Spelling suggestions: "subject:"aphilosophie ett esthétique"" "subject:"aphilosophie eet esthétique""
1 |
Music cognition as musical culture, a philosophical investigation of cognitivist theory of musicStellings, Alan January 1997 (has links) (PDF)
No description available.
|
2 |
The effects of music according to Plato and AristotleSchoen, Mary B. 12 November 2024 (has links)
No description available.
|
3 |
La place de la musique dans l'esthétique kantiennePaquet, Jean-Claude, Paquet, Jean-Claude 21 November 2024 (has links)
No description available.
|
4 |
Évaluation du processus d'expérience esthétique en situation d'éducation expérientielle au primaire : modèle expérientiel d'éducation musicaleBeaudoin, Huguette 25 April 2018 (has links)
Cette recherche constitue une tentative d’opérationnalisation des éléments du programme d’éducation musicale au primaire. Le modèle du processus d’expérience esthétique proposé, décrit les éléments constitutifs de la capacité d’éprouver l’expérience esthétique en présence d’un contenu musical. Ce modèle décrit ce qui se passe chez l’individu lorsque celui-ci vit une expérience esthétique et établit les indices spécifiques qui manifestent ce vécu. Pour favoriser la réalisation du processus d’expérience esthétique en musique au primaire, nous avons proposé un modèle expérientiel en trois phases progressives et cumulatives d’apprentissage d’un contenu musical. Ce modèle présente des indices comportementaux d’apprentissage sous forme d’objectifs spécifiques visés à chacune des étapes. A partir de ces objectifs nous avons réalisé des instruments de mesure permettant d’évaluer la réalisation du processus d’expérience esthétique. Ce modèle expérientiel d’éducation musicale fut appliqué par des enseignants spécialisés en musique auprès d’élèves de 5 ième et 6 ième année du primai re. Les résultats de l’expérimentation ont confirmé partiellement l’aspect progressif et cumulatif du processus d’expérience esthétique. Ils ont mis en lumière la nécessité pour l’enseignant spécialisé en musique, de s’approprier cette démarche du vécu émotionnel et d’expérience de création. Il serait ainsi en mesure d’intervenir adéquatement de façon à développer chez les élèves, la capacité d’éprouver l’expérience esthétique en présence d’un contenu musical. D’après l’observation et l’interprétation des résultats, on peut donc conclure que le modèle proposé des étapes du processus d’expérience esthétique est valable et utile pour l’enseignement et l’apprentissage de la musique. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2016
|
5 |
Le naturalisme spiritualiste de Joris-Karl Huymans / Joris-Karl Huysmans’ « naturalisme spiritualiste »Klugkist, Marc 29 November 2014 (has links)
Cette thèse développe une approche philosophique de l’œuvre de Joris-Karl Huysmans, axée sur le concept de « naturalisme spiritualiste ». Cette approche distingue la réalité, donnée essentielle de l’esthétique naturaliste, d’un réel qui serait marqué par une intensité régénératrice. L’analyse des idées et des figures philosophiques superpose trois parcours labyrinthiques : classique, maniériste et rhizomique. L’impossibilité d’atteindre une synthèse dialectique entre la réalité concrète et un réel mythique conduit Huysmans à un pessimisme où persiste l’influence de Schopenhauer. Par une appropriation singulière de la création artistique, du rêve et du mysticisme, il étend le territoire expérimental du naturalisme. La dérive, le corps et le lieu deviennent les enjeux problématiques qui balisent sa méthode d’investigation et sa quête existentielle. La confrontation avec l’œuvre de Grünewald est fondamentale pour comprendre les paradoxes féconds autant que les apories de la pensée de Huysmans. Le désir de rédemption s’avère illusoire, mais cet échec ouvre le champ d’une inventivité foisonnante, dans l’affirmation tragique de l’être morcelé, entre le sentiment de déréliction et l’intuition du sublime. / This thesis develops a philosophical approach of Joris-Karl Huysmans’ work, based on the concept of « naturalisme spiritualiste ». This approach distinguishes the depiction of reality, a key element of the naturalistic aesthetics, from a real that would be characterized by a regenerative intensity. The analysis of the philosophical ideas and figures superimposes three labyrinthine paths : the classical one, the mannerist one and the rhizomatous one. The impossibility to achieve a dialectical synthesis between a concrete reality and a mythical real leads Huysmans towards a pessimism where Schopenhauer’s influence prevails. Through a singular appropriation of artistic creation, dreams and mysticism, he extends the experimental domain of naturalism. The soul gone adrift, the body and the place become the problematic stakes which mark out his investigation method and his existential quest. The confrontation with Grünewald’s work is fundamental to understand the fertile paradoxes as well as the aporias of Huysmans’ thought. The desire of redemption proves to be illusionary but this failure opens up the scope of a prolific inventiveness, whitin the tragic affirmation of the fragmented being, between a sense of dereliction and an intuition of the sublime.
|
6 |
A Shine of Truth in the "universal delusional context of reification" (Theodor W. Adorno)Selene, Xander 04 1900 (has links)
“A Shine of Truth in the ‘universal delusional context of reification’ (Theodor W. Adorno)” comprend sept chapitres, un prologue et un épilogue. Chaque partie se construit à deux niveaux : (1) à partir des liens qui se tissent entre les phrases contiguës ; et (2) à partir des liens qui se tissent entre les phrases non contiguës. Les incipit des paragraphes forment l’argument principal de la thèse. Le sujet de la thèse, Schein (apparence, illusion, clarté) est abordé de manière non formaliste, c’est à dire, de manière que la forme donne d’elle-même une idée de la chose : illusion comme contradiction imposée. Bien que le sujet de la thèse soit l’illusion, son but est la vérité. Le Chapitre I présente une dialectique de perspectives (celles de Marx, de Lukács, de Hegel, de Horkheimer et d'Adorno) pour arriver à un critère de vérité, compte tenu du contexte d’aveuglement universel de la réification ; c’est la détermination de la dissolution de l’apparence. Le Chapitre II présente le concept d’apparence esthétique—une apparence réversible qui s’oppose à l’apparence sociale générée par l’industrie de la culture. Le Chapitre III cherche à savoir si la vérité en philosophie et la vérité en art sont deux genres distincts de vérités. Le Chapitre IV détermine si l’appel à la vérité comme immédiateté de l’expression, fait par le mouvement expressionniste du 20e siècle, est nouveau, jugé à l’aune d’un important antécédent à l’expressionisme musical : « Der Dichter spricht » de Robert Schumann. Le Chapitre V se penche sur la question à savoir si le montage inorganique est plus avancé que l’expressionisme. Le Chapitre VI reprend là où Peter Bürger clôt son essai Theorie de l’avant-garde : ce chapitre cherche à savoir à quel point l’oeuvre d’art après le Dada et le Surréalisme correspond au modèle hégélien de la « prose ». Le Chapitre VII soutient que Dichterliebe, op. 48, (1840), est une oeuvre d’art vraie. Trois conclusions résultent de cette analyse musicale détaillée : (1) en exploitant, dans certains passages, une ambigüité dans les règles de l’harmonie qui fait en sorte tous les douze tons sont admis dans l’harmonie, l’Opus 48 anticipe sur Schoenberg—tout en restant une musique tonale ; (2) l’Opus 48, no 1 cache une tonalité secrète : à l'oeil, sa tonalité est soit la majeur, soit fa-dièse mineur, mais une nouvelle analyse dans la napolitaine de do-dièse majeur est proposée ici ; (3) une modulation passagère à la napolitaine dans l’Opus 48, no 12 contient l’autre « moitié » de la cadence interrompue à la fin de l’Opus 48, no 1. Considérés à la lumière de la société fausse, l’Allemagne des années 1930, ces trois aspects anti-organiques témoignent d’une conscience avancée. La seule praxis de vie qu’apporte l’art, selon Adorno, est la remémoration. Mais l’effet social ultime de garder la souffrance vécue en souvenir est non négligeable : l’émancipation universelle. / “A Shine of Truth in the ‘universal delusional context of reification’ (Theodor W. Adorno)” defends Adorno’s aesthetics as a theory of advanced, or avant-garde, artworks. Its seven chapters show that aesthetic experience implies liberation from illusion (Schein). Chapter I engages a dialectic of viewpoints to explain how different dialectical thinkers (Marx, Lukács, Hegel, Horkheimer, Adorno) have contributed to a criterion of truth adequate to today’s total delusional context of reification—determinate negation of illusion. Chapter II introduces the concept of artistic aesthetic illusion—a reversible illusion opposed to the social illusions of mechanical musical reproduction and of the culture industry. Chapter III examines the question of whether truth in philosophy is a different kind of truth than truth in art. Chapter IV considers whether truth in twentieth-century Expressionism is a new truth based on immediate expression, in light of an important precedent for Expressionism in Robert Schumann’s “Der Dichter spricht.” Chapter V determines whether inorganic montage is more advanced than Expressionism. Chapter VI takes up a parting suggestion of Peter Bürger: to treat artworks after Dada and Surrealism on the model of “prose” in Hegel’s aesthetics. Chapter VII pursues the idea that Dichterliebe, op. 48, (1840) by Robert Schumann is a true artwork. Three results emerge from this close musical analysis: (1) exploiting, on occasion, an ambiguity in the rules for figuration that permits all twelve tones in the harmony, Schumann anticipates Schoenberg; (2) Op. 48, No. 1 is in a hidden key: to all appearances, its key is either A major or F-sharp minor, but its secret key is the Neapolitan region applied to C-sharp major; (3) the other “half” of the cadence with which Op. 48, No. 1 breaks off suddenly may be found in a brief applied-Neapolitan passage in No. 12. The thesis argued is that the antiorganicity in such a work is advanced with regard to the false reality of 1930s Germany and the place of organicity therein. According to Adorno, the only life-praxis afforded by art is remembrance. But the social effect of remembering social suffering is considerable when the Here-and-Now is its own justification.
|
Page generated in 0.109 seconds