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Prescription médicamenteuse potentiellement inappropriée dans les établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) / Potentially inappropriate drug prescribing in nursing homes

Cool, Charlène 26 October 2017 (has links)
Les sujets résidant dans les établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) sont fréquemment exposés à une polypathologie et sont polymédiqués, ce qui augmente le risque de prescriptions potentiellement inappropriées (PPI) et ainsi le risque d'événements iatrogènes tels que le décès et l'hospitalisation. La plupart des études réalisées en France sur la PPI se sont focalisées sur des classes médicamenteuses précises, et peu ont évalué l'impact des caractéristiques structurelles et organisationnelles des EHPAD sur la PPI des résidents, indépendamment des caractéristiques individuelles. Cette thèse a eu pour objectif de développer un nouvel indicateur de PPI, reflétant au mieux la prise en charge médicamenteuse globale des résidents d'EHPAD. Les travaux de thèse ont été réalisés sur un échantillon issu de l'étude IQUARE (Impact d'une démarche QUAlité sur l'évolution des pratiques et le déclin fonctionnel des REsidents), étude quasi expérimentale (NCT01703689) évaluant l'impact d'une intervention basée sur l'éducation gériatrique du personnel de l'EHPAD sur des indicateurs de qualité des soins. Dans un premier temps, nous avons construit un outil original de détection de PPI, combinant des critères explicites et implicites, identifiant 71% des résidents avec une PPI à l'inclusion. Des caractéristiques organisationnelle (accès à un avis psychiatrique) et structurelle (présence d'une unité de soins spécialisée) de l'EHPAD expliquaient une part de cette PPI. Dans un second temps, afin de valider la pertinence de cet outil, nous avons évalué l'impact clinique de la PPI sur la survenue d'événements indésirables au cours du suivi. Nous n'avons pas retrouvé de risque augmenté de décès ou d'hospitalisation. Enfin, l'intervention gériatrique générale de l'étude IQUARE a significativement réduit la PPI des résidents à 18 mois. Ces travaux ont fourni des éléments importants à prendre en considération, lors de la construction de nouvelles études visant à modifier les pratiques de prescription et à réduire le nombre de médicaments prescrits chez les résidents d'EHPAD, mais aussi pour déterminer l'impact clinique de ces changements. / Older people living in nursing homes (NHs) suffer from numerous comorbidities and functional decline. Polymedication is frequent in this population. This increases the risk of potentially inappropriate drug prescribing (PIDP), which can lead to adverse drug events such as falls and hospitalization. Most French studies did not examine PPI with a global perspective, but focused on specific drug classes. Moreover, few studies have investigated, irrespective of the individual characteristics of residents, the structural and organizational characteristics of nursing homes on the quality of drug prescribing. Thesis work aimed to develop a new indicator of PIDP, which best reflects the global medication use of residents. Thesis works have been performed using the data of the IQUARE study (Impact d'une démarche Qualité sur l'évolution des pratiques et le déclin fonctionnel des REsidents), a quasi-experimental study (trial registration number: NCT01703689) investigating the impact of an intervention based on geriatric education with NH staff on quality indicators of care. First, we developed an indicator of PIDP, combining explicit and implicit criteria, identifying 71% of PIDP in NH residents at baseline. NH organizational (access to psychiatric advice and/or to hospitalization in a psychiatric unit) and structural (presence of a special care unit for dements) variables explained part of PIDP. In a second part, in order to validate the usefulness of this PIDP detection tool, we verified the long-term clinical impact of PIDP on adverse outcomes (death, number of hospitalizations...). We did not find any significant association between PIDP and death, nor between PIDP and number of hospitalizations. Finally, the general intervention implemented in the IQUARE study significantly reduced PIDP among NH residents at 18-month follow-up. Our research has provided important aspects that should be consider when constructing further new studies seeking to change prescribing patterns and to reduce the total number of drugs taken, but also to determine the final impact of these changes on clinical outcomes.
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Prescrire dans la parole : écoute analytique et prescription médicamenteuse

Guillermain, Yves 13 November 2013 (has links) (PDF)
La prescription médicamenteuse est l'un des principaux outils thérapeutiques utilisé par le médecin. Si la médecine somatique décline sa clinique selon l'enchaînement symptômes- diagnostic-traitement, la psychiatrie se démarque d'une telle linéarité. En effet, bien qu'elle se soit calquée sur le modèle médical depuis la découverte des psychotropes en 1952, elle relève d'une clinique spécifique : en psychiatrie, d'une part le symptôme constitue une adresse à l'Autre, il contient donc une dimension relationnelle essentielle, d'autre part, le soin psychique implique une participation active du sujet, toute thérapie étant aussi auto-thérapie. La neuropharmacologie, en plein essor depuis 1952, propose un schéma thérapeutique se voulant plus scientifique car de plus en plus éloigné de la psychopathologie clinique. Le psychiatre est alors convoqué en tant que technicien de la prescription de psychotropes, le médicament se suffisant à lui-même d'un point de vue thérapeutique. Face à une telle évolution de la psychiatrie, comment préserver un abord clinique ?Notre pratique esquisse la possibilité de dégager l'acte de prescrire d'une technicité exclusive. En effet, sous certaines conditions, la prescription de psychotropes constitue un acte psychothérapeutique à part entière. Pour cheminer dans notre réflexion, nous sommes passés par le paradigme du pharmakon afin de complexifier la question du prescrire. La clinique suggère une possible alliance entre parole et médicament. Prescrire dans la parole, au-delà de la molécule, consiste à qualifier la substance par la parole, de façon à ce qu'elle devienne un médicament spécifique de la rencontre clinique. La molécule, guidée par la magie des mots, sera plus efficace. L'acte de prescrire se conçoit donc comme une création à deux, à réinventer à chaque nouvelle rencontre, le moment de la prescription relevant d'un cheminement intime du côté du clinicien. Ainsi, loin de s'exclure mutuellement, psychothérapie analytique et pharmacothérapie ont tout intérêt à croiser leurs regards sur la question du prescrire. Penser conjointement effet pharmacologique et relation clinique permet au clinicien de s'engager dans une authentique rencontre humaine avec le patient. La psychopathologie s'ouvrira, peut-être, sur de nouvelles perspectives thérapeutiques.
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Prescrire dans la parole : écoute analytique et prescription médicamenteuse / Prescribing through words : psychotherapy and psychotropic drugs

Guillermain, Yves 13 November 2013 (has links)
La prescription médicamenteuse est l’un des principaux outils thérapeutiques utilisé par le médecin. Si la médecine somatique décline sa clinique selon l’enchaînement symptômes- diagnostic-traitement, la psychiatrie se démarque d’une telle linéarité. En effet, bien qu’elle se soit calquée sur le modèle médical depuis la découverte des psychotropes en 1952, elle relève d’une clinique spécifique : en psychiatrie, d’une part le symptôme constitue une adresse à l’Autre, il contient donc une dimension relationnelle essentielle, d’autre part, le soin psychique implique une participation active du sujet, toute thérapie étant aussi auto-thérapie. La neuropharmacologie, en plein essor depuis 1952, propose un schéma thérapeutique se voulant plus scientifique car de plus en plus éloigné de la psychopathologie clinique. Le psychiatre est alors convoqué en tant que technicien de la prescription de psychotropes, le médicament se suffisant à lui-même d’un point de vue thérapeutique. Face à une telle évolution de la psychiatrie, comment préserver un abord clinique ?Notre pratique esquisse la possibilité de dégager l’acte de prescrire d’une technicité exclusive. En effet, sous certaines conditions, la prescription de psychotropes constitue un acte psychothérapeutique à part entière. Pour cheminer dans notre réflexion, nous sommes passés par le paradigme du pharmakon afin de complexifier la question du prescrire. La clinique suggère une possible alliance entre parole et médicament. Prescrire dans la parole, au-delà de la molécule, consiste à qualifier la substance par la parole, de façon à ce qu’elle devienne un médicament spécifique de la rencontre clinique. La molécule, guidée par la magie des mots, sera plus efficace. L’acte de prescrire se conçoit donc comme une création à deux, à réinventer à chaque nouvelle rencontre, le moment de la prescription relevant d’un cheminement intime du côté du clinicien. Ainsi, loin de s’exclure mutuellement, psychothérapie analytique et pharmacothérapie ont tout intérêt à croiser leurs regards sur la question du prescrire. Penser conjointement effet pharmacologique et relation clinique permet au clinicien de s’engager dans une authentique rencontre humaine avec le patient. La psychopathologie s’ouvrira, peut-être, sur de nouvelles perspectives thérapeutiques. / Prescribing medication is one of the main therapeutic tools used by physicians. If somatic medicine clinically acts according to a 'symptom-diagnosis-treatment' model, psychiatry does not follow this linear pathway. Although it has copied the medical model since the discoveryof psychoactive drugs in 1952, it possesses a specific clinical approach. First of all, in psychiatric care, the symptom is an address to the Other, it contains an essential social dimension. Moreover, it implies the subject's active participation, each therapy also being a self-therapy. Neuropharmacology, in full expansion since 1952, has taken a therapeutic scheme aiming at more scientificity by moving away from clinical psychopathology. Hence psychiatrists are seen as technicians of psychoactive drugs prescription, drugs being considered as self sufficient therapeuticaly. With regard to this evolution in psychiatric care, how can a clinical approach be maintained ? In practice, the act of prescribing can free itself from being exclusively technical. Prescribing psychoactive drugs can indeed, under certain conditions, be a true psychotherapeutic act. To guide us through this reflection, we used the pharmakon paradigm to make the issue of prescribing more complex. Clinical practice suggests a possible alliance between patients'words and medication. Beyond molecular action, prescribing through talking qualifies the substance by words, so it becomes a clinical-interaction-specific drug. The molecule, guided by the magic of words, will be more efficient. The act of prescribing is thus conceived as a creation made possible by two people, that must be reinvented at each encounter. The moment for prescribing is rather the fruit of the clinician intimate decision process. Thus, far from excluding each other, analytical therapy and pharmacotherapy would gain much from sharing their views on the issue of prescribing. Integrating both the pharmacological effect and the clinical interaction would allow clinicians to engage in an authentic human encounter with patients. Psychopathology may then open up to new therapeutic perspectives.

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