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Évolution des problèmes de conduite chez les filles et les garçons d’âge scolaire primaire : Rôle de la cooccurrence successive des problèmes d'opposition, d'inattention et d'hyperactivité/impulsivité

Dufour, Catherine January 2015 (has links)
Le trouble des conduites (TC), le trouble oppositionnel (TOP) et le trouble déficitaire de l’attention (TDAH), reconnus pour la fréquence de leur cooccurrence, compte parmi les troubles les plus stables dans le temps (APA, 2013). La cooccurrence élevée du TOP et du TDAH avec le TC, pourrait avoir un effet sur l’évolution du TC. Objectifs: La présente étude vise à déterminer si les problèmes d’inattention, d’hyperactivité/impulsivité et d’opposition à l’enfance contribuent à prédire le score à l’échelle des problèmes de conduite et l’atteinte du seuil clinique des problèmes de conduite au début de l’adolescence (trois ans plus tard) chez les garçons et les filles séparément. Méthode: L’étude est réalisée auprès de 345 enfants (141 filles) âgés de six à neuf ans à l’entrée dans l’étude. Les troubles ont été évalués auprès du parent et de l’enseignant à partir des échelles d’orientation DSM de l’ASEBA (Achenbach et Rescorla, 2001) et du CRS-R (Conners, 2001). Résultats : Les analyses de régressions réalisées montrent que les problèmes d’inattention, d’hyperactivité/impulsivité et d’opposition ne contribuent pas à prédire le score à l’échelle des problèmes de conduite au-delà des problèmes de conduite initiaux ni chez les garçons ni chez les filles. Toutefois, les problèmes d’opposition prédisent l’atteinte ou non du seuil clinique des problèmes de conduite trois ans plus tard chez les garçons. Conclusion: Enfin, d’autres études devraient être réalisées auprès d’un échantillon populationnel comportant un nombre suffisamment élevé de garçons et de filles présentant ces problèmes de comportement pour permettre de vérifier l’effet modérateur du sexe dans la relation entre le TDAH, le TOP et le TC.
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Associations prospectives entre l’exposition à la fumée secondaire résidentielle à l’enfance et les difficultés psychosociales à la préadolescence

Lévesque-Seck, François 08 1900 (has links)
Introduction. La fumée secondaire est considérée comme un agent neurotoxique. À ce jour, la littérature traitant des liens entre l’exposition à la fumée secondaire à l’enfance et les comportements antisociaux repose majoritairement sur des devis transversaux ou porte sur la période développementale de l’enfance. Objectif. D’une part, nous souhaitons repousser l’âge auquel les comportements antisociaux sont mesurés en le portant à la préadolescence. De plus, nous souhaitons utiliser des données autorapportées afin d’utiliser une mesure possiblement plus valide des comportements antisociaux. Finalement, nous souhaitons confirmer les résultats longitudinaux précédemment rapportés par les parents ou les enseignants à l’âge de 10 ans. Méthode. Les parents de 1035 enfants ayant participé à l’Étude longitudinale des enfants du Québec ont rapporté si au moins un individu fumait au domicile (entre l’âge d’un an et demi et sept ans). Les variables dépendantes autorévélées (mesurées à douze ans) comprenaient les problèmes de conduite, l’agressivité proactive, l’agressivité réactive, l’indiscipline scolaire et le risque de décrochage. Résultats. Après l’inclusion des variables de contrôle, nous avons observé que l’exposition à la fumée secondaire est prospectivement associée aux problèmes de conduite, l’agressivité proactive, l’agressivité réactive, l’indiscipline scolaire et le risque de décrochage autorévélés. Discussion. Les jeunes exposés à la fumée secondaire à l’enfance rapportent avoir plus de comportements antisociaux. Nos résultats corroborent les recommandations du American Surgeon’s General indiquant qu’aucune exposition à la fumée secondaire ne peut être considérée sécuritaire à l’enfance. / Introduction. Secondhand smoke is considered a developmental neurotoxicant. Up to this day, research on secondhand smoke and later antisocial behavior has remained cross-sectional or in the developmental period of childhood. Objective. We sough to extend previous research by extending to age 12 our prospective associational model. Also, we use self-reported data for validity reasons and to cross-match previous research using parent and teacher-rated data at age 10. Method. Parents reported the amount of household smoke exposure (between ages 1.5 and 7) for 1035 children from the Quebec Longitudinal Study of Child Development. Main outcome measures include self-reported conduct problems, proactive aggression, reactive aggression, dropout risk, and school indiscipline at age 12. Results. After adjusting for potential confounders, we observed that secondhand smoke is prospectively associated to conduct problems, proactive and reactive aggression, school indiscipline, and dropout risk. Discussion. Children exposed to household smoke reported increased risks of reporting antisocial behavior at age 12. Our findings corroborate the recommendation of the American Surgeon’s General that no smoke exposure can be considered safe.
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Timing pubertaire et adaptation psychosociale à l'adolescence : le rôle des relations interpersonnelles et des vulnérabilités individuelles

Benoit, Amélie 03 1900 (has links)
Cette thèse avait pour objectif d’examiner les liens longitudinaux entre le timing pubertaire et les problèmes de comportement intériorisés et extériorisés à l’adolescence, soit les problèmes de conduite et les symptômes dépressifs. Guidé par la perspective théorique biosociale et le modèle de vulnérabilité-stress, le rôle modérateur de l’environnement social et des vulnérabilités personnelles préexistantes était également évalué. Les hypothèses initiales étaient qu’un timing pubertaire précoce ou déviant de la norme (précoce et tardif) serait associé à des niveaux plus élevés de problèmes de conduite et de symptômes dépressifs, mais que ce lien serait accentué dans des contextes sociaux et interpersonnels plus à risque et en présence de vulnérabilités individuelles chez les adolescents. Pour vérifier ces hypothèses, des données provenant de l’Enquête Longitudinale Nationale sur les Enfants et les Jeunes (ELNEJ) ont été analysées. Gérée par Statistique Canada, l’ELNEJ est une enquête prospective biennale comportant différents échantillons représentatifs d’enfants et d’adolescents canadiens. Les mesures utilisées dans cette thèse ont été collectées à différents cycles de l’enquête, soit à 10–11 ans, 12–13 ans, 14–15 ans et 16–17 ans, directement auprès des adolescents et de leurs parents par le biais de questionnaires et d’entrevues. Le premier article de la thèse a vérifié si l’interaction entre le timing pubertaire et des caractéristiques du contexte social des pairs (c.-à-d. l’affiliation avec des pairs déviants et l’implication amoureuse en début d’adolescence) prédisait la présentation de problèmes de conduite avec et sans agressivité physique à l’adolescence. Les résultats ont montré que le contexte social des pairs modérait l’association entre le timing pubertaire et les problèmes de conduite. Une interaction significative entre le timing pubertaire et l’affiliation à des pairs déviants a indiqué qu’une puberté plus précoce était associée à des fréquences plus élevées de problèmes de conduite agressive seulement chez les filles et les garçons qui fréquentaient des pairs déviants. Autrement dit, parmi les adolescents s’affiliant à des pairs déviants en début d’adolescence, les adolescents pubères précoces tendaient à présenter plus de problèmes de conduite agressive deux ans plus tard, en comparaison à leurs pairs pubères dans les temps moyens ou tardifs. Une seconde interaction significative obtenue chez les filles a montré que la puberté plus précoce était prédictrice des problèmes de conduite non-agressive seulement en présence d’un engagement amoureux en début d’adolescence. En effet, dans un contexte d’implication amoureuse, les filles pubères précoces présentaient plus de problèmes de conduite non-agressive que leurs pairs. Le deuxième article de la thèse avait pour objectif d’évaluer le rôle modérateur des vulnérabilités individuelles à la dépression (présence de symptômes intériorisés à la fin de l’enfance), du contexte social des pairs (affiliation à des pairs déviants, expérience amoureuse précoce et perception de popularité auprès des pairs) et des relations parent-adolescent (perception de rejet de la part des parents) dans l’association longitudinale entre le timing pubertaire et les symptômes dépressifs en fin d’adolescence. Chez les filles, une interaction triple a révélé que la puberté plus précoce était liée à davantage de symptômes dépressifs, mais seulement chez celles qui présentaient des symptômes intériorisés à la fin de l’enfance et une implication amoureuse précoce. Chez les garçons, un effet curvilinéaire du timing pubertaire a été observé alors que la puberté précoce et tardive était associée à plus de symptômes dépressifs, mais seulement chez les garçons qui manifestaient des symptômes intériorisés à la fin de l’enfance. La puberté plus précoce était aussi liée à des niveaux plus élevés de symptômes dépressifs en présence d’affiliation à des pairs déviants (garçons) et de perceptions plus importantes de rejet parental (filles et garçons). En somme, la mise en évidence d’interactions significatives entre le timing pubertaire, les caractéristiques de l’environnement social et les vulnérabilités individuelles suscite différentes réflexions au plan théorique et pratique. Tout d’abord, les résultats suggèrent que le timing pubertaire en lui-même ne paraît pas représenter un facteur de risque généralisé des problèmes de comportement intériorisés et extériorisés à l’adolescence. Plus particulièrement, ces résultats soulignent l’importance de considérer l’environnement social et les facteurs de risque individuels préexistants afin de mieux comprendre l’effet de la transition pubertaire sur l’adaptation psychosociale des adolescents. / The objective of this dissertation was to evaluate the longitudinal links between pubertal timing and internalizing and externalizing problems during adolescence. Within a theoretical framework of biosocial interactions and the vulnerability-stress model, the moderating effect of social environments and preexisting individual vulnerabilities was examined. Two empirical studies investigated the links between pubertal timing and conduct problems and between pubertal timing and depressive symptoms. It was expected that early or off-time puberty would be associated with conduct problems and depressive symptoms, but that this link would be intensified in risky social and interpersonal contexts and if paired with prepubertal individual vulnerabilities. These hypotheses were tested using data from the National Longitudinal Survey of Children and Youth (NLSCY), a representative biennial survey of Canadian children and adolescents managed by Statistics Canada. Measures analyzed in this dissertation were collected at 10–11 years old, 12–13 years old, 14–15 years old and 16–17 years old through questionnaires and interviews with adolescents and their parents. The goal of the first empirical article of this dissertation was to evaluate whether the interactions between pubertal timing and characteristics of peer context, namely deviant peer affiliation and romantic experience in early adolescence, predicted physically aggressive and non-physically aggressive conduct problems two years later. A significant interaction between pubertal timing and deviant peer affiliation was found, suggesting that early puberty was associated with higher frequencies of physically aggressive conduct problems only in the context of deviant peer affiliation. Therefore, among adolescents who affiliated with deviant peers in early adolescence, early maturing adolescents were more prone to report higher frequencies of physically aggressive conduct problems than on-time or late maturers. A significant interaction also emerged for girls’ non-physically aggressive conduct problems, as early pubertal timing was associated with non-physically aggressive conduct problems only in the context of romantic experience. Indeed, when adolescent girls reported romantic experience, early maturers showed more non-physically aggressive conduct problems than their peers. The second article of this dissertation investigated the moderating role of individual vulnerabilities to depression (emotional problems in late childhood), peer factors (deviant peer affiliation, early romantic dating and perceived peer popularity) and parental factors (perceived parental rejection) in the association between pubertal timing and depressive symptoms in adolescence. For adolescent girls, early puberty was associated with more depressive symptoms only in girls who combined emotional problems in late childhood and early dating experience. For adolescent boys, early and late pubertal timing was related to depressive symptoms, but only in those who had previously experienced emotional problems in late childhood. Early pubertal timing was also linked to depressive symptoms in the context of deviant peer affiliation (boys) and in the presence of higher levels of perceived parental rejection (boys and girls). In sum, the significant interactions found between pubertal timing, characteristics of social context, and individual vulnerabilities bring theoretical and practical considerations. Firstly, these results suggested that pubertal timing is not a risk factor per se of internalizing and externalizing problems in adolescence. These findings underscored the importance of taking into account the social environments and individual risk factors prior to puberty in order to better understand the impact of pubertal transition on adolescents’ psychosocial adjustment.
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Timing pubertaire et adaptation psychosociale à l'adolescence : le rôle des relations interpersonnelles et des vulnérabilités individuelles

Benoit, Amélie 03 1900 (has links)
Cette thèse avait pour objectif d’examiner les liens longitudinaux entre le timing pubertaire et les problèmes de comportement intériorisés et extériorisés à l’adolescence, soit les problèmes de conduite et les symptômes dépressifs. Guidé par la perspective théorique biosociale et le modèle de vulnérabilité-stress, le rôle modérateur de l’environnement social et des vulnérabilités personnelles préexistantes était également évalué. Les hypothèses initiales étaient qu’un timing pubertaire précoce ou déviant de la norme (précoce et tardif) serait associé à des niveaux plus élevés de problèmes de conduite et de symptômes dépressifs, mais que ce lien serait accentué dans des contextes sociaux et interpersonnels plus à risque et en présence de vulnérabilités individuelles chez les adolescents. Pour vérifier ces hypothèses, des données provenant de l’Enquête Longitudinale Nationale sur les Enfants et les Jeunes (ELNEJ) ont été analysées. Gérée par Statistique Canada, l’ELNEJ est une enquête prospective biennale comportant différents échantillons représentatifs d’enfants et d’adolescents canadiens. Les mesures utilisées dans cette thèse ont été collectées à différents cycles de l’enquête, soit à 10–11 ans, 12–13 ans, 14–15 ans et 16–17 ans, directement auprès des adolescents et de leurs parents par le biais de questionnaires et d’entrevues. Le premier article de la thèse a vérifié si l’interaction entre le timing pubertaire et des caractéristiques du contexte social des pairs (c.-à-d. l’affiliation avec des pairs déviants et l’implication amoureuse en début d’adolescence) prédisait la présentation de problèmes de conduite avec et sans agressivité physique à l’adolescence. Les résultats ont montré que le contexte social des pairs modérait l’association entre le timing pubertaire et les problèmes de conduite. Une interaction significative entre le timing pubertaire et l’affiliation à des pairs déviants a indiqué qu’une puberté plus précoce était associée à des fréquences plus élevées de problèmes de conduite agressive seulement chez les filles et les garçons qui fréquentaient des pairs déviants. Autrement dit, parmi les adolescents s’affiliant à des pairs déviants en début d’adolescence, les adolescents pubères précoces tendaient à présenter plus de problèmes de conduite agressive deux ans plus tard, en comparaison à leurs pairs pubères dans les temps moyens ou tardifs. Une seconde interaction significative obtenue chez les filles a montré que la puberté plus précoce était prédictrice des problèmes de conduite non-agressive seulement en présence d’un engagement amoureux en début d’adolescence. En effet, dans un contexte d’implication amoureuse, les filles pubères précoces présentaient plus de problèmes de conduite non-agressive que leurs pairs. Le deuxième article de la thèse avait pour objectif d’évaluer le rôle modérateur des vulnérabilités individuelles à la dépression (présence de symptômes intériorisés à la fin de l’enfance), du contexte social des pairs (affiliation à des pairs déviants, expérience amoureuse précoce et perception de popularité auprès des pairs) et des relations parent-adolescent (perception de rejet de la part des parents) dans l’association longitudinale entre le timing pubertaire et les symptômes dépressifs en fin d’adolescence. Chez les filles, une interaction triple a révélé que la puberté plus précoce était liée à davantage de symptômes dépressifs, mais seulement chez celles qui présentaient des symptômes intériorisés à la fin de l’enfance et une implication amoureuse précoce. Chez les garçons, un effet curvilinéaire du timing pubertaire a été observé alors que la puberté précoce et tardive était associée à plus de symptômes dépressifs, mais seulement chez les garçons qui manifestaient des symptômes intériorisés à la fin de l’enfance. La puberté plus précoce était aussi liée à des niveaux plus élevés de symptômes dépressifs en présence d’affiliation à des pairs déviants (garçons) et de perceptions plus importantes de rejet parental (filles et garçons). En somme, la mise en évidence d’interactions significatives entre le timing pubertaire, les caractéristiques de l’environnement social et les vulnérabilités individuelles suscite différentes réflexions au plan théorique et pratique. Tout d’abord, les résultats suggèrent que le timing pubertaire en lui-même ne paraît pas représenter un facteur de risque généralisé des problèmes de comportement intériorisés et extériorisés à l’adolescence. Plus particulièrement, ces résultats soulignent l’importance de considérer l’environnement social et les facteurs de risque individuels préexistants afin de mieux comprendre l’effet de la transition pubertaire sur l’adaptation psychosociale des adolescents. / The objective of this dissertation was to evaluate the longitudinal links between pubertal timing and internalizing and externalizing problems during adolescence. Within a theoretical framework of biosocial interactions and the vulnerability-stress model, the moderating effect of social environments and preexisting individual vulnerabilities was examined. Two empirical studies investigated the links between pubertal timing and conduct problems and between pubertal timing and depressive symptoms. It was expected that early or off-time puberty would be associated with conduct problems and depressive symptoms, but that this link would be intensified in risky social and interpersonal contexts and if paired with prepubertal individual vulnerabilities. These hypotheses were tested using data from the National Longitudinal Survey of Children and Youth (NLSCY), a representative biennial survey of Canadian children and adolescents managed by Statistics Canada. Measures analyzed in this dissertation were collected at 10–11 years old, 12–13 years old, 14–15 years old and 16–17 years old through questionnaires and interviews with adolescents and their parents. The goal of the first empirical article of this dissertation was to evaluate whether the interactions between pubertal timing and characteristics of peer context, namely deviant peer affiliation and romantic experience in early adolescence, predicted physically aggressive and non-physically aggressive conduct problems two years later. A significant interaction between pubertal timing and deviant peer affiliation was found, suggesting that early puberty was associated with higher frequencies of physically aggressive conduct problems only in the context of deviant peer affiliation. Therefore, among adolescents who affiliated with deviant peers in early adolescence, early maturing adolescents were more prone to report higher frequencies of physically aggressive conduct problems than on-time or late maturers. A significant interaction also emerged for girls’ non-physically aggressive conduct problems, as early pubertal timing was associated with non-physically aggressive conduct problems only in the context of romantic experience. Indeed, when adolescent girls reported romantic experience, early maturers showed more non-physically aggressive conduct problems than their peers. The second article of this dissertation investigated the moderating role of individual vulnerabilities to depression (emotional problems in late childhood), peer factors (deviant peer affiliation, early romantic dating and perceived peer popularity) and parental factors (perceived parental rejection) in the association between pubertal timing and depressive symptoms in adolescence. For adolescent girls, early puberty was associated with more depressive symptoms only in girls who combined emotional problems in late childhood and early dating experience. For adolescent boys, early and late pubertal timing was related to depressive symptoms, but only in those who had previously experienced emotional problems in late childhood. Early pubertal timing was also linked to depressive symptoms in the context of deviant peer affiliation (boys) and in the presence of higher levels of perceived parental rejection (boys and girls). In sum, the significant interactions found between pubertal timing, characteristics of social context, and individual vulnerabilities bring theoretical and practical considerations. Firstly, these results suggested that pubertal timing is not a risk factor per se of internalizing and externalizing problems in adolescence. These findings underscored the importance of taking into account the social environments and individual risk factors prior to puberty in order to better understand the impact of pubertal transition on adolescents’ psychosocial adjustment.

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