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Fragmentation et recomposition de la fonction patronale

Légaré, Renée 15 February 2021 (has links)
La fonction patronale se transforme dans un monde de travail contemporain où la relation d’emploi classique entre un salarié et un employeur est brouillée en fonction de l’évolution du système des relations industrielles et des transformations du marché du travail. Les changements importants survenus dans les systèmes de travail, tels que la mondialisation des marchés, l’évolution technologique, les différents modes de gestion du gouvernement ainsi que les nouvelles stratégies de gestion des ressources humaines (GRH), dont celles liées à la recherche de flexibilité interne et externe par les entreprises, ont causé des pressions sur les acteurs du système des relations industrielles et entraîné des changements importants dans leur rôle et leurs pouvoirs. La sous-traitance a marqué non seulement le secteur privé mais également le secteur public. Dans les années 1970, on a vu apparaître le concept de la « nouvelle gestion publique » qui prône une modernisation des modes de gestion publique inspirée par les pratiques en usage dans le secteur privé. À partir des années 1980, le Canada a opté pour plusieurs changements dans la gestion publique du secteur du transport aérien, ce qui a entraîné une redéfinition des frontières entre l’État et le secteur privé par différentes formes d’externalisation de ce secteur (par ex. : privatisation d’Air Canada en 1988; cession au secteur privé de l’exploitation et du développement des aéroports de 1992 à 1996; privatisation du système de navigation aérienne civile à Nav Canada et création de l’Administration canadienne de la sûreté du transport aérien (ACSTA) en 2002). Cette nouvelle philosophie de gestion gouvernementale a changé drastiquement les rapports de travail et les règles de fonctionnement qui caractérisent la manière dont le gouvernement exerce ses fonctions et atteint ses objectifs. La présente thèse tente de comprendre comment s’organisent les relations d’une société d’État avec ses fournisseurs de services dans un contexte d’impartition de la force de travail pour la prestation des services de contrôle de sûreté des passagers et de leurs bagages au sein du secteur de la sûreté du transport aérien au Canada. Nous analysons la sous-traitance du secteur public vers le secteur privé et faisons l’étude des attentes de l’État par rapport à l’organisation et la surveillance des contrats de services reliés à ce secteur public. Plus particulièrement, notre recherche explique comment s’organise la chaîne de décisions et d’actions liées à la fonction patronale dans un contexte où plusieurs acteurs sont présents. Pour ce faire, nous utilisons le modèle des acteurs de Bellemare (2000) et des régions de rapports de travail de Bellemare et Briand (2011) qui nous permettent l’analyse d’acteurs additionnels en relations industrielles et de leurs interactions dans le domaine du travail. Pour ces auteurs, le structurel, les acteurs et les pratiques de travail forment un système qu’ils nomment « région ». Leur modèle nous a permis d’identifier une variété de régions pertinentes de rapports de travail et d’acteurs, autres que les acteurs traditionnels en RI, qui ont une influence dans les rapports de travail des entreprises qui forment le réseau.
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Réseau d'entreprises autochtones : analyse des facteurs du capital social pour la réussite d'une initiative dans le secteur forestier québécois

Serban, Luca Gabriel 10 February 2024 (has links)
L’entrepreneuriat autochtone, au Canada et dans le monde, a fait l’objet d’une attention croissante pour son potentiel de réduction de la pauvreté et de la marginalisation sociale. Ainsi, la capacité d’une communauté autochtone à créer de la richesse dépend en partie de sa capacité à « adhérer » à l’économie et à établir des relations commerciales. Un réseau d’entreprises autochtones peut générer des connaissances et des opportunités sur le marché, ainsi qu’apporter des avantages mutuels au niveau des entreprises et des avantages socio-économiques au niveau de la communauté. Bien que les avantages des réseaux d’entreprises aient été décrits dans la littérature, peu de recherches empiriques ont exploré ce concept dans le contexte des communautés autochtones. Le but de cette recherche est de mieux comprendre les besoins, les défis et les opportunités liés aux réseaux d’entreprises dans un contexte autochtone. Nous avons utilisé une approche exploratoire et nous avons collaboré avec la Filière forestière des Premières Nations du Québec (FFPNQ). Des entretiens semi-structurés ont été menés avec des représentants d’entreprises forestières autochtones. Cette recherche montre que les besoins exprimés pour un réseau d’entreprises autochtones correspondent à plusieurs éléments identifiés dans la littérature. Ceux-ci incluent un accès plus facile à l’information, le partage d’expertise, des contributions au bien-être collectif, une influence politique accrue et des opportunités pour développer de nouveaux marchés. De plus, nos résultats mettent en évidence plusieurs défis à la mise en place d’un réseau commercial autochtone : financement, confiance, distance entre les membres et soutien politique aux niveaux national et local. Cette recherche contribue à une meilleure compréhension des conditions qui favorisent le succès des entreprises autochtones. Pour les dirigeants politiques, cela peut guider l’élaboration de solutions plus efficaces pour répondre aux besoins du développement économique autochtone et de la création de richesses au niveau local. / Indigenous entrepreneurship, in Canada and around the world, has received growing attention for its potential to reduce poverty and social marginalization. Thus, the capacity of an Indigenous community to create wealth depends, in part, on its ability to 'opt in' to the economy and establish business relationships. An Indigenous business network seeks to generate knowledge and opportunities on the market, as well as bring mutual benefits at the business level and socioeconomic benefits at the community level. While business network benefits have been documented in the literature few empirical research explore this concept in the context of indigenous communities. The purpose of this research is to better understand needs, challenges and opportunities related to business network in an Indigenous context. We used an exploratory approach and we worked collaboratively with the First Nations of Quebec Forestry Network (FNQFN). Semi-structured interviews were conducted with Indigenous forest company representatives. This research shows that the needs expressed for a network of Indigenous business corresponds to several elements identified in the literature. These include easier access to information, sharing of expertise, contributions to collective well-being, greater political influence, and opportunities to develop new markets. Additionally, our results highlight several challenges to the establishment of an indigenous business network: funding, trust, distance between members, and political support at the national and local level. This research contribute to a better understanding of the conditions that enhance the success of indigenous enterprises. For political leaders, it can guide the development of more effective solutions to meet the needs of Indigenous economic development and the creation of wealth at the local level.
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From Network to Web dimension in supply chain management

Hakimi, Driss 20 April 2018 (has links)
Cette thèse soutient que la dimension réseau, étant actuellement la portée du domaine de la gestion de chaîne logistique, contraint l’avancement de ce domaine et restreint des innovations conceptuelles et fondamentales capables d’adresser les grands défis économiques, environnementaux et sociaux. Les concepts de chaîne et de réseau ne reflètent pas la complexité des flux physiques, informationnels et financiers générés par les interactions qui ont lieu dans des réseaux interconnectés. Ces concepts n’offrent pas les fondations théoriques pour supporter des interventions allant au-delà d’un seul réseau et laissent échapper des opportunités nécessitant une vision multi-réseau. Ainsi, la dimension “web”, celle des réseaux de réseaux, est proposée comme une extension de la dimension réseau. Cette extension peut être vue comme l’étape naturelle suivante dans la progression qui a commencé par le niveau de gestion des opérations internes, est passée au niveau de la chaîne logistique et se trouve actuellement au niveau du réseau logistique. Après l’investigation théorique des raisons et de la façon d’intégrer la dimension web dans le domaine de la gestion de la chaîne logistique, la thèse étudie des implications importantes de cette intégration sur la collaboration inter-organisationnelle et le processus de prise de décision dans des environnements de webs logistiques. Elle démontre, en exploitant l’exemple des réseaux interconnectés ouverts, des potentialités inimaginables sans une vision web. Une méthodologie de conception d’un modèle de simulation permettant l’évaluation et la comparaison des webs ouverts par rapport aux webs existants est proposée. Puisque l’aide à la décision est une composante importante de la gestion de la chaîne logistique, la thèse contribue à déterminer les besoins des gestionnaires et à identifier les lignes directrices de la conception des outils d’aide à la décision offrant le support adéquat pour faire face aux défis et à la complexité des webs logistiques. Ces lignes directrices ont été compilées dans un cadre de conception des logiciels d’aide à la décision supportant la dimension web. Ce cadre est exploité pour développer quatre applications logicielles offrant aux praticiens et aux chercheurs des outils nécessaires pour étudier, analyser et démêler la complexité des webs logistiques. / This thesis argues that the network dimension as the current scope of supply chain management is confining the evolution of this field and restricting the conceptual and fundamental innovations required for addressing the major challenges imposed by the evolution of markets and the increased intricacies of business relationships. The concepts of chain and network are limitative when attempting to represent the complexity of physical, informational and financial flows resulting from the interactions occurring in overlapping networks. They lack the theoretical foundations necessary to explain and encompass initiatives that go beyond a single chain or network. They also lead to overlook substantial opportunities that require beyond a network vision. Therefore, the “web” dimension, as networks of networks, is proposed as an extension to the network dimension in supply chain management. This new scope is the natural next step in the progression from the internal operations management level to the supply chain level and then to the supply network level. After a theoretical investigation of why and how the web dimension should be integrated into the supply chain management field, the thesis studies and discusses important implications of this integration on inter-organisational collaboration and of the decision-making processes in the logistic web environments. It demonstrates through the example of open interconnected logistic webs some of the potentials that cannot be imagined without a web vision. A methodology for designing a simulation model to assess the impact of such open webs versus existing webs is proposed. Since decision support is a key element in supply chain management, the thesis contributes to determine the needs of supply chain managers and identify the important axes for designing decision support systems that provide adequate assistance in dealing with the challenges and complexity presented by logistic web environments. The identified elements result in the establishment of a foundation for designing software solutions required to handle the challenges revealed by the web dimension. This conceptual framework is applied to the prototyping of four applications that have the potential of providing practitioners and researchers with the appropriate understanding and necessary tools to deal with the complexity of logistics webs.
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Collaboration et partage de coûts dans un réseau d'entreprises

Moussiliou Coles, Moudjib 13 April 2018 (has links)
Dans la chaîne logistique forestière, les coûts de transport étant parmi les plus élevés, la planification du transport est particulièrement importante. Il existe souvent plusieurs entreprises de pâtes et papiers opérant dans la même région, et possédant chacune leurs propres réseaux de scieries et de papetières. Habituellement, chaque entreprise planifie individuellement le transport de copeaux de ses scieries vers ses papetières. Or, la planification collaborative du transport de copeaux entre un groupe d'entreprises est susceptible d'engendrer des réductions substantielles des coûts communs. On considère ainsi dans ce travaille cas où un groupe d'entreprises forment une coalition en planifiant de façon collaborative le transport de leurs copeaux. Tout d'abord, dans le cas d'une entreprise opérant de façon individuelle, un modèle mathématique de programmation linéaire est développé pour le problème d'approvisiont:lement en copeaux, vu comme un problème de transport de plusieurs produits (ou essences de copeaux) sur plusieurs périodes (vingt-six (26) périodes). Ce modèle est ensuite étendu au cas où deux ou plusieurs entreprises fusionnent leurs données dans le cadre d'une planification collaborative. Ces différents modèles mathématiques permettent d'évaluer les réductions de coûts générées grâce à la collaboration. Comme dans tout processus de collaboration, les problèmes de partage de coûts communs se posent avec acuité. En effet, pour une collaboration efficace et durable, il est crucial d'arriver à une allocation des coûts qui soit bénéfique pour tous les partenaires, et ce de la façon la plus équitable possible. En considérant un jeu de transport, nous comparons plusieurs méthodes de partage de coûts issues de la théorie des jeux collaboratifs. Ces modèles économiques incluent le nucléole, la méthode de Shapley, la méthode basée sur le volume, la méthode des coûts séparables et non séparables, ainsi que la méthode du profit égal. Une étude de cas impliquant trois (03) entreprises forestières est enfin présentée, où les différents modèles et méthodes développés sont analysés.

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