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Étude photométrique des étoiles de carbone dans la galaxie NGC 6822Letarte, Bruno January 2002 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Reconstruire l'histoire d'accrétion de la Voie Lactée par l'étude de son système d'amas globulaires et de ses étoiles de champ / Reconstructing the accretion history of the Milky Way through the study of its globular cluster system and its field stars"Jean-Baptiste, Ingrid 22 September 2016 (has links)
Cette thèse a pour objectif de contribuer à comprendre l'histoire de formation de notre Galaxie, la Voie lactée, en utilisant pour traceurs des objets parmi les plus vieux de l'univers que sont les amas globulaires, amas d'étoiles denses liées gravitationnellement, et les étoiles de champ.Selon le modèle de croissance hiérarchique des structures, les galaxies se construisent, en partie, par la fusion de galaxies moins massives. La Voie lactée ne fait pas exception et l’histoire de ses accrétions peut se lire également dans sa population d’amas globulaires qui contient à la fois des amas globulaires formés en son sein et d'autres d'origine extragalactique. Si les amas globulaires les plus distants du centre Galactique sont souvent associés au halo externe, dans les régions plus internes, où se situe la plupart de la masse stellaire de notre Galaxie, l'association d'amas globulaires avec les populations stellaires est encore très largement débattue.Dans ce travail, nous utilisons le lien étroit entre les amas globulaires et les étoiles de champ ainsi que des simulations numériques pour tenter de lever l'ambiguïté sur l'origine in situ ou accrétée de ces objets et reconstruire l'histoire d'accrétion de la Voie Lactée. Dans un premier temps, nous étudions la distribution spatiale, la cinématique et l'abondance chimique des amas globulaires à forte métallicité. Nous montrons que leurs propriétés spatiales, dynamiques et chimiques sont en bon accord avec celles de la population stellaire du disque épais de la Galaxie. Nous suggérons alors une époque commune de formation et d'évolution entre les amas globulaires riches en métaux et le disque épais vieux de la Galaxie. Dans un second temps, nous analysons l'efficacité des diagnostiques cinématiques qui ont été proposés pour identifier les débris d'accrétion parmi les étoiles de champ et nous discutons leurs applications aux amas globulaires galactiques. Pour ce faire, nous utilisons des simulations numériques auto-consistantes qui modélisent l'accrétion d'une ou plusieurs galaxies satellites dans un potentiel galactique. Nous montrons, d'une part, que les intégrales du mouvement ne sont pas conservées durant le processus d'accrétion et qu'ainsi, à l'issue de la fusion, les étoiles et les amas globulaires accrétés ne retiennent pas l'information initiale sur les propriétés orbitales de leurs satellites progéniteurs. D'autre part, l’interaction avec des galaxies satellites chauffe les populations in situ (étoiles et amas globulaires) qui, en réaction, peuplent spatialement le halo galactique et les régions préférentiellement occupées par des objets d'origine extragalactique dans les espaces cinématiques.En conséquence, ce travail montre que, dans le contexte de l'arrivée des données Gaia, l’identification des débris d’accrétion au sein de la Voie lactée à l’aide des seuls diagnostiques cinématiques sera difficile, et nécessitera l’utilisation de mesure d’abondances chimiques détaillées. / The goal of this thesis is to contribute to understand the formation history of our Galaxy, the Milky Way, using as tracers some among the oldest objects in the universe, the globular clusters, and field stars.In the LambdaCDM paradigm, one of the main mechanisms of galaxy growth is by means of satellite accretion. The Milky Way is no exception and the history of its accretions can be read also in its population of globular clusters, containing both in-situ and accreted members. While for clusters at large distances from the Galactic centre an extragalactic origin is often proposed, in the inner regions, where most of the stellar mass of our Galaxy lies, the link between globular clusters and stellar populations is still very widely debated.In this work, we use the close link between globular clusters and field stars, as well as numerical simulations, to try to remove the ambiguity on the in-situ or accreted origin of these objects and to reconstruct the accretion history of the Milky Way. As a first step, we study the spatial distribution, kinematics and chemical abundances of metal-rich ([Fe/H] > -1) globular clusters. We show that their spatial, kinematic and chemical properties are in good agreement with those of the stellar population of the thick disk of the Galaxy. We then suggest that metal-rich globular clusters and Galactic thick disk share the same epoch of formation and evolution. Secondly, we analyze the overall efficiency of kinematic diagnostics that have been proposed to identify merger debris among the field stars and discuss their application to the galactic globular cluster system. To do this, we use self-consistent numerical simulations that model the accretion of one or more satellite galaxies in a Milky Way-like potential. On the one hand, we show that the integrals of motion are not conserved during the accretion process. As a result, after the merger, accreted stars and globular clusters do not retain the initial information about the orbital properties of their progenitor satellites. On the other hand, mergers of small galaxies and tidal interactions may cause the heating of the in-situ populations (stars and globular clusters) which, in response, populate the galactic halo and the regions in the kinematic spaces preferentially occupied by objects with an extragalactic origin.In the context of the arrival of Gaia data, this work shows that the identification of debris of past accretion events experienced by the Milky Way using only kinematic diagnostics will be extremely challenging. Detailed chemical abundances and/or ages will be fundamental to disentangle the accreted or in-situ nature of the Galactic stellar populations.
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Formation et évolution des galaxies de faible masse, de l'univers local aux décalages spectraux intermédiaires / Formation and evolution of the low-mass galaxies, from the local to the intermediate redshift universeGuérou, Adrien 01 December 2016 (has links)
Les galaxies de faible masse constituent la population de galaxies la plus nombreuse à tous les âges de l'Univers, et sont légitimement considérées dans un contexte cosmologique comme les "éléments fondamentaux" de la croissance des galaxies. Dans l'Univers local, les galaxies de faible masse se trouvent principalement dans des amas de galaxies où elles se forment à partir de processus complexes de formation in-situ et d'événements d' accrétion. Cependant, les détails de la formation des galaxies de faible masse et de leurs processus d'évolution, ainsi que leurs rôles exacts dans la formation des galaxies plus massives sont encore très peu contraints. Ceci est dû en particulier aux difficultés technologiques associées à leur observation. Après une introduction sur les connaissances actuelles des galaxies de faible masse, je présente l'étude d'un échantillon de huit galaxies compactes dans l'amas de la Vierge. À l'aide de leur cinématique et de propriétés telles que l'âge et la métallicité de leur population stellaire estimées avec les données du spectrographe intégral de champ (IFS) GMOS/Gemini, je démontre que les propriétés des populations stellaires évoluent de manière continue avec la taille des galaxies, leurs masses, ainsi qu'avec leurs environnements, et ceci à la fois pour les galaxies de faible et de grande masse. Cela suggère que l'ensemble des processus physiques qui contrôlent les caractéristiques des galaxies sont similaires quelle que soit la masse des galaxies, mais en revanche, leurs influences individuelles varient doucement suivant la taille et la masse des galaxies. J'estime ensuite les histoires de formation stellaire de ces huit galaxies compactes ainsi que celles d'un échantillon de 20 galaxies de faible masse, et présente une étude de leur dépandence par rapport à l'environnement et la masse des galaxies. Ainsi, grâce à cette étude, je mets en avant à la fois le rôle important de l'environnement mais également celui des galaxies les plus massives dans le contrôle de la formation et de l'évolution des galaxies de faible masse. Mais les processus d'évolution des galaxies sont complexes et les galaxies de l'Univers local sont seulement leurs produits finaux, ce qui ne donne que peu de contraintes sur l' évolution des galaxies au début de l'histoire de l'Univers. Je montre alors à l'aide d'observations de la galaxie NGC3115 obtenues avec l'IFS MUSE/VLT, que les cartes de cinématique et de populations stellaires de galaxies couvrant une grande surface et ayant une grande résolution spatiale sont des éléments clés pour révéler l'histoire d'assemblage de la masse des galaxies, et donc leur formation et leur évolution au cours de toute l'histoire de l'Univers. Pour mieux contraindre la formation des galaxies de faible masse, j'utilise donc les observations profondes de l'instrument MUSE/VLT dans le champ de Hubble (HDFS) pour étudier un échantillon de dix galaxies à des décalages spectraux intermédiaires. J' estime pour la première fois la cinématique stellaire de galaxies situées entre z ~ 0.2 - 0.7 et montre que le degré de rotation et de dispersion de vitesse stellaire est en accord avec les précédentes études portant sur la cinématique de leur gaz. De telles informations, confrontées aux modèles d'évolution de galaxies aideront ainsi à mieux comprendre la croissance en masse des galaxies ainsi que l'origine des galaxies de faible masse de l'Univers local. / Low-mass galaxies form the most numerous galaxy population in the Universe at all cosmic times, and are legitimately considered as the "building-blocks" of galaxy formation in a cosmological context. In the local Universe, low-mass galaxies are preferentially found in galaxy clusters where they form through a complex chain of in-situ formation and accretion events. However, the detailed formation and evolution processes of low-mass galaxies, and their exact roles in the formation of more massive galaxies are still poorly constrained, in particular due to challenging observations. After setting the scene with an introduction on our current understanding of low-mass galaxies, I present the study of a sample of eight compact low-mass galaxies in the Virgo cluster. I derive their stellar kinematics as well as the age and metallicity of their stellar content from GMOS/Gemini Integral Field Spectrograph (IFS) data, and demonstrate that the stellar population properties evolve smoothly with galaxy size, mass and environment over the full range of galaxy mass. This suggests that a similar set of physical processes is at play on both low- and high-mass galaxies, but the relative efficiency of each of these processes in shaping galaxies varies smoothly from the low- to the high-mass ends. I then derive their star formation histories as well as those of a sample of 20 more extended typical low-mass galaxies, and present a study of their dependencies on the environment and the mass of their host galaxy. As a result, I underline through this work that the environment as well as the most massive galaxies play an important role in controlling the formation and evolution of low-mass galaxies. But local galaxies only represent the end products of a complex evolution path, leaving ambiguity about the early evolution of galaxies. However, I then show with the help of IFS observations of the nearby galaxy NGC3115 obtained with MUSE/VLT, that two-dimensional maps of the kinematics and stellar populations of galaxies, with large spatial coverage and high spatial resolution, are keys to unveil their whole mass assembly history, and thus their formation and evolution through all cosmic times. Thus, to better constrain the evolution of low-mass galaxies, I use deep MUSE/VLT observations in the Hubble Deep Field South to study low-mass galaxies at intermediate redshift. I derive for the first time the spatially resolved stellar kinematics of a sample of ten galaxies at a redshift between z ~ 0.2 - 0.7, and show that the stellar rotation amplitude and velocity dispersion are in agreement with previous studies of their gas kinematics. Such information put into the light of current galaxy evolution models will help to better understand the growth of stellar mass in galaxies and the origins of today low-mass galaxies.
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Les galaxies observées de l'ultraviolet à l'infrarouge. Les résultats du télescope spatial HerschelGiovannoli, Elodie 09 November 2011 (has links)
Ma thèse s'inscrit dans l'étude de la physique extragalactique. Pendant mes trois années de thèse j'ai travaillé sur les méthodes d'ajustement de la distribution d'énergie spectrale des galaxies (ou SED fitting) en effectuant un bilan énergétique entre l'émission en ultraviolet et l'émission en infrarouge. A cet effet j'ai très largement utilisé le code CIGALE (Burgarella et al. 2005, Noll et al. 2009) qui permet d'estimer les paramètres physiques des galaxies à partir de l'analyse de leur émission dans des bandes larges et intermédiares de l'ultraviolet au submillimétrique. J'ai procédé pendant ma thèse à des améliorations de ce code en rajoutant des paramètres d'extinction en sortie et j'ai implémenté plusieurs modèles d'émission de noyaux actifs de galaxies pour compléter les modèles existants.En parallèle de l'étude de la méthode de SED fitting avec des données en bandes larges et intermédiaires, j'ai développé la construction originale d'un catalogue de galaxies artificielles, dont le but est de déterminer la fiabilité des paramètres de sortie du code CIGALE et des codes de SED fitting en général. La technique du SED fitting m'a permis d'analyser plusieurs échantillons de galaxies dans l'univers proche et dans l'univers lointain possédant des données multi longueurs d'onde. Pratiquement j'ai travaillé avec des données allant de l'ultraviolet (GALEX) à l'infrarouge lointain avec les téléscopes spatiaux AKARI et Herschel. Les données AKARI couplées à des données ancillaires ont été à la base d'une étude de galaxies de l'univers local pour lesquelles j'ai pu déterminer la quantité d'atténuation.J'ai également travaillé avec les données Herschel en tant que membre des consortiums HerMES et GOODS-H. Dans le cadre du projet GOODS-H j'ai participé à la mise en évidence et à l'étude du "bump" à 2175 A d'un échantillon de galaxies distantes ainsi qu'à la formulation d'une loi d'atténuation pour ces objets. Dans le cadre d'un groupe de travail sur le SED fitting au sein d'HerMES j'ai participé à l'étude d'un échantillon de galaxies avec 0<z<3 afin de déterminer la fiabilité des paramètres physiques estimés par différents codes de SED fitting.Une partie de ma thèse a été consacrée à l'étude de galaxies distantes et lumineuses en infrarouge et à la détermination des caractéristiques physiques de ces objets grâce au code CIGALE. L'étude des paramètres de formation stellaire et d'atténuation ont fait l'objet d'un article, Giovannoli et al. (2011) paru dans la revue scientifique A&A. Toujours dans le cadre du projet HerMES j'ai pu avoir accès aux données du télescope spatial Herschel pour ces objets et donc poursuivre mon étude afin de déterminer l'importance des données infrarouges et submillimétriques pour l'étude des galaxies à haut redshift. / My PhD thesis takes part of extragalactic physics. During three years I have worked on the fit of the spectral energy distribution (SED fitting) of galaxies by doing an energetic budget between the emission at ultraviolet wavelengths and the one at infrared wavelengths. I have extensively used the code CIGALE (Burgarella et al. 2005, Noll et al. 2009) allowing to estimate the physical parameters of galaxies from their broad bands and intermediate bands emission from ultraviolet wavelengths to submillimetric wavelengths. During my thesis I have improved this code by adding output parameters and several templates of active galactic nuclei to those already available.While I have studied the SED fitting technics I have also built original mock catalogues of galaxies to determine the reliability of the output parameters of CIGALE and, more generally, the reliability of parameters estimated by SED fitting codes.I have used the SED fitting method to analyse several samples of galaxies from low redshift to high redshift, with multi wavelength detections. I have used data from the ultraviolet (GALEX) to the far infrared using data from AKARI and Herschel space observatory. I have matched the AKARI data to ancillary data at other wavelengths to study nearby galaxies and determine their dust attenuation quantity. I have used Herschel data as part of HerMES and GOODS-H consortium members. In the framework of the GOODS-H project I have worked on the determination and the study of the so-called ultraviolet bump at 2175 A for a sample of high-redshift galaxies, and on the formulation of an attenuation law for these objects. In the framework of HerMES I have worked with the SED fitting working group to study a sample of galaxies with 0<z<3 to determine the reliability of the physical parameters of these objects estimated with differents SED fitting codes.A part of my thesis was devoted to the study of a sample of distant galaxies, luminous at infrared wavelengths. I have determined the physical parameters of these objects thanks to the code CIGALE. The study of the star formation parameters and the attenuation parameters has been published in Giovannoli et al. (2011), in the scientific journal A&A. With the HerMES project I could have access to Herschel data for these luminous galaxies and pursue my study to determine the importance of far infrared data to study high-redshift galaxies.determine the importance of far infrared data to study high-z galaxies.
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Etude des regions centrales de la Voie Lactée en infrarouge prochePicaud, Sébastien 19 December 2003 (has links) (PDF)
Cette thèse se base sur des comparaisons du modèle de Besançon de la Galaxie avec des comptages d'étoiles en infrarouge proche. Nous avons premièrement ajusté 11 paramètres de densité du disque mince et du bulbe externe avec les observations DENIS, et montré que le bulbe externe est allongé et orienté d'environ 10° avec la direction du Soleil, et que le disque possède un trou central d'environ 2 kpc de rayon. Nous avons ensuite montré grâce aux données CAIN l'existence à l<27° d'une surdensité stellaire confinée près du plan qui pourrait correspondre à une barre.
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Etude multi-longueurs d’onde d'amas globulaires pour caractériser le lien entre leur environnement et leurs propriétés / Multi-wavelength study of globular clusters : characterisation of the link between their environment and their propertiesPowalka, Mathieu 21 September 2017 (has links)
L’étude des amas globulaires (AGs) nous offre une opportunité d’appréhender l’histoire de leurs galaxies hôtes et ainsi l’histoire de l’univers. Dans cette thèse, je me suis intéressé aux propriétés des AGs dans différents environnements. Tout d’abord, je me suis concentré sur les AGs de l’amas de la Vierge, un amas de galaxies très dense situé à environ 16,5 Mpc. J’ai utilisé les données observées par le relevé NGVS (Next Generation Virgo Survey) pour définir un échantillon qui contient 1846AGs. J’ai ensuite comparé les couleurs de ces amas avec celles d’autres AGs originaires de la Voie Lactée et j’ai remarqué des différences de couleurs encore jamais observées, dont la nature exacte est encore énigmatique. Pour comprendre ces différences, j’ai ensuite comparé les AGs observés avec des AGs synthétiques basés sur 10 modèles de synthèse de populations stellaires. J’ai aussi étudié les âges et les métallicités ressortant de la confrontation directe des couleurs des AGs à ces modèles. En conclusion, en l’état actuel, les modèles ne rendent pas compte de la diversité identifiée dans ma thèse. Finalement, j’ai effectué une brève étude des propriétés spatiales des AGs autour de M87 pour repérer des marques d’accrétion. / Through the study of the globular cluster (GC) properties, it is possible to unravel the history of their host galaxies and by extension the history of the universe. During this thesis, I was interested in the GC properties in different environments. First, I looked at the GCs in the Virgo cluster, a dense galaxy cluster located at 16.5 Mpc. I used data from the survey NGVS (Next Generation Virgo Survey) to define a sample of 1846 GCs. Then, I compared the colors of these GCs with those of Milky Way GCs and I noted color differences never yet observed, which are still enigmatic. In order to understand these differences, I compared the observed GCs with synthetic GCs obtained with 10 stellar population synthesis models. I also studied the age and metallicity predictions of those models. In the end, in their current status, the models do not account for the diversity highlighted in my thesis. Finally, I assessed the spatial properties of the GCs around M87 in order to find any signatures of a recent accretion.
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Étude des propriétés chimiques des composantes cinématiques du disque galactique. Méthode de détermination automatique des paramètres stellaires.Girard, Pascal 11 December 2006 (has links) (PDF)
L'étude des différentes populations d'étoiles de la Voie Lactée permet de décrire l'histoire de sa formation et de son évolution. Ainsi, le présent travail de thèse constitue une étape supplémentaire dans notre volonté de mieux comprendre l'origine du disque galactique. La compilation de données chimiques et cinématiques et l'identification des groupes cinématiques nous a permis d'établir un état des lieux de nos connaissances sur les relations entre les abondances chimiques et la cinématique du disque mince et du disque épais. A partir d'échantillons significatifs, nous avons pu confirmer certaines de leurs propriétés déjà observées, de mieux contraindre des points plus controversés et enfin de rapporter de nouveaux faits observationnels. Cependant notre étude n'est basée que sur plusieurs centaines d'étoiles situées dans notre voisinage solaire. C'est pourquoi il a été mis au point TGMETalpha, une méthode automatique, dite de ''distance minimum'', basée sur la comparaison de spectres observés avec une grille de spectres synthétiques, permettant de déterminer les paramètres atmosphériques tels que Teff, logg, [Fe/H] et surtout [alpha/Fe] pour de grands volumes de données spectroscopiques à basse et haute résolutions. TGMETalpha offre ainsi la possibilité de sonder beaucoup plus loin de part et d'autre du plan galactique. Cela a été en partie réalisé grâce au catalogue d'étoiles du SDSS, DR3, qui contient plusieurs milliers d'objets situés loin du plan galactique. Notamment entre 1 et 3 kpc, là où le disque épais est la population dominante. Cela a permis d'étudier les propriétés du disque épais en relation avec une population représentative du halo. Certaines propriétés du disque épais et du halo ont pu être vérifiées et de nouveaux faits observationnels ont été mis en évidence, notamment, l'existence d'un gradient radial négatif, significatif, dans le disque épais, ce qui n'avait jamais été montré auparavant. Cette nouvelle contrainte forte indique que la production des éléments alpha par rapport au fer a été plus efficace dans les régions centrales de la galaxie que dans les régions externes. Ce nouveau fait doit être absolument pris en compte dans les prochains scénarios de formation du disque. De plus la présence de débris de galaxies satellites semble être mise en évidence, à partir de leur vitesse de rotation, de leur métallicité [Fe/H] et de leur rapport [alpha/Fe], dans la population du halo, à |z|> 8 kpc. Pour aller plus loin, TGMETalpha pourrait être utilisé pour analyser un plus grand nombre d'étoiles (par exemple à partir du DR5 mais aussi du survey SEGUE qui est l'extension du SDSS, ou encore du survey RAVE ou Gaia) et ainsi analyser les propriétés du disque épais, du halo mais aussi de nombreux ''moving groups'' comme des reliquats de galaxies satellites.
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Relation noyau actif et histoire de la formation d'étoiles dans les radio galaxies distantesDrouart, Guillaume 04 October 2013 (has links) (PDF)
Les radio galaxies sont les candidats préférentiels pour comprendre la formation et l'évolution des galaxies sur une grande échelle de temps. Observées jusqu'à z>5 en raison de leur brillance, elles sont abritées par des galaxies elliptiques géantes. L'émission radio révèle la présence d'un trou noir supermassif. Un tore de poussière entourant le noyau actif de galaxie (AGN) agit comme un coronographe naturel permettant alors l'étude de la galaxie hôte. L'objectif de cette thèse est de déterminer l'évolution de la composante stellaire en présence d'un AGN. La décomposition est faite à partir de la distribution spectrale d'énergie (SED) de l'UV au submillimétrique en utilisant le code d'évolution de galaxies PEGASE.3 et un code d' AGN, les deux modélisant l'émission de la poussière par transfert radiatif.En premier lieu, nous présentons le projet HeRGE, 70 radio galaxies observées avec Herschel, qui permet de mesurer leurs luminosités totales infrarouges, comparables à celles des ULIRG. Une décomposition de la luminosité infrarouge entre l'émission AGN et un modèle de starburst est proposée pour l'ensemble de l'échantillon. Ces luminosités élevées sont interprétées en termes de taux d'accrétion et de formation d'étoiles, favorisant la croissance du trou noir par rapport à la galaxie hôte.En second lieu, l'orientation du jet par rapport au tore est contrainte à partir de l'infrarouge moyen et du rapport des émissions radio des lobes (isotrope, 500MHz) et du coeur (anisotrope, 20GHz). Ces observations en accord avec le modèle d'unification permettent d'évaluer le facteur d'absorption Av, l'inclinaison du tore et de contraindre le facteur de Lorentz.Une sélection de 12 radio galaxies observées de l'UV au sub-mm est analysée avec PEGASE.3 et un modèle d'AGN. Une seule composante stellaire est insuffisante. Seules deux composantes (une évoluée et massive, et une jeune issue d'un starburst) permettent un ajustement significatif de la SED complète. La composante évoluée est très massive (environ 10^12 msun) formée sur une courte période de temps (<10^9 ans). La composante jeune (<4.10^7 ans), moins massive (environ 10^11 msun), confirme un processus épisodique de croissance par sursauts. Ces résultats sont des contraintes fortes pour les modèles de formation de galaxies. La relation avec le noyau actif reste encore à préciser. Les projets d'observations complémentaires, optique et mm, permettront de confirmer ces résultats.
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Identifications croisées multi-longueurs d'ondes. Application aux populations stellaires des Nuages de Magellan et aux étoiles jeunes de notre Galaxie.Delmotte, Nausicaa 07 November 2003 (has links) (PDF)
Cette thèse bénéficie de la mise à disposition publique récente des grands relevés infrarouges et visibles et s'inscrit dans le cadre de l'Observatoire Virtuel émergent. Nous avons réalisé un "Master Catalogue of stars towards the Magellanic Clouds" (MC2) basé sur l'identification croisée multi-longueur d'onde des catalogues de sources ponctuelles DENIS, 2MASS, GSC-II et UCAC. D'importants résultats sur la précision et la calibration astro-photométriques de ces catalogues ont été établis. Le MC2 est accessible en ligne au travers d'une interface web spécialement conçue pour gérer sa nature composite. Nous avons produit des vues multi-spectrales du GNM, où ses populations stellaires variées se distinguent de façon remarquable dans les diagrammes couleur-couleur et couleur-magnitude construits à partir de magnitudes à la fois visibles et infrarouges. Nous avons calibré les magnitudes absolues des étoiles de type B dans le proche-infrarouge, en fonction de leur type spectral. Nous avons combiné des mesures de distance de grande qualité basées sur les données Hipparcos avec la photométrie homogène des sources ponctuelles proche-infrarouges 2MASS. Les données ont été corrigées de l'extinction et nous avons évalué par le biais de simulations la contribution de divers erreurs de mesure et effets physiques (binarité, rotation) à la dispersion observée sur la calibration. C'est une étape nécessaire à la détermination de la structure du disque jeune Galactique et des distances et propriétés de jeunes amas ouverts découverts par les grands relevés infrarouges tels 2MASS. Nous avons commencé une analyse morphologique et multi-longueur d'onde de régions ionisées et de leurs étoiles dans le GNM, imagées en bande étroite. L'interaction réciproque des étoiles massives avec le milieu interstellaire environnant permet d'approfondir l'histoire de formation stellaire locale et le contenu stellaire de ces régions ainsi que d'obtenir un schéma de leur évolution dynamique.
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Relation noyau actif et histoire de la formation d'étoiles dans les radio galaxies distantes / AGN and star formation history in high redshift radio galaxiesDrouart, Guillaume 04 October 2013 (has links)
Les radio galaxies sont les candidats préférentiels pour comprendre la formation et l'évolution des galaxies sur une grande échelle de temps. Observées jusqu'à z>5 en raison de leur brillance, elles sont abritées par des galaxies elliptiques géantes. L'émission radio révèle la présence d'un trou noir supermassif. Un tore de poussière entourant le noyau actif de galaxie (AGN) agit comme un coronographe naturel permettant alors l'étude de la galaxie hôte. L'objectif de cette thèse est de déterminer l'évolution de la composante stellaire en présence d'un AGN. La décomposition est faite à partir de la distribution spectrale d'énergie (SED) de l'UV au submillimétrique en utilisant le code d'évolution de galaxies PEGASE.3 et un code d' AGN, les deux modélisant l'émission de la poussière par transfert radiatif.En premier lieu, nous présentons le projet HeRGE, 70 radio galaxies observées avec Herschel, qui permet de mesurer leurs luminosités totales infrarouges, comparables à celles des ULIRG. Une décomposition de la luminosité infrarouge entre l'émission AGN et un modèle de starburst est proposée pour l'ensemble de l'échantillon. Ces luminosités élevées sont interprétées en termes de taux d'accrétion et de formation d'étoiles, favorisant la croissance du trou noir par rapport à la galaxie hôte.En second lieu, l'orientation du jet par rapport au tore est contrainte à partir de l'infrarouge moyen et du rapport des émissions radio des lobes (isotrope, 500MHz) et du coeur (anisotrope, 20GHz). Ces observations en accord avec le modèle d'unification permettent d'évaluer le facteur d'absorption Av, l'inclinaison du tore et de contraindre le facteur de Lorentz.Une sélection de 12 radio galaxies observées de l'UV au sub-mm est analysée avec PEGASE.3 et un modèle d'AGN. Une seule composante stellaire est insuffisante. Seules deux composantes (une évoluée et massive, et une jeune issue d'un starburst) permettent un ajustement significatif de la SED complète. La composante évoluée est très massive (environ 10^12 msun) formée sur une courte période de temps (<10^9 ans). La composante jeune (<4.10^7 ans), moins massive (environ 10^11 msun), confirme un processus épisodique de croissance par sursauts. Ces résultats sont des contraintes fortes pour les modèles de formation de galaxies. La relation avec le noyau actif reste encore à préciser. Les projets d'observations complémentaires, optique et mm, permettront de confirmer ces résultats. / Powerful radio galaxies are excellent candidates for investigating and ultimately understanding the formation and evolution of galaxies. These beacons are now observed out to z>5 and are commonly associated with the massive early-type galaxies observed in the local universe. While the radio emission reveals the presence of a supermassive black hole, a dusty parsec-scale torus acts like a natural coronograph, making it easier to study the properties of the host galaxy. The aim of this PhD thesis is to characterise the nature and evolution of the stellar population and the relationship between the stellar population and the active galactic nucleus (AGN). To reach our scientific goals, we use the galaxy evolution code, PEGASE, combined with a AGN model which both consider the radiative transfer of the UV, optical, and IR photons through dust. To begin, we present the HeRGE project consisting of 70 radio galaxies which have been observed with Herschel. These IR observations allow us to calculate the total infrared luminosities and reveal that our sample belongs to the ULIRG regime. We decompose the infrared SED into an AGN and starburst components using observational templates. Converted into accretion and star formation rate, their relative luminosities indicate that the black holes are growing proportionally faster than are the host galaxies.In addition, we constrain the configuration of the jet and torus by combining the results from mid-infrared spectral energy distribution (SED), and the radio emission from the lobes (isotropic at 500MHz) and the core (anisotropic at 20GHz). In agreement with the unified scheme, these observations allow us to estimate the absorption Av, the inclination of the torus, and provides a constraint on the Lorentz factor for the radio jet.A subsample of 12 radio galaxies observed from the UV to sub-mm is also analysed with PEGASE.3 and an AGN torus model. While one stellar component is clearly insufficient to fit the observations, two stellar components are necessary to successfully reproduce the SED (one evolved and massive, about 10^12 msun, formed over a reasonably short time, <1Gyr at high redshift; and a much younger component, <40Myr, that is also less massive, about 10^11 msun. Such a star formation history suggests rapid growth at high redshift of longer duration followed much by another period of rapid, stochastic growth.These results put strong constraints on galaxy formation models. Unfortunately, the crudeness of some of our data and theoretical understanding the IR emission from AGN, means that the relation of the galaxy to its AGN is still not well constrained. Additional observations at optical through millimeter wavelengths are needed to extend our findings.
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