• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 3
  • Tagged with
  • 3
  • 3
  • 2
  • 2
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Etude paléoécologique, taphonomique et archéozoologique des faunes de grands mammifères des la grotte du vallonnet, Roquebrune-Cap-Martin, Alpes-Maritimes

Echassoux, Anna 27 March 2001 (has links) (PDF)
La grotte du Vallonnet (Alpes-Maritimes, France) a livré une industrie lithique archaïque associée à une faune, riche en matériel et en nombre d'espèces, caractéristique de la transition Villafranchien/Galérien, dans des niveaux datés d'environ un million d'années. Au carrefour de niches écologiques diversifiées dans le temps et dans l'espace, la grotte a accumulé progressivement trois niveaux archéostratigraphiques principaux subdivisés chacun en plusieurs unités. Les ossements, peu minéralisés, n'ont pas enregistré de marques de charriage, mais une fragmentation importante due en partie au piétinement et à la pression du sédiment. La présence de ces ossements dans la grotte semble liée directement à la cause de mortalité des individus, d'âges distincts selon les espèces. L'observation exhaustive et systématique des ossements a établi que les ours ont dû mourir naturellement dans la grotte, que la caverne a servi de repaire à quelques carnivores, notamment la hyène, et que les hommes y ont exploité des parties de carcasses, de grand cervidé principalement, mais aussi de bison et de cervidé de taille moyenne. La grotte a connu une alternance d'occupations humaine et animale et après chaque passage, un enfouissement progressif des ossements a permis d'une part à des carnivores de ronger des os déjà dépourvus de chair, d'autre part à des porcs-épics de ronger des os encore frais. De nombreux ossements portant la trace de plusieurs intervenants différents témoignent de cette succession d'actions sur le matériel osseux.
2

Changements climatiques en Méditerranée à la transition Pléistocène inférieur-moyen : pollens, isotopes stables et cyclostratigraphie

Joannin, Sebastien 16 February 2007 (has links) (PDF)
L'analyse pollinique a été appliquée à six coupes (Santa Lucia, Montalbano Jonico, Site ODP 976, Tsampika et Shamb) réparties sur un transect de 4.000 km de la région ouest-méditerranéenne au Petit Caucase. Elles ont enregistré des modifications identiques de la végétation sur toute la Méditerranée témoignant des cyclicités climatiques du Pléistocène inférieur-moyen (1,600-0,700 Ma), malgré l'existence d'un gradient longitudinal. Les taxons thermophiles ont subi un accroissement de l'aridité et des extrêmes climatiques plus prononcés dans cet intervalle.<br /> Les cycles climatiques forcés par l'obliquité se répercutent sous la forme de successions de végétation à long terme. La même dynamique de végétation existait à court et à plus long terme. Elle était forcée par la précession et son modulateur, l'excentricité. L'influence de ces paramètres se superpose, il n'y a pas de relais de l'obliquité par l'excentricité en Méditerranée durant la transition du Pléistocène inférieur-moyen.
3

Analyse techno-fonctionnelle des industries à pièces bifaciales aux pléistocènes inférieur et moyen en Chine / Techno-functional analysis of biface-bearing industries in lower and middle pleistocene China

Bodin, Erika 18 January 2011 (has links)
Les industries à pièces bifaciales découvertes en Chine font actuellement l’objet d’interprétations opposées. L’une d’elle, de plus en plus souvent proposée, considère les pièces bifaciales chinoises comme les témoins d’une diffusion à partir de l’Occident. Le modèle traditionnel proposant un isolement technico-culturel de l’Asie de l’Est, matérialisé la « ligne de Movius », serait alors erroné. Ce regroupement des industries à pièces bifaciales chinoises au sein du complexe « acheuléen » ne fait pas l’unanimité et l’hypothèse d’une réinvention locale est également envisagée. Ces hypothèses contradictoires reflètent les lacunes des cadres méthodologiques et conceptuels employés pour l’étude de ces industries. L’approche retenue pour cette étude vise à restituer les intentions placées dans la réalisation de l’outillage par le biais d’une analyse techno-fonctionnelle. Les sites retenus appartiennent à une période comprise entre 1Ma et 500ka : Yangwu, Gaolingpo et Nanbanshan, dans le bassin de Bose (région autonome du Guangxi Zhuang) et les sites de Lantian et Liangshan Longgangsi (province du Shaanxi).Les résultats de l’étude mettent en évidence l’existence de deux traditions techniques distinctes entre le centre le sud de la Chine. Il existe une forte variabilité entre le matériel des deux régions, perceptible par la quasi-absence de schèmes de débitage dans le bassin de Bose et par des différences importantes de composition de l’outillage. Mais surtout, les pièces bifaciales du centre et du sud ne montrent aucune similitude structurelle, technologique ou fonctionnelle. Bien que regroupées sous une même appellation, ces pièces sont des outils différents. Sur un plan diachronique, l’existence en Chine d’industries reposant sur des schèmes de débitage et sur des schèmes de façonnage autour de 2Ma montre la possibilité d’une évolution des lignées techniques à partir d’un substrat technique local. Après 500ka, le phénomène bifacial persiste, mais n’évoluera pas vers des formes plus techniquement investies. Sur un plan spatial, une comparaison avec le matériel bifacial découvert ailleurs en Asie montre que les industries à pièces bifaciales coréennes présentent des similitudes avec les industries chinoises postérieures à 500ka. Par contre, aucun lien n’apparait avec les phénomènes bifaciaux indiens et mongols.Les industries à pièces bifaciales chinoises n’entretiennent pas de lien avec le complexe acheuléen et résultent d’un phénomène de convergence technique. Les phénomènes bifaciaux asiatiques montrent une variabilité temporelle et spatiale bien plus importante qu’habituellement envisagé. / Lately discovered Chinese biface-bearing industries are subject to opposite interpretations. Literature increasingly suggests that Chinese bifaces can be seen as a witness of diffusion from the West. The traditional model, stating a techno-cultural isolation of Asia, embodied in the “Movius Line” would thus be questioned. This assimilation of biface-bearing industries within the “Acheulian complexe” is far from achieving unanimous backing and the hypothesis of a local reinvention is also proposed. These conflicting hypotheses reveal the gaps in the methodological and conceptual frameworks used to study these industries.The chosen approach for this study aims at restoring the goals underlying the production of the tool kit through a techno-functional analysis. Chosen sites belong to a period ranging from 1Ma to 500ka : Yangwu, Gaolingpo and Nanbanshan, located in Bose basin (Guangxi Zhuang), and Lantian and Liangshan Longgangsi sites (Shaanxi province).The outcomes of this contribution bring to light the presence of a well-marked geographical discrimination between the technical traditions observed in the South on one hand and the center of mainland China on the other. A strong variability is underlined between the two areas by the virtual absence of débitage schemes in Bose basin and considerable divergence in the composition of the tool-kits. Significantly, bifacial pieces from the South and the Center show no structural, technological or functional similarities. Even though gathered under one denomination, it is clear that we are dealing with two different kinds of tools. From a diachronic perspective, the existence in China of industries relying on both débitage and shaping schemes around 2Ma indicates the possibility of bifacial technical lineage evolution from a local technical substrate. After 500ka, the bifacial phenomenon still exists but won’t evolve toward more technically invested tools. From a spatial perspective, a comparison with bifacial industries discovered elsewhere in Asia demonstrates that Korean biface-bearing industries bear similarities with Chinese industries after 500 ka. However, Chinese industries don't seem to be linked with Indian and Mongol bifacial phenomena.Chinese bifacial industries show no connexion with the Acheulian complex but rather represent a technical convergence. East-Asia bifacial phenomena involve much stronger variability through time and space than generally considered.

Page generated in 0.0608 seconds