results suggest that the implementation of the SCP has challenges in terms of time, resources and coordination for the oncology nurse navigators. Regarding the acceptability of the SCP, the women perceived it as a tool with useful information that facilitates communication with the family doctor or other health professionals. The nurse navigators support its value added at the end of treatment and acknowledge that the discussion involved with the SCP highlights essential elements of monitoring and follow-up to take into account in survivorship and allows the emphasis on health self-management. For family doctors, the SCP is a tool with information for survivors that promotes reassurance, communication and continuity of care between health professionals. Finally, with regard to the usefulness of the SCP to meet global needs, the results suggest that all the needs are more satisfied at three-month follow-up for the group receiving the SCP. Although the fear of cancer recurrence decreases at the three-month follow-up for the group with SCP, 55% of women maintained a clinically significant score of 13 on severity subscale of fear of cancer recurrence at the end of treatment and 42% at three-month follow-up. Health self-management behaviors (empowerment) improved between the end of treatment and the three-month follow-up for the group receiving a SCP. Considering these results, the approach supports the relevance of implementing a survivorship care plan at the end of active treatment for women with endometrial cancer to fulfill information needs, promote communication and continuity of care with health care professionals and promote health self-management behaviors in survivorship. However, constraints of time, resources and coordination must be taken into account for its implementation in the clinical community. Keywords: Transition, end of active treatment, needs, cancer survivorship, survivorship care plan.
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Les trajectoires d'adhésion à l'hormonothérapie adjuvante au cours des cinq ans suivant l'initiation chez les femmes ayant eu un cancer du sein non-métastatique

Lambert-Côté, Laurence 27 January 2024 (has links)
Malgré les bénéfices de l’hormonothérapie adjuvante (HA) pour réduire les risques de récidive et de mortalité suite à un cancer du sein hormono dépendant, l’adhésion à l’HA est sous-optimale pour une grande proportion de femmes. Toutefois, les connaissances sur les patrons longitudinaux d’adhésion à l’HA demeurent limitées. Cette étude visait à : 1)identifier les trajectoires d’adhésion à l’HA pour les cinq ans suivant l’initiation; 2) décrire les trajectoires en utilisant des mesures traditionnelles d’adhésion (p.ex. la proportion de jours couverts (PJC)); 3) explorer les facteurs associés aux trajectoires. Une étude de cohorte a été réalisée à partir d’une enquête nationale française incluant des données administratives de dispensation d’HA. Les femmes ayant un diagnostic de cancer du sein non-métastatiqueet ≥1 dispensation d’HA au cours des 12 mois suivant le diagnostic ont été incluses. Le Group-based trajectory modeling a permis d’identifier les trajectoires d’adhésion en regroupant des patrons similaires de dispensations mensuelles d’HA. Des régressions logistiques polytomiques ont permis d’identifier les facteurs associés aux trajectoires. Parmi les 674 femmes incluses, cinq trajectoires d’adhésion à l’HA ont été identifiées : 1) déclin rapide et arrêt (5,2%), 2) déclin modéré et arrêt (6,4%), 3) déclin lent (17,2%), 4) adhésion élevée (30,0%), 5) maintien d’une adhésion très élevée (41,2%). La PJC moyenne pour les cinq ans était de 80%, mais variait de 10% à 97% selon les trajectoires. Les femmes n’ayant pas reçu de chimiothérapie ou de programme personnalisé de soins étaient plus susceptibles d’appartenir à des trajectoires présentant un déclin de l’adhésion suivi de l’arrêt de l’HA. Nos résultats fournissent des informations sur les patrons longitudinaux de l’adhésion à l’HA, les facteurs associés à ceux-ci et les moments critiques pour l’adhésion qui pourront être utilisés par les professionnels de la santé impliqués auprès de ces femmes. / Despite the benefits of adjuvant endocrine therapy (AET) for reducing recurrence andmortality risks after hormone-sensitive breast cancer, AET adherence is sub-optimal for ahigh proportion of women. However, little is known about long-term patterns of AETadherence over the minimally recommended 5 years. Our objectives were to: 1) identify fiveyear AET adherence trajectory groups; 2) describe trajectory groups according to adherencemeasures traditionally used (i.e. the proportion of days covered (PDC)); 3) explore factorsassociated with trajectories. We conducted a five-year cohort study using data from a Frenchnational study that included AET dispensing administrative data. Women diagnosed withfirst non-metastatic breast cancer and having ≥1 AET dispensing in the 12 months afterdiagnosis were included. Group-based trajectory modeling was used to identify adherencetrajectory groups by clustering similar patterns of monthly AET dispensing. Multinomiallogistic regressions were used to identify factors associated with trajectories. Among 674women, five AET adherence trajectory groups were identified: 1) quick decline and stop(5.2% of women); 2) moderate decline and stop (6.4%); 3) slow decline (17.2%); 4) highadherence (30.0%); 5) maintenance of very high adherence (41.2%). Mean 5-year PDCvaried from 10% to 97% according to trajectories. Women who did not receive chemotherapyor a personalized care plan were more likely assigned to trajectories where AET adherencedeclined and stopped. Our results provide information on the diversity of longitudinal AETadherence patterns, the timing of decline and discontinuation and associated factors thatcould inform healthcare professionals.
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Communication intrafamiliale de l'information génétique chez les personnes testées pour une susceptibilité au cancer du sein liée aux gènes BRCA1/2

Lapointe, Julie 19 April 2018 (has links)
Cette thèse vise globalement à mieux comprendre certains enjeux liés à la communication intrafamiliale de l'information génétique chez les personnes testées pour une susceptibilité aux cancers, liée à des altérations des gènes BRCA1 et BRCA2. La population d'étude était constituée de 656 personnes de 18 ans et plus provenant de 140 familles testées pour une susceptibilité génétique aux cancers du sein et de l'ovaire entre 1998 et 2004 dans le cadre du programme de recherche INHERIT BRCAs (INterdisciplinary HEalth Research Team on BReast CAncer susceptibility). Une première étape méthodologique a permis de choisir une approche statistique appropriée aux analyses avec un échantillonnage en grappe -constitué d'individus recrutés au sein de mêmes familles. Les impacts du recours au test BRCAI/2 sur les relations familiales et la contribution de certains événements de vie sur la communication ont ensuite été évalués. Globalement, 85 % des participants ont rapporté aucun impact du test génétique sur leurs relations familiales alors que des impacts positifs et négatifs ont respectivement été rapportés par 13 % et 4 % d'entre eux. Les participants dont un (ou plusieurs) membre de leur famille a été diagnostiqué d'un cancer, est décédé, a subi une chirurgie prophylactique ou qui ont pris soin d'un proche atteint de cancer ont rapporté que ces événements ont favorisé la communication intrafamiliale sur le risque de cancer dans des proportions variant de 50 à 69 %. Ces résultats ne supportent pas la croyance selon laquelle les relations familiales sont fréquemment perturbées par le fait d'être testé pour une altération des gènes BRCAI/2. Cette information peut aider les professionnels à soutenir leurs patients dans leur décision d'être testés ou non pour les gènes BRCAI/2 ainsi que dans le processus de communication intrafamiliale. Par ailleurs, il serait important d'évaluer si certains événements de vie peuvent constituer une opportunité pour les professionnels de la santé d'offrir un suivi et des outils afin de soutenir de façon optimale la communication intrafamiliale de l'information génétique. En conclusion, ces résultats pourront aider le nombre grandissant de professionnels qui utilisent de l'information génétique et qui ont à optimiser la communication intrafamiliale afin de rejoindre les personnes à risque.
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Évaluation longitudinale du fonctionnement cognitif de femmes traitées pour un cancer du sein non métastatique

Quesnel, Catherine 12 April 2018 (has links)
Plusieurs femmes traitées par chimiothérapie pour un cancer du sein affirment percevoir des changements au niveau de leur mémoire et de leur habileté à penser clairement. À cet effet, les études transversales qui ont évalué la relation entre le fonctionnement cognitif et la chimiothérapie ont révélé que les patientes traitées par chimiothérapie présentent une performance altérée à des tests neuropsychologiques standards comparativement à des patientes traitées sans chimiothérapie ou à des femmes en bonne santé. Cependant, puisque les participantes de ces études ont été évaluées à une seule reprise et ce, plusieurs mois à plusieurs années suivant la fin des traitements, il est impossible de déterminer si ces altérations cognitives sont secondaires à la chimiothérapie ou si elles reflètent plutôt une condition pré-existante. L'objectif principal de la présente étude consiste donc à comparer de façon prospective l'impact d'un traitement de chimiothérapie à celui de la radiothérapie sur le fonctionnement cognitif de femmes traitées pour un cancer du sein non métastatique. Pour ce faire, 41 femmes recevant de la chimiothérapie et 40 femmes traitées par radiothérapie administrée sans chimiothérapie pour un cancer du sein ont été évaluées au pré-traitement, au post-traitement et à un suivi 3 mois par le biais de tests neuropsychologiques standards. Les résultats obtenus à une analyse de covariance à mesures répétées en modèle mixte suggèrent que le fait d'avoir reçu un traitement oncologique, qu'il s'agisse ou non de chimiothérapie, affecte négativement les capacités de recrutement de l'information en mémoire verbale. En revanche, la chimiothérapie aurait un impact négatif spécifique sur les capacités d'évocation au plan verbal. De plus, seules les patientes traitées par chimiothérapie ont rapporté subjectivement une augmentation du niveau d'altérations cognitives. Cependant, les altérations cognitives perçues ne sont pas apparues associées au fonctionnement cognitif mesuré objectivement, alors qu'elles se sont avérées associées aux symptômes de dépression, d'anxiété, de fatigue, d'insomnie et de ménopause. Ces résultats contribuent au développement d'une meilleure compréhension de la relation entre les traitements oncologiques et le fonctionnement cognitif. Il apparaît maintenant important de s'intéresser aux mécanismes sous-jacents et aux répercussions de ces difficultés sur le fonctionnement quotidien des patientes.
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L'impact du cancer du sein sur les transitions sur le marché du travail

Gagnon, Isabelle 12 April 2018 (has links)
Le cancer du sein est le type de cancer le plus diagnostiqué chez les Canadiennes. On remarque que les patientes sont de plus en plus jeunes. Plusieurs femmes touchées par cette maladie sont donc toujours en âge de travailler lors du diagnostic. Le but de cette étude est d'examiner la situation du le marché du travail des femmes diagnostiquées du cancer du sein par rapport à celle des femmes sans aucun antécédent de cancer. Grâce à la collaboration de l'équipe de Maunsell et ail. [2004], nous avons eu accès aux données d'enquête utilisées dans leurs travaux. Pour analyser l'impact du cancer du sein sur l'emploi, nous avons utilisé une approche qui modélise les transitions entre divers états soit l'emploi, l'absence de l'emploi et le non-emploi, en utilisant des modèles de survie et de hasard. Après avoir étudié les transitions, on en vient à la conclusion que le cancer du sein affecte la situation sur le marché du travail des femmes, en diminuant le temps passé au travail.

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