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Prémisses du sujet : les conclusions de la pensée contemporaine française

Desroches, Daniel 13 April 2018 (has links)
Cette thèse s'inscrit dans le champ de la philosophie contemporaine française. Son contexte se laisse délimiter par l'axe qui va de la réception critique de la phénoménologie au dépassement du structuralisme , notamment par le poststructuralisme . D'une manière générale , les textes importants qui justifient l'investigation de cet axe de recherche critiquent les prétentions du sujet au titre de fondement absolu ainsi que la forme de rationalité dont il serait tributaire , à savoir la métaphysique. La thèse pose la question du sujet. Relevant les apories auxquelles il conduit , son propos est de montrer que ce concept n'est plus opératoire . La méthodologie utilisée consiste à dégager afin d'opposer les prémisses sur lesquelles reposent les conceptions dominantes . Voici les hypothèses à l'étude: selon la première , l'ambivalence du concept relèverait de sa formulation classique depuis Aristote ; selon l'hypothèse grammaticale , la critique contemporaine française écarterait le principe ego cogito (cartésien et husserlien) en le décentrant par rapport au primat de la première personne; selon l'hypothèse paradigmatique, si le concept n'est plus opératoire , c'est parce que la rationalité moderne décrirait une structure contradictoire dont les prémisses appartiendraient aux heuristiques de la tradition métaphysique. Les arguments qui corroborent notre thèse sont les suivants . D'abord, l'ambivalence du concept provient de la conceptualisation initiale de la substance métaphysique , à la fois comme substratontologique premier et supposition logique ultime . Ensuite , le décentrement du principe ego cogito par la critique française tablait sur la prétention de la conscience à être à l'origine du sens autant que le support de la signification , ce qui lui est définitivement refusé par la critique française de la phénoménologie et la conception poststructuraliste de la signification . Enfin, les heuristiques qui surdéterminent fatalement les figures du sujet sont le recours à la métaphore optique et la supposition d'une perspective interne, deux paradigmes relevant de manière décisive à la tradition ici mise en cause. En conclusion, la forme de cette thèse épouse son fond . Déployant plusieurs genres littéraires dans une oeuvre à géométrie variable, l'auteur pratique ici la conception poststructuraliste du sens comme ouverture et discontinuité. C'est pourquoi le texte s'ouvre sur des rubriques, se divise en sections, annonce une allégorie, aligne des paragraphes entrecoupés de notices, présente une dialectique avant de s'achever sur un entretien . Empruntant la structure ouverte du labyrinthe et le courage de Thésée, l'auteur nous entraîne dans les dédales d'une victoire philosophique inédite.
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Les enjeux de la différance chez J. Derrida: prolégomènes à une praxis de la responsabilité / Enjeux de la différance chez Jacques Derrida

Okitadjonga Anyikoy Wa Anyikoy, Gaspard 12 December 2003 (has links)
La thèse comprend deux parties, qui visent à vérifier deux hypothèses principales.<p>La première consiste à se demander si la déconstruction derridienne de la métaphysique traditionnelle ne joue pas, au su ou à l’insu de Derrida, un double rôle :d’une part, délimiter les prétentions de ladite métaphysique à révéler et/ou à livrer la présence pleine du sens ou de la vérité et, d’autre part, constituer le fondement de la logique de la différance. Celle-ci, posée comme ‘’principe des principes’’ de la pensée de Derrida, jouerait un rôle unificateur de son œuvre, en dépit de l’argument commun aux disciples de l’impossibilité de fixer son travail en aucune forme d’unité. Derrida n’est-il pas, soutient-on, le penseur de la fragmentation, à l’opposé de Heidegger qui, lui serait le philosophe du rassemblement ?<p>Contrairement à cette thèse, nous posons la différance comme tissu de l’unité de fond sans fond de l’œuvre de Derrida ou, plus précisément, comme clef interprétative obligée permettant d’aborder son travail sous la forme d’une unité en différance et fragmentée. La différance commanderait ainsi l’ensemble de l’œuvre de Derrida comme une sorte de logique non-logique à l’œuvre, partout et toujours déjà, active dans chaque champ de son déploiement. Au lieu de constituer un auxiliaire à la déconstruction, la différance en commanderait la genèse et l’économie.<p>Notre seconde hypothèse repose sur l’idée que la différance, érigée en logique non logique, déborderait le contexte et le champ de recherche que lui assignerait son auteur. De sorte qu’il deviendrait possible de la mettre en dialogue avec la révolution linguistico-pragmatique pour, d’une part décloisonner le terrain de la théorie du performatif et des speech acts et, d’autre part, envisager une transgression de ladite révolution par des thématiques dont elle revendiquerait l’exclusivité en montrant qu’elle reste incapable d’en rendre rigoureusement compte. L’incapacité de la révolution linguistico-pragmatique à rendre compte, par exemple, de la pratique de l’événement sous forme de la promesse à la fois possible et impossible, du don de rien, du pardon sans demande ni repentir, de l’hospitalité inconditionnelle offerte et donnée à/par l’étranger en tant qu’arrivant en général, de la décision impossible, en un mot de la responsabilité incalculable sous le régime de l’aporie, témoignerait de sa restance dans l’orbite du logocentrisme ou, simplement, de la logique identitaire de tout ou rien. Il appert ainsi que la volonté affichée par ce tournant de dépasser la métaphysique traditionnelle tourne à l’échec, à telle enseigne que seule la prise en compte de la logique non oppositionnelle de la différance présenterait une alternative nouvelle. Cette dernière serait de nature non seulement à déconstruire la métaphysique de la présence et à délimiter les prétentions du Linguistic-turn mais aussi à tracer la voie vers une praxis de la responsabilité non réductrice, encore moins répressive de l’incommensurable altérité de l’autre, voire de son autre, en général.<p>La question reste ouverte de savoir si Derrida peut être considéré comme un ‘’métaphysicien’’ à la recherche du dépassement de la métaphysique et de tout ce qui pourrait s’y rattacher ou un philosophe de l’action tendant à subvertir la morale, au moyen de la différance, en vue d’une nouvelle praxis.<p> / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Eros et infini: essai sur les écrits de Marc-Alain Ouaknin

Bailly, Jean-Jacques 17 May 2005 (has links)
Les principaux livres de Ouaknin ont constitué un matériau de choix me permettant de poser deux questions par hypothèse liées l’une à l’autre :<p> <p>\ / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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