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Fundamental determinants of entrepreneurial behaviourScheiner, Christian Willi. January 1900 (has links)
Zugl.: Erlangen, Nürnberg, Univ., Diss., 2008. / In SpringerLink. Titre de l'écran-titre (visionné le 8 février 2010). Bibliogr. Publié aussi en version papier.
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La perception des étudiants et étudiantes au baccalauréat de leurs qualités entrepreneurialesCarrier, France. January 1997 (has links)
Thèses (M.A.)--Université de Sherbrooke (Canada), 1997. / Titre de l'écran-titre (visionné le 20 juin 2006). Publié aussi en version papier.
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L'intrapreneuriat coopératifAllard, Marie-Michèle. January 1997 (has links)
Thèses (M.A.)--Université de Sherbrooke (Canada), 1997. / Titre de l'écran-titre (visionné le 20 juin 2006). Publié aussi en version papier.
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Talent, formation et expérience : le rôle nuancé du capital humain de l’entrepreneur dans son activité / Talent, training, and experience : a subtle effect of human capital of the entrepreneur on his businessCauchie, Grégoire 06 February 2014 (has links)
L’entrepreneuriat suscite un fort intérêt, aussi bien scientifique que politique, qui se traduit par des investissements publics substantiels visant à soutenir les entrepreneurs et favoriser le développement et la pérennité de leur activité. L’intérêt même de la promotion de l’entrepreneuriat questionne et appelle une évaluation rigoureuse. Suivant une approche quantitative, la présente thèse de doctorat porte spécifiquement sur le rôle joué par le stock de capital humain de l’entrepreneur, mesuré par son niveau d’éducation, son niveau de formation et son expérience entrepreneuriale, dans son activité. Les résultats empiriques indiquent qu’il n’est pas pertinent de considérer le stock de capital humain de l’entrepreneur de manière globale ; il convient de distinguer explicitement la composante qui a trait à l’éducation de celle qui relève des expériences professionnelles. De surcroît, aucune de ces composantes n’a d’effet univoque sur les trois dimensions de la performance entrepreneuriale considérée : durée de l’activité, création d’emplois et résultats financiers. / Entrepreneurship generates a strong interest, both at scientific and as at political level. This translates into substantial public investments to support entrepreneurs and promote the development and sustainability of their business. The same interest in promoting entrepreneurship calls for rigorous evaluation. In a quantitative approach, this thesis focuses specifically on the role played by the stock of human capital of the entrepreneur, measured in terms of level of education, level of training and entrepreneurial experience on its performance. The empirical results indicate that it might not appropriate to consider the stock of human capital of the entrepreneur in a comprehensive manner. It should explicitly distinguish the component that relates to education and the one relating to professional experience. Furthermore, none of these components has a unique effect on the three dimensions of entrepreneurial performance considered: duration of the activity, job creation and financial results.
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La formation universitaire en entrepreneurship : une expérience brésilienne à Novo Hamburgo (RS)Dorion, Éric, January 2003 (has links)
Thèses (D.B.A.)--Université de Sherbrooke (Canada), 2003. / Titre de l'écran-titre (visionné le 20 juin 2006). Publié aussi en version papier.
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Impact du micro financement sur le développement économique local : le cas du CLD de la MRC du Haut-Saint-FrançoisMarnissi, Imed Eddine. January 2001 (has links)
Thèses (M.Sc.)--Université de Sherbrooke (Canada), 2001. / Titre de l'écran-titre (visionné le 20 juin 2006). Publié aussi en version papier.
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Les projets dans le secteur social et médico-social : pour une approche dialogique / Projects in the social and medico-social sector : for a dialogical approachSantilli, Dino 25 October 2010 (has links)
L'étude de la relation entre le projet d'Établissement et le projet managérial se définit à partir de courants de pensée en mesure d'éclairer notre recherche, alliant constructivisme et théorie de Giddens. À la lumière de voies intermédiaires existantes, l'analyse du secteur social et médico-social est généralement menée sous l'approche de contraintes environnementales et principalement dans le choix d'orientations stratégiques à travers l'innovation, la complexité et la gestion de l'incertitude. Notre travail de recherche vise à mesurer le degré de potentialité qui s'exerce entre les projets. Celui-ci repose sur deux visions ; la première vision se donne pour objectif d'identifier les éléments de la structuration humaine et les éléments de la construction de la relation ; la seconde vision tend à déterminer le degré d'influence de la théorie de Giddens sur la proposition d'un modèle d'organisation et de pilotage. Dans un souci de rationaliser notre recherche, elle se concentrera autour de cette théorie. La question est de savoir si les entreprises développent leur stratégie dans une vision disjonctive des projets ou bien dans la définition et la mise en action dialogique de principes managériaux fortement influencés par l'innovation. Compte tenu de l'environnement de proximité, d'une gouvernance où le manager détient la vision stratégique, du recours à des comportements entrepreneuriaux, il apparaît que les entreprises, définies en communauté, sont en mesure d'établir une relation en marge des contraintes imposées par le contexte et lutter contre le statu quo. Afin de mesurer le degré de potentialité de la relation, nous avons fait le choix de conduire notre recherche auprès de cinq cas cliniques. Le sens de cette contribution est de mettre en avant un style de management ainsi qu'une nouvelle perspective de structuration de l'organisation. À la lumière de nos entretiens et à l'exploitation quantitative et qualitative, il en ressort que les projections de mise en relation des projets constituent un élément applicable voire incontournable de survie des organisations. Si la liberté d'y recourir demeure entière, il n'en reste pas moins que les entreprises qui y renoncent, s'exposent à des choix stratégiques douloureux en regard de l'intensité de l'environnement. / The study of the relationship between the enterprise project and the managerial project is defined according to several theories that are likely to enlighten our research, intermingling constructivism and Giddens's theory. In the light of the already existing intermediary media, the analysis on both social and medico-social fields is usually led, taking into account environmental constraints, ant particularly in the choice of strategic orientations, via innovation, complexity and how to handle uncertainty. Our research aims at measuring the level of potentiality that exists between the projects. This level is grounded in two visions? the first one?s goal is to identify the elements of humane structuralization along with the elements of relationship building; the second vision tries to determine the level of influence of Giddens?s theory on an attempt to suggest a model of organization and piloting. Being concerned about rationalizing our research, it will focus on this theory. The question is to know whether enterprises develop their strategy in a disjunctive vision of the projects, or in the definition and a dialogic implementation of managerial principles deeply influenced by innovation. Given the environment of proximity in a governing where the manager holds the strategic vision, of the use of managerial behaviors, it appears that enterprises, defined as communities, are capable of establishing a relationship that can do without the constraints imposed by the context and also fight status quo. So as to measure the level of potentiality of the relationship, our choice was to lead our research on five clinical cases. The meaning of this contribution is to highlight a managerial style and also a new perspective for structuring the organization. Our interviews and a quantitative and qualitative analyses made us notice that projections of linking the projects represent an applicable and even inescapable element for the survival of organizations. If they are at liberty to use them, it remains nevertheless that the enterprises that give it up, take the risk of exposing themselves to painful strategic choices due to the intensity of the environment.
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Une autobiographie au cœur de l’entrepreneuriat rap : imaginaire, monde et style / An autobiography at the heart of rap entrepreneurship : imaginary, world and styleZidani, Médine 02 December 2019 (has links)
L'entrepreneuriat rap définit-il une forme spécifique d'entrepreneuriat ? Non pas qu'il ne soit pas saisie d'opportunité, actualisation de traits, moyen d'avoir un emploi ou d'entreprendre soi. Mais il y a dans l'entrepreneuriat rap un imaginaire, des codes et pratiques, un sens à la pratique entrepreneuriale qui constitue une forme propre. Un récit autobiographique et de l'observation participante permettent de décrire de l'intérieur l'expérience d'être entrepreneur dans le rap, d'en comprendre le milieu, les épreuves, les manières, les valeurs. Nous suivons plusieurs tentatives entrepreneuriales et notamment la sortie d'un projet artistique.Entreprendre demande un long apprentissage du milieu, des manières d'être et le maintien notamment d'une street credibility. Pour que ces codes et manières prennent sens, nous nous tournons vers Castoriadis (1975), car il y a une imaginaire instituant particulièrement prégnant et partagé, celui de la naissance de la culture hip hop. Nous voyons ainsi l'importance de l'imaginaire dans l'entrepreneuriat, ce qui nous invite à réfléchir sur quel imaginaire instituant s'érige la société entrepreneuriale qui nous est prédite. Pourtant il serait réducteur de tout interpréter à l'aune d'un passé. Ce que le récit du terrain donne à penser est que l'entrepreneuriat rap apporte un style, une forme d'existence à laquelle les acteurs tiennent et s'y tiennent. Pensé comme un style, au sens fort que lui attribue Macé (2016), il définit un mode d'existence propre et qui est à comprendre et à prendre soin pour lui-même. Il est une distinction, définissant une manière d'être, digne et aimable. Il est aussi un chemin de formation, d'individuation. Il est une forme de vie, autrement dit un agencement de traits, la sédimentation d'une idée, d'une éthique, et imprègne de ce fait les relations à soi et au monde, une idée de la vie bonne (Ferrarese et Laugier, 2018).Ce que montre l'entrepreneuriat rap est que l'entrepreneuriat est une manière de vivre, un mode d'existence, un style auquel on tient parce qu'il permet de vivre dans une culture, selon une façon et des valeurs que l'on désire. L'entrepreneuriat fait partie de la culture hip hop et prend son sens à l'intérieur de cet univers. Aujourd'hui, la technologie numérique casse les codes et les manières. De nouvelles pratiques entrepreneuriales s'instituent à partir de l'imaginaire hip hop. Elles semblent de moins en moins spécifiques au secteur hip hop. Je me bats pour défendre mon style. D'autres préféreront regarder de nouvelles manières s'instaurer, mais seront-elles encore hip hop ? Donneront-elles encore l'envie d'y consacrer le tout de sa vie ? / Does rap entrepreneurship define a specific form of entrepreneurship? Not that it is not the seizure of opportunities, the actualisation of traits, the means to have an employment or to be entrepreneur of oneself. But there is in rap entrepreneurship an imaginary, codes and practices, a sense of entrepreneurial practice that constitutes a form of its own. An autobiographical account and participant observation allow us to describe from the inside the experience of being an entrepreneur in rap, to understand its environment, challenges, manners and values. We follow several entrepreneurial attempts and in particular the release of an artistic project.Entrepreneurship requires a long learning of the environment, ways of being and the maintenance of street credibility. For these codes and ways to make sense, we turn to Castoriadis (1975), because there is an imaginary that creates a particularly strong and shared identity, that of the birth of hiphop culture. We thus see the importance of the imaginary in entrepreneurship, which invites to reflect on which imaginary establishing the predicted entrepreneurial society. However, it would be simplistic to interpret everything in the light of a past. What the field narrative suggests is that rap entrepreneurship brings a style, a form of existence that actors value and stick to. Thought of as a style, in the strong sense attributed to it by Macé (2016), it defines a way of life of its own that is to be understood and cared for in itself. It is a distinction, defining a way of being, dignified and loveable. It is also a path of formation, of individuation. It is a form of life, in other words a combination of features, the sedimentation of an idea, an ethic, and thus permeates relationships to oneself and to the world, an idea of the good life (Ferrarese and Laugier, 2018).What rap entrepreneurship shows is that entrepreneurship is a way of life, a mode of existence, a style that we value because it allows us to live in a culture, according to a way and values that we desire. Entrepreneurship is part of the hiphop culture and makes sense within this universe. Today, digital technology is breaking codes and manners. New entrepreneurial practices are emerging from the hiphop imagination. They seem less and less specific to the hiphop sector. I fight to defend my style. Others may prefer to look at new ways to establish themselves, but will they still be hiphop? Will they still make you want to devote all of your life to it?
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Les entrepreneurs par nécessité : d’une dichotomie simplificatrice à un continuum complexe : définitions et typologie des entrepreneurs par nécessité : étude de la dimension effectuale des processus de création par nécessité / Necessity entrepreneurs : from an oversimplifying dichotomy to a complex continuumTessier Dargent, Christel 13 July 2015 (has links)
Les entrepreneurs par nécessité créent une entreprise car ils ne perçoivent pas d'alternative valable d'emploi. Ils font l'objet de nombreux travaux de recherche depuis le début des années 2000, qui orientent des politiques publiques spécifiques à l'égard de cette catégorie d'entrepreneurs, en particulier en période de crise économique. Ils sont opposés, dans une dichotomie communément acceptée par la communauté de recherche, aux entrepreneurs par opportunité, poursuivant eux de lucratives opportunités d'affaires. La première partie de ce travail doctoral retrace l'émergence du concept d'entrepreneuriat de nécessité, puis une seconde partie synthétise, après une étude exhaustive de la bibliographie, les apports de la littérature dans ce champ. Une attention particulière est portée à la multiplicité des définitions. Nous démontrons dans une troisième partie que le terme d'entrepreneuriat de nécessité, largement répandu, n'est pas un concept d'identification solide, car ses significations se diluent dans l'espace et se morcellent selon les contextes individuels et socio-économiques. Le quatrième volet de cet exposé propose une typologie, issue de la littérature, en huit catégories d'entrepreneurs par nécessité, pour illustrer la variété des profils. Une étude quantitative exploratoire sur un échantillon de mille entrepreneurs permet d'apporter une première validation à cette typologie et de mesurer le poids des différentes catégories. Ce travail permet également de construire une grille d'analyse du degré de criticité de la nécessité entrepreneuriale, en développant une liste de l'ensemble des facteurs contraignants, internes ou exogènes, modifiables ou non, poussant l'individu à devenir créateur d'entreprise. Dans un objectif d'accompagnement des entrepreneurs par nécessité, afin d'en accroître la résilience, voire la réussite, la dernière partie de la recherche étudie, par la méthode biographique, les processus entrepreneuriaux, dans le cadre de la théorie de l'effectuation. Ce volet met en lumière les obstacles propres à la création d'entreprise par nécessité, en particulier la difficulté à mobiliser des ressources et un réseau de parties prenantes. Il souligne aussi le recours spontané et par défaut des entrepreneurs par nécessité aux principes de l'effectuation. Il s'interroge enfin sur les limites de la théorie de l'effectuation : ces principes sont démontrés par des entrepreneurs experts, mais leur application par des entrepreneurs par nécessité n'implique pas le succès de l'entreprise. Nos travaux concluent cependant à l'intérêt d'enseigner ces principes, pour renforcer la confiance en soi des entrepreneurs par nécessité. / Necessity entrepreneurs create ventures since they perceive they can find no other suitable work. The number of research articles on the subject has skyrocketed in the 2000s. Some of these papers influence the public policies worldwide, aiming at reducing unemployment by stimulating entrepreneurship, especially at a time of economic crisis. Necessity entrepreneurs are opposed to opportunity entrepreneurs, who pursue profitable market opportunities, in a commonly accepted dichotomy. First part of our doctoral dissertation presents how the « necessity entrepreneurship » concept developed. A second chapter summarizes the current global state of knowledge on necessity entrepreneurship, based on a thorough literature review. Particular focus is placed on the wide range of definitions. In a third part, we demonstrate that the « necessity entrepreneurship » category is not a reliable one. Although widely found in research papers, it is not a solid concept to identify entrepreneurs : its meanings vary according to regions, individuals, social and economic contexts. Fourth chapter of this work proposes a typology of necessity entrepreneurs to illustrate in eight categories the various profiles encountered in the literature. A quantitative exploratory study based on a sample of 1000 French entrepreneurs offers a first validation tool for the typology and gives percentages of entrepreneurs per profile. An operational list of all necessity factors, internal or external, unchangeable or modifiable, has then been developed to measure a degree of criticality and assign a score to necessity entrepreneurs. In order to improve the mentoring of necessity entrepreneurs, to develop their resilience and venture's success, last part of this paper is devoted to an in-depth analysis of necessity entrepreneurial processes. Therefore we used the biographical method in the framework of the effectuation theory. Specific issues and barriers related to necessity entrepreneurial venture set up have been identified, especially concerning resources gathering, funding and stakeholders' involvement. It appears necessity entrepreneurs resort to effectuation spontaneously and by default. However, although effectual principals have been developed based on expert entrepreneurs, it seems that applied by necessity entrepreneurs, they are no guaranty of success at all. As a conclusion, we demonstrate that teaching effectuation should however structure necessity entrepreneurial processes in a straightforward manner, in order to increase self-confidence and self-esteem of necessity entrepreneurs.
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L'évolution des stratégies de croissance des jeunes entreprisesWitmeur, Olivier 17 December 2008 (has links)
RESUME
L’évolution des stratégies de croissance des jeunes entreprises
La recherche sur la croissance des jeunes entreprises s’est fortement développée au cours des trente dernières années. La situation est particulièrement marquée en Europe où le nombre de jeunes entreprises en forte croissance est réduit alors qu’il est admis que ce type d’entreprises contribue à la création d’un nombre important d’emplois. La communauté scientifique reconnaît que la recherche actuellement disponible manque d’intégration, d’ancrage théorique et d’approches longitudinales. De ce fait, elle n’est pas en mesure d’expliquer comment et pourquoi les jeunes entreprises adoptent différentes stratégies de croissance et suivent des trajectoires hétérogènes. L’objectif de cette thèse est de produire un cadre analytique, aussi intégré et dynamique que possible, permettant de mieux comprendre le pourquoi et le comment de la croissance des jeunes entreprises. Pour faire face à ce défi, elle s’inscrit dans la foulée des travaux séminaux de Gartner et Marchesnay respectivement sur le cadre d’analyse de la création d’entreprise et le système de gestion des petites et moyennes entreprises. Elle adopte le paradigme épistémologique du réalisme critique et recourt essentiellement à la méthode des cas. L’approche générale se veut donc longitudinale, qualitative et exploratoire.
La recherche est développée en trois temps qui correspondent à autant de chapitres présentés sous forme d’articles scientifiques. Le chapitre 1 remonte aux sources de sept grandes approches de recherche qui ont été adoptées pour expliquer la croissance des jeunes entreprises. Il montre que, prise isolément, aucune d’entre elles ne peut expliquer la croissance mais il souligne également à quel point elles se répondent et se complètent. Le chapitre 2 propose une modélisation systémique qui capitalise sur l’approche configurationnelle telle que développée par Miller et Mintzberg et celle par les processus telle que développée par Van de Ven. Ces deux approches permettent en effet d’intégrer de nombreux acquis des recherches existantes. La modélisation développée suggère que les jeunes entreprises adoptent des configurations associées à différentes stratégies qui mettent en cohérence les éléments caractéristiques de la démarche entrepreneuriale (c’est-à-dire l’entrepreneur, les activités, les ressources, la structure organisationnelle et l’environnement) alors que ceux-ci évoluent sous l’influence de multiples processus. Le chapitre 3, rédigé en anglais, s’intéresse plus particulièrement au cas des jeunes entreprises de services informatiques. Il approfondit la modélisation proposée au chapitre 2 dans un contexte où les entreprises sont, entre autres, confrontées au choix de se développer en tant que sociétés de services et/ou ont l’opportunité de se redéployer vers le développement de logiciels. Sur le plan méthodologique, l’approche choisie consiste à développer une typologie de configurations stratégiques déduite des littératures académique et pratique puis à comparer les idéaux-types qui la compose aux configurations réellement adoptées par des entreprises.
La modélisation et la typologie sont testées et conceptuellement confirmées par plusieurs études de cas d’entreprises belges. L’ensemble confirme bien que le développement des jeunes entreprises passe bien par l’adoption de configurations successives, associables à différentes stratégies de croissance, sans que celles-ci et leurs séquences soient prédéterminées du fait de l’influence concomitante de plusieurs processus.
Bien qu’essentiellement conceptuelle, la thèse confirme le bien-fondé de l’adoption conjointe des approches par les configurations et par les processus pour la compréhension du phénomène complexe qu’est la croissance. Elle ouvre également une porte à de futurs travaux de validation quantitative. Au niveau de la pratique, elle permet d’envisager le développement d’outils d’aide à la décision pour les entrepreneurs afin de les sensibiliser aux conditions et implications de différentes stratégies de croissance.
ABSTRACT
The evolution of the growth strategies of young firms
Research on the growth of young firms has developed significantly over the last thirty years. The situation is particularly noteworthy in Europe, where there is only a limited number of young firms experiencing strong growth, even though it is widely recognised that this type of firm contributes to the creation of a substantial amount of jobs. The scientific community recognises that the currently available research is lacking in terms of integration, theoretical anchoring and longitudinal approaches. Consequently, it is not able to explain how and why young firms adopt different growth strategies and follow heterogeneous trajectories. The aim of this thesis is to create an analytical framework, which is as integrated and dynamic as possible, so as to make it possible to understand the why and the wherefore behind the growth of young firms. In order to respond to this challenge, the thesis follows in the footsteps of the seminal works of Gartner and Marchesnay respectively, on the conceptual framework for describing new venture creation and the management system of small and medium enterprises. It adopts the epistemological paradigm of ‘critical realism’ and makes use, essentially, of the case study method. The general approach is therefore intended to be longitudinal, qualitative and exploratory.
The research is developed in three stages, which correspond to the same number of chapters set out in the form of scientific papers. Chapter 1 goes back to the sources of the seven major research approaches that have been adopted in order to explain the growth of young firms. It demonstrates that, when considered in isolation, none of them can fully explain the growth of young firms, but it also highlights the extent to which they respond to, and complete, one another. Chapter 2 proposes a systemic model that capitalises on the configurational approach as developed by Miller and Mintzberg, as well as the process approach as developed by Van de Ven. Indeed, these two approaches make it possible to integrate a large number of elements that have already been established through existing research. The model suggests that young firms adopt configurations associated with different strategies that tie the key elements of the entrepreneurial phenomenon (namely the entrepreneur, the activities, the resources, the organisational structure and the environment), while these elements change under the influence of numerous processes. The third chapter, which has been written in English, places particular focus on young IT services firms. It takes a more in-depth look at the model proposed in chapter 2 in a context in which firms are, amongst other things, faced with the choice of developing as service firms and/or have the opportunity to turn their efforts and attention towards software development. From a methodological point of view, the chosen approach consists in the development of a typology of strategic configurations deduced from academic and practical literature and then to compare the ideal types with the configurations that have been actually adopted by the firms.
The model and typology are tested and conceptually confirmed by several case studies of Belgian companies. The overall findings serve to confirm the fact that the development of young firms is achieved through the adoption of successive configurations that are associated with different growth strategies, without these and their sequences being predetermined because of the influence of multiple simultaneous processes.
Although it is essentially conceptual in nature, the thesis confirms the relevance of the joint adoption of the configurational- and process-approaches in order to understand the complexity of the growth phenomenon. It also opens up the door to quantitative validation research work. In terms of its practical application, the thesis enables us to start the development of a toolbox that may help entrepreneurs in the decision-making process so as to raise their awareness regarding the conditions and implications of different growth strategies.
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