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Effets de la phencyclidine sur la mémoire de l'ordre temporel chez le rat : syndrome d'hypofrontalité et schzophrénie

Marquis, Jean-Philippe 25 March 2021 (has links)
L'un des défis des modèles animaux de la schizophrénie réside dans la reproduction du syndrome « d'hypofrontalité ». Chez l'animal, l'administration répétée de phencyclidine (PCP) est jugée efficace pour modéliser la symptomatologie positive et négative de la schizophrénie, incluant les dysfonctions du cortex préfrontal (cPF). Toutefois, la capacité de ce modèle à altérer la cognition associée au cPF repose sur seulement deux preuves empiriques, non reproduites, chez le rat. L ‘article intégré dans ce mémoire présente deux expériences où la performance de rats traités au PCP est évaluée dans une tâche de mémoire de l'ordre temporel dépendante de l'intégrité du cPF. Les résultats démontrent que l'injection répétée de PCP n ‘altère pas la discrimination de récence. Cette incapacité à induire une dysfonction du cPF chez le rat est compatible avec d ‘autres résultats négatifs obtenus dans notre laboratoire. La supériorité du modèle PCP dans la reproduction de l'hypofrontalité est remise en cause.
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Effets comportementaux et cognitifs de la phencyclidine (PCP) chez le rat

Audet, Marie-Claude 02 March 2021 (has links)
L'administration répétée de phencyclidine (PCP) permet de modéliser les symptômes positifs et négatifs de la schizophrénie chez l'animal. Des études récentes démontrent que l'injection sous-chronique de PCP chez le rat entraîne l'apparition de déficits cognitifs communément attribués à une dysfonction frontale, ainsi qu'une diminution de l'utilisation de la dopamine dans le cortex préfrontal possiblement associée à une hyperactivité dopaminergique sous-corticale (Jentsch et al., 1997b). La présente étude se propose d'examiner le patron des fonctions intactes et déficitaires chez le modèle animal PCP dans des situations faisant appel à la mémoire, la coordination motrice, les comportements ambulatoires, la néophobie environnementale et alimentaire, ainsi qu'à l'organisation de séquences motrices. Les résultats obtenus indiquent qu'une administration de PCP pendant 15 jours chez le rat provoque une altération de la mémoire de référence, une perturbation de la mémoire de travail dans le labyrinthe radial mais pas dans le labyrinthe en T, et une difficulté à organiser des séquences motrices lors du toilettage.
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Effets de l'injection de phencyclidine sur les comportements générés par l'animal ou imposés par l'expérimentateur chez le rat

Roy, Mélanie 12 April 2021 (has links)
Au moyen du modèle phencyclidine (PCP) de la schizophrénie chez le rat, la présente étude se propose de tester la généralité du postulat selon lequel les patients schizophrènes avec une prédominance de symptômes négatifs éprouvent de la difficulté lorsqu'ils doivent initier spontanément un comportement, mais pas lorsqu'une instruction explicite externe en guide la production (Frith 1993). La performance de rats traités au PCP ou avec une solution saline est comparée dans des versions générée par l ’animal (SG) et imposée par l'expérimentateur (SD) des tâches de labyrinthe radial et en T. Tel qu'attendu, nos données, plus particulièrement celles recueillies dans le labyrinthe en T. montrent que les rats PCP obtiennent une performance déficitaire uniquement dans la version SG. Conformément à l’interprétation de Frith, il semble que les symptômes négatifs de la maladie reflètent davantage une difficulté à amorcer une action qu'une incapacité à réaliser cette action correctement une fois amorcée.
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Modèle animal des dysfonctions schizophréniques du cortex préfrontal : performance de rats avec injections systémiques de phencyclidine (PCP) dans deux tâches axées sur des changements de règles / Effets du PCP sur les changements de règles

Deschênes, Annie. 07 May 2021 (has links)
Selon un point de vue très répandu, l’injection quotidienne et répétée de phencyclidine (PCP)reproduit chez ranimai des symptômes négatifs similaires à ceux observés dans la schizophrénie humaine en créant une hypodopaminergie corticale, notamment dans le cortex préfrontai. Le présent mémoire s’insère dans un programme de recherche qui vise à tester ce point de vue qui, dans les faits, repose sur peu de données empiriques publiées. Plus spécifiquement, l’expérience rapportée dans le mémoire compare la performance de rats traités avec du PCP de façon sous chronique et répétée à celle de rats contrôles injectés avec une solution saline, dans deux tâches introduisant des changements de règles et requérant l’intégrité du cortex préfrontal: une tâche de localisation spatiale à buts variables dans un labyrinthe radial et une variante du test de tri decartes du Wisconsin (WCST) adaptée aux rats. L’absence de différence significative entre les groupes exposé et non exposé à la drogue dans les deux tâches examinées met en doute la capacité réelle de cette drogue à reproduire, chez le rat, un syndrome fronto-cognitif déficitaire apparenté à la schizophrénie.
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Anomalies émotionnelles et motivationnelles consécutives à une exposition sous-chronique répétée à la phencyclidine chez le rat : analogies avec la schizophrénie humaine

Audet, Marie-Claude 12 April 2018 (has links)
La schizophrénie est un trouble neuropsychiatrique sévère dont les manifestations cliniques sont complexes et hétérogènes. L'administration de phencyclidine (PCP) chez le rat est couramment employée pour reproduire des comportements dysfonctionnels analogues aux symptômes de la schizophrénie. Les données comportementales recueillies au moyen du modèle PCP sont toutefois disparates et difficiles à intégrer: la sélection limitée des paradigmes expérimentaux et la nature élémentaire des indices comportementaux utilisés pour mesurer les effets du PCP expliquent en partie ce problème. La présente thèse se propose de préciser les symptômes schizophréniques pouvant être reproduits au moyen du PCP chez le rat en utilisant des paradigmes moins conventionnels et introduisant des conditions expérimentales plus discriminantes au sein des tests standards. Le premier article vérifie chez le rat les effets d'une exposition quotidienne à 10 mg/kg de PCP pendant 15 jours sur l'expression et l'organisation du toilettage dans deux conditions stressantes, l'exposition à des jets d'eau ou à un son fort, et une condition appétitive, la consommation de nourriture. Dans le deuxième article, les effets d'un traitement identique sont examinés sur la locomotion en l'absence ou en présence d'un son fort, la coordination motrice sur le retard et la motivation à compléter une variété de tâches encadrées, menant ou non à un renforcement. Un troisième article tente de cibler les effets du PCP sur les fonctions émotionnelles dans la cage clarté/noirceur et pendant l'exposition à une odeur de prédateur. Environ 20 h après l'exposition au PCP, le toilettage est augmenté dans toutes les conditions mais il est désorganisé seulement en réponse aux jets d'eau stressants. Au même moment, la locomotion est diminuée peu importe la présence d'un son fort dans l'environnement mais la coordination motrice et la motivation à se déplacer en présence et en l'absence d'une récompense sont intactes. Sept jours après la fin d'un traitement répété, l'évitement de situations anxiogènes est amplifié. L'administration sous-chronique répétée de PCP engendre donc des anomalies dans les fonctions émotionnelles et dans la motivation à compléter un comportement dirigé vers un but en l'absence d'encadrement adéquat. Ces dysfonctions sont compatibles avec certains symptômes positifs, négatifs, désorganisés et émotionnels du syndrome schizophrénique humain. / Schizophrenia is a severe neuropsychiatric disorder that encompasses complex and heterogeneous symptoms. Phencyclidine (PCP) administration in rats is commonly used to reproduce abnormal behaviors reminiscent of human schizophrenia. However, behavioral data collected with the PCP model are inconsistent and difficult to understand: paucity of available experimental paradigms and rudimentary behavioral tools used to assess PCP outcomes likely account for this problem. The aim of this thesis was to circumscribe reproducible schizophrenic-like symptoms in the PCP rat model by using less conventional paradigms and by introducing precise, more discriminating conditions in classical tests. The first paper verified in the rat the effects of a daily exposure to 10 mg/kg PCP for 15 days on grooming expression and organization in two stressful conditions, water spray or loud sound exposure, and one appetitive condition, food consumption. In the second paper, the effects of identical PCP treatment were examined on locomotion in the absence or in the presence of a loud sound, on motor coordination, and on extrinsic motivation. A third paper tried to better define PCP effects on emotional functions in the light/dark apparatus and during exposure to a predator odor. Around 20 h after PCP exposure, grooming was enhanced in ail stressful and appetitive conditions but was disorganized only in the stressful, water condition. Locomotion was reduced whether or not a sound was introduced in the environment but motor coordination and motivation to achieve rewarded and non rewarded goal-directed behaviors were unaffected. Seven days after a repeated treatment, avoidance of anxiogenic stimuli was increased. Repeated subchronic PCP administration thus provokes emotional dysfunctions and an inability to self-generate behaviors in the absence of adequate support. These dysfunctions are compatible with positive, negative, disorganized, and emotional symptoms of human schizophrenia.

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