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Les cuillères d'étain du Québec

Bernard, Louise 30 April 2024 (has links)
No description available.
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La pipe de pierre dans la société canadienne des XVIIe, XVIIIe, et XIXe siècles : une approche archéologique

Daviau, Marie-Hélène 13 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2008-2009 / Ce mémoire porte sur l'étude de pipes à fumer en pierre, des objets qui sont relativement peu étudiés. Ces pipes sont souvent appelées pipes "micmac" et proviennent de sites amérindiens et euro-canadiens, de contextes archéologiques datant des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Si notre premier objectif est d'en effectuer un inventaire et de mieux cerner les caractéristiques de cet artefact, nous désirons aussi vérifier la place que pouvait prendre un tel objet dans la société canadienne et quel était son contexte d'utilisation. Les pipes de pierre sont souvent reliées à la traite des fourrures, mais nous proposons que cet artefact ait pu aussi être associé à l'expression d'une identité canadienne et soit devenu un objet de distinction au sein de la société habitant la Nouvelle-France. Afin de réaliser cette étude, nous avons consulté différentes sources historiques à la recherche de l'origine et l'utilisation du terme "calumet", examiné une centaine d'artefacts provenant de sites situés sur le territoire québécois pour en reconstituer les techniques de fabrication, et élaboré une classification de ces pipes. Nous identifions au passage certaines caractéristiques assez répétitives qui portent à croire en une production organisée. Pour nos analyses archéométriques, nous avons eu recours au microscope électronique à balayage à pression variable, à la cathodoluminescence et à la diffraction-X pour connaître la composition chimique d'une partie de la collection, dévoilant ainsi toute la complexité de la fabrication des pipes de pierre en Nouvelle-France.
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Étude des artefacts provenant des latrines de la maison occupée par George Augustus Eliot ca 1823-31

Laliberté, Monique 25 April 2018 (has links)
Le présent rapport porte sur l'étude d'un ensemble d'artefacts du premier tiers du XIXe siècle. Il s'agit d'un dépôt archéologique retrouvé dans les latrines de la maison occupée par le militaire George Augustus Eliot entre ca 1823 et 1831. Cette habitation de cinq niveaux s'élevait sur le côté est de la rue des Carrières à Québec. Elle a fait l'objet de recherches archéologiques a l'été 1981, au cours desquelles plusieurs artefacts à caractère domestique ont été mis au jour, tant dans le secteur de la maison que dans celui des latrines. L'analyse qui suit concerne les objets ou fragments d'objets retrouvés à l'intérieur des latrines. Il s'agit d'un ensemble très homogène recueilli dans une seule sous-opération très clairement délimitée par quatre murs de pierres, c'est-à-dire les parois de la fosse. Diverses opérations ont précédé la rédaction de ce rapport. Tout d'abord, un inventaire sommaire des artefacts a été dressé, au fur et à mesure que ceux-ci étaient dégagés du sol, ce qui a permis de prendre connaissance du dépôt dès le début des recherches. Parallèlement, un dossier historique a été constitué, dans l'espoir d'établir des liens entre les occupants de cette maison et le dépôt archéologique (Courcy 1981). Cette étape était en fait un prérequis à l'étude, puisqu'il aurait été inutile d'analyser les artefacts dans le but de les associer à George Eliot si ces deux éléments n'avaient pu correspondre chronologiquement. Les artefacts ont ensuite été nettoyés et numérotés d'après leur provenance, puis regroupés selon leur matériau et leur forme, afin d'être remontés en objets lorsque cela était possible. Suite à cette première confrontation des données historiques et archéologiques, nous avons jugé qu'il était possible d'associer les artefacts à un individu, soit George Eliot. Par l'étude des artefacts, nous voulons confirmer cette hypothèse, en tenant compte des matériaux, des techniques de fabrication et des motifs décoratifs caractérisant les objets de ce dépôt. En second lieu, notons que la découverte de quelques articles de journaux, ainsi que des documents notariés de l'époque nous a permis de supposer que monsieur Eliot vivait avec sa famille sur la rue des Carrières et qu'il jouissait d'un statut social relativement élevé en raison de ses fonctions au sein de l'armée britannique. Nous tenterons donc de vérifier si les restes de culture matérielle correspondent à ce que nous nous attendons de trouver chez un tel individu, et si les artefacts confirment sa situation familiale. L'iconographie historique a aussi révélé que George Eliot possédait une écurie située à quelques mètres de la maison (fig. 1). Cette dernière a fait l'objet de fouilles archéologiques en 1980. Le rapport indique qu'une partie de l'écurie devait servir de logement puisque plusieurs artefacts à caractère domestique y ont été retrouvés (Renaud, 1981: 16). Il s'agit de la seule mention nous permettant de supposer que la famille Eliot avait une ou plusieurs personnes à son service. Les artefacts de l'écurie n'ont malheureusement pas été analysés en profondeur et il n'est pas possible de comparer la qualité et la diversité de ceux-ci, par rapport aux objets retrouvés dans les latrines. Par contre, les Zooarchaelogical Identification Centre du Musée national des sciences de la nature à Ottawa, a effectué une étude qui nous livre une quantité d'informations sur les ossements retrouvés à la maison Eliot et à l'écurie. Par le biais de ces témoins de l'alimentation, nous tenterons de voir si les personnes logeant à l'écurie se nourrissaient différemment de ceux de la maison. Après la présentation des contextes historique et archéologique, nous avons décrit les objets retrouvés dans les latrines de cette habitation, en les regroupant selon les activités qu'ils nous suggèrent. Cette façon de procéder nous a semblé la meilleure, dans ce cas-ci, puisque nous voulons au cours de cette recherche, découvrir la place occupée par ces objets, dans le cadre général du mode de vie de George Augustus Eliot et de sa famille. Les résultats de cette étude donneront un aperçu de quelques aspects de la vie matérielle d'une maisonnée aisée de la haute-ville de Québec au premier tiers du XIXe siècle, ainsi que des informations sur quelques habitudes de vie a cette époque. Nous espérons aussi que cette recherche sera utile à d'autres chercheurs, soit pour l'identification et la datation des artefacts, ou en tant qu'outil de comparaison entre différents dépôts provenant de fouilles archéologiques. A l'appendice C, nous avons voulu vérifier le degré d'efficacité de l'enregistrement sommaire des données sur le chantier, en comparant les formulaires d'inventaire des artefacts trouvés dans les latrines, avec les résultats obtenus suite à une étude plus approfondie de ces mêmes objets. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Bijoux de pacotille ou objets de piété? : les bagues dites "jésuites" revisitées à partir des collections archéologiques du Québec / Bagues dites "jésuites" revisitées à partir des collections archéologiques du Québec

Mercier, Caroline 18 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2011-2012 / Depuis la formulation de la thèse de la dérive stylistique en 1972, les bagues dites «jésuites » sont considérées comme des objets de dévotion offerts aux Amérindiens par les missionnaires français du XVIIe siècle et comme des bijoux de pacotille distribués dans le cadre de la traite des fourrures au XVIIIe siècle. Dans ce mémoire de maîtrise, nous étudions une collection de 118 bagues provenant de la province de Québec en adoptant une démarche méthodologique inspirée de l'archéologie contextuelle et des études en transfert culturel et métissage. La classification des bagues selon des critères technologiques et stylistiques, la caractérisation des alliages et l'analyse des contextes archéologiques de découverte nous incitent à reconsidérer la thèse de la dérive stylistique. L'histoire culturelle des bagues nous amène quant à elle à explorer la signification de cet objet de parure dans les différents univers culturels où elles ont été produites, échangées et portées.
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Étude du matériel archéologique trouvé dans un puits situé dans la cour de la maison McKenzie (Parc de l'Artillerie-Québec)

Tremblay, Katherine. 16 April 2024 (has links)
No description available.
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Le site du Premier palais de l'intendant à Québec (Ce Et 30) : rapport préliminaire de la quatrième campagne de fouilles (1985)

Guimont, Jacques 25 April 2018 (has links)
Le présent mémoire constitue le rapport préliminaire de la quatrième campagne de fouilles archéologiques tenues sur le site du Premier palais de l'intendant à Québec (CeEt30) du 29 avril au 26 juin 1985. Le premier chapitre présente l'évolution historique du site depuis la construction de la brasserie de Jean Talon en 1668-1669 jusqu'aux activités archéologiques en cours depuis 1982 sous la responsabilité de l'Université Laval. Les deuxième et troisième chapitres font état des fouilles archéologiques dans les opérations 13, 14, 15 et 17 et présentent l'analyse er l'interprétation de tous les vestiges mis au jour. La conclusion du mémoire dresse un bilan des travaux et présente les objectifs de la campagne de 1986. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Les modes de fabrication des terres cuites communes de production locale à Québec à la fin du XVIIe siècle

Hamel, Dany 12 April 2018 (has links)
À travers le concept de la chaîne opératoire, cette recherche présente un modèle documenté et finement décrit de la fabrication d'une forme de contenant représentative de la production locale de terres cuites communes à Québec à la fin du XVIIe siècle, la terrine à bec verseur. Ce modèle détaillé est élaboré à partir du croisement d'informations provenant de l'analyse de sources écrites et de l'examen visuel d'un corpus de fragments de poteries associés à des contextes archéologiques de cette période dans la région de Québec. La chaîne opératoire est éprouvée à la suite d'une démarche en archéologie expérimentale. Chacune des opérations qui la composent sont expérimentées à l'aide d'un outillage reconstitué et par l'emploi argile locale dans le but de valider et de préciser les techniques employées jadis par les potiers pour produire les artefacts étudiés.
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Histoire et archéologie du fort Jacques-Cartier : 1759-1760

Santerre, Simon 13 April 2018 (has links)
Construit après la prise de la ville de Québec le 18 septembre 1759, le fort Jacques-Cartier fut l'un des lieux de replis des troupes françaises. Il fut construit pour loger une partie des troupes de la garnison de la frontière de Québec et pour servir de base aux préparatifs d'une contre-attaque sur la ville. Le fort fut occupé au cours de l'hiver 1759-1760 et au printemps suivant il servit de centre de ravitaillement et de distribution pour les troupes en route pour le siège sur Québec. À la suite de l'échec de ce siège, les forces françaises se dirigèrent du côté de la ville de Montréal, cible principale des armées britanniques. Le fort Jacques-Cartier devint alors un avant-poste puisque le principal corps des troupes était stationné à Deschambault. Les différents rôles qu'à joué le fort Jacques-Cartier se reflètent relativement bien dans la façon dont il fut construit. Sa construction témoigne de la situation précaire de la colonie à l'heure de la conquête. Le manque de ressources et de temps se combine à la stratégie défensive adoptée pour l'ensemble de la colonie, dont les frontières se rétrécissaient sérieusement depuis 1758. À l'été 1760, les fortifications de campagnes de l'île aux Noix, du fort Lévis et de Jacques-Cartier deviennent les postes de défense des frontières des trois principales voies d'accès vers Montréal. Ces forts, bien que construits à la hâte avec les moyens du bord, reflètent tout de même les considérations théoriques concernant la fortification de campagne véhiculées à l'époque. Les vestiges archéologiques du fort Jacques-Cartier combinés à la documentation historique nous permettent de mieux comprendre ce fort et de le comparer avec ses contemporains afin de mieux cerner le contexte qui les vu naître.
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Stratégies muséales à l'égard du patrimoine amérindien : genèse de la collection amérindienne du Musée de la civilisation de Québec

Renier, Marie 17 April 2018 (has links)
La collection amérindienne du Musée de la civilisation de Québec est le résultat d'un long cheminement historique et muséologique. Elle voit le jour dès la fin du XVe siècle mais ce n'est que depuis la fin des années 80 qu'elle a rejoint son musée attitré, tout juste fondé par le ministère des Affaires culturelles pour abriter les collections ethnographiques canadiennes-françaises, amérindiennes et inuites. Ce n'est que depuis cette époque qu'elle est mise en valeur au sein d'un espace qui lui est propre. Pourtant, elle fait partie de la plus ancienne collection en Amérique du Nord, initiée par les prêtres du Séminaire de Québec, il y a plus de trois siècles. Elle sera ensuite prise en charge par l'Université Laval à des fins éducatives. Un autre noyau de cette collection sera formé par les objets recueillis aux Archives et au Musée de la Province à partir des années 30. Cependant, cette nouvelle institution nationale a pour priorité la mise en valeur de l'art canadien-français. Ce n'est que depuis 1968, après l'achat de la collection Coverdale par le ministère des Affaires culturelles, que l'ethnologie entre dans le champ du Gouvernement du Québec. Un long débat sur la place et la vocation des collections ethnographiques débute alors. D'un concept d'un Musée de l'Homme d'ici en 1979, on aboutit en 1988 à la création du Musée de la civilisation. Cet itinéraire muséal et ce processus de collectionnement seront mutuellement retracés en première partie. La seconde partie se penchera sur les pratiques muséales instituées par le musée à l'égard de ces objets. La collection Picard, issue d'une famille huronne de Lorette, sera particulièrement détaillée car son parcours retrace les différentes étapes de la vie muséale de la ville de Québec ainsi que le processus complexe d'acquisition des objets. Enfin, une analyse de l'exposition permanente "Nous les Premières Nations" au Musée de la civilisation, tentera de montrer comment les objets et leur mise en exposition génèrent de nouvelles relations entre la communauté amérindienne et muséale.

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