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La théorie de l'hégémonie de l'État dans la pensée d'Antonio Gramsci.

Nootens, Geneviève. January 1990 (has links)
Abstract Not Available.
362

La liberté et la propriété chez Robert Nozick.

Roussel, Diane. January 1990 (has links)
Abstract Not Available.
363

Le libéralisme et la notion de démocratie chez John Stuart Mill.

Dulude, Pierre. January 1990 (has links)
Abstract Not Available.
364

The conservative's dilemma: The case of Michael Oakeshott.

Riendeau, Natalie. January 2002 (has links)
The subject of the present thesis is the political thought of the 20th century British philosopher Michael Oakeshott. More precisely, we are interested with the relationship Oakeshott establishes and believes ought to exist between political theory and active politics. As we will show, because of his critique and opposition to what he terms Rationalism and Ideology, Oakeshott severely limits the definition and the role he attributes to political theory and the political theorist. Political theory and the role of the theorist are restricted to such an extent that when Oakeshott himself theorizes the state, we argue that he has tremendous difficulty respecting his own criteria. Therefore, we are interested in taking Oakeshott seriously, in order to see if he himself is able to respect the strict criteria he establishes regarding political theory when he goes about theorizing the state.
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L'identité de l'idée de l'État et de la souveraineté chez Hegel : une critique des libertés libérale et kantienne.

Falanga, Jim Masieta. January 2002 (has links)
Cette thèse analyse la critique que Hegel adresse, à travers sa théorie de l'État et de la souveraineté, aux libertés libérale et kantienne. En effet, de manière générale, les libéraux lient la liberté véritable à la réalisation de l'intérêt économique privé. Pour eux, les individus sont des atomes indépendants dotés de raison instrumentale. Ils ont pour finalité la satisfaction de l'intérêt économique privé. Partant de cette compréhension, les libéraux proclament le contrat la seule base du lien social. Aux libéraux, Kant rétorque que la liberté véritable est l'autonomie. Pour lui, il s'agit d'une liberté morale supérieure qui consiste dans la détermination des individus par la morale seule. Kant comprend les individus comme des êtres qui, par nature, sont moraux et ont pour finalité la réalisation de la liberté morale. Mais, puisque les sujets moraux sont un mélange de raison et des volontés arbitraires, la liberté juridique devient la seule forme à laquelle ils peuvent véritablement accéder. Pour Kant ainsi, le contrat devient comme chez les libéraux, la seule base sur laquelle peut reposer l'État. Bien qu'il accepte le rejet par Kant de la liberté économique libérale et l'identification par celui-ci de l'autonomie comme une sphère de liberté supérieure, Hegel est cependant critique de Kant. Pour Hegel, telle qu'envisagée par Kant, l'autonomie est incapable de réaliser la liberté véritable. Elle est comme un devoir moral, seulement subjective. Pour Hegel, la liberté véritable n'est ni économique comme l'affirment les libéraux, ni juridique comme le prétend Kant, mais plutôt politique. Hegel entend par là une forme qui est à la fois libération des individus et production par ces mêmes individus des structures et des institutions devant les encadrer dans leur libération. Hegel pense en effet que les individus sont des êtres sociaux. Ils ont pour devoir de devenir membres effectifs de l'État pour accéder à la liberté véritable.
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Le droit de résistance à la tyrannie : deux lectures divergentes de l'islamisme politique.

Sayed, Baba. January 2002 (has links)
Nous traitons des approches divergentes du droit de résistance, en terre d'Islam, face à la tyrannie, de deux figures emblématiques de l'islamisme politique. Nous démontrons que si les deux penseurs sont d'accord pour admettre, le bien-fondé du dit-droit, chacun en définit, cependant, les modalités d'exercice tant selon une compréhension spécifique du phénomène de la fitna que d'une perception particulière des origines de celle-ci qui les distinguent, souvent, l'un de l'autre. En mettant l'accent sur les tenants et les aboutissants des profondes divergences qui opposent les deux leaders de l'islamisme politique sur le droit de résistance, nous soulignons comment elles ont pu alimenter au sein du Monde musulman des affrontements meurtriers qui mettent en péril son unité et sa cohésion. Nous montrons, en conclusion de notre thèse, que la communauté musulmane ne peut, réellement, relever les graves défis auxquels elle est confrontée que par la restauration du Califat.
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Aux fondements des droits humains en compagnie de Hannah Arendt.

Perrault, Simon. January 2002 (has links)
Cette thèse tente d'extraire de l'oeuvre de Hannah Arendt une réponse au défi de fonder les droits humains sur des assises plus solides que la convention socio-historique sans toutefois recourir à la notion problématique de nature humaine. Dépasser la dichotomie nature-convention s'avère nécessaire à une conception des droits humains qui puisse appuyer un droit à la participation politique. La convention, qui ne renvoie à rien au-delà d'elle-même, se rend vulnérable aux soubresauts de l'histoire, dépendante qu'elle est de cette dernière. La notion (traditionnelle) de nature humaine, puisqu'elle a été située à l'intérieur de l'individu, ne peut que faire violence à l'humanité qui elle, selon Arendt, se révèle entre les individus, dans l'acte de se partager par la parole ce qui leur est commun. Notre lecture de l'oeuvre d'Arendt démontre qu'elle fait reposer les droits humains sur des droits politiques, plus particulièrement sur le droit à un espace politique qui comprend à la fois le droit aux droits de cet espace et à celui de fonder un tel espace. Il ressort de l'examen de ces droits que leur fondement se situe dans ce que Arendt nomme la natalité , c'est-à-dire la capacité de tout être humain de commencer quelque chose de nouveau.
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Alain Lipietz : vers l'espérance écologique : qu'en est-il de l'État.

Moïse, Antoine Pierre. January 2002 (has links)
L'itinéraire intellectuel de Lipietz est fondé sur une préoccupation constante pour les rapports sociaux, comme maoïste, puis comme régulationniste et par la suite comme écologiste. Mais cette préoccupation s'organise autour d'une certaine forme de contestation. Dans sa phase maoïste il a participé aux contestations de 1968 en France. Dans ses travaux sur la régulation fordiste il se préoccupe des rapports sociaux qui se tissent dans l'entreprise et qui sont cautionnés par le pouvoir législatif et règlementaire de l'État. Le rapport salarial, et son corollaire la consommation de masse, vont permettre la régulation d'un régime d'accumulation intensif dans les pays développés d'Europe, d'Amérique du Nord et du Japon sur une période de trente ans environ. Le fordisme entre en crise au cours des années soixante-dix et Lipietz y voit l'occasion de mettre en oeuvre un modèle de développement écologique, anti-productiviste. Si les régimes se stabilisent pas tâtonnements, comment un régime écologique préalablement défini pourrait alors se stabiliser avec succès? (Abstract shortened by UMI.)
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Idéologie et action : quatre groupes écologiques québécois : la Société pour vaincre la pollution, the Society to overcome Pollution, l'Union québécoise de conservation de la nature et la Fédération québécoise de la faune.

Lewis, Nathalie. January 1994 (has links)
Le monde d'aujourd'hui est en mutation comme il le fut d'ailleurs a diverses epoques de l'histoire. La pensee moderne est-elle en crise? D'aucuns le postulent. Pour le mouvement ecologique, la particularite de notre siecle se retrouve au niveau physique, dans la realisation du caractere fini de la biosphere. Le vaste monde, par le truchement de la science et des communications, est devenu accessible. Conceptualiser l'etendue de notre planete est maintenant chose courante. Dans cet elan, les humains, seduits par les bienfaits de la science, ont, du meme coup, les connaissances necessaires pour realiser la precarite de la planete. Globalement, le defi du mouvement environnemental est d'arreter la degradation de la biosphere. A cet egard, chaque groupe qui lutte a la defense de l'environnement a des buts et des moyens propres. Toutefois, pour chacun, c'est une course contre la montre, tres serree. Dans la recherche de solutions, on tente de redefinir un cadre d'action. Entre le global et le local, on tergiverse. L'enjeu est de taille. Ce mouvement environnemental, qui est de plus en plus visible, sera l'objet de cette these. Nous etudierons particulierement la nature de l'ideologie vehiculee par le mouvement ecologique quebecois. Quelle est cette ideologie? Sommes-nous face a une ideologie analogue partagee par tous les groupes environnementaux ou avons-nous plusieurs courants ideologiques au sein du mouvement? Assistons-nous a la naissance d'une ideologie se demarquant des courants ideologiques modernes--liberalisme, conservatisme, marxisme...--ou est-ce un continuum logique d'une de ces ideologies modernes? Toutefois, avant d'entrer au coeur de cette problematique, glissons un mot sur le contexte environnemental quebecois.
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La démocratie libérale comme fin de l'histoire : une analyse de la théorie de Francis Fukuyama.

Bouchard, Lucien-Pierre. January 1994 (has links)
Abstract Not Available.

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