Spelling suggestions: "subject:"réaction dde transfert"" "subject:"réaction dde detransfert""
1 |
Transfer Reactions Induced with 56Ni : Pairing and N=28 Shell Closure / Réactions de transfert induites avec 56Ni : l'appariement neutron-proton et le fermeture de couche N=28Georgiadou, Anastasia 27 September 2018 (has links)
La structure du noyau N = Z doublement magique 56Ni (N = 28, Z = 28) a été étudiée en mesurant les réactions de transfert á un et deux nucléons. Le transfert nous donne des informations sur deux aspects physiques différents: la fermeture de couche N=28 et l’intensité de l’appariement neutron-proton. Le nombre magique N=28 est particulier, car c’est le premier créé par le spin-orbit. La double magicité permet la détermination de la nature de particule indépendante des voisins N±1 par réaction de transfert d’un nucléon. De plus, en tant que noyau N=Z a couches fermeés, le 56Ni est un noyau clé pour l’étude de l’apparement np dans la plus grande couche accessible expérimentalement. L’apparement np se manifeste dans le canal isoscalaire (T=0) et isovecteur (T=1). L’intensité relative de chaque canal révèle la nature collective des états. L’expérience de ce travail a eu lieu au GANIL-Caen, en France, avec un faisceau radioactif de 56Ni á 30MeV / u produit par frag- mentation de 58Ni et purification avec le spectromètreLISE. Les mesures ont été effectuées en cinématique inverse sur des cibles CH2 et CD2. Les détecteurs MUST2 et TIARA ont été utilisés pour la détection de éjectiles légers et couvraient presque 4π. En outre, quatre détecteurs germanium d’EXOGAM ont été utilisés pour les coïncidences de particules-gamma afin d’identifier l’état peuplé du résidu de réaction. Pour étudier le gap de N=28, nous étudions la spectroscopie du 55Ni par les réactions de transfert de nucléons (d, t) et (p, d) sur le 56Ni. Le spectre en énergie d’excitation est déduit de la mesure des éjectiles légers seulement. Ensuite,les coincidences particule-gamma sont utilisées pour améliorer la résolution et identifier les principaux états peuplés. La comparaison des distributions angulaires ainsi obtenues avec des calculs DWBA permet d’extraire les facteurs spectroscopiques pour les états de particules et de trous ainsi peuplés. En ce qui concerne l’appariement np, nous avons analysé la réaction 56Ni(d,α)54Co qui réalise un transfert de paires neutron-proton. Un affaiblissement du canal T=0 á cause de l’effet du spin-orbite est attendu. La sélectivité en ∆T=0 de la réaction (d, α) permet d’étudier plus en détail le canal isoscalaire T = 0. / The structure of the unstable doubly ma- gic nucleus 56Ni has been investigated by measuring one- and two-nucleon transfer reactions. Each trans- fer reaction provides information for two different physical aspects: the robustness of the N=28 shell gap and the strength of the neutron-proton pairing. 56Ni is a self-conjugate doubly magic nucleus with N=28 and Z=28. The magic number 28 is a peculiar shell closure created by spin-orbit splitting effects. The double magicity makes the determination of the single-particle nature of their N±1 neighbors by one-neutron transfer reaction of major interest to test both the robustness of shell closures as well as the evolution of particle and/or valence orbitals. Moreover 56Ni, as a N=Z nucleus with fully closed shells, is a key nucleus to investigate neutron-proton pairing in the largest shell accessible experimentally, the fp shell. Neutron-proton pairing can occur both in the isoscalar (T=0) and in the isovector (T=1) channels. The relative intensity of both channels reveals the collective nature of the states. The radioactive beam of 56Ni was produced at GANIL-Caen, France at 30 MeV/u by fragmentation of 58Ni and purification with the LISE spectrometer. The experimental set-up used, consists of the TIARA- MUST2-EXOGAM combination which provides an al- most 4π coverage and the ability to perform particle- γ coincidences. To probe the N=28 gap, we studied the spectroscopy of 55Ni through one-nucleon trans- fer reactions on 56Ni. The excitation energy spectrum is deduced by measuring the light ejectiles only, while particle-γ coincidences are used to improve the re- solution of the populated states and select the main ones. Comparison in between the extracted angular distributions and DWBA calculations allow the extraction of the spectroscopic strength of the hole- and particle- states populated by these one neutron pick- up reactions. As for neutron-proton pairing, a weakening of the strength is expected in the T=0 channel from previous results. The selectivity in ∆T=0 of the 56Ni(d,α)54Co reaction enables further investigation of the isoscalar channel contribution.
|
2 |
Etude de la fonction d'onde de l'6He par la reaction de transfert 6He(p,t)4He: contribution de la configuration à deux tritons.GIOT, Lydie 13 October 2003 (has links) (PDF)
Cette étude porte sur l'importance des configurations a-2n et triton-triton de l'6He. Nous avons mesuré la distribution angulaire de la réaction de transfert 6He(p,t)a à 25 A.MeV au GANIL avec le spectromètre SPEG couplé au détecteur MUST. Les angles avant et arrière c.m. sont obtenus avec SPEG. Les coïncidences des modules MUST fournissent les angles intermédiaires. La diffusion élastique 6He(p,p)6He, également mesurée avec le spectromètre SPEG, fixe le potentiel optique 6He+p pour la voie d'entrée de la réaction de transfert. Des calculs DWBA et en voies couplées de la section efficace différentielle de 6He(p,t)a ont permis d'étudier la sensibilité aux voies de réactions possibles du système 6He+p et notamment la cassure de l'6He en discrétisant le continuum. La comparaison entre les sections efficaces différentielles de 6He(p,t)a calculée et expérimentale donne un facteur spectroscopique proche de 1 pour la configuration a-2n et compris entre 0.06 et 0.09 pour la configuration t-t.
|
3 |
Étude de l'interaction nucléaire spin-orbite par réactions de transfert 36S(d,p)37S et 34Si(d,p)35Si.Burgunder, Geoffroy 21 December 2011 (has links) (PDF)
L'interaction spin-orbite dépend de l'orientation relative du spin et du moment angulaire ainsi que sur la dérivée de la densité du noyau. Dans le but de tester cette dépendance en densité, nous proposons une méthode originale basée sur la comparaison du noyau "bulle" de 34Si et le noyau "normal" de 36S. Le 34Si présente un appauvrissement de sa densité centrale qui créé une dérivée centrale non nulle et impliquerait un changement de l'intensité de l'interaction spin-orbite pour les orbites intérieures comme les orbites p (L = 1). Effectuer des réactions de transfert (d,p) permet de déduire l'écart en énergie entre les partenaires spin-orbite p3/2 et p1/2. Selon les modèles, l'écart spin-orbite varie de 7% (interaction VlowK) à 70% (modèle champ moyen relativiste) entre le 36S et le 34Si. Les faisceaux de 36S et 34Si, produit avec le spectromètre LISE à 20A.MeV, ont été envoyé sur une cible de CD2. Les particules incidentes sont suivies avec 2 détecteurs gazeux CATS. Les protons émis durant la réaction sont identifiés par 4 détecteurs Silicium segmentés (MUST2) placés aux angles arrières. Les 4 détecteurs EXOGAM (détecteur Germanium segmenté) ont détectés les photons émis en coïncidence. Les noyaux produits sont identifiés avec une chambre à ionisation et un détecteur plastique. Les spectres d'énergie d'excitation du 35Si et du 37S ont été déterminés jusqu'à environ 7 MeV. Les facteurs spectroscopiques et les énergies des états p et f ont été mesurés pour la première fois dans le 35Si. Ces deux noyaux montrent de fortes similarités pour les états f7/2 et f5/2, alors que l'écart en énergie des états p3/2 et p1/2 est réduit de 55% ce qui prouve manifestement la dépendance en densité de l'interaction spin-orbite.
|
4 |
Étude du noyau d'9He via la réaction de transfert d(8He, p) à 15.4 MeV/nucléonAl Kalanee, T. 17 December 2010 (has links) (PDF)
L'étude des noyaux légers riches en neutrons à la limite de la stabilité et au-delà suscite un intérêt marqué depuis quelques années car elle offre des tests approfondis de notre compréhension de la structure nucléaire. Expérimentalement, la disponibilité récente de faisceaux radioactifs avec des intensités suffisantes et le développement de nouveaux systèmes de détection de grande acceptance ont permis de sonder la structure de ces noyaux. Cette thèse porte sur l'étude de la structure de l'9He, système N = 7 non lié, via la réaction de transfert d'un neutron d(8He, p)9He avec l'aide d'un faisceau SPIRAL1. L'objectif principal de l'expérience était de clarifier la structure des états à basse énergie d'excitation de l'9He, en particulier l'inversion de parité possible de l'état fondamental. L'expérience a été une des premières à utiliser le nouvel ensemble de détection MUST2. Les statistiques relativement faibles dans la région du seuil d'émission de neutron et les divers fonds physiques, ne permettent pas de conclusion définitive concernant la nature de l'état de plus basse énergie. Des états à des énergies d'excitation plus élevées ont été identifiés. Une comparaison entre les distributions angulaires pour chacune des résonances avec des calculs DWBA et CRC a été effectuée. Les facteurs spectroscopiques ont été estimées pour chaque spin possible.
|
5 |
Etude des noyaux instables 19O et 25Ne par réaction de transfert à l'aide du dispositif MUST2-TIARA-VAMOS-EXOGAMRamus, A. 16 September 2009 (has links) (PDF)
Une campagne d'expériences a été réalisée à l'automne 2007 au GANIL dans le but d'étudier la structure des noyaux riches en neutrons des chaînes isotopiques de l'oxygène et du néon pour déceler l'évolution des fermetures de couches et des nombres magiques en fonction de l'isospin. La technique de séparation en ligne des isotopes a été employée pour produire par l'ensemble SPIRAL deux faisceaux exotiques d'20O et de 26Ne accélérés à 10 A.MeV. Les spectres des noyaux 21O, 19O, 27Ne et 25Ne produits par les réactions de transfert d'un neutron (d,p) et (d,t) des faisceaux radioactifs sur une cible de CD2 ont été étudiés. Le dispositif expérimental réunissant pour la première fois les détecteurs TIARA, MUST2, VAMOS, EXOGAM et un détecteur de faisceau permettait la détection en coïncidence des noyaux légers de recul, des fragments lourds et des gammas de décroissance. Les spectres en énergie d'excitation ont été reconstruits par la méthode de la masse manquante grâce aux détecteurs TIARA et MUST2. La grande couverture angulaire de ces détecteurs permettait l'étude simultanée des réactions de pickup (d,t) et de stripping (d,p). L'étude de la réaction (d,t) produisant l'19O et le 25Ne a permis de construire les schémas de niveaux de ces noyaux et de préciser les énergies, moments angulaires et facteurs spectroscopiques des états observés. Nous avons ainsi pu établir l'absence de fermeture de couche N=14 dans l'20O. Les résultats obtenus sur l'occupation des couches neutrons du 26Ne tendent à prouver l'existence d'une fermeture de couche N=16 dans ce noyau.
|
6 |
Détermination de facteurs spectroscopiques absolus par réactions de knockout et de transfert.Flavigny, Freddy 21 September 2011 (has links) (PDF)
Les facteurs spectroscopiques nous renseignent sur l'occupation des couches nucléaires et peuvent être extraits par des réactions directes comme le transfert à basse énergie et le knockout aux énergies intermédiaires. L'étude récente de noyaux radioactifs de la couche sd ayant une large différence d'énergie de séparation, DeltaS=Sp-Sn~20 MeV, montre que les sections efficaces d'arrachage d'un nucléon très lié sont considérablement réduites par rapport aux prédictions théoriques. Cette tendance n'est pas observée pour des noyaux moins exotiques, jusqu'à DeltaS~12 MeV, par réaction de transfert (d,p).Pour comprendre l'origine de cette réduction, nous avons réalisé deux expériences complémentaires sur un noyau présentant une large différence d'énergie de séparation l'14O : (i) le knockout d'un nucléon au NSCL, 14O (53 MeV/n) et 16C (75 MeV/n), sur une cible de 9Be; (ii) le transfert d'un nucléon avec le faisceau d'14O à 18 MeV/n de SPIRAL, 14O(d,t)13O et 14O(d,3He)13N, étudié avec le dispositif MUST2. L'analyse des données présentée en détails dans ce manuscrit conduit à des facteurs spectroscopiques incompatibles entre ces deux expériences lorsqu'un neutron fortement lié est enlevé ou transféré de l'14O. Dans le cas du knockout, la section efficace mesurée est fortement réduite par rapport aux prédictions basées sur un modèle eikonal et le modèle en couches. La distribution en moment parallèle de l'13O mesurée après l'arrachage d'un neutron présente par ailleurs une forme qui n'est pas reproduite par le modèle eikonal. Dans le cas du transfert, une telle réduction n'est pas observée et le rapport entre expérience et théorie est compatible avec ce qui est obtenu pour les noyaux stables. Ces résultats suscitent de nouveaux développements théoriques pour la modélisation du mécanisme de réaction dans ces cas extrêmes où le nucléon enlevé est fortement lié.
|
7 |
Etude de la réaction d'intérêt astrophysique 60Fe(n; gamma)61Fe par réaction de transfert (d,p) gammaGiron, Sandra 16 December 2011 (has links) (PDF)
Le 60Fe présente un intérêt particulier en astrophysique nucléaire. En effet, la récente observation de ses raies gamma caractéristiques par les satellites RHESSI et INTEGRAL permet d'accéder au flux total de 60Fe intégré sur toute la Galaxie. De plus, l'observation d'un excès de 60Ni (noyau-fils du 60Fe) dans les grains pré-solaires fournit des contraintes sur les conditions de formation du système solaire primitif.Cependant, les sections efficaces de certaines réactions intervenant dans la nucléosynthèse du 60Fe et incluses dans les modèles stellaires présentent encore des incertitudes. C'est le cas notamment de la réaction 60Fe(n, gamma) 61Fe qui est responsable de la destruction du 60Fe. La section efficace totale de cette réaction peut être divisée en deux parties : la composante directe, impliquant les états situés sous le seuil de séparation neutron du 61Fe, et la composante résonante.Nous avons amélioré les connaissances spectroscopiques du 61Fe afin d'évaluer la contribution de la capture directe au taux de la réaction 60Fe(n, gamma)61Fe. Pour cela, nous avons étudié la réaction 60Fe(n, gamma) 61Fe par la réaction de transfert d(60Fe, p gamma)61Fe à l'aide du dispositif expérimental CATS/MUST2/EXOGAM sur la ligne LISE au GANIL. L'analyse en DWBA des distributions angulaires expérimentales des protons a permis d'extraire les moments angulaires et les facteurs spectroscopiques de différents états du 61Fe identifiés et peuplés sous le seuil de séparation neutron. Une comparaison des résultats expérimentaux obtenus pour le 61Fe avec ceux de noyaux similaires et avec des calculs modèle en couches a également été effectuée.
|
8 |
Évolution de la structure en couches dans les noyaux de masse moyenne : Recherche de l'orbitale 2d5/2 neutron dans le 69NiMoukaddam, Mohamad 08 March 2012 (has links) (PDF)
La fermeture de couche de l'oscillateur harmonique à N=40 dans le 68Ni est faible et perd sa rigidité après l'enlèvement (ou l'ajout) de paires de protons. Les calculs effectués dans cette région de masse prédisent un nouvel îlot d'inversion à N=40 semblable à celui à N=20 et montrant que le placement de l'orbital neutron 2d5/2 est un ingrédient essentiel pour l'interprétation de la structure nucléaire à N≈40. La différence d'énergie 1g9/2-2d5/2 a été déterminée dans le noyau 69Ni en utilisant la réaction de transfert d'un neutron d(68Ni,p) en cinématique inverse. L'expérience réalisée au GANIL utilisait un faisceau de 68Ni à 25,14 MeV/u. Les noyaux 68Ni séparés par le spectromètre LISE3 ont ensuite interagit avec une cible de CD2 d'épaisseur 2,6 mg/cm2. Le dispositif expérimental était composé principalement des détecteurs CATS/MUST2-S1/EXOGAM couplés à une chambre d'ionisation et un scintillateur plastique. Les moments angulaires et les facteurs spectroscopiques de l'état fondamental (Jπ = 9/2+) et d'un doublet d'états (Jπ = 5/2+) autour de 2,48 MeV, associés à la population des orbitales 1g9/2 et 2d5/2, ont été obtenus après la comparaison des sections efficaces différentielles et des calculs ADWA. Les spins des états observés ont été attribués après comparaison aux calculs de modèles en couches dans un grand espace de valence. La position de l'orbitale 2d5/2 dans 69Ni a été établie pour la première fois. Nos mesures confirment l'hypothèse de la faible différence d'énergie (≈2,5 MeV) entre l'orbitale neutron 2d5/2 et l'orbitale 1g9/2 et son importance pour décrire la structure des noyaux autour de N=40.
|
9 |
Etude du noyau très riche en neutrons 10He par réaction de transfert d'un proton 11Li(d,3He) / Study of the very neutron-rich 10He by one-proton transfer reaction 11Li(d,3He)Matta, Adrien 27 February 2012 (has links)
La physique à la drip-line offre l'opportunité d'étudier les noyaux à la limite du paysage couvert par la physique nucléaire, où l'addition de nouveaux protons et neutrons ne peut plus être supportée. A l'approche de la drip-line, la structure même des noyaux se trouve modifiée par rapport aux plus stables. Les fermetures de couches classiques disparaissent et de nouveaux phénomènes surgissent, tels que la clusterisation et les halos. Dans ce travail, nous avons revisité la spectroscopie du noyau non-lié 10He par l'intermédiaire d'une réaction de transfert d'un proton 11Li(d,3He) à 50 AMeV étudiée par la méthode de masse manquante. Pour ce faire, nous avons utilisé le détecteur MUST2 sur la ligne RIPS du RIKEN Nishina center. La partie expérimentale de ce travail repose sur un dispositif novateur utilisant des détecteurs de silicium très fins. Pour la première fois, la mise en oeuvre de ces derniers en conjonction avec des détecteurs sensibles en position de haute granularité a été démontrée. L'approche par réaction de transfert conduit à des résultats très clairs sur la position du premier état résonant du 10He, trouvé dans ce travail à 1.4(3) MeV, en accord avec la plupart des précédents travaux expérimentaux. L'obtention pour la première fois d'un facteur spectroscopique permet de nous renseigner sur la nature du recouvrement <10He|11Li>, trouvé égale à 0.13(6). / Physics at the drip-line offer the opportunity to study nuclei at the limits of the nuclear landscape, where additional protons or neutrons can no longer be kept in the nucleus. In the vicinity of the drip-lines, the structural features of the nuclei change with respect to the more stable nuclei, the normal shell closure of particles disappear and new phenomena appear, such as clusterization and halo. In this work we have revisited the spectroscopy of the unbound 10He by means of the 11 Li(d,3 He) reaction at 50 AMeV studied in missing mass method with the MUST2 array at the RIPS beam line of RIKEN. The experimental part of this study rely on new detection set-up using very thin silicon detectors. For the first time, the effective operability of these detectors, in conjunction with high granularity position sensitive detectors, was proved. The transfer reaction approach led to clear results on the 10He first resonant state position, found in this work at 1.4(3) MeV, in agreement with most of the previous experimental works. The extraction of a spectroscopic factor for the first time shed light on the <10He|11Li> overlap, found to be 0.13(6).
|
10 |
Metallylene-sulfur compounds : synthesis, characterization and applications in coordination and catalysis / Composés métallylène-soufre : synthèse, caractérisation et application en chimie de coordination et catalyseLentz, Nicolas 21 November 2018 (has links)
Ce travail présente la synthèse de ligands mixtes germylène-sulfoxyde qui ont été utilisés en chimie de coordination avec plusieurs métaux de transitions et finalement appliqués en catalyse de transfert d'hydrogène. Une seconde partie de ce travail est axée sur la synthèse de nouveaux métallylènes stabilisés par un sulfonimidamide qui ont été appliqués en catalyse de polymérisation. Le premier chapitre présente l'état de l'art des germylènes avec leurs synthèses, modes de stabilisations et finalement leur chimie de coordination et leurs applications en catalyse. Les sulfoxydes seront aussi décrits pour leur application en tant que ligands hémilabiles. Le second chapitre décrit la synthèse de ligands germylène-α-sulfoxide avec une diversité structurale (cyclohexyle, tBu, tolyle..) et avec différents degrés d'oxydation du souffre (thioéther, sulfoxyde et sulfone). La chimie de coordination a permis la synthèse de complexes bis-germylène du groupe IV, bidentes du ruthénium ainsi que monodentes du ruthénium. Le troisième chapitre présente l'extension de la méthodologie à la formation de ligands germylène-β-sulfoxide. L'influence du groupement espaçant les deux entités sur la chimie de coordination a été étudiée et montre la formation de complexes bidentates du groupe IV. La coordination du ruthénium a mené à la surprenante synthèse d'un complexe bis-ruthénium caractérisé par diffraction des rayons X. Finalement, la nouvelle architecture a permis d'obtenir des complexes de nickel (0) dont une structure avec des ligands carbonyles permettant une comparaison TEP. Le chapitre quatre présente la synthèse de nouveaux ligands, analogues des amidinates, pour la stabilisation des métallylènes avec un atome central soufré. L'effet apporté sur les métallylènes par ces nouveaux ligands sulfonimidamides a été étudié par calcul DFT. Le dernier chapitre est centré sur l'application de plusieurs complexes de ruthénium en catalyse de transfert d'hydrogène avec plusieurs substrats carbonylés. L'utilisation de stannylènes stabilisés par des ligands sulfonimidamides a été étudiée en catalyse de polymérisation de la ε-caprolactone. / This work concerns the synthesis of mixed germylene-sulfoxide ligands that were involved in coordination chemistry with several transition metals and finally applied in hydrogen transfer catalysis. In a second part, the synthesis of new metallylenes stabilized by a sulfonimidamide group was develop, which were applied in polymerization catalysis. The first chapter is centered on the state of the art of germylenes with their synthesis, their stabilization and finally their coordination chemistry and applications in catalysis. Sulfoxides will also be described for their potential as hemilabile ligands. The second chapter describes the synthesis of germylene-α-sulfoxide ligands as structurally tunable structures (cyclohexyl, tBu, tolyl..) and with different oxidation states of the sulfur atom (thioether, sulfoxide and sulfone). The coordination chemistry led to the formation of bis-germylene group IV complexes, bidentate-ruthenium and monodentate ruthenium complexes. The third chapter shows the extension of the methodology to the formation of germylene-β-sulfoxide ligands. The influence of the spacer between the two entities on the coordination chemistry was studied and shows the formation of bidentate group IV complexes. Coordination to ruthenium led to obtain a surprising bis-ruthenium complex characterized by X-ray diffraction analysis. Finally, the novel architecture allowed to obtain two nickel (0) complexes, one of them including carbonyl ligands permitting a TEP comparison. The fourth chapter is centered on the synthesis of new ligands, analogue of amidinate substituents for metallylene stabilization with a central sulfur atom. The effect brought to the metallylene center by the sulfonimidamide was studied by DFT calculations. The last chapter concerns the application of several ruthenium complexes in hydrogen transfer reaction with various carbonyl compounds. The use of sulfonimidamide stannylenes was also investigated in polymerization catalysis of ε-caprolactone.
|
Page generated in 0.1613 seconds