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Die wohlerwogene Republik : das konstitutionelle Denken des politisch-philosophischen Liberalismus /

Herz, Dietmar, January 1900 (has links)
Diss.--München, 1996. / Bibliogr. p. 351-386. Index.
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La problématique de l'unité de la science en philosophie

Ruytinx, Jacques January 1956 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'émergence de la physique quantitative en philosophie au XIVe siècle à Oxford : la scolastique tardive, soubassement de la modernité scientifique?

Touchette Lebel, Viktor 03 January 2022 (has links)
Le lien entre le Moyen Âge et l'époque moderne est un sujet âprement discuté en philosophie et en histoire, plus précisément la jonction entre ces deux époques et les phénomènes extraordinaires qui s'y produisirent, que ce soit les grandes explorations, la renaissance artistique, l'apparition de l'humanisme et la révolution scientifique. Dans une optique constructive, nous tentons dans ce mémoire de narrer les grands courants de pensée concernant le lien entre la révolution scientifique et le Moyen Âge tout en exposant leurs lacunes grâce aux travaux les plus actuels sur cet enjeu. Plus précisément, c'est le lien entre la scolastique tardive du XIVe siècle et l'apparition de la méthode des sciences modernes que ce mémoire expose à l'aide du concept d'intelligibilité fonctionnelle et de ses racines méthodologiques, scientifiques et mathématiques. Cette exposition se fait grâce à un procédé simple, soit la présentation d'un problème et de son histoire. Notre problème est celui de la mathématisation de la philosophie naturelle au XIVe siècle et notre histoire est celle d'un étrange ouvrage, le Traité des rapports entre les rapidités dans les mouvements écrit par Thomas Bradwardine, et de ses sources. En reconstruisant sommairement le contexte autant que l'univers conceptuel de Thomas Bradwardine, ce mémoire expose un cas particulier de la pratique scientifique à son époque. À partir de cette histoire, ce mémoire présente finalement des considérations générales sur le lien entre la scolastique du XIVe siècle et la révolution scientifique à partir d'un résultat probant, soit la méthode philosophique de Bradwardine, et son lien avec les intelligibilités fonctionnelles typiques de la révolution scientifique.
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La lecture deleuzienne de Spinoza : ou comment Deleuze inscrit sa philosophie de la différence dans l'histoire de la philosophie

Lapointe, Francis 24 April 2018 (has links)
Cette thèse propose de suivre la lecture deleuzienne de Spinoza afin de montrer comment Deleuze inscrit sa philosophie de la différence dans l'histoire de la philosophie et de la métaphysique. Loin d'être condescendant envers l'histoire de cette discipline, Deleuze légitime sa conception bi-univoque de la différence à l'aide du parallélisme entre la Nature naturante et la Nature naturée de Spinoza. La différenciation de l'actuel (les modes, l'événement) se fait dans la différentiation du virtuel et c'est en procédant de la sorte que Deleuze participe de plain-pied à la tradition immanentiste de la philosophie où l'être se dit seulement de la différence qu'il exprime. Plus encore, cette thèse explique comment Deleuze reprend les principes de cette métaphysique immanentiste pour établir sa conception de la subjectivité. Là aussi, sa lecture de Spinoza est essentielle, car en affirmant la non-substantialisation de l'âme comme le fait Spinoza, Deleuze peut attaquer, à la racine, les fondements épistémologiques des philosophies du sujet de son époque (existentialisme et phénoménologie en tête). Pour Deleuze, cette conception modale de l'âme et de la subjectivité appuie, métaphysiquement parlant, une épistémologie fondée sur la passivité du sujet. Loin d'être le fondement de la vérité des idées, la conscience d'un moi dans l'âme est, pour Deleuze, un résultat synthétisé, jamais une fonction synthétisante. En ce sens, l'ultime réduction de la philosophie n'est plus l'ego cogito cartésien, mais consiste à reconnaître la fêlure du Je. Deleuze construit ainsi, en envisageant la place de l'imagination dans la puissance de connaître l'âme, une autre épistémologie que celle du sujet fondateur transcendantal ou transcendant. Pour lui, le constat est clair : comment pouvons-nous croire que nous sommes responsables de l'idée que nous formons de nous-mêmes (et s'établir sur celle-ci pour fonder, épistémologiquement, nos idées sur les choses) si nous ne savons même pas ce que peut notre corps, ni comment celui-ci peut affecter et être affecté par notre âme ? Ce principe de « l'inconnu du corps » relativise l'éminence de l'âme et inscrit Deleuze à la fois dans l'une des plus importantes batailles philosophiques de la Modernité (celle de Spinoza contre Descartes) et dans la crise de la subjectivité qui caractérise la pensée française au moment des années soixante. Mots clés : Deleuze ; Spinoza ; Descartes ; histoire de la philosophie ; métaphysique ; épistémologie ; subjectivité ; différence ; actuel ; virtuel ; Je fêlé ; corps ; imagination ; éthologie.
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La paix et la guerre et la téléologie naturelle de l'homme

Légaré, Jacques 07 February 2022 (has links)
Par l'étude philosophique de l'ensemble du développement historique de l'homme et des réalités politiques contemporaines, cette thèse de Philosophie politique et de Philosophie de l'Histoire cherche à démontrer que l'homme est habité depuis toujours par un désir naturel de paix qui le conduit à construire un espace pacifié de plus en plus grand, à la limite, planétaire. Par delà les conflits les plus nombreux et les plus virulents dont l'Histoire fut le théâtre, et malgré leur apparente pérennité, se dessine un mouvement en vue d'une paix universelle et durable. En vue de cette démonstration, cette thèse propose un concept nouveau qui a pour nom "espace pacifié". En outre, cette thèse aborde plus spécifiquement le problème dichotomique de la paix et de la guerre par un commentaire critique de quelques-unes des œuvres les plus percutantes sur cette question, dont De la Guerre, de von. Clausewitz, Mars ou la guerre jugée d'Alain, de même que les œuvres d'autres savants et philosophes qui ont traité de la guerre et de la paix, tels Machiavel, Hobbes, Spinoza, Sorokin, Lorenz, ainsi que les représentants des Lumières que sont Locke, Rousseau et Kant. Finalement, elle tente d'élucider certains problèmes philosophiques que posent l'avènement et la sauvegarde de la paix par l'étude de thèmes particuliers.
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Les organisations bureaucratiques dans une "cité éducative" : le cas de l'Afrique noire

Loueke, Basile 11 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
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Contribution à la définition de l'éducation de la philosophie des Lumières : une perspective selon Diderot, Kant et Rousseau

Carbonneau, Nathaniel 13 February 2024 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 8 février 2024) / Derrière l'école se cache la question des finalités éducatives. Et ces finalités, à travers les époques, témoignent immanquablement d'idéaux axiologiques propres à une aire géopolitique et culturelle donnée. L'histoire de l'éducation occidentale a été caractérisée par plusieurs éléments de continuité, mais aussi, à d'autres moments par quelques moments de rupture. Ce fut notamment le cas dans l'Europe du XVIIIᵉ siècle, où la pensée philosophique des Lumières, marquée, entre autres, par des idéaux d'égalité, d'émancipation et de raison, et par la volonté claire d'abolir l'Ancien régime, influencera grandement la pensée éducative contemporaine. Afin de mieux comprendre comment la conception éducative des penseurs des Lumières est teintée par des considérations sociopolitiques sous-jacentes, nous avons tenté de répondre à la question suivante : Quel type d'individu l'éducation doit-elle tendre à former ? Pour y répondre, nous avons analysé la pensée éducative de Diderot, de Kant et de Rousseau, telle qu'elle peut respectivement être circonscrite dans l'*Encyclopédie, Réflexions sur l'éducation* et l'*Émile*. Si leur conception éducative est teintée d'idéaux qui leur sont propres et que, par voie de conséquence, chacun envisage l'éducation selon des finalités spécifiques, ils s'entendent tous sur le fait que l'éducation devrait préparer le terrain pour la mise en place d'un nouveau contrat social, dans lequel chaque citoyen contribue à l'établissement d'une meilleure société. / Behind the school lies the question of the purposes of education. And, through the ages, these purposes automatically attest to axiological ideals of a given geopolitical and cultural area. The history of Western education has been characterized by several elements of continuity, but also by moments of disruption. This was particularly the case in 18th-century Europe, where the philosophical thought of the Enlightenment--known for its ideals of equality, emancipation and reason, as well as the clear desire to abolish the Old Regime--would greatly influence contemporary educational thought. In order to better understand how the educational design of the Enlightenment thinkers was coloured by the underlying sociopolitical considerations, we have attempted to answer the following question: What type of individual benefits from education? In response, we have analyzed the educational concepts of Diderot, Kant and Rousseau as described in l'Encyclopédie, *Lectures on pedagogy* and *Emile*, respectively. Even if their views differ due to ideals which are specific to each, they nevertheless agree on the fact that education should lead to the establishment of a new social contract, where every citizen contributes to a better society.
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Association des idées et intuition: la réponse des architectes anglais à la Querelle des Anciens et des Modernes

Bigonville, Delphine 27 May 2011 (has links)
Ce travail s’intéresse au problème de la relativisation de l’expression architecturale liée à la remise en question, durant le XVIIe siècle, de l’origine divine et de la valeur des canons proportionnels qui sous-tendent la tradition classique. Emblématique de la Querelle qui opposa Claude Perrault et François Blondel au sein de l’Académie royale de Paris, ce problème recevra une formulation privilégiée dans la tradition théorique anglaise qui se caractérise par la volonté de préserver une forme d’objectivité à l’expression formelle tout en cherchant à y intégrer la valeur subjective de l’usage. A travers l’étude de textes esthétiques et de théories d’architecture produits en Angleterre durant le XVIIIe siècle et le début du XIXe siècle, nous avons cherché à identifier les différentes solutions proposées par les théoriciens pour parvenir à concilier le sujet et l’objet dans la forme architecturale et ainsi aboutir à une expression qui autorise l’appropriation individuelle tout en satisfaisant à l’impératif du consensus. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les dialectes de la dialectique: sens et usage du langage chez Hegel

Lejeune, Guillaume 25 February 2012 (has links)
La thèse s’intéresse au sens et à l’usage du langage chez Hegel à travers une reconstruction de la dialectique et de ses dialectes. <p>Dans la première partie, nous avons reconstruit la théorie implicite du langage à partir des occurrences du thème et de la structure de la philosophie hégélienne. Après une étude génétique et systématique du langage chez le philosophe, nous avons abordé le rapport du langage à la logique. Nous avons alors montré que Hegel essaye moins de construire un langage pour la pensée comme c’est souvent le cas dans les formalismes logiques que de montrer comment la pensée se fait discours dans le langage. A l’issue de cette première partie, il est donc apparu que le langage était moins étudié comme un objet à décrire analytiquement que comme l’élément dans lequel la pensée devenait le discours de l’auto-constitution du sens.<p><p>Une fois ce sens du langage dégagé, nous avons analysé dans la seconde partie, la façon dont Hegel usait du langage pour faire ressortir son discours visant à articuler le sens en son absoluité. Notre démarche essentiellement propédeutique a alors pris un tour problématique, puisque nous avons fait ressortir qu’il y avait une tension entre les textes de philosophie et les textes sur la philosophie. En effet, si le discours philosophique exprime le sens tel qu’il se forme dans le langage, il semble inopportun de faire précéder ce discours de textes tels que des préfaces où des introductions qui ne donnent qu’un point de vue indirect sur la chose. Plus précisément, la dialectique du savoir se formant dans le langage semble perdre dans les textes en marge du système l’intimité requise d’un sens se faisant expérience. Hegel en formulant la philosophie première comme une dialectique autoréférentielle du concept serait pris dans le dilemme suivant :le système interdirait tout texte référentiel (préface, introduction) tout en les nécessitant pour se laisser communiquer. En bref, l’autoréférence au fondement de l’horizon du sens chez Hegel se contredirait dans la communication que vise à établir l’aspect dialogique des préfaces et des introductions. La question que nous avons alors essayé de résoudre est celle de savoir si dialectique et dialogique étaient vraiment à opposer. Après avoir montré que des penseurs comme Schlegel ou Schleiermacher pensaient ces deux concepts ensemble, nous avons fait apparaître que le concept de dialogique pensé dans son historicité s’était vu délimiter concurremment à la grammaire et à la rhétorique des bornes variables. Nous avons alors soutenu la thèse selon laquelle cette plasticité pouvait également s’attacher à la notion de dialogique. Plus précisément, l’opposition apparente de ces deux termes chez Hegel a été mitigée à l’aune d’un concept de dialogique basé sur une relation « Je-Nous ». En montrant que chez Hegel le dialogique des préfaces référait à un « Nous » englobant, le problème de la communication de sa philosophie à travers des textes exotériques n’est plus apparue comme contredisant la structure autoréférentielle du système. Nous avons, par là, fait apparaître que la dialectique de l’élaboration dans le langage pouvait se décliner en des dialectes dialogiques qui, prenant place dans l’espace autoréférentiel de la relation « Je-Nous », n’infirmaient pas le concept d’expérience du sens. <p><p>En guise de conclusion, nous avons esquissé de façon prospective le potentiel d’une telle théorie dans un contexte plus contemporain. Nous avons à cet égard voulu répondre aux critiques de Habermas ou de Gadamer taxant le système hégélien de monologue de l’absolu oublieux du caractère dialogique de la parole et de la communication en montrant l’intérêt qu’une vue plus nuancée sur la pensée dialectique hégélienne pouvait avoir pour la pensée contemporaine.<p> / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'étude des idées politiques au sein des partis de la social-démocratie européenne: de l'utilité du concept du révisionnisme

Sente, Christophe 30 November 2010 (has links)
La thèse s'attache à étudier la validité conceptuelle de la notion de révisionnisme pour la compréhension de la dynamique idéationnelle et programmatique de la social-démocratie européenne. / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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