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Vers le ciel : Le ciel peint au Pakistan et en Occident comme enjeu épistémologique majeur / Towards the sky : The sky painted in Pakistan and in the West like their epistemological issues.Umar, Sophiya 18 October 2013 (has links)
La thèse s’appuie sur une comparaison approfondie entre la peinture pakistanaise et la peinture occidentale. Cette dernière se caractérise le plus souvent par des genres (portraits, paysages…) des motifs, souvent exécutés à l’huile à la manière européenne classique. Dans la peinture occidentale (principalement la production française, anglaise et américaine à partir du XIXe siècle) la thèse explore une véritable sémantique du ciel.Notre propre production picturale se situant de manière complexe à mi-chemin entre les deux cultures, définit ainsi une sorte de jeu dans un entre-deux riche de sens.Il s’agit donc de décrire cet interstice avec précision, de développer les rapports poétiques et philosophiques que nous entretenons avec le ciel par notre propre pratique de la peinture et d’évaluer la nature exacte des paradigmes culturels qui sont désormais les nôtres.Bien entendu, s’agissant d’une thèse en arts plastiques, sont étroitement mêlées, réflexions historiques, critiques, esthétiques, la création proprement dite d’œuvres picturales ainsi que leur interprétation. / This thesis is based on a deep comparative study between Pakistani paintings and the Western paintings. The paintings in Pakistan are often characterized by genres (portraits, landscapes...), patterns, executed in oil in resemblance with classical European style. In Western paintings (mostly French productions, American and English from the nineteenth century), the thesis explores a true semantics of the sky in paintings.Our own pictorial production, located in a halfway between the two cultures, defines a kind of game in a wide sense.It is therefore to describe this interstice with precision, and develop our poetic and philosophical relationship by our own practice of paintings, relating to the subject of sky. We evaluate the exact nature of the cultural paradigms, which are now ours.Of course, as it is the thesis in the domain of fine-arts, it is intertwined, with historical reflections, criticism, and aesthetics, with addition to the actual creation of painting work and their interpretations which is also a part of this research work.
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Of master Hongyi's last calligraphic workWang, Fei 08 1900 (has links)
Hongyi (1860-1942) est le maître de l’école bouddhiste appelée « Terre Pure » en Chine moderne. Dans l'histoire du bouddhisme chinois, il est le seul maître bouddhiste qui peut se classer parmi les plus grands calligraphes chinois. Dans l'histoire de la calligraphie chinoise, il est le premier moine-calligraphe qui allie sa foi bouddhiste avec son art calligraphique tout en appliquant des principes de la peinture occidentale à son travail de calligraphie. Son art serve bien sa croyance religieuse et n’est pas indépendent de celle-ci, ce qui est extraordinaire dans l’histoire calligraphique. Il utilise le concept bouddhiste de «une forme sans forme» pour interpréter la calligraphie chinoise, et propose une série de théories calligraphiques bouddhistes pour guider sa pratique. D’ailleurs, sa calligraphie ne sert qu'à retranscrire les textes bouddhistes classiques et contemporains. Ses œuvres illustrent donc l'influence du bouddhisme chinois sur la calligraphie chinoise. Traditionnellement, la dernière œuvre d'un calligraphe est souvent considérée comme son chef-d'œuvre en fonction de deux critères: sa technique et son contenu moral. En outre, quelques-unes des dernières œuvres de grands calligraphes ont survécu. La rareté les rend encore plus précieuses. Bei xin ji jiao («悲欣交集») est la dernière œuvre de Hongyi, qui a été achevée trois jours avant son nirvana. Ce mémoire sera d'étudier et d'analyser l'influence de sa pensée bouddhiste sur le contenu littéraire et la forme artistique de cette œuvre, et d’expliciter qu’elle guide pleinement vers l'état ultime de sa pratique bouddhiste au plus haut niveau de sa calligraphie. / Hongyi (1860-1942) is a Master of Pure Land Buddhism in modern China. In the history of Chinese Buddhism, he is the only Buddhist Master who can rank among the greatest Chinese calligraphers. In the history of Chinese calligraphy, he is the first monk calligrapher who combines his Buddhist faith with his calligraphic art, and applies Western painting principles in his work of calligraphy. His calligraphic art well serves his religious belief, not independent from the latter as it is in most cases in the history. He uses the Buddhist concept of “a form without form” to interpret Chinese calligraphy, and puts forward a series of Buddhist calligraphic theories to guide his practice. Moreover, his calligraphy serves only to transcribe classical and contemporary Buddhist texts. In this sense, his calligraphic work exemplifies the influence of Chinese Buddhism on Chinese calligraphy. Traditionally, the last work of a calligrapher is often considered as his masterpiece according to two standards: its technique and its moral content. Furthermore, few of the last works by great calligraphers have survived. Scarcity makes these works even more valuable. Bei xin jiao ji (“悲欣交集”) is Hongyi’s last calligraphic work, which was completed three days before his nirvana. This thesis will study and analyze the influence of Hongyi’s Buddhist thought on the literary content and artistic form of this work and expounds that his last work fully displays the ultimate state of his Buddhist practice and the highest level of his calligraphy.
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Du récit à la représentation : la transposition de sujets de la littérature grecque antique dans l’art gréco-romain et la peinture occidentale (XVe-XIXe siècles). Le cas de la Punition Divine / From Narration to Representation : The Transfer of Literature Themes from Ancient Greek Literature into Greco-roman Art and Occidental Painting (15th-19th Century). The Case of the Divine Punishment.Painesi, Anastasia 10 December 2011 (has links)
La punition divine est un phénomène récurrent dans la mythologie grecque. L’hybris, commise par des individus vaniteux et orgueilleux aspirant à se comparer aux dieux ou même à se succéder à eux à la domination du Cosmos, provoque une série de châtiments atroces, imposés par les Olympiens à des hommes et à des femmes, à des humains et à des êtres mythiques, à des héros, à des rois et même à d’autres dieux sans discrimination. L’étude actuelle examine l’iconographie de divers types de châtiment divin dans l’art gréco-romain et la peinture occidentale (XVe-XIXe siècles). Elle analyse l’interaction entre les œuvres d’art et les sources littéraires antiques, médiévales et modernes, ainsi que les points communs remarqués entre les thèmes antiques du châtiment divin et certains épisodes bibliques ou chevaleresques. Elle se focalise enfin sur l’influence que l’iconographie de la punition divine antique a exercée sur la politique, la société et la religion aussi bien dans l’Antiquité qu’à l’époque moderne. / Divine punishment constitutes a recurrent phenomenon in Greek mythology. The hubristic behaviour of vain and selfish individuals, who aspire either to compare themselves to the gods or to succeed them to the domination of the Cosmos, provokes a series of atrocious tortures inflicted by the Olympians to men and women, to humans and mythical creatures, to heroes, kings and even to other gods equally.The present PhD study examines the iconography of a variety of types of Divine Punishment in the Greek and Roman art and the occidental painting (15th-19th centuries). It analyses the interaction between the various works of art and the ancient, mediaeval and modern literary sources. It pinpoints the resemblances between the ancient themes and certain biblical or chivalrous episodes. It focuses finally on the influence wielded by the iconography of divine punishment in politics, society and religion, both in Antiquity and in modern times.
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Of master Hongyi's last calligraphic workWang, Fei 08 1900 (has links)
Hongyi (1860-1942) est le maître de l’école bouddhiste appelée « Terre Pure » en Chine moderne. Dans l'histoire du bouddhisme chinois, il est le seul maître bouddhiste qui peut se classer parmi les plus grands calligraphes chinois. Dans l'histoire de la calligraphie chinoise, il est le premier moine-calligraphe qui allie sa foi bouddhiste avec son art calligraphique tout en appliquant des principes de la peinture occidentale à son travail de calligraphie. Son art serve bien sa croyance religieuse et n’est pas indépendent de celle-ci, ce qui est extraordinaire dans l’histoire calligraphique. Il utilise le concept bouddhiste de «une forme sans forme» pour interpréter la calligraphie chinoise, et propose une série de théories calligraphiques bouddhistes pour guider sa pratique. D’ailleurs, sa calligraphie ne sert qu'à retranscrire les textes bouddhistes classiques et contemporains. Ses œuvres illustrent donc l'influence du bouddhisme chinois sur la calligraphie chinoise. Traditionnellement, la dernière œuvre d'un calligraphe est souvent considérée comme son chef-d'œuvre en fonction de deux critères: sa technique et son contenu moral. En outre, quelques-unes des dernières œuvres de grands calligraphes ont survécu. La rareté les rend encore plus précieuses. Bei xin ji jiao («悲欣交集») est la dernière œuvre de Hongyi, qui a été achevée trois jours avant son nirvana. Ce mémoire sera d'étudier et d'analyser l'influence de sa pensée bouddhiste sur le contenu littéraire et la forme artistique de cette œuvre, et d’expliciter qu’elle guide pleinement vers l'état ultime de sa pratique bouddhiste au plus haut niveau de sa calligraphie. / Hongyi (1860-1942) is a Master of Pure Land Buddhism in modern China. In the history of Chinese Buddhism, he is the only Buddhist Master who can rank among the greatest Chinese calligraphers. In the history of Chinese calligraphy, he is the first monk calligrapher who combines his Buddhist faith with his calligraphic art, and applies Western painting principles in his work of calligraphy. His calligraphic art well serves his religious belief, not independent from the latter as it is in most cases in the history. He uses the Buddhist concept of “a form without form” to interpret Chinese calligraphy, and puts forward a series of Buddhist calligraphic theories to guide his practice. Moreover, his calligraphy serves only to transcribe classical and contemporary Buddhist texts. In this sense, his calligraphic work exemplifies the influence of Chinese Buddhism on Chinese calligraphy. Traditionally, the last work of a calligrapher is often considered as his masterpiece according to two standards: its technique and its moral content. Furthermore, few of the last works by great calligraphers have survived. Scarcity makes these works even more valuable. Bei xin jiao ji (“悲欣交集”) is Hongyi’s last calligraphic work, which was completed three days before his nirvana. This thesis will study and analyze the influence of Hongyi’s Buddhist thought on the literary content and artistic form of this work and expounds that his last work fully displays the ultimate state of his Buddhist practice and the highest level of his calligraphy.
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