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Art conceptuel et protocoles photographiques

Pavlov, Pavel 20 April 2018 (has links)
La présente thèse repose sur une double proposition : que le concept de représentation a subi une mutation profonde aux alentours des années 1960s, au moment de l’avènement de ce qui est appelé aujourd’hui l’art conceptuel; et que c’est l’usage de la photographie – considérée jusqu’alors comme l’appareil vide de l’art – par les artistes conceptuels, qui lui a donné une identité mais aussi une histoire qui lui a permis de s’inscrire dans la discipline artistique. À partir de cette proposition, j’étudie une série d’œuvres photographiques produites dans le contexte de l’art conceptuel, et dont le point commun est de reposer sur un mode systémique de production. Dans mon analyse, les œuvres de Douglas Huebler, Jan Dibbets et Bernd et Hilla Becher sont analysées pour les innovations qu’elles introduisent au niveau du sujet de représentation, en même temps qu’elles sont mises en parallèle avec trois moments inauguraux de l’histoire de l’art : la première expérience de Brunelleschi en tant que démonstration d’un moment de rupture dans l’histoire de l’art au niveau de la production d’images considérées vraisemblables; le modèle d’istoria introduit par Alberti comme forme narrative faisant l’hypothèse que toute chose visible peut être représentée et toute histoire montrée uniquement par des moyens visuels; et l’approche anti-relationnelle élaborée par Frank Stella, comme démonstration de la plasticité de la peinture et comme opposition au concept de composition picturale telle qu’héritée d’Alberti. Mon analyse démontre qu’une démarche systémique permet d’établir une continuité avec les paradigmes précédents de l’histoire de l’art, et rend possible la construction de nouveaux instruments visuels plus aptes à circonscrire les processus complexes qui organisent la société contemporaine en tant qu’héritière de l’organisation industrielle ayant marqué le passage de la Renaissance à l’époque contemporaine. En dernier lieu, je présente une série de projets, issus de mes recherches sur les sujets et œuvres présentés, dont le point commun est l’élaboration d’une écriture vidéographique reposant sur la plasticité rendue possible par le recours à la procédure comme mode de représentation de l’histoire.
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Le paysage et ses rapports avec l'art, la nature et l'environnement

Gagnon, Dominique 14 April 2020 (has links)
Cette thèse/œuvre démontre, dans la partie thèse, comment l’art pictural a joué un rôle clé dans la formation et l’évolution du concept de paysage en Occident de la Renaissance au XXe siècle et comment ce genre pictural a contribué à ancrer notre intérêt pour les paysages pittoresques matériels et leur représentation. L e déroulement de l’histoire du mot « paysage » qui est apparu simultanément dans différentes langues à la Renaissance est d’abord passé en revue. Les différentes théories sur le concept de paysage sont ensuite présentées. Puis les concepts de nature et d’environnement sont développés dans leur rapport avec le paysage. La dernière partie traite du corpus présenté en accompagnement de la thèse, dans le contexte où les arts visuels peuvent à nouveau jouer un rôle à l’époque actuelle pour réévaluer et éventuellement nous aider collectivement à réinventer notre rapport à la nature, au paysage et à l’environnement. / This thesis in research/creation will develop in the research portion, how painting has played a major role in the evolution and formation of the concept of landscape in Western civilization, from the Renaissance to the 20th century. It will explain how landscape painting has contributed to our present fascination in the ‘picturesque’ landscape, and its representation. The evolution and transformation of the word ‘landscape’, which emerged simultaneously in several European languages during the Renaissance will be summarized. The various theories on the concept of landscape will be presented, and the concepts of ‘nature’ and ‘environment’ will be developed in relation to the landscape. The last part is dedicated to the body of work linked to this thesis. It expresses how the visual arts may now, as during the Renaissance and several centuries after, play a role in the reevaluation and re-creation of our relationship to nature, landscape and the environment.
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Looking at Landscape

Wharton-Ayer, Noelle-Dominique 24 April 2018 (has links)
Ce mémoire examine l’exploration du paysage et de la perception dans ma pratique artistique. Mon travail concerne principalement les représentations du monde naturel, la manière dont les images sont incorporées dans le quotidien et les façons dont notre perception de ces images façonne notre relation aux paysages réels. Cette étude du paysage et de la vision se manifeste par des explorations du dessin, de l’estampe et du collage numérique; ma pratique est également centrée sur une recherché du paysage dans la culture populaire, notamment au cinéma et à la télévision. Enfin, ce mémoire retrace la structure de ma démarche artistique en logique de la décoration, une logique qui fournit à mes images une certaine organisation et une cohérence visuelle, tout en déplaçant simultanément les objets du paysage commun dans le domaine du spectaculaire et de l’extraordinaire. / This dissertation examines the exploration of landscape and vision in my artistic practice. My work is primarily concerned with representations of the natural world, how these images are incorporated into the everyday, and the ways in which our perception of these images shape our relationship to landscape. This investigation of landscape and vision is executed through explorations in drawing, printmaking, and digital collage; my practice is also centred on an investigation of landscape in popular culture, notably film and television. Finally, this dissertation outlines how my artistic process is structured by a logic of the decorative, which provides visual coherency and organization to the images I create while simultaneously displacing objects of the banal landscape into the realm of the spectacular and the extraordinary.
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Affirmation du sentiment national belge au travers de la représentation du paysage, 1780-1850

Favry, Amélie 21 March 2005 (has links)
Entre 1780 et 1850, les Belges développent une image symbolique de leur environnement physique. Cette image, conjuguée à une action de transformation du terrain, participe à la structuration de l’environnement belge en un territoire national. Elle témoigne d’une grande stabilité durant l’époque considérée. Dans cette optique symbolique, l’environnement belge incarne les caractères de la communauté nationale, il exprime non seulement le long passé partagé par le sol et les hommes, les interactions séculaires qui les lient, mais aussi les aspirations nourries par les Belges à l’égard de l’avenir.<p>Les premières images mentales du territoire national développées dans le chef des Belges consistent en lieux génériques (les expressions en italiques sont empruntées à Bernard Debarbieux). Définis par le discours, ces lieux génériques sont des environnements physiques dont la physionomie résulte des donnés naturels et de leur transformation par l’homme. La physionomie de ces lieux est donc dominée par l’agriculture, l’industrie et l’habitat humain. Ces configurations génériques ne recouvrent en réalité qu’une partie du territoire national. Leur élection en tant que résumé idéal du territoire belge, reflète les aspirations de la communauté.<p>La qualité esthétique paysagère des lieux génériques du territoire belge n’apparaît pas cependant avec évidence aux contemporains. Un écart sépare le discours et la représentation picturale. Si le premier reconnaît souvent une qualité esthétique aux lieux génériques, qui deviennent alors des paysages, la représentation iconographique se montre plus réticente à leur égard.<p>Les Belges de l’époque développent une seconde facette symbolique de leur territoire. Ils soulignent l’omniprésence des souvenirs historiques nationaux dans leur environnement. La Belgique leur apparaît telle un ensemble de lieux de condensation. Le discours contemporain et les œuvres des peintres, lithographes ou graveurs, témoignant d’une cohésion remarquable, illustrent abondamment les lieux de condensation belges. <p>Les Belges cherchent à diffuser ces images mentales parmi leurs compatriotes. Ce projet collectif répond à une volonté de faire connaître et adopter ces paysages symboliques par l’ensemble des membres de la nation. Cette connaissance passe pour le socle sur lequel peuvent se développer les sentiments d’attachement à la patrie et d’identification à la nation. Le discours et l’image sont mobilisés à cette fin.<p>Ces préoccupations interviennent dans le travail des peintres de paysages. Toutefois, le choix d’un site par un paysagiste belge représentant l’environnement national, est d’abord guidé par des critères internes à la pratique picturale. Ses critères de choix rencontrent en effet ceux qu’émet le discours de l’époque définissant les normes de qualité esthétique d’un tableau. L’artiste tend en outre à satisfaire les attentes du public, lequel cherche à combler son envie d’évasion hors de la cité, mais aussi à se rassurer quant à l’harmonie et à la viabilité de la société contemporaine. Les peintres (et donc leur public) manifestent pourtant une faveur particulière envers les sites belges. Ce goût dénote une identification et un attachement au pays habité par la nation historique, telle que la décrit le discours contemporain. Même s’il vient après la satisfaction des critères esthétiques, le critère de l’identification à un site belge intervient de façon notable dans l’attrait exercé par un paysage peint. <p>Il apparaît ainsi que les lieux génériques (agricoles et industriels) passent difficilement le premier crible, esthétique, tandis que les lieux de condensation satisfont tant les attentes esthétiques que les attentes symboliques – qualité qui assure leur succès en tant que motifs picturaux.<p>Les paysagistes élaborent en outre une image paysagère générique de la Belgique qui est une adaptation, conforme aux critères d’appréciation en vigueur dans le champ de la représentation picturale, du paysage générique agricole et industriel défini par le discours contemporain. Leurs œuvres dépeignent en effet la Belgique comme un territoire réalisant les canons pittoresques, comme un environnement verdoyant, boisé, vallonné, peuplé, traversé de rivières, semé d’habitations, de moulins ou autres fabriques anciennes. Dans les années 1840, les paysagistes développent également une nouvelle facette dans ce paysage générique pictural, en représentant les étendues arides, stériles et très peu peuplées, présentes sur le territoire. Cette apparition inaugure une période nouvelle, durant laquelle l’image picturale de la Belgique se dédouble, embrassant, d’une part, les sites prisés durant les premières décennies du siècle et, de l’autre, les plaines de bruyères désertes peu à peu investies d’une valeur identitaire et élevées au rang de configuration générique nationale. / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation histoire de l'art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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