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Mutualisation des capacités de production entre entreprises forestières : cas d'études des coopératives forestières du Québec

Le Lan, Maryse 23 October 2019 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales / De nouvelles formes de compétition jusqu’ici inconnues des entreprises du secteur forestier ont fait leur apparition dans la dernière décennie. Pour performer, les entreprises forestières doivent désormais opter pour de nouvelles stratégies organisationnelles qui leur permettront d’accroître leur compétitivité et leur agilité. Le défi réside dans l’équilibre de leur capacité de production qui doit être suffisante pour répondre à la variation de la demande sans qu’elle ne devienne excédentaire et ou sous-utilisée. La stratégie étudiée dans le cadre de cette étude est celle de la collaboration interentreprises, plus précisément celle du partage de ressources (expertise, matériel, monétaire) entre des entreprises forestières de tous les secteurs d’activités. L’objectif principal de l’étude est de développer un cadre de référence pour guider les entreprises forestières à saisir davantage les opportunités de collaboration. Dans un premier temps, des entrevues individuelles ont été menées avec huit entreprises forestières afin de connaître leur compréhension et leur volonté de collaborer. Dans un deuxième temps, les dimensions conceptuelles qui forment la structure de la collaboration interentreprises ont fait l’objet d’un groupe focus de discussion entre 14 dirigeants d’entreprises forestières. Finalement, quatre situations réelles de collaboration interentreprises ont été étudiées pour déterminer les conditions requises à l’instauration des ententes de collaboration. Les résultats démontrent que le succès de la collaboration est initialement une question de volonté, mais aussi de contexte favorable. Ce succès peut toutefois être compromis par plusieurs facteurs dont le manque de confiance. Le cadre de référence permet d’outrepasser les différences individuelles des entreprises pour qu’elles puissent saisir les opportunités de collaboration. L’identification des besoins de l’entreprise et de son potentiel de collaboration est une prémisse essentielle à l’instauration des ententes de collaboration. Le cadre de référence des relations de collaboration illustre ainsi la progression entre différents niveaux de collaboration structurés en huit dimensions. Une application du cadre de référence à une situation fictive de collaboration a finalement permis de démontrer son adaptabilité au contexte forestier québécois. La collaboration, principalement la mutualisation des ressources, permet aux entreprises forestières de mieux utiliser les capacités de production existantes. / New forms of unknown competition between forestry companies have emerged in the last decade. To perform, forest companies need to find new organizational strategies to increase their competitiveness and agility. The challenge is to balance their production capacity so it can be enough to meet variation in the demand without becoming in excess and unutilized. This study focusses on the strategy of inter-firm collaboration, more specifically resource sharing (expertise, equipment, financial) between competing forest companies. The main objective is to develop a framework to help forest companies grasping more collaboration opportunities. As a first step, one-on-one interviews were done with eight forest companies to assess comprehension and willingness about collaboration. In a second step, the conceptual dimensions of business collaboration were discussed in a focus group with 14 forest companies. Finally, four business collaboration cases were explored to determine the required conditions for collaborative agreements. Results show that the success of the collaboration is mostly a matter of willingness but also favorable context. This success, however, can be compromised by several factors including lack of trust. The proposed framework enables to go beyond companies’ individual differences to seize collaboration opportunities. Identifying business needs and its collaboration potential is therefore an essential premise for developing collaboration agreements. The framework for collaborative relationships illustrates the progression between different levels of structured collaboration in eight dimensions. The application of the reference framework to a fictitious situation of collaboration has finally demonstrated its adaptability to the Quebec forestry context. Collaboration, mainly the pooling of resources, allows forest companies to make better use of existing production capacities.
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Collaboration et partage de coûts dans un réseau d'entreprises

Moussiliou Coles, Moudjib 13 April 2018 (has links)
Dans la chaîne logistique forestière, les coûts de transport étant parmi les plus élevés, la planification du transport est particulièrement importante. Il existe souvent plusieurs entreprises de pâtes et papiers opérant dans la même région, et possédant chacune leurs propres réseaux de scieries et de papetières. Habituellement, chaque entreprise planifie individuellement le transport de copeaux de ses scieries vers ses papetières. Or, la planification collaborative du transport de copeaux entre un groupe d'entreprises est susceptible d'engendrer des réductions substantielles des coûts communs. On considère ainsi dans ce travaille cas où un groupe d'entreprises forment une coalition en planifiant de façon collaborative le transport de leurs copeaux. Tout d'abord, dans le cas d'une entreprise opérant de façon individuelle, un modèle mathématique de programmation linéaire est développé pour le problème d'approvisiont:lement en copeaux, vu comme un problème de transport de plusieurs produits (ou essences de copeaux) sur plusieurs périodes (vingt-six (26) périodes). Ce modèle est ensuite étendu au cas où deux ou plusieurs entreprises fusionnent leurs données dans le cadre d'une planification collaborative. Ces différents modèles mathématiques permettent d'évaluer les réductions de coûts générées grâce à la collaboration. Comme dans tout processus de collaboration, les problèmes de partage de coûts communs se posent avec acuité. En effet, pour une collaboration efficace et durable, il est crucial d'arriver à une allocation des coûts qui soit bénéfique pour tous les partenaires, et ce de la façon la plus équitable possible. En considérant un jeu de transport, nous comparons plusieurs méthodes de partage de coûts issues de la théorie des jeux collaboratifs. Ces modèles économiques incluent le nucléole, la méthode de Shapley, la méthode basée sur le volume, la méthode des coûts séparables et non séparables, ainsi que la méthode du profit égal. Une étude de cas impliquant trois (03) entreprises forestières est enfin présentée, où les différents modèles et méthodes développés sont analysés.
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Évaluation du potentiel d'atténuation du secteur forestier québécois dans la lutte contre les changements climatiques

Moreau, Lucas 28 September 2023 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 25 septembre 2023) / Le rôle des forêts dans la réalisation des réductions d'émissions de gaz à effet de serre (GES) prévues à l'échelle planétaire pourrait être substantiel. Comprendre le rôle du secteur forestier va devenir d'autant plus important que la demande en bois risque d'être toujours plus soutenue dans le futur. Il existe cependant un grand degré d'incertitude quant à la stratégie sectorielle à mettre en œuvre pour maximiser les réductions de GES : faut-il chercher à maximiser la production de bois (c'est-à-dire à augmenter les niveaux de récolte) ou gérer les écosystèmes sous un régime de protection (c'est-à-dire diminuer les niveaux de récolte) ? L'incertitude augmente en raison des impacts potentiels des changements climatiques sur la capacité des écosystèmes à stocker du carbone et à répondre aux besoins en bois des marchés. Les actions d'atténuation du secteur forestier ne se limitent cependant pas aux forêts. Il est aussi nécessaire de considérer les émissions de GES issues de la décomposition des produits du bois et l'utilisation de ces produits en remplacement de matériaux et sources d'énergie à plus forte empreinte carbone. Une sélection non exhaustive ne peut conduire qu'à des conclusions partielles qui pourraient s'avérer contreproductives dans la lutte contre les changements climatiques. L'objectif de cette thèse est donc d'évaluer le potentiel d'atténuation du secteur forestier québécois, en identifiant les obstacles à éviter et les opportunités à saisir, afin de développer une stratégie sectorielle efficace dans la lutte contre les changements climatiques. Les résultats de cette thèse suggèrent que, de l'échelle du peuplement à l'échelle de la province, les stratégies d'aménagement basées sur l'augmentation du volume de bois récolté n'apportent généralement pas de bénéfices climatiques, contrairement à celles qui visent à réduire le volume récolté par rapport à la stratégie de référence. La perte de carbone dans les écosystèmes forestiers, due à une augmentation des superficies récoltées, couplée à une augmentation des émissions de GES des produits n'est pas compensée par des effets de substitution trop faibles et incertains. Ces conclusions s'appliquent autant à moyen (2050) qu'à long terme (2100), et avec ou sans prise en compte de l'impact des changements climatiques sur les écosystèmes forestiers. Cette conclusion est d'ailleurs exacerbée lorsque les analyses ne sont plus faites en dioxyde de carbone équivalent, mais selon le forçage radiatif des émissions, donc avec une meilleure prise en compte de la temporalité des émissions de GES et de leur pouvoir réchauffant. Cependant, ces travaux démontrent aussi que les deux grands types de stratégies d'aménagement forestier peuvent coexister pour maximiser le potentiel d'atténuation du secteur forestier provincial. Tout d'abord, car certains peuplements forestiers pourraient bénéficier des perturbations pour redynamiser leur productivité. La nécessité de considérer les caractéristiques initiales des peuplements et l'impact d'une perturbation sur leurs dynamiques est donc primordiale. D'autre part, l'augmentation du volume de bois récolté pourrait apporter un bénéfice climatique si une meilleure substitution moyenne pouvait être atteinte et/ou une meilleure gestion des émissions, notamment de méthane, engendrées par la fin de vie des produits du bois était mise en place. Ces effets permettraient donc une coexistence des deux grands types d'aménagement par rapport à la stratégie de référence. Une stratégie de réduction de la récolte n'est pas exempte de toute incertitude. C'est un risque de saturation de la séquestration des écosystèmes, mais aussi un risque pour des stocks de carbone sensibles à l'augmentation des perturbations naturelles. De plus, les risques de fuite sont importants. Le bois non récolté sera selon toute vraisemblance compensé par une récolte accrue dans d'autres juridictions pour satisfaire la demande en ressource biosourcée. Il apparait donc que ni une stratégie basée seulement sur la réduction et encore moins sur l'augmentation du volume de bois récolté ne soit une solution idéale. Il est nécessaire de déployer les actions d'atténuation avec un potentiel de réalisation important et qui ne seront dans aucun cas contreproductives dans le futur ; comme le boisement des territoires anthropisés, une gestion améliorée des émissions de fin de vie ou encore un soutien à l'innovation des produits du bois afin d'en augmenter la proportion qui possède une plus longue durée de vie. Dans le même temps, il faut développer les fondements opérationnels d'une optimisation des niveaux de récolte selon les caractéristiques des écosystèmes forestiers. Ce sont des étapes nécessaires pour permettre une prise de décision éclairée et le développement d'une stratégie sectorielle efficace. / The role of forests in achieving global greenhouse gas (GHG) emissions reductions could be substantial. Understanding the role of the forestry sector will become increasingly important as the demand for wood is likely to continue to grow in the future. However, there is a high degree of uncertainty regarding the strategy to implement in order to maximize GHG reductions in the forest sector: should we seek to maximize wood production (i.e., increase harvesting levels) or leave ecosystems unmanaged (i.e., decrease harvesting levels)? Furthermore, the potential effects of climate change on the ability of ecosystems to store carbon and meet the wood demands of markets are causing a rise in uncertainty. Mitigation actions in the forestry sector, however, are not limited to forests. It is also necessary to consider GHG emissions from the decomposition of wood products and the use of these products as replacements for materials and energy sources with a higher carbon footprint. A non-exhaustive selection can only lead to partial conclusions that could prove counterproductive in the fight against climate change. The objective of this thesis is to evaluate the mitigation potential of the Quebec forestry sector by identifying the obstacles to avoid and the opportunities to seize in order to develop an effective strategy in the fight against climate change. The results suggest that, from the forest stand to the provincial scale, management strategies based on increasing the volume of harvested wood generally do not provide climate benefits, unlike those aimed at reducing the volume harvested compared to the reference strategy. The loss of carbon in forest ecosystems due to an increase in harvested areas, coupled with an increase in greenhouse gas emissions from wood products, is not offset by substitution effects that are too low and uncertain. These conclusions apply to both the medium term (2050) and the long term (2100), with or without consideration of the impact of climate change on forest ecosystems. These findings are exacerbated when analyses are conducted using radiative forcing of emissions, rather than just carbon dioxide equivalent, as this approach better accounts for the temporality and warming potential of greenhouse gas emissions. However, these findings also demonstrate that both types of forest management strategies can coexist to maximize the potential for carbon mitigation in the provincial forest sector. Firstly, some forest stands may benefit from disturbances that can reinvigorate their productivity. Therefore, it is crucial to consider the initial characteristics of forest stands and the impact of disturbances on their dynamics. Secondly, increasing the volume of harvested wood could provide a climate benefit if better average substitution and/or management of emissions, particularly methane emissions from wood product end-of-life, were implemented. These effects would allow the coexistence of both types of management strategies compared to the reference strategy. A strategy of reducing harvest is not without uncertainty. There is a risk of saturation of ecosystem carbon sequestration in the long term, as well as a risk to carbon stocks that are sensitive to increased natural disturbances. In addition, the risks of leakage are significant. Unharvested wood will likely be compensated by increased harvesting in other jurisdictions to meet the demand for bio-resources. Therefore, neither a strategy based only on reduction nor one based only on increasing the volume of harvested wood is an ideal solution. It is necessary to deploy mitigation actions with a high potential for implementation that will not be counter productive in the future, such as afforestation of anthropized territories, improved management of end-of-life emissions, or support for innovation in wood products. At the same time, it is necessary to develop the operational foundations for optimizing harvesting levels according to the characteristics of forest ecosystems. These are necessary steps to enable informed decision-making and the development of an effective provincial forest sector strategy.
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Distributed wood procurement planning within a multi-firm environment

Beaudoin, Daniel 12 April 2018 (has links)
La planification annuelle des approvisionnements forestiers est une tâche complexe qui vise à rendre des volumes de bois disponibles aux divers centres de transformation. Pour se faire, une multitude d'activités doivent être coordonnées dans le temps et l'espace afin de livrer les bons produits, aux bons endroits et aux bons moments. La coordination des diverses activités impliquées est davantage complexifiée lorsque plusieurs entreprises partagent les mêmes parterres de coupe et se rendent mutuellement des services d'approvisionnement. Dans ce contexte, un planificateur est confronté à deux problèmes inter reliés : la planification de ses opérations forestières sur le territoire et la coordination de celles-ci avec celles des autres entreprises. En général, la planification s'effectue sans support mathématique autre qu'une feuille de calcul pour équilibrer les livraisons de bois aux usines. Dans ces conditions, les planificateurs éprouvent de la difficulté à évaluer la qualité de leurs décisions et s'appuient principalement sur leurs intuition et expérience. Cette thèse vise à développer une approche de planification décentralisée des approvisionnements forestiers basée sur l'usage de modèles mathématiques afin de pallier à ce problème. Dans un premier temps, un processus de planification centralisée est présenté et testé. Par la suite, une approche de planification décentralisée des approvisionnements forestiers est proposée afin de coordonner les activités des diverses entreprises entre elles. L'approche de coordination proposée est testée et comparée à l'approche actuellement en usage. / Wood procurement planning is a complex task which aims to provide wood volumes to diverse processing mills. To do so, several activities must be coordinated in time and space in order to deliver the right volumes, to the right mill, and at the right moment. The coordination of the diverse activities involved in wood procurement planning is further complicated when several companies share the same procurement areas, and companies provide each other with procurement services. In this context, a planner faces two interdependent problems: planning its forest opérations over the land base, and coordination of its opérations with those of other companies. In gênerai, managers still largely rely on intuition and expérience without mathematical programming support other than a spreadsheet to try to balance wood delivery to their mills. Planners therefore struggle to evaluate the quality of their décisions. The aim of this thesis is to develop a distributed wood procurement planning approach based on the use of mathematical models to overcome this problem. First, a centralized planning process that allows a company to plan its procurement activities is presented and tested. Then, a distributed planning approach to coordinate the firms' procurement activities among themselves is proposed. The proposed coordination approach is tested and compared to the approach currently in use.
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Amélioration de la planification opérationnelle par une connaissance plus précise des stocks forestiers (produits spécifiques) et de leur localisation en forêt

Coudé, Véronique 16 April 2018 (has links)
De nos jours, les centres de transformation primaire de produits forestiers doivent adapter rapidement leurs approvisionnements afin d’être en mesure de satisfaire les besoins du marché. Pour répondre promptement aux commandes passées par les usines, les équipes de récolte doivent être déployées dans des peuplements forestiers possédant les caractéristiques désirées. Toute déviation à cet égard entraîne des coûts supplémentaires liés à la mise en place de mesures correctives. Ces mesures se traduisent habituellement par une augmentation des stocks coupés en forêt ou encore par des déplacements plus nombreux des équipements de récolte. Une pénurie, c’est-à-dire un manque de matière première à l’usine ou encore l’impossibilité de satisfaire la demande des clients sont d’autres effets possibles. Une connaissance adéquate de la distribution du volume des arbres sur pied par espèce et par classes de diamètres à hauteur de poitrine (DHP) pour les principales strates forestières apparaît donc comme une première étape pour améliorer la précision des approvisionnements. Cette connaissance semble en effet nécessaire pour être en mesure d’améliorer la gestion de la chaîne d’approvisionnement (ou de création de valeur) mais aussi pour mieux protéger l’environnement. Or, la forêt est très variable et il est difficile de prédire de manière précise la distribution des diamètres des tiges des peuplements qui la composent. L’erreur générée par cette variabilité engendre une incertitude quant à ces prédictions de ces distributions. Ce projet vise à évaluer la faisabilité de développer un système spatial qui puisse permettre de répondre à une demande pour un produit donné dans un délai court et motivé par les besoins des clients. Pour y arriver, des fonctions graphiques de distribution du volume cumulé en fonction du diamètre (DHP) pour chacune des strates forestières ont été développées et par la suite regroupées. À ces fonctions ont été appliquées des équations de régression basées sur le DHP afin de valider celles qui étaient significatives. Par la suite, un lien a été fait avec la carte forestière dans un logiciel SIG pour obtenir la probabilité de trouver le produit recherché. Ces étapes ont été réalisées avec succès donnant ainsi la possibilité de créer un outil pour le planificateur forestier qui lui permet de mieux tenir compte de la variabilité des stocks ligneux en forêt. Ce projet a ainsi démontré qu’il est possible d’utiliser l’information des inventaires forestiers pour développer des relations entre les données forestières et l’erreur qu’elles génèrent. Il a été possible d’intégrer ces informations pour créer un outil informatique fonctionnel qui présente une probabilité de trouver dans la forêt un produit spécifique donné. / Presently forest products transformation centers must be able to quickly adapt their resource supply in order to satisfy market needs. In order to react quickly to mill demands, forest harvesting activities must be deployed directly in forest stands that contain standing timber with the characteristics necessary to meet processing requirements. An inability to do this engenders involves additional costs related to the installation of corrective measures. Such measures usually result in an increase in forest stocks cut and/or in additional displacements of forest harvesting equipment. A shortage of supply -- i.e. a lack of raw material at the processing plant -- or difficulty in satisfying market needs are other possible effects. An adequate knowledge of standing tree distributions by species and diameter classes for the principal forest strata being harvested thus seems to be a useful way of ensuring adequate product-specific supply. Such knowledge indeed would seem to be required to improve forest management across the entire supply chain, and would also provide for better environmental protection. However, because forests are intrinsically highly variable, it is difficult to predict in a precise manner species and diameter distributions for specific stands in a given forest. This inherent forest variability generates uncertainty when these distributions are estimated or predicted. This project evaluates the developmental feasibility of a spatial system that can enable an immediate response in harvesting operations to a request for a specific species and size of tree by a processing facility that is motivated by clients’ needs. To accomplish this, species-specific graphic functions of volumes based on tree diameter distributions for each forest stratum were developed and compiled. Regression equations based on tree diameter were applied to these functions in order to validate those that were significant. Subsequently a link was established between the diameter distribution functions and a map of forest strata in a GIS software tool to obtain the probability of finding a sufficient volume of the desired tree type. The functionality discussed has been successfully implemented in this project in order to create a tool for forest planners that takes into account the variability of timber stocks in forests. This project has demonstrated that it is possible to use existing forest inventory information to develop relations between the forest data and the error it generates. Moreover, it was possible to integrate this information to create a functional GIS-based tool that indicates the likelihood of finding a desired quantity of a specific product in the forest.
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Retombées économiques de la filière feuillus durs au Québec

Trudelle, Mathieu 17 April 2018 (has links)
Depuis plusieurs années, la demande mondiale pour les produits forestiers évolue et demande une adaptation importante de l'offre des industries de ce secteur. Au Québec, ce secteur économique est divisé en deux grands groupes : la transformation des essences résineuses et celle des essences feuillues. Le premier secteur étant celui présentant le plus grand volume de bois transformé et le parc industriel le plus important, beaucoup d'efforts de recherche y ont déjà été consentis. Le secteur de la transformation des feuillus durs est moins bien étudié et il fait pourtant face présentement à plusieurs défis comme un manque d'approvisionnement en tiges de bonne qualité et des équipements de transformation souvent désuets. Pour savoir s'il est judicieux d'investir temps, efforts et capitaux dans l'amélioration des connaissances sur cette chaîne de création de valeur, il est avisé de connaître les retombées économiques de cette dernière. C'est dans cette optique que cette étude a été conduite.
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Innovation and value : knowledge and technology transfer from university-industry research centres to the forest products industry

Van Horne, Constance 16 April 2018 (has links)
Cette thèse présente une vue d'ensemble des processus de transfert des connaissances et de technologie aux centres de recherche université-industrie, sous l'angle de la création de valeur. Spécifiquement, on s'intéresse aux motivations de quatre principaux acteurs pour leur soutien et leur participation au niveau de ces centres (valeur perçue), à la valeur créée par ces centres de recherche pour les différents membres et enfin, à la valeur assimilée par les membres et leurs organisations. On a abordé des études de cas comparatives de trois centres de recherche université-industrie dans le secteur canadien des produits forestiers et de ceux opérant dans la province de Québec. L'objectif principal est d'illustrer la perception de quatre principales catégories d'acteurs jouant des rôles importants dans ce contexte particulier. Les catégories d'acteurs sont les universités, les organisations intermédiaires (Howells, 2006; Kodama et al, 2008), le gouvernement (provincial et fédéral) et les grandes, les moyennes et les petites entreprises oeuvrant dans (et fournissant des services pour) le secteur canadien des produits forestiers. Les recherches suscitent un intérêt croissant sur les notions de création de valeur et de la valeur assimilée dans la gestion des processus d'innovation (Lepak et al, 2007). Cependant, cet intérêt a soulevé plus de questions que de réponses concernant le rôle joué par la valeur perçue, la valeur créée et la valeur assimilée dans le processus de l'innovation. En outre, il n'existe aucune mesure universelle, non-monétaire qui permet aux divers acteurs d'évaluer véritablement les rendements tangibles et intangibles des valeurs perçues, créées et assimilées dans les processus d'innovation. Un défi additionnel se manifeste quand il s'agit du cas des centres de recherche université-industrie. Ces derniers constituent le centre d'intérêt des gouvernements à travers les incitatifs politiques (D'Esté et Patel, 2007). De plus, le rôle des universités et des chercheurs universitaires a évolué. Ils ont dépassé leurs rôles traditionnels d'enseignement et de recherche pour devenir des ±entrepreneurs¿ (Etzkowitz, 2003), et ce grâce à leurs connaissances, leurs compétences et les résultats de leurs recherches. Par ailleurs, comme toutes les industries deviennent de plus en plus basées sur la connaissance, et que les produits, les processus et les systèmes d'entreprise sont de plus en plus complexes, les entreprises se tournent vers les groupes de recherche universitaire afin de les aider dans leur processus d'innovation (Van Horne et al., 2006). Ces collaborations créent de la valeur à travers le développement et le transfert des technologies (nouveaux produits, processus, modèles d'affaires, etc.), des connaissances et des services (sous forme de formation, de conseil, de recrutement de personnel hautement qualifié, de stagiaires, etc) aux entreprises (Adams et al, 2000; Etzkowitz et Leydesdorff, 2000). En outre, la valeur est créée pour les gouvernements grâce au développement économique et social (Etzkowitz, 2003). Quant aux universités et chercheurs, la création de valeur se manifeste par l'obtention des fonds supplémentaires, l'accès aux données et aux problèmes de recherche de l'industrie, la croissance de la réputation, etc. (D'Esté et Patel, 2007). Ces différentes formes de valeur sont présentement mal saisies. Toutefois, il est temps pour les dirigeants de ces centres de recherche et leurs membres, de mieux comprendre cette valeur afin d'être en mesure de mieux gérer leur processus d'innovation (Adams et al., 2006; Rainbird et Walters, 2007). Dans cette thèse, trois principales questions seront abordées: 1. Comment la valeur perçue par les quatre acteurs des centres de recherche université-industrie, opérant dans l'industrie des produits forestiers, permet de motiver ces derniers à participer et à appuyer les actions prises par ces centres? 2. Comment les centres de recherche universitaires oeuvrant dans l'industrie canadienne des produits forestiers, utilisent les processus de transfert formels et informels pour créer de la valeur aux différents acteurs de cette industrie? 3. Comment les acteurs des centres de recherche université-industrie parviennent à capter la valeur créée? Cette thèse est composée de trois articles: deux contributions théoriques qui sont en cours de révision et un troisième article qui sera présenté à la Conférence de Triple Helix en Juin 2009. Ces articles sont soutenus par deux chapitres. Le premier décrit le contexte théorique de la collaboration université-industrie et celui de "l'innovation" dans l'industrie canadienne des produits forestiers. Le deuxième chapitre concerne la méthodologie utilisée dans ce travail.
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Le pouvoir en négociation collective dans la secteur privé : analyse d'un cas du secteur manufacturier du bois

Bilodeau, Pier-Luc 13 April 2018 (has links)
Prenant pour objet les formes de l'exercice du pouvoir en négociation collective, l'auteur s'est intéressé à l'action réciproque des parties sur les processus décisionnels engagés au sein de chacune d'elles en regard d'enjeux de négociation jugés importants et distributifs. Pour ce faire, l'auteur a eu recours à une étude de cas ethnographique, accompagnant les parties tout au long d'une ronde de négociation d'une durée de huit mois dans un secteur économique fortement affecté par la concurrence internationale et la crise forestière : l'industrie des deuxième et troisième transformations des produits du bois. Le recours à l'observation des séances de négociation, à l'entrevue ainsi qu'à l'analyse de documents pertinents a rendu possible la production d'une description faisant ressortir les différentes tactiques déployées de part et d'autres ainsi que le rôle joué par celles-ci dans un certain nombre de décisions identifiées comme cruciales pour le processus. Parallèlement à l'étude du pouvoir, un second objectif a été poursuivi. L'auteur a en effet cherché à contribuer aux efforts récents de remise à l'ordre du jour du cadre analytique élaboré par John Rogers Commons (1862-1945), pionnier du champ des relations industrielles en Amérique du Nord. En plus de propositions reliées spécifiquement à l'exercice du pouvoir, cette thèse comprend donc également l'esquisse d'une théorisation institutionnaliste-pragmatiste de la transaction de négociation collective. La thèse par ses contributions à l'état des connaissances pose ainsi les bases d'un programme de recherche institutionnaliste en relations du travail, intégrant un cadre analytique original à une pratique de recherche, d'enseignement et d'intervention qui constitue la raison d'être du champ des relations industrielles.
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L'évolution du niveau d'adoption des affaires électroniques par le secteur forestier du Québec

Jabeur, Fathen 13 April 2018 (has links)
De nos jours, les affaires électroniques sont essentielles pour diriger une entreprise florissante. La maîtrise et l'intégration de la technologie Internet sont aujourd'hui indispensables pour pouvoir faire face à la concurrence qui ne cesse de se renforcer avec la globalisation des marchés. C'est une question à laquelle fait aussi face l'industrie forestière du Québec. Une étude empirique sur les pratiques concernant les affaires électronique (AE) de l'industrie forestière au Québec menée en 2002 (Karuranga et al.) a rendu compte de l'état des pratiques en affaires électroniques de ce secteur. Les répondants se sont exprimés, entre autres, sur leurs perceptions à l'égard des affaires électroniques. Parmi ces répondants, certaines entreprises ont aujourd'hui adopté les affaires alors que d'autres non. Cette recherche vise à évaluer dans quelle mesure les perceptions initiales qu'ont exprimées les entreprises à l'égard des affaires électroniques en 2002 ont contribué ou non à l'adoption du e-business après cette date. Les résultats permettent de mieux comprendre le niveau d'adoption assez faible des AE par les entreprises de ce secteur. Les recommandations proposées par cette recherche permettront d'y remédier en ciblant les facteurs qui influent sur la propension à adopter les affaires électroniques.
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Une étude du lien entre la productivité et la bienfaisance des entreprises : une présentation des données provenant d'une expérience sur terrain de l'industrie sylvicole en Colombie-Britannique

Spence, Stephen 23 April 2018 (has links)
Cette étude cherche à mesurer l’importance du lien entre la bienfaisance d’un employeur et la productivité de ses travailleurs. Cet objectif est atteint à l’aide d’un modèle fondé dans la théorie classique et s’inspire par la suite de la littérature des préférences sociales. Plusieurs expériences ont réussi à démontrer l’existence d’un lien entre la productivité et la bienfaisance de l’employeur, mais rarement dans un environnement où cette bienfaisance est imposée de façon exogène. Par voie d’une expérience effectuée sur un échantillon d’étudiants, une étude de Tonin et Vlassopoulos (2013) s’est confrontée à ce défi. Leurs résultats suggèrent que la bienfaisance d’un employeur a un effet positif sur la productivité, mais ceci n’est pas démontré dans l’environnement de travail. L’expérience discutée lors de ce document comble donc le fossé. Le lien en question est évalué en concevant d’une expérience sur le terrain d’une entreprise de reboisement en Colombie-Britannique. Les travailleurs de l’entreprise sont observés sous trois conditions salariales, dont une s’agit du salaire à la pièce ordinaire, une s’agit du salaire à la pièce ordinaire plus une prime pécuniaire, et une s’agit du salaire à la pièce ordinaire plus une prime qui est versée à un organisme de bienfaisance du choix du travailleur. Selon les données recueillies, les travailleurs ont été plus productifs lorsque leur employeur a promis de faire des dons de bienfaisance, mais ont été moins productifs lorsqu’un prime salaire leur a été accordé. Par contre, ces résultats deviennent insignificatifs avec l’inclusion des variables de contrôle pour les conditions météorologiques. Les données analysées ne permettent d’établir un lien entre ni la rémunération ni la bienfaisance de l’employeur. Les changements imposés par l’expérience conçue par ce mémoire ne sont pas suffisants pour surmonter les chocs quotidiens de l’environnement du travail.

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