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Acquisition du système accentuel russe et de la réduction vocalique par des apprenants francophones

Goire Fernandez, Francisco 02 1900 (has links) (PDF)
Les systèmes accentuels français et russe sont très différents. En français, l'accent tonique se place normalement sur la dernière syllabe du groupe rythmique et il n'y a pas de réduction vocalique sur les syllabes non accentuées. En russe, l'accent tonique peut en principe être placé sur n'importe quelle syllabe du mot et, en plus, certaines voyelles subissent une réduction vocalique dans les positions pré-accentuées et non accentuées. La présente recherche porte sur le processus d'acquisition du système accentuel et de la réduction vocalique du russe chez des apprenants francophones adultes. Nos sujets de recherche sont sept apprenants du russe à l'Université du Québec à Montréal. Nous avons étudié l'identification du contour accentuel des mots (la localisation des syllabes accentuées, pré-accentuées et non accentuées) par les sept apprenants, ainsi que leurs productions orales au début (après 45 heures de cours) et à la fin du niveau débutant 2 (après 90 heures de cours). Les productions orales avaient comme but de tester comment les apprenants francophones prononçaient les dix phonèmes vocaliques du russe dans les positions : accentuée, pré-accentuée et non accentuée, ayant comme donnée l'accent primaire du mot. L'évaluation des productions orales des apprenants a été faite de deux façons : à l'aide du logiciel PRAAT (évaluation expérimentale) et par trois juges locuteurs natifs du russe (évaluation perceptive). Préalablement, afin d'obtenir les paramètres expérimentaux cibles, nous avons mesuré les paramètres les plus saillants de l'accentuation (la durée des voyelles) et de la réduction vocalique (la réduction de l'espace vocalique général dans les coordonnées F1/F2) chez deux locuteurs natifs du russe. On observe une certaine dichotomie entre les résultats de l'évaluation perceptive et ceux de l'évaluation expérimentale, probablement due au fait que l'évaluation expérimentale ne prend en considération, pour l'accentuation, que les contrastes de durée des voyelles et, pour la réduction vocalique, que la réduction de l'espace vocalique général. Cependant, l'évaluation perceptive prend en compte tous les paramètres phonétiques, pour l'accentuation : la durée, l'intensité et la fréquence fondamentale et, pour la réduction vocalique: la réduction de l'espace vocalique général et la qualité même de la voyelle. Trois apprenants sur sept ont atteint la cible idéale pour l'accentuation, mais aucun ne l'a fait pour la réduction vocalique. Ceci démontre que l'acquisition du système accentuel russe par des apprenants francophones est une tâche difficile, mais pas impossible, même au niveau débutant. Par contre, l'acquisition de la réduction vocalique représente un plus grand défi. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : russe, français, système accentuel, réduction vocalique, acquisition des langues secondes.
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Testing equivalence classification : the acquisition of French L2 phones by St. Lucian Creole French and St. Lucian Creole English speakers

Cadette-Blasse, Antheia 11 April 2018 (has links)
Cette étude a évalué la classification par équivalence (CE) de Flege (1987b, 1991), auprès de 49 participants: deux groupes de locuteurs natifs du créole saint-lucien à base lexicale française (CSLF) et deux groupes du créole saint-lucien à base lexicale anglaise (CSLA) qui étaient des apprenants de français langue étrangère. Cette étude a aussi inclus un groupe contrôle de 11 locuteurs natifs du français (NF). La CE postule qu'un apprenant d'une langue seconde ou étrangère (L2) a plus de difficultés à produire les phones de la L2 qui sont similaires (i.e. ceux ayant un phone équivalent en Ll) que ceux qui sont nouveaux (i.e. ceux n'ayant pas d'équivalent dans la Ll). A travers une tâche de lecture, nous avons comparé la prononciation des phones français [u], [y] et [â] de ces deux groupes. Selon la CE, les locuteurs du CSLF et du CSLA devraient avoir plus de difficultés à produire le [u] français (phone similaire) que le [y] (nouveau phone). Par ailleurs, le groupe CSLA devrait avoir plus de facilité à produire le nouveau phone [à] que le groupe CSLF. Aucune de ces hypothèses n'a toutefois été confirmée. La prononciation des participants a été évaluée par trois locuteurs natifs du français de la Martinique, qui ont accordé plus de scores natifs au groupe CSLF qu'au groupe CLSA pour leur production des trois phones. La différence entre ces deux groupes a été significative pour [u] et [y] mais pas pour [â]. Nous avons aussi mené des analyses acoustiques de productions de certains mots, en vue de comparer la prononciation des groupes expérimentaux à celle du groupe contrôle et de vérifier les évaluations des juges. Pour ces analyses, les participants des groupes CLSF et CLSA ont été sélectionnés de façon aléatoire. Les résultats des analyses acoustiques ont révélé que pour le phone [u], la fréquence moyenne du F2 du groupe CLSA se rapprochait davantage de celle du groupe contrôle que celle du groupe CLSF. Quant aux phones [â] et [y], la fréquence moyenne du F2 du groupe CLSF se rapprochait plus de celle du groupe NF que celle du groupe CLSA. La différence entre les groupes expérimentaux et le group NF n'était significative que pour le phone [y]. / This study tested Flege's (1987b, 1991) equivalence classification (EC) with 49 participants; two groups of St. Lucian Créole French (SLCF) speakers, and two of St. Lucian Créole English (SLCE) speakers, ail of whom were learning French as a foreign language. It also included a native control group of 11 Martiniquan French speakers (NF). According to the EC, in learning a second or foreign language (L2), "new" sounds are more easily mastered than those that are deemed to be "similar". We compared the two language groups on their pronunciation mastery of the French sounds [u], [y] and [à], via a reading task. On the basis of the EC, we hypothesized that both SLCF and SLCE speakers would have more difficulty in producing the sound [u] as compared to [y]; both groups would produce the French phone [y] with more ease. With regard to the phone [à], a similar phone to SLCF speakers, but a new one to SLCE speakers, SLCE speakers would have more difficulty than SLCF speakers. In no cases are the predictions of the EC borne out. In a blind scoring task, 3 native (Martiniquan) French speaker judges awarded nativelike scores to more SLCF speakers than SLCE speakers on ail three sounds. The differences between the 2 groups were significant for [u] and [y], but not [à]. We also carried out acoustic measurements of the productions of randomly selected participants, in order to compare the formant frequencies of the two experimental groups to those of the NF group, and to verify the native speaker judges' evaluations. For the sound [u], both groups produced formant frequencies that fell within native speaker range, with the F2 mean frequency of the SLCE group being closer to that of the NF group, than did that of the SLCF group. In the case of [à], the F2 values of both experimental groups fell within the NF range, with the mean F2 frequency of SLCF more closely approximating that of the NF group than did the SLCE group. For the phone [y], the mean F2 value of the SLCF group approximated NF values, more closely than did that of the SLCE group. Only in the case of [y] was the difference in mean F2 values between the experimental groups and the NF group significant.
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L'apprentissage de la langue seconde dès la prématernelle et la maîtrise de la prononciation à l'âge de neuf ans

Affes, Amina 24 April 2018 (has links)
L’objectif de notre étude était d’examiner le lien entre l’âge du début de l’apprentissage de l’anglais langue seconde (L2) (quatre ans vs six ans) et la maîtrise de la prononciation de cette langue à neuf ans, au primaire, dans une école d’immersion. Afin d’atteindre cet objectif, nous avons mené une étude corrélationnelle auprès de deux groupes d’élèves francophones inscrits au début du deuxième cycle du primaire (4e année), ainsi qu’auprès d’un groupe témoin d’élèves anglophones (âge moyen de neuf ans). Le premier groupe était composé de 16 élèves francophones ayant commencé l’apprentissage de l’anglais L2 à 4 ans, alors que les enfants étaient à la prématernelle. Le deuxième groupe était composé de 12 élèves francophones ayant commencé l’apprentissage de l’anglais L2 à six ans, alors que les enfants étaient en 1re année du primaire. Les tests utilisés visaient à évaluer la prononciation de l’anglais L2 de chaque élève au niveau segmental, l’accent étranger et l’intelligibilité. Les résultats de notre étude montrent qu’à neuf ans, le groupe ayant commencé l’apprentissage de l’anglais à quatre ans a obtenu de meilleurs résultats au niveau de la prononciation de certains sons et au niveau de l’absence d’un accent étranger, alors que pour l’intelligibilité les deux groupes expérimentaux avaient un seuil de performance semblable à celui du groupe témoin des anglophones. Nos résultats suggèrent qu’il y a un lien entre l’âge du début de l’apprentissage et le niveau de maîtrise de la prononciation concernant certains segments et le degré de l’accent étranger, variables pour lesquelles les apprenants précoces ont obtenu de meilleurs résultats. / The aim of our study was to examine whether there is a link between starting age of learning English as a second language (L2) (four years vs six years old) and the mastery of the pronunciation of this language at nine years of age in an immersion school. To achieve this goal, we conducted a correlational study of two groups of francophone students enrolled in 4th grade of elementary school, as well as a control group of English-speaking pupils. The first group consisted of 16 French-speaking students who began learning English L2 at four years old, while the children were in pre-kindergarten. The second group consisted of 12 Francophone students who began learning English L2 at the age of six, while the children were in the first year of elementary school. Tests evaluated the L2 pronunciation of each student at the segmental level, foreign accent and intelligibility. The results of our study show that at the age of nine, the group who began learning English at age four obtained better results in the pronunciation of certain sounds and in the lack of a foreign accent, whereas for intelligibility, the two experimental groups performed similar to the control group. Our results suggest that there is a link between starting age and the pronunciation of certain sound segments and the degree of foreign accent, variables on which the earlier learners obtained better results.
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L'évolution de la production des voyelles du français chez des immigrants adultes hispanophones : une étude de cas

Asselin, Josiane 24 April 2018 (has links)
Cette recherche s'inscrit dans le domaine des études visant à documenter le processus d'apprentissage du système phonologique de la langue du pays d'accueil chez des apprenants hispanophones du français en situation d'immigration. Nous avons effectué une étude de cas à l'aide d'enregistrements recueillis à quatre reprises pour documenter l'appropriation de sept nouvelles voyelles françaises à l'intérieur de paires minimales courantes comme vu et vous. Nous avons observé une réorganisation importante de l'inventaire des voyelles suscitée par le passage de l'espagnol au français : création d'une nouvelle catégorie phonétique pour les voyelles antérieures arrondies et distinction des nouveaux contrastes [e/ɛ], [o/ɔ] et [a/ɑ]. Par ailleurs, nous avons noté une amélioration marquée des contrastes vocaliques chez l'un des quatre participants, et une légère amélioration chez les trois autres. / This research falls within the domain of studies that document the acquisition process of the phonological system of a second language, in our case that of native Spanish-speaking learners of French in an immigration context. The purpose of our research was to conduct a case study documenting the acquisition of seven new French vowel sounds using contrasting common words such as vu and vous recorded at four intervals. A significant reorganization of the inventory of vowels generated by the transition from Spanish to French was observed: creation of a phonetic category for front rounded vowels, and appearance of new contrasts [e/ɛ], [o/ɔ] and [a/ɑ]. An improvement in regards to contrast production was observed for our participants, marked for one of them and slight for the other three.

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