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Impact of oral physiology of elderly people on their food consumption; what solutions can be found to maintain nutritional status? / Impact de la physiologie orale de la personne âgée sur sa prise alimentaire; quelles solutions pour maintenir le statut nutritionnel ?

Vanderberghe-Descamps, Mathilde 09 March 2018 (has links)
Contexte. Chez l’homme, la mise en bouche d’un aliment est l’étape ultime de la chaîne alimentaire et le début du processus de dégradation et de digestion. Avec l’âge la santé orale évolue et peut parfois rendre l’acte alimentaire difficile.Objectif. L’objectif de cette étude est de déterminer les facteurs (salivaire, dentaire, musculaire) impactant sur les dimensions physiologiques (faculté à former un bol alimentaire, libération et perception de la flaveur) de l’acte alimentaire et/ou la prise alimentaire et la corpulence des séniors. Ceci permettra de d’identifier des techniques culinaires permettant d’adapter la texture des aliments aux problèmes bucco-dentaires.Matériel et méthode. 108 séniors (>65 ans) vivant à domicile et ne présentant pas de pathologie chronique ont été recrutés et caractérisés sur la base des dimensions suivantes : santé orale (examen clinique), auto-évaluation de la santé orale, perceptions sensorielles, faculté à former un bol alimentaire, comportement alimentaire, état de santé général. En parallèle, des techniques culinaires permettant d’améliorer la texture de la viande ont été testées. Leur efficacité a été évaluée via des mesures rhéologiques et la perception du confort en bouche par les séniors eux-mêmes.Résultats et conclusion. L’analyse multidimensionnelle des données montre que les facteurs de santé orale (dentition, salivation, force musculaire) jouent des rôles différents dans les processus de mastication et de prise alimentaire chez les personnes âgées. De plus, l’étude du confort en bouche a permis de sélectionner des techniques culinaires optimisant la tendreté et la jutosité de la viande. Ces résultats permettront de développer une offre alimentaire adaptée aux troubles oraux survenant avec l’âge. / Context. In human, oral food intake is the ultimate stage of food supply chain and the beginning of food disintegration and the digestion process. During aging, the oral health changes and sometimes eating food can be a real challenge as food can be hard to masticate, humidify or swallow.Objective. The aim of the present study is to determine which oral factors (salivary, dental, tongue strength) have an impact on physiological – ability to form a food bolus – and psychological – pleasure to eat – dimensions of food oral processing in order to select culinary techniques and help elderlies maintaining an appropriate protein intake in spite of the occurrence of poor oral health.Material and method. Resting and stimulated salivary flow, oral status, the ability to form a food bolus, the pleasure induced by food consumption and the nutritional status were measured on 108 elderly people (65-92 years old, living at home, with no acute pathology at the time of the study). In parallel, culinary technics that aimed at improving meat texture were developed and evaluated throughout physical measurements and oral comfort assessment by the elderly volunteers.Results and conclusion. Multivariate analysis highlighted the fact that oral factors (salivary, dental, muscular) play different roles in food oral processing and eating behavior in elderly people. Moreover, the assessment of oral comfort on the culinary technics showed that some technics improve significantly meat tenderness and juiciness. Those results will help the development of food offer tailored to elderly people with or without oral health impairments.
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Etude du respect des recommandations de prescription et d'utilisation des médicaments psychotropes chez les sujets âgés en France. / Compliance of psychotropic drugs use with practice guidelines in the French older population

Etchepare, Fanny 04 November 2015 (has links)
Malgré la fréquence d’utilisation des psychotropes chez les personnes plus âgées et leur propension aux événements indésirables liés aux médicaments, peu d’études se sont intéressées au respect des règles de bon usage des psychotropes dans cette population. L’objectif de ce travail était d’évaluer les modalités d’utilisation des psychotropes et le respect des recommandations de bon usage publiées en France. Deux types de population ont été inclus : un échantillon clinique constitué de patients âgés d’au moins 65 ans hospitalisés dans deux Pôles de psychiatrie à Bordeaux, et un échantillon de la population générale âgée d’au moins 65 ans, à partir d’une base de données de l’assurance maladie française. En population clinique, les règles de bon usage étaient plutôt bien respectées, avec, pour les benzodiazépines, la prescription d’une produit à demi-vie courte dans près de trois quarts des prescriptions et une posologie adéquate dans près de deux tiers des cas. Toutefois, un arrêt de traitement n’était jamais prévu dès l’initiation du traitement et le rythme de prescription était discontinu dans seulement un tiers des cas. Dans la population générale âgée, la durée et la surveillance biologique des traitements antidépresseurs étaient conformes chez moins de 20% des sujets, alors que près des trois quarts des sujets initiant un traitement par benzodiazépine recevaient une durée adéquate. En revanche moins de la moitié des délivrances concernaient une benzodiazépine anxiolytique à demi-vie courte. L’étude de l’impact de la publication des recommandations n’a pas montré qu’elle permettait une amélioration de l’utilisation des psychotropes. Il est nécessaire d’accompagner la publication des recommandations d’autres mesures, afin d’insister sur le bon usage des psychotropes, notamment la durée nécessaire de traitement antidépresseur et le choix d’un anxiolytique à demi-vie courte. / Despite a high frequency of use and a tendency to present with adverse events of drugs, few studies assessed compliance with guidelines related to proper use of psychotropic drugs in the older population. The aim was to assess the patterns of psychotropic drugs use in this population, as well as the compliance with French guidelines. Two population samples were included, a clinical sample of older psychiatric inpatients and a sample of the older general population using claims database of the national health insurance. In clinical population, compliance with guidelines was rather good, with prescription of a short half-life benzodiazepine in nearly three quarters of prescriptions and adequate dosage in nearly two third of cases. However, treatment discontinuation was never specified at the time of treatment initiation and rhythm of prescription was discontinuous in only one third of cases. In the older general population, duration of antidepressant treatment and biological monitoring was appropriate in only 20 % of patients, whereas nearly three quarters of subjects initiating a benzodiazepine treatment were treated over an appropriate duration. However, less than half of them had received a benzodiazepine anxiolytic of short half-life. The assessment of the impact of practice guidelines publication found no improvement of psychotropic drugs use. Other interventions should accompany guidelines publication in order to underline the importance of proper use of drugs, particularly antidepressant treatment duration and use of short half-life benzodiazepine drugs.
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Economic evaluation of benzodiazepines versus cognitive behavioural therapy among older adults with chronic insomnia

Singh, Dharmender 12 1900 (has links)
L’insomnie, commune auprès de la population gériatrique, est typiquement traitée avec des benzodiazépines qui peuvent augmenter le risque des chutes. La thérapie cognitive-comportementale (TCC) est une intervention non-pharmacologique ayant une efficacité équivalente et aucun effet secondaire. Dans la présente thèse, le coût des benzodiazépines (BZD) sera comparé à celui de la TCC dans le traitement de l’insomnie auprès d’une population âgée, avec et sans considération du coût additionnel engendré par les chutes reliées à la prise des BZD. Un modèle d’arbre décisionnel a été conçu et appliqué selon la perspective du système de santé sur une période d’un an. Les probabilités de chutes, de visites à l’urgence, d’hospitalisation avec et sans fracture de la hanche, les données sur les coûts et sur les utilités ont été recueillies à partir d’une revue de la littérature. Des analyses sur le coût des conséquences, sur le coût-utilité et sur les économies potentielles ont été faites. Des analyses de sensibilité probabilistes et déterministes ont permis de prendre en considération les estimations des données. Le traitement par BZD coûte 30% fois moins cher que TCC si les coûts reliés aux chutes ne sont pas considérés (231$ CAN vs 335$ CAN/personne/année). Lorsque le coût relié aux chutes est pris en compte, la TCC s’avère être l’option la moins chère (177$ CAN d’économie absolue/ personne/année, 1,357$ CAN avec les BZD vs 1,180$ pour la TCC). La TCC a dominé l’utilisation des BZD avec une économie moyenne de 25, 743$ CAN par QALY à cause des chutes moins nombreuses observées avec la TCC. Les résultats des analyses d’économies d’argent suggèrent que si la TCC remplaçait le traitement par BZD, l’économie annuelle directe pour le traitement de l’insomnie serait de 441 millions de dollars CAN avec une économie cumulative de 112 billions de dollars canadiens sur une période de cinq ans. D’après le rapport sensibilité, le traitement par BZD coûte en moyenne 1,305$ CAN, écart type 598$ (étendue : 245-2,625)/personne/année alors qu’il en coûte moyenne 1,129$ CAN, écart type 514$ (étendue : 342-2,526)/personne/année avec la TCC. Les options actuelles de remboursement de traitements pharmacologiques au lieu des traitements non-pharmacologiques pour l’insomnie chez les personnes âgées ne permettent pas d’économie de coûts et ne sont pas recommandables éthiquement dans une perspective du système de santé. / Insomnia is common in the geriatric population, typically treated with benzodiazepine drugs which can increase the risk of falls. Cognitive behavioral therapy (CBT) is a non-pharmacological intervention with equivalent efficacy and no adverse events. This thesis compares the cost of benzodiazepines versus CBT for the treatment of insomnia in older adults, with and without consideration of the additional cost of falls incurred by benzodiazepine use. A decision tree model was constructed and run from the health payer’s perspective over 1 year. The probability of falls, ER visits, hospitalisation with and without hip fracture, cost data and utilities were derived from a comprehensive literature review. Cost consequence, cost utility and potential cost saving analyses were performed. Both probabilistic and deterministic sensitivity analyses were conducted to account for uncertainty around the data estimates. Benzodiazepine treatment costs 30% less than the price of CBT when the costs of falls are not considered (CAN $231 vs. CAN $335 per individual per year). When the cost of falls is considered, CBT emerges as the least expensive option (absolute cost-saving CAN$ 177 per person per year, CAN $1,357 with benzodiazepines vs. $1,180 for CBT). CBT dominated benzodiazepines, with a mean cost saving of CAN $ 25,743 per QALY gained with CBT due to fewer falls. The cost savings analysis shows that if the CBT were to completely replace benzodiazepine therapy, the expected annual direct cost savings for the treatment of insomnia would be $ 441 million CAD dollars, with a cumulative cost savings of $112 billion CAD dollars over 5-years. The PSA report shows that even at different varying parameters, benzodiazepines cost CAD$ 1,305, S.D $ 598 (range 245-2,625) on average / person / year vs. CAD$ 1,129, S.D $ 514 (range 342-2,526) on average / person / year for CBT. Current treatment reimbursement options that fund pharmacologic therapy instead of non-pharmacologic therapy for geriatric insomnia are neither cost-saving nor ethically recommendable from the health system’s perspective.
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Economic evaluation of benzodiazepines versus cognitive behavioural therapy among older adults with chronic insomnia

Singh, Dharmender 12 1900 (has links)
L’insomnie, commune auprès de la population gériatrique, est typiquement traitée avec des benzodiazépines qui peuvent augmenter le risque des chutes. La thérapie cognitive-comportementale (TCC) est une intervention non-pharmacologique ayant une efficacité équivalente et aucun effet secondaire. Dans la présente thèse, le coût des benzodiazépines (BZD) sera comparé à celui de la TCC dans le traitement de l’insomnie auprès d’une population âgée, avec et sans considération du coût additionnel engendré par les chutes reliées à la prise des BZD. Un modèle d’arbre décisionnel a été conçu et appliqué selon la perspective du système de santé sur une période d’un an. Les probabilités de chutes, de visites à l’urgence, d’hospitalisation avec et sans fracture de la hanche, les données sur les coûts et sur les utilités ont été recueillies à partir d’une revue de la littérature. Des analyses sur le coût des conséquences, sur le coût-utilité et sur les économies potentielles ont été faites. Des analyses de sensibilité probabilistes et déterministes ont permis de prendre en considération les estimations des données. Le traitement par BZD coûte 30% fois moins cher que TCC si les coûts reliés aux chutes ne sont pas considérés (231$ CAN vs 335$ CAN/personne/année). Lorsque le coût relié aux chutes est pris en compte, la TCC s’avère être l’option la moins chère (177$ CAN d’économie absolue/ personne/année, 1,357$ CAN avec les BZD vs 1,180$ pour la TCC). La TCC a dominé l’utilisation des BZD avec une économie moyenne de 25, 743$ CAN par QALY à cause des chutes moins nombreuses observées avec la TCC. Les résultats des analyses d’économies d’argent suggèrent que si la TCC remplaçait le traitement par BZD, l’économie annuelle directe pour le traitement de l’insomnie serait de 441 millions de dollars CAN avec une économie cumulative de 112 billions de dollars canadiens sur une période de cinq ans. D’après le rapport sensibilité, le traitement par BZD coûte en moyenne 1,305$ CAN, écart type 598$ (étendue : 245-2,625)/personne/année alors qu’il en coûte moyenne 1,129$ CAN, écart type 514$ (étendue : 342-2,526)/personne/année avec la TCC. Les options actuelles de remboursement de traitements pharmacologiques au lieu des traitements non-pharmacologiques pour l’insomnie chez les personnes âgées ne permettent pas d’économie de coûts et ne sont pas recommandables éthiquement dans une perspective du système de santé. / Insomnia is common in the geriatric population, typically treated with benzodiazepine drugs which can increase the risk of falls. Cognitive behavioral therapy (CBT) is a non-pharmacological intervention with equivalent efficacy and no adverse events. This thesis compares the cost of benzodiazepines versus CBT for the treatment of insomnia in older adults, with and without consideration of the additional cost of falls incurred by benzodiazepine use. A decision tree model was constructed and run from the health payer’s perspective over 1 year. The probability of falls, ER visits, hospitalisation with and without hip fracture, cost data and utilities were derived from a comprehensive literature review. Cost consequence, cost utility and potential cost saving analyses were performed. Both probabilistic and deterministic sensitivity analyses were conducted to account for uncertainty around the data estimates. Benzodiazepine treatment costs 30% less than the price of CBT when the costs of falls are not considered (CAN $231 vs. CAN $335 per individual per year). When the cost of falls is considered, CBT emerges as the least expensive option (absolute cost-saving CAN$ 177 per person per year, CAN $1,357 with benzodiazepines vs. $1,180 for CBT). CBT dominated benzodiazepines, with a mean cost saving of CAN $ 25,743 per QALY gained with CBT due to fewer falls. The cost savings analysis shows that if the CBT were to completely replace benzodiazepine therapy, the expected annual direct cost savings for the treatment of insomnia would be $ 441 million CAD dollars, with a cumulative cost savings of $112 billion CAD dollars over 5-years. The PSA report shows that even at different varying parameters, benzodiazepines cost CAD$ 1,305, S.D $ 598 (range 245-2,625) on average / person / year vs. CAD$ 1,129, S.D $ 514 (range 342-2,526) on average / person / year for CBT. Current treatment reimbursement options that fund pharmacologic therapy instead of non-pharmacologic therapy for geriatric insomnia are neither cost-saving nor ethically recommendable from the health system’s perspective.

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