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An Anatomical Comparison of Wild Type and Homeotic Mutant Flowers of Clarkia tembloriensisObrebski, Chelsea Elizabeth 14 November 2019 (has links)
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De la rose sauvage à la rose domestiquée : caractérisation du rôle d’APETALA2L dans la formation de la fleur double chez le rosier / From wild to domesticated roses : characterisation of APETALA2L function in double flower formation in Rosa chinensisFrançois, Léa 16 July 2019 (has links)
Les roses à fleurs doubles attirent sélectionneurs et scientifiques depuis de nombreux siècles. L’analyse des taux de ségrégation et cartes génétiques indique que le passage de la fleur simple à la fleur double est dû à une seule mutation dominante située sur le chromosome 3. Cette mutation conduit à une conversion homéotique d’une partie des étamines en pétales, soulignant la possibilité que cette mutation impacte certains gènes du modèle ABC. Il y a quelques années, notre équipe a démontré que l’augmentation du nombre de pétales chez le rosier était corrélée à une restriction de l’expression de RcAGAMOUS (RcAG) vers le centre du méristème floral. Cependant, RcAG étant porté par le chromosome 5, il ne peut être le déterminant génétique de la fleur double. Il a donc été supposé que la mutation en cause se trouvait dans un gène intervenant en amont de RcAG.Récemment, nous avons séquencé, assemblé et publié le génome de Rosa chinensis cv ‘Old Blush’ un ancêtre des rosiers modernes qui produit déjà des fleurs doubles. L’assemblage, de très bonne qualité, nous a aidé à reconstruire la séquence des deux haplotypes de l'intervalle contenant la mutation liée à la fleur double. Nous avons identifié, parmi les 631 gènes de cet intervalle, un gène APETALA2-LIKE (RcAP2L) comme candidat plus que prometteur. En effet, il a été découvert que ce gène existait sous la forme de deux allèles, l’un d’entre eux contenant un grand élément transposable, donnant lieu à un allèle tronqué résistant à l’inhibition par miR172, appelé RcAP2LΔ172. Sachant que la surexpression d’un variant résistant au miR172 entraîne souvent la formation de pétales supplémentaires chez A. thaliana, j’ai démontré que la présence de ce variant corrèle avec le phénotype « fleur double » chez les rosiers d’origine chinoise. Enfin, alors qu’AP2 est capable d’inhiber l’expression d’AG en se liant directement à ses séquences régulatrices chez A. thaliana, j’ai confirmé la capacité des protéines codées par les deux allèles de RcAP2L à lier les séquences régulatrices de RcAG, in vitro. À partir de ces résultats, je propose donc un modèle pouvant expliquer la formation de fleurs doubles chez les rosiers chinois et peut-être d’autres Rosaceae, dans lesquelles la protéine RcAP2LΔ172 peut s’accumuler du fait de sa résistance au miR172 et restreindre davantage l’expression de RcAG au centre du méristème floral. Ainsi, la frontière entre les domaines A et C se trouve elle aussi déplacée vers le centre du méristème, ce qui induit la conversion des étamines en pétales. / Roses exhibiting double flowers have intrigued both breeders and scientists for decades. Based on segregation ratios and genetic maps, it is known that the switch from simple to double flower is due a single dominant locus on chromosome 3. When present in its mutated form, this locus leads to a homeotic conversion of stamens into petals, suggesting a mechanism involving the ABC genes. A few years ago, our team demonstrated that the increase in petal number correlates with a restriction of RCAGAMOUS (RcAG) expression domain towards the center of the floral meristem. However, as RcAG is located on chromosome 5, the causative mutation was assumed to act as a regulator of this gene. Recently, we sequenced, assembled and published the double-flowered Rosa chinensis cv ‘Old Blush’ genome sequence with a high-quality assembly that helped us to reconstruct the sequence of the two haplotypes of the interval containing the double flower mutation. Among the 631 genes from this interval, we identified here an APETALA2-LIKE (RcAP2L) gene as a strong candidate. Indeed, this gene was found to exist as two alleles, with one containing a large transposable element resulting in a truncated, miR172-resistant, variant named RcAP2LΔ172. Knowing that the overexpression of a miR172-resistant variant of AP2 leads to the formation of extra petals (and sometimes stamens) in Arabidopsis, we investigated the presence of this variant in simple and double flower varieties. The presence of RcAP2LΔ172 was found to correlate with the double flower phenotype in Chinese roses and was not observed in any of the simple-flowered roses studied. Finally, as AP2 is able to inhibit AG expression by directly binding to its regulatory sequences in A. thaliana, I confirmed that both RcAP2L proteins are also able to recognize RcAG regulatory sequences in vitro. A working model is thus proposed for double flower formation in rose, that could be valid for other Rosaceae, whereby RcAP2LΔ172 protein may accumulate due to its resistance to miR172 and consequently may repress more RcAG towards the center of the floral meristem, leading to the sliding of the A/C border and thus the conversion of stamens into petals.
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Comparative analysis of corolla shape transitions in the sister genera Gesneria and Rhytidophyllum (Gesneriaceae)Vergolino Martini, Carolina 12 1900 (has links)
La convergence, soit l'acquisition indépendante de phénotypes similaires, est un aspect intéressant
de la diversité qui peut fournir des informations importantes sur la nature du changement évolutif.
Dans les systèmes végétaux, les syndromes de pollinisation – combinaisons de traits floraux
adaptés à leurs pollinisateurs – constituent de bons exemples de convergence se produisant sur les
fleurs. Nous avons utilisé une approche globale incluant la morphologie cellulaire et la
transcriptomique pour analyser la convergence de formes florales de deux syndromes de
pollinisation trouvés dans les genres frères non Gesneria et Rhytidophyllum (Gesneriaceae), un
groupe antillais qui contient environ 81 espèces avec différentes morphologies et stratégies de
pollinisation variables dans leur degré de spécialisation écologique. Il a déjà été démontré que la
forme des fleurs joue un rôle important dans l’évolution de ce groupe, qui présente de nombreuses
transitions entre les stratégies de pollinisation. Nous avons testé la présence de convergence dans
les forms de cellules de la corolle et dans l’expression des gènes de la corolle en utilisant (1) une
analyse pour mesurer la forme des cellules de pétales matures à l’aide d’un modèle phylogénétique
mixte et (2) une approche transcriptomique comparative combinant l'expression différentielle des
gènes (DESEq2) et l'analyse de co-expression (WGCNA) de gènes exprimés dans certaines
regions précises des pétales. Toutes les analyses ont pris en compte les relations phylogénétiques
entre les espèces. Nous avons trouvé une anisotropie cellulaire convergente se produisant dans les
régions distales des pétales au sein des espèces du même syndrome (forme). Nous avons également
constaté une plus grande similarité dans les modèles d'expression génique entre les espèces d’un
même syndrome qu'entre les espèces apparentées et avons produit une liste de 203 gènes
potentiellement associés aux formes de fleurs convergentes. La convergence morphologique
florale observée dans les syndromes de pollinisation des espèces étudiées se retrouve tant au niveau
cellulaire qu'au niveau de l'expression. Les résultats présentés ici amplifient les informations de
base sur la famille des Gesneriaceae pour les études futures sur la convergence et la forme florale
dans le groupe. / Convergence, the independent acquisition of similar phenotypes, is an important aspect of
diversity that can provide valuable insights about the nature of evolutionary change. In plants,
pollination syndromes - combinations of floral traits adapted to their pollinators - make good
examples of convergence occurring on flowers. We used a comprehensive approach that includes
cell morphology and transcriptomics to analyze the floral shape convergence of two pollination
syndromes found in the sister genera Gesneria and Rhytidophyllum (Gesneriaceae), an Antillean
group that contains approximately 81 species with different morphologies and pollination
strategies varying in their degree of ecological specialization. Flower shape has already been found
to play an important role in the evolution of this group, which shows many transitions between
pollination strategies. We tested convergence in the corolla cell shapes and in gene expression for
the pollination syndromes using (1) cell measurement statistical analysis (Phylogenetic Mixed
Model) of mature petals and (2) a comparative transcriptomic approach that combined differential
gene expression (DESEq2) and co-expression analysis (WGCNA) in genes expressed in specific
regions of the petals. All analyses took the phylogenetic relationships of the species into account.
We found convergent cellular anisotropy occurring in the distal regions of the petals within species
of the same syndrome (form). We also found greater similarity in gene expression patterns
occurring among species of the same syndromes than between more closely related species and
produced a list of 203 genes potentially associated with convergent flower forms. The floral
morphological convergence observed in the pollination syndromes of the investigated species is
paralleled both at the cellular and expression levels. The results shown here amplify the
background information of the Gesneriaceae family for future studies of convergence and floral
form in the group.
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Pollination-Induced Gene Changes That Lead to Senescence in <i>Petunia × hybrida</i>Broderick, Shaun Robert January 2014 (has links)
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