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K'iche' Maya in a re-imagined world : transnational perspectives on identity

Foxen, Patricia. January 2001 (has links)
No description available.
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K'iche' Maya in a re-imagined world : transnational perspectives on identity

Foxen, Patricia. January 2001 (has links)
Over the past two decades, large-scale transnational migrations between Central America and the United States have had a significant impact upon both home and host societies. In Guatemala, cross-border movement was spawned by the brutal civil war that devastated many indigenous communities in the early 1980s. Over time, this flow resulted in the formation of complex transnational networks and identities that span home and host locations. This thesis examines the manners in which a community of K'iche' Indians straddled between the highlands of El Quiche, Guatemala and an industrial New England city have responded to the deterritorialization caused by the confluence of violence and displacement. It describes, on the one hand, the context of post-war reconstruction in El Quiche, which is shaped by a fragile institutional peace process and an emerging ethnopolitical movement that emphasizes a pan-Maya identity. On the other hand, it depicts an inner-city space in the US where K'iche' labor migrants lead hidden, marginal lives, seeking to obscure any overt form of collective organization or identity. By examining the flows of people, money, commodities and symbols between these contrasting environments, the thesis shows how K'iche's in both communities maintain concrete and imaginary connections with each other despite the many ruptures caused by violence and dislocation. The thesis also teases out the manners in which today's cross-border movements, which involve ever larger distances, absences, and cash inflows, are both inscribed in, and differ from, previous local strategies of, and discourses on, internal movement and migration within Guatemala, which have long formed part of K'iche' culture. Specifically, it shows how K'iche's draw on their "mobile" past in order to maintain a sense of continuity in the present and elaborate viable identities and strategies for the future. Overall, the thesis argues that the multiplicity of strategies and discourses developed b
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La pensée mythique amérindienne à la lumière de la philosophie (Popol Vuh, livre sacré Quiché-Maya)

Sanchez-Pirela, Beatriz-Elisa 10 November 2021 (has links)
La pensée mythique-philosophique amérindienne va au-delà de toute raison logique parce qu'elle garde sa propre raison spécifique dans la dimension de la parole symbolique, propre à la parole de l'origine, en accord avec sa réalité culturelle. C'est dans cette perspective que nous avons analysé le «Popol Vuh», livre sacré de la société Quiché-Maya, rédigé durant l'époque précolombienne dans une écriture caractéristique et conservé dans le peuple en la mémoire orale collective. Ce livre constitue un témoignage et un mémorial de la vision de la genèse de cette société. La Création y prédomine dans une dimension cosmo-théogonique, hautement religieuse, exprimant la volonté d'un Dieu dont la présence est la puissance suprême qui régit tout l'univers, à partir du principe de sa connaissance divine, manifeste en la Parole, lumière de sagesse, sur la base de laquelle se développe la Création. La vision philosophique se rend présent tout au long du processus de la Création, perçue dans la transcendance du Ciel, vision d'un pluralisme métaphysique déployé dans l'Unité cosmique qui figure la présence du Dieu Kabawil, principe de sagesse qui génère le mouvement dans le cosmos et crée l'être humain semblable à lui. La raison spécifique à la parole symbolisée rend compte de l'objectivité du penser, elle est immanente aux fonctions spirituelles concrétisées dans la signification du message qui lui assigne une valeur propre où s'enracine la spécifité de cette pensée philosophique.
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Le paratexte et la traduction du Popol Vuh de l’abbé Brasseur de Bourbourg

Pomerleau, Marc 12 1900 (has links)
Le Popol Vuh, récit historique du peuple maya quiché, a été traduit des dizaines de fois. Jusqu’au milieu du 20e siècle, bon nombre de ces traductions se fondaient sur la version réalisée en 1861 par Brasseur de Bourbourg, un missionnaire français. Pour souligner le travail du traducteur, nous avons étudié sa traduction non pas d’un point de vue comparatif des deux textes, mais du point de vue du paratexte, c’est-à-dire ce qui entoure le texte (page de titre, préface, notes, illustrations, etc.). Pour ce faire, nous avons dressé le cadre théorique du paratexte à l’appui des écrits de Genette et de Lane, puis nous l’avons appliqué à celui de la traduction du Popol Vuh de Brasseur de Bourbourg. D’une taille colossale, ce paratexte nous renseigne sur ce qui a motivé le travail du traducteur et sur ce qu’il a fait. L’étude de son avant-propos nous indique clairement que son but est de faire connaître la culture des Amériques sous un jour nouveau, et le Popol Vuh est pour lui l’exemple parfait d’une richesse littéraire, historique et culturelle jusque-là largement ignorée. Cette partie du paratexte de Brasseur de Bourbourg nous prépare à la lecture, alors que les nombreuses notes de bas de page nous guident pendant celle-ci. Force est toutefois d’admettre que le paratexte de cet ouvrage est si imposant qu’il porte ombrage à la traduction. Bref, l’étude du paratexte nous amène à aborder la traduction de Brasseur de Bourbourg d’un oeil critique, en fonction de ce que nous dit le paratexte. La lecture du paratexte et la connaissance de ses tenants et aboutissants devraient donc faire d’un simple lecteur un véritable lecteur averti, qu’il s’agisse d’une traduction ou de tout autre texte. / The Popol Vuh is a historical tale of the Maya Quiché people which has been translated many times. Until the mid 20th century, many of those translations were based on Brasseur de Bourbourg’s version published in 1861. In order to situate the translator’s work, we approached his translation from the perspective of paratext, i.e. what ccompanies the text (title page, preface, footnotes, illustrations, etc.), rather than comparing the source text to the translation. In order to do so, we have established the paratext’s theoretical framework, based on the works published by Genette and Lane, and we have applied it to Brasseur de Bourbourg’s translation of the Popol Vuh. Brasseur de Bourbourg’s paratext is colossal; it allows us to understand what motivated his work and what he has done. The study of the translator’s preface clearly demonstrates that his goal was to present the culture of the Americas from a different standpoint, and the Popol Vuh is, for him, the perfect example of a rich literary, historical and cultural heritage that has long been overlooked. The preface to the translation prepares the reader to read the text, whereas the many footnotes guide him when he’s reading the translation. Nevertheless, the amount of paratext is so imposing that it overshadows the actual translation. In short, paratext analysis allows us to look critically and advisedly at Brasseur de Bourbourg’s translation, with a good knowledge of what paratext actually tells us. Therefore, reading the paratext and being aware of its meaning should transform a simple reader into a well-informed and critical reader, whether it is a translation or any other kind of document.
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Le paratexte et la traduction du Popol Vuh de l’abbé Brasseur de Bourbourg

Pomerleau, Marc 12 1900 (has links)
Le Popol Vuh, récit historique du peuple maya quiché, a été traduit des dizaines de fois. Jusqu’au milieu du 20e siècle, bon nombre de ces traductions se fondaient sur la version réalisée en 1861 par Brasseur de Bourbourg, un missionnaire français. Pour souligner le travail du traducteur, nous avons étudié sa traduction non pas d’un point de vue comparatif des deux textes, mais du point de vue du paratexte, c’est-à-dire ce qui entoure le texte (page de titre, préface, notes, illustrations, etc.). Pour ce faire, nous avons dressé le cadre théorique du paratexte à l’appui des écrits de Genette et de Lane, puis nous l’avons appliqué à celui de la traduction du Popol Vuh de Brasseur de Bourbourg. D’une taille colossale, ce paratexte nous renseigne sur ce qui a motivé le travail du traducteur et sur ce qu’il a fait. L’étude de son avant-propos nous indique clairement que son but est de faire connaître la culture des Amériques sous un jour nouveau, et le Popol Vuh est pour lui l’exemple parfait d’une richesse littéraire, historique et culturelle jusque-là largement ignorée. Cette partie du paratexte de Brasseur de Bourbourg nous prépare à la lecture, alors que les nombreuses notes de bas de page nous guident pendant celle-ci. Force est toutefois d’admettre que le paratexte de cet ouvrage est si imposant qu’il porte ombrage à la traduction. Bref, l’étude du paratexte nous amène à aborder la traduction de Brasseur de Bourbourg d’un oeil critique, en fonction de ce que nous dit le paratexte. La lecture du paratexte et la connaissance de ses tenants et aboutissants devraient donc faire d’un simple lecteur un véritable lecteur averti, qu’il s’agisse d’une traduction ou de tout autre texte. / The Popol Vuh is a historical tale of the Maya Quiché people which has been translated many times. Until the mid 20th century, many of those translations were based on Brasseur de Bourbourg’s version published in 1861. In order to situate the translator’s work, we approached his translation from the perspective of paratext, i.e. what ccompanies the text (title page, preface, footnotes, illustrations, etc.), rather than comparing the source text to the translation. In order to do so, we have established the paratext’s theoretical framework, based on the works published by Genette and Lane, and we have applied it to Brasseur de Bourbourg’s translation of the Popol Vuh. Brasseur de Bourbourg’s paratext is colossal; it allows us to understand what motivated his work and what he has done. The study of the translator’s preface clearly demonstrates that his goal was to present the culture of the Americas from a different standpoint, and the Popol Vuh is, for him, the perfect example of a rich literary, historical and cultural heritage that has long been overlooked. The preface to the translation prepares the reader to read the text, whereas the many footnotes guide him when he’s reading the translation. Nevertheless, the amount of paratext is so imposing that it overshadows the actual translation. In short, paratext analysis allows us to look critically and advisedly at Brasseur de Bourbourg’s translation, with a good knowledge of what paratext actually tells us. Therefore, reading the paratext and being aware of its meaning should transform a simple reader into a well-informed and critical reader, whether it is a translation or any other kind of document.

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