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Poétique et métapoésie chez Properce : de l'Ars amandi à l'Ars scribendi /Coutelle, Éric, January 2005 (has links)
Texte remanié de: Th. doct.--Lettres classiques--Paris 4, 2004. Titre de soutenance : Poétique et métapoésie chez Properce : de l'ars amandi à l'ars scribendi. Itinéraire d'une poétique du Livre I au Livre IV. / Bibliogr. p. 645-663.
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Exegetische und schmückende Eindichtungen im ersten Properzbuch /Georg, Bernhard. January 2001 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Bonn, 1999. / Bibliogr. p. 201-204. Index.
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Uneigentliches Sprechen und Bildermischung in den Elegien des Properz /Riesenweber, Thomas. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Dissertation--Philosophische Fakultät--Bonn--Rheinische Friedrich-Wilhelms-Universität, 2006. / Bibliogr. p. 391-416.
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Filippo Beroaldo der Ältere und sein Beitrag zur Properz-Überlieferung /Rose, Anna. January 2001 (has links)
Diss.--Berlin--Humboldt-Universität, 2001. / Bibliogr. p. 414-447. Notes bibliogr. Index.
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Les couleurs dans la poésie latine au premier siècle av. J.-C / The Use of Color in Latin Poetry of the First Century BCBrouillard, Michel 15 December 2012 (has links)
Cette étude analyse l’emploi des couleurs dans l’intégralité des oeuvres de Lucrèce, Catulle, Virgile, Horace, Tibulle, Properce et Ovide. Cette étude a été conduite à partir d’un référentiel de termes de couleur unique et considérablement élargi par rapport à l’habitude en ce domaine : aux termes courants, comme albus, niger, ruber, etc., ont été ajoutés un grand nombre d’autres termes porteurs implicites de couleur comme aurum (l’or), ebur (l’ivoire), marmor (le marbre) ou encore sanguis (le sang), dès lors que l’occurrence était pertinente. Un inventaire exhaustif et quantifié de tous les termes de couleur, de toutes leurs occurrences dans chacune des oeuvres fait l’objet d’un document annexe (292 pages), enrichi de tableaux de synthèse et de ratios : il est ainsi possible de vérifier immédiatement la présence ou l’absence d’un terme, de connaître sa fréquence d’apparition chez chaque poète, dans chacun de ses poèmes. L’étude s’est attachée à analyser et comparer les emplois de chaque terme chez chacun des poètes, à souligner les symbolismes, les alliances et les contrastes de couleurs que privilégie chaque poète, à étudier la manière dont chacun peint portraits, paysages, scènes diverses, à s’interroger sur les raisons des lacunes ou des concentrations de couleurs au sein des poèmes. Ainsi on a pu mettre en évidence selon les thèmes (épopée, élégie ou satire), la profonde cohérence entre le style, la personnalité de chaque poète et sa palette de couleurs, sa manière d’en user. / This study examines the use of color in the entirety of poetic works by Lucretius, Catullus, Virgil, Horace, Tibullus, Propertius, and Ovid. This study was conducted using a single reference tool of color-related terms, which allows a more thorough analysis of early Latin poetry than has typically been the case. To common terms such as albus, niger, and ruber, have been added numerous terms which implicitly signal the presence of color within the text, such as aurum (gold), ebur (ivory), marmor (marble), and sanguis (blood). A comprehensive inventory of color terms appears in a 292-pages appendix that contains summary tables showing where each term can be found in the works studied. It is therefore possible to immediately verify the presence or absence of a color term, and to map the frequency with which it appears in a particular poem or in the work of a particular poet. This study seeks to analyze and compare the use of color terms as used by each poet ; to highlight the symbolism as well as the color combinations and contrasts favored by each poet; to study the ways in which each poet paints portraits, landscapes, and various other scenes with words ; to raise questions about the absence or concentration of color in the heart of particular poems. By doing so, it becomes possible to demonstrate - in the case of epic, elegy, or satire - the profound coherence linking poetic style, the personality of the poet, the color palette, and the manner in which it is used.
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Interpolation métrique dans la transmission du texte de ProperceGagnon, Isabelle 11 1900 (has links)
L'état du texte de l'auteur latin Properce fait l'objet de débat depuis plusieurs siècles déjà. Son état déterioré a laissé place à de nombreuses hypothèses sur sa transmission. Le présent mémoire vise à évaluer de façon macroscopique la validité de l'hypothèse voulant que dans l'archétype des manuscrits propertiens ou dans un antécédent de ce dernier, un interpolateur ait modifié les vers corrompus pour leur redonner une forme métriquement régulière. Pour ce faire, nous recensons l'état de la critique textuelle entourant Properce ainsi que l'état de la question en ce qui a trait à l'interpolation métrique plus précisément. Nous présentons ensuite un résumé des données pertinentes, relevées dans les tableaux de l'annexe, où nous trouvons d'un côté des erreurs métriques et de l'autre des corruptions identifiées unanimement par quatre éditeurs principaux du texte de Properce. Des observations sur les résultats sont par la suite présentées et soutenues par une comparaison avec la transmission du texte d'un autre auteur latin, Catulle. / The state of the text of the Latin author Propertius has been the subject of debate for several centuries now. Its deteriorated condition has given rise to numerous hypotheses about its transmission. This dissertation macroscopically evaluates the validity of the hypothesis which supposes that, in the archetype of the extant Propertius manuscripts or in an antecedent of it, an interpolator altered the corrupt verses to make them metrically regular again. To do so, the author surveys the state of textual criticism surrounding Propertius as well as the state of the question with respect to metrical interpolation specifically. She then presents a summary of the relevant data, found in the tables in the appendix, where are collected on the one hand metrical errors and on the other hand corruptions unanimously identified by four main editors of Propertius' text. Observations on the results are subsequently presented and supported by a comparison with the transmission of the text of another Latin author, Catullus.
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La création lexicale par composition nominale en poésie de l’époque cicéronienne à l’époque flavienne / Lexical creation in poetry through compounding from the Ciceronian period to the Flavian AgeDiguet, Magalie 24 January 2014 (has links)
L'étude de la création lexicale en latin détermine la fréquence de certaines formations, leur productivité et leur emploi, selon des périodes, des genres ou des auteurs donnés. L’analyse morphologique des néologismes poétiques rend compte des capacités du latin à innover lexicalement en puisant dans ses fonds propres. Notre présente étude s’intéresse au phénomène de la composition nominale, dont la variété des combinaisons possibles, les commodités lexicales et métriques demeurent un élément déterminant dans le renouvellement du vocabulaire poétique latin, répondant aux soucis de varietas et d’originalité des poetae fabricatores. Afin de comprendre les influences lexicales des veteres poetae sur les poètes postérieurs, cette étude part de la poésie cicéronienne (Catulle, Lucrèce et Cicéron) pour s’étendre à la période augustéenne (Virgile, Horace, Properce, Tibulle et Ovide), la plus fertile en composés nouveaux, puis à la julio-claudienne (Sénèque, Perse et Lucain) et enfin à la flavienne (Silius Italicus, Valérius Flaccus, Stace, Martial et Juvénal) en s’autorisant une comparaison avec le latin tardif. La très faible fréquence d’attestation des lexèmes poétiques, dont une grande partie constitue des hapax legomena, permet de considérer ces termes comme des créations poétiques. Ces composés nouveaux contribuent à une poïetique du sens en intensifiant le discours et en créant une enargeia propre à mettre en évidence une pensée unique. Il convient dès lors de souligner l’intérêt stylistique et sémantique que ces néologismes revêtent par la simplicité de leur formation, de leur statut de mots « possibles » et enfin de leur adaptation aux différents mètres latins, et en particulier l’hexamètre dactylique. / The study of lexical creation in Latin determines the frequency of certain formations, their productivity and their use according to given periods, types or authors. The morphological analysis of poetic neologisms shows the lexical innovative quality of Latin and its ability to feed on itself. Our study focuses on the phenomenon of compounding whose variety of possible combinations and adaptability to lexis and metrics remain crucial factors in the renewal of the Latin poetic vocabulary, thus answering the poetae fabricatores’s concerns about varietas and originality. In order to understand the lexical influences of the veteres poetae on the following poets, this study on lexical creation by nominal compounding starts from the Ciceronian period (Catullus, Lucretius and Cicero) to the Augustan Age (Virgil, Horace, Propertius, Tibullus and Ovid) – when the widest range of new compounds was created – to the Julio-Claudian period (Seneca, Persius and Lucan) to the Flavian Age (Silius Italicus, Valerius Flaccus, Statius, Martial and Juvenal), with a comparison with Late Latin. The very low frequency of the occurrences of poetic words, many of which are hapax legomena, makes it possible to regard these terms as poetic creations. These new compounds contribute to a poietic of the meaning by intensifying the speech and by creating an enargeia that reveals a single thought. We can therefore stress the stylistic and semantic interests of these neologisms due to the simplicity of their formation, their status of “possible” words and eventually their adaptation to the various Latin meters, especially the dactylic hexameter.
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