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Les travaux des peintres de la Société de l'art monumental: leurs antécédents et leurs prolongementsGuisset, Jacqueline January 1995 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La peinture monumentale d'histoire dans les édifices civils en Belgique (1842-1923): naissance, histoire, caractéristiquesOgonovszky, Judith January 1994 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les Loges de RaphaëlDacos, Nicole January 1973 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Étude et essai expérimental sur les costumes antiques : exemples de formes et de couleurs provenant de la peinture de la Villa des Mystères à PompéiBoissonneault, Jeanne D'Arc 11 April 2018 (has links)
Les peintures de Pompéi ont été très souvent étudiées surtout celle de la Villa des Mystères. Les vêtements que portent les femmes de cette peinture sont d'un attrait particulier. Une description très détaillée des six principaux vêtements étudiés comparés à des exemples similaires quant à leurs formes et, si possible, quant à leurs couleurs nous permet de noter plusieurs problèmes. C'est pourquoi nous avons approfondi nos connaissances sur les textiles, sur les différentes colorations utilisées à cette époque et sur les diverses techniques connues dans l'Antiquité pour permettre la réalisation de certains de ces vêtements. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Le rayonnement international des gravures flamandes aux XVIe et XVIIe siècles: les peintures murales des églises Sainte-Bethléem et Saint-Sauveur à la Nouvelle-Djoulfa, IspahanEftekharian, Sâyeh 13 October 2006 (has links)
L’auteur inventorie les sources iconographiques de la plupart des quelque 250 peintures de l’église Sainte-Bethléem et de la cathédrale Saint-Sauveur de la cité arménienne de la Nouvelle-Djoulfa, dans les faubourgs d’Ispahan. Elle établit que ces sources, contrairement à la thèse qui faisait autorité depuis plus de cinquante ans, ne sont pas des xylographies du graveur Christoffel Van Sichem, mais des estampes de la Bible de Natalis, ouvrage jésuite publié pour la première fois à Anvers en 1593.<p><p>L’auteur démontre qu’il existe également une autre source, à savoir l’album Thesaurus veteris et novi Testamenti de l’éditeur anversois de confession calviniste G. de Jode, dont la première publication date de 1579 et dont les planches furent reprises, entre autres, dans l’album Theatrum Biblicum publié à Amsterdam à partir de 1639 par l’éditeur C. J. Visscher. Une comparaison avec des miniatures de l’école de la Nouvelle-Djoulfa conservés au Matenadaran et à la BNF permet de confirmer que ces deux albums sont parvenus dans la cité arménienne. Enfin, la thèse recense plusieurs estampes isolées qui ont aussi servi de modèle aux peintures murales.<p><p>Par une étude stylistique comparée mettant en évidence la transformation caractéristique de certains modèles utilisés, l’auteur établit que les peintres impliqués dans la décoration de l’église Sainte-Bethléem et de la cathédrale Saint-Sauveur sont des artistes de la cité, dont l’un au moins a une connaissance approfondie des techniques et des conventions de l’art pictural occidental. Dans le même temps, elle fait ressortir le fait que l’influence de la gravure flamande sur l’art pictural arménien se traduit à la fois par un renouvellement des formes et par une évolution de certains contenus et signale que le rayonnement de la Nouvelle-Djoulfa en prolonge les effets tant en Arménie que dans d’autres communautés de la diaspora arménienne.<p><p>Enfin, en fournissant plusieurs exemples inédits témoignant de l’influence internationale de l’art flamand de cette époque – et tout particulièrement des œuvres de Maarten De Vos – par le truchement de la gravure, l’auteur ouvre des pistes de recherche tant en Perse que dans d’autres zones géographiques. / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation histoire de l'art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'église de Saint-Loup-de-Naud : étude architecturale et iconographique d'une image-lieuGaudet-Chamberland, Katerie 19 April 2018 (has links)
L'église prieurale de Saint-Loup-de-Naud a suscité l'intérêt des chercheurs depuis la première moitié du XIXe siècle. Toutefois, une étude globale de l'église, prenant en compte à la fois son architecture et ses images, tardait à être réalisée. C'est ce que nous avons entrepris, en confrontant différentes sources écrites à des résultats provenant de l'archéologie du bâti, des images sculptées et peintes et des photographies et plans d'archives. Nous revoyons d'abord l'historique du prieuré pour ensuite nous concentrer sur son histoire architecturale, puis nous analysons le programme iconographique de l'église. Finalement, notre dernier chapitre est consacré à une mise en commun de ces différents résultats, soit à une réflexion globale sur les rapports entre les images et les lieux de l'église. Nous espérons ainsi mieux comprendre l'église, qui était au centre du modèle social médiéval.
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De la Pax Romana à la Pax Senensis : Ambrogio Lorenzetti et l'AntiquitéGrenier, Denis 11 April 2018 (has links)
Les fresques dites du Bon gouvernement qui ont été peintes en 1337-1340 par Ambrogio Lorenzetti au Palais public de Sienne sont, à travers le thème de la paix, examinées sous l'angle de leur héritage antique. L'auteur a recours pour ce faire à l'Ara Pacis Augustae avec lequel il établit une comparaison. Il met aussi à contribution certaines réalisations de la peinture romaine de même que des oeuvres de la sculpture, de la glyptique et de la numismatique. Examinée en relation avec l'Antiquité, l'oeuvre étudiée révèle une hérédité à caractère général qui n'exclut pas le legs spécifique. Cet héritage antique se situe à plusieurs niveaux: celui des idées politiques qui amènent les concepteurs des programmes à avoir recours à des stratégies artistiques analogues, celui des thèmes iconographiques qui sont parfois les mêmes, souvent proches ou encore appartiennent à la même catégorie, celui enfin des formes artistiques. La Pax Senensis devient ainsi une lointaine descendante de la Pax Romana / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Vie, œuvre et carrière de Jean-Antoine Morand, peintre et architecte à Lyon au XVIIIe / Life, work and career of Jean-Antoine Morand, painter and architect in Lyons in the eighteenth centuryChuzeville, Sylvain 22 June 2012 (has links)
Né en 1727 à Briançon, Jean-Antoine Morand a 14 ans lorsqu’il se lance, suite à la mort de son père, dans une carrière artistique. C’est à Lyon qu’il s’installe et fonde, en 1748, un atelier de peinture. Il reçoit des commandes officielles et privées, travaille régulièrement pour la Comédie, se spécialise dans la peinture en trompe-l’œil et la scénographie, y compris les machines de théâtre. À la fin des années 1750, encouragé par Soufflot, il se tourne vers l’architecture et l’embellissement, ainsi que l’y disposent différents aspects de sa première carrière.Architecte autodidacte, Morand souffre d’un déficit de légitimité et tente d’y remédier en recherchant la reconnaissance publique. Mais ses succès, en particulier la construction à titre privé d’un pont sur le Rhône, n’y suffisent pas. La carrière de Morand est tiraillée entre fierté entrepreneuriale et appétence institutionnelle. Son image pâtit de l’opposition entre spéculation foncière et promotion du bien public. Cela concerne en particulier son grand œuvre, un projet d’agrandissement de Lyon sur la rive gauche du Rhône, compris dans un plan général donnant à la ville la forme circulaire.Morand a peu construit et il ne subsiste presque rien de son œuvre pictural. On dispose en revanche d’un fonds d’archives privé d’une grande richesse, sur lequel s’appuie cette thèse, afin de mettre au jour les intentions, les relations et la psychologie d’un architecte autrement méconnu. / Born in 1727, Jean-Antoine Morand is 14 years old when he embraces an artistic career, following his father’s death. Having settled down in Lyon, he establishes his own painter’s workshop in 1748. Receiving public and private commissions and working for the theatre on a regular basis, he specializes in trompe l’œil painting and stage-setting, including machinery. In the late 1750s, spurred on by Soufflot, he turns to architecture and city-planning, as various aspects of his previous career could have prompted him to.As an autodidactic architect, Morand suffers from a lack of legitimacy against which he pursues public recognition. But his successes, which include the building of a privately-owned bridge across the Rhône, aren’t enough. Morand’s career is torn between entrepreneurial pride and his longing for tenure. His public image is marred by the alleged opposition between land speculation and the defense of public good. This concerns mostly his great work, a project for the extension of Lyon on the left bank of the Rhône, included in a circular general city plan.Morand hasn’t built much and very little remains of his pictorial work. This thesis is based on an extensive private archive that allows us to explore this otherwise unsung architect’s intentions, relations and psychology.
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