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Les effets de différentes approches en réadaptation à la suite d'un traumatisme craniocérébral léger

Langevin, Pierre 18 October 2022 (has links)
Le traumatisme craniocérébral léger (TCCL) est un problème de santé publique reconnu. Les consensus d'experts les plus récents ainsi que les plus récents guides de pratique clinique recommandent des interventions physiques pour les symptômes persistants à la suite d'un TCCL. Une approche en réadaptation individualisée comprenant des exercices en aérobie sous le seuil des symptômes et des interventions en physiothérapie ciblant la colonne cervicale et le système vestibulaire sont recommandées. Cependant, les données probantes appuyant l'utilisation de ces interventions sont limitées. Le principal objectif de ce projet de doctorat était de comparer les effets d'un programme de réadaptation cervico-vestibulaire combiné à un programme d'exercices en aérobie sous le seuil des symptômes (EASS) à un programme d'EASS seul chez les adultes présentant des symptômes persistants à la suite d'un TCCL sur l'intensité des symptômes et sur d'autres indicateurs cliniques. Avant de réaliser le projet de recherche principal, deux autres projets de recherche ont été entrepris. Le premier de ces deux projets était une revue systématique et une méta-analyse portant sur l'efficacité des programmes d'EASS sur les TCCL. Nos résultats ont démontré que de tels programmes d'exercices sont bénéfiques pour améliorer les symptômes à la suite d'un TCCL. Ce type de programme d'exercices a été utilisé dans le projet principal comme méthode d'intervention chez tous les participants sachant que son efficacité était reconnue chez une population ayant subi un TCCL. De plus, puisque la sensibilité au changement des questionnaires utilisés pour le projet principal n'avait pas été évaluée dans le passé sur une population TCCL, nous avons entrepris un 2e projet parallèle pour la déterminer. Une étude de cohorte prospective a permis de déterminer que tous les questionnaires, y compris la mesure primaire du projet principal, le Post-Concussion Symptoms Scale (PCSS), étaient très sensibles aux changements. Ainsi, nous proposons aux cliniciens et chercheurs de les utiliser pour évaluer l'évolution dans le temps de cette population. Cette trouvaille a donc confirmé notre choix de questionnaires pour le projet principal. Le projet principal de ce doctorat était un essai contrôlé randomisé avec groupes parallèles à simple insu. Soixante adultes présentant des symptômes persistants à la suite d'un TCCL ont été assignés aléatoirement à : 1) un programme d'EASS d'une durée de 6 semaines ou 2) un programme de réadaptation cervico-vestibulaire d'une durée de 6 semaines combiné à un programme d'EASS. Tous les participants ont participé à quatre séances d'évaluation (évaluation initiale, 6, 12 et 26 semaines) réalisées par un évaluateur à l'aveugle. La variable dépendante primaire était le PCSS. Les variables secondaires étaient le Numerical Pain Rating Scale (NPRS), Neck Disability Index (NDI), Headache Disability Inventory (HDI), Dizziness Handicap Inventory (DHI), le temps pour un retour à la fonction et des mesures physiques cervicales et vestibulaires. À la suite de la collecte de données, une analyse non paramétrique pour données longitudinales (NparLD) a été utilisée pour évaluer l'effet des interventions sur la variable primaire et les variables secondaires. Pour le PCSS, NPRS, NDI, HDI, DHI et le retour à la fonction, il n'y a eu aucune interaction groupe-par-temps (p>0,05). Un effet temps statistiquement et cliniquement significatif a toutefois été observé à tous les temps de mesure par rapport à l'évaluation initiale (p<0,05). Il y a eu des interactions groupe-par-temps pour le réflexe vestibulo-oculaire (p<0,003) et les mesures de mobilité cranio-vertébrales (p< 0,001) en faveur du groupe de réadaptation cervico-vestibulaire. L'étude indique qu'un programme de réadaptation cervico-vestibulaire combiné à de l'exercice en aérobie sous le seuil des symptômes n'était pas supérieur à un programme d'exercice en aérobie seul en ce qui concerne les symptômes et l'amélioration fonctionnelle, mais a permis d'améliorer les fonctions cervicale et vestibulaire. Nous recommandons ainsi aux cliniciens d'utiliser l'EASS chez les patients à la suite d'un TCCL et d'appliquer la physiothérapie cervicale et vestibulaire lorsqu'il y a des déficiences à ces régions puisque celles-ci semblent persister avec le temps si elles ne sont pas directement traitées. De futures études sont nécessaires pour déterminer l'effet de la persistance de ces déficiences sur les récidives, l'incapacité, la qualité de vie et la recrudescence de symptômes à long terme. / Mild traumatic brain injury (mTBI) is an acknowledged public health problem. Most recent experts' consensus statements and clinical practice guidelines recommend physical intervention for persistent symptoms following an mTBI. An individualized rehabilitation approach including symptom-limited aerobic exercises and physiotherapy interventions targeting the cervical spine and the vestibular system are recommended based on a limited level of evidence. The main objective of this doctoral project was to compare the effects of a cervicovestibular rehabilitation program combined with a symptom-limited aerobic exercise (SLAE) program to a SLAE program alone in adults with persistent symptoms following an mTBI on severity of symptoms and other indicators of clinical recovery. Before completing the main research project, two other research projects were completed. The first side project was a systematic review and meta-analysis on the effectiveness of SLAE exercises on mTBI. Our findings demonstrated that a SLAE program is beneficial in improving symptoms following an mTBI. SLAE program was then used in the main project as an intervention method for all participants, knowing that its effectiveness was recognized in a population having undergone an mTBI. A second side project was realized to evaluate the responsiveness of the Post-Concussion Symptoms Scale (PCSS) and other questionnaires used in the main study as the responsiveness of those questionnaires was unknown. A prospective cohort study demonstrated that all questionnaires evaluated including the PCSS were highly responsive to monitor recovery. We proposed that clinicians and researchers use them when evaluating change over time in an mTBI population with persistent symptoms. This finding confirmed our choice of questionnaires for the main project of the thesis. The main project was a single-blind, parallel-group randomized controlled trial. Sixty adults with persistent symptoms following mTBI were randomly assigned to: 1) a 6-week SLAE program or 2) a 6-week cervicovestibular rehabilitation program combined with a SLAE program. All participants took part in four evaluation sessions (baseline, week 6, 12 and 26) performed by a blinded evaluator. The primary outcome was the PCSS. The secondary outcomes were Numerical Pain Rating Scale (NPRS), Neck Disability Index (NDI), Headache Disability Inventory (HDI), Dizziness Handicap Inventory (DHI), time to return to function, and physical cervical and vestibular measures. Nonparametric analysis for longitudinal data (NparLD) was used to evaluate and compare the effect of the interventions on the primary and secondary outcomes. For the PCSS, NPRS, NDI, HDI, DHI, and return to function, there were no group-by-time interactions (p>0.05); statistically and clinically significant time effects were, however, observed (p<0.05). There were group-by-time interactions for vestibulo-ocular reflex (p<0.003) and the cranio-vertebral mobility (p< 0.001) measures in favour of the cervicovestibular rehabilitation group. The study indicates that a cervicovestibular rehabilitation program combined with SLAE was not superior to a SLAE program alone in terms of symptoms and functional improvement but resulted in improved physical cervical and vestibular function. We therefore recommend that clinicians use SLAE program in patients following mTBI and apply cervical and vestibular physiotherapy when impairments in the cervical spine and/or vestibular system are found since these impairments seem to persist over time if they are not treated. Future studies are needed to determine the effect of the persistence of cervical and vestibular impairments on long-term recurrence, disability, quality of life, and symptoms worsening.
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Approche socio-cognitive en réadaptation cardiaque : effets sur l'observance à l'activité physique, les facteurs de risque et la qualité de vie

Houle, Julie 18 April 2018 (has links)
L'étude visait à évaluer l'efficacité d'une intervention socio-cognitive, utilisant un podomètre sur l'activité physique, la perception d'efficacité personnelle, les facteurs de risque et la qualité de vie. Une étude randomisée contrôlée a été menée auprès de 65 sujets répartis dans un groupe expérimental (N=32) ou dans un groupe contrôle (N=33). L'activité physique a été mesurée chaque 3 mois suivant un syndrome coronarien aigu à l'aide d'un podomètre (NL-2000). Les autres variables ont été mesurées à 6 et 12 mois suivant le congé. L'intervention a eu un impact sur l'activité physique après 3 mois (interaction [groupe.temps], p<0.001) et 12 mois (interaction [groupe.temps], p<0.003). Après 12 mois, un effet a été observé sur la réduction du tour de taille (interaction [groupe.temps], p=0.043) et sur l'amélioration de la perception de la qualité de vie globale (interaction [groupe.temps], p=0.048) ainsi que la perception de la santé et capacité fonctionnelle (interaction [groupe.temps], p=0.036). Les résultats encouragent l'utilisation de cette approche afin d'améliorer la santé durant l'année suivant un syndrome coronarien aigu.
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Faisabilité d'un programme de réadaptation à domicile pour les patients en investigation pour un cancer du poumon et une chirurgie de résection pulmonaire

Coats, Valérie 18 April 2018 (has links)
Chez les patients atteints de cancer du poumon, une réduction de la tolérance à l'effort, de la force musculaire et de la qualité de vie sont souvent rapportées. Alors que les effets bénéfiques d'un programme de réadaptation pulmonaire (PR) sur ces paramètres ont été bien démontrés dans le cas de plusieurs cancers et maladies pulmonaires, ils n'ont été que peu étudiés dans le cancer du poumon. L'objectif de ce projet de recherche visait à étudier la faisabilité d'un PR à domicile chez les patients en investigation pour un cancer du poumon et une chirurgie de résection pulmonaire et d'en quantifier les effets sur la tolérance à l'effort, la force musculaire et la qualité de vie. Cette étude nous a permis de démontrer qu'un PR à domicile était faisable et qu'il induisait des résultats physiologiques tels que l'amélioration de la tolérance à l'effort et de la fonction musculaire de ces patients.
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L'influence d'un programme de réadaptation préparatoire au travail sur les fonctions cognitives d'une clientèle atteinte de schizophrénie

Rouleau, Suzanne January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Facteurs influençant le rôle que l'orthophoniste s'attribue dans le processus de réintégration professionnelle des personnes aphasiques

Garceau, Marie January 1999 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Développement d'une méthode d'entraînement de la poussée plantaire pour une rééducation chez les personnes ayant une déficience motrice cérébrale

Bertrand-Charette, Michaël 24 April 2018 (has links)
OBJECTIFS: Chez les patients atteints d’une déficience motrice cérébrale (DMC), le contrôle de la poussée plantaire est affecté, limitant la marche. Des travaux récents ont démontré que la marche sur tapis roulant avec une résistance appliquée à la cheville au cours de l'oscillation entraîne une modification transitoire du patron de marche (« aftereffects »). Cependant, cette adaptation n’a pu être reproduite pendant la poussée plantaire, un moment clé du cycle de marche pour la réadaptation. L'objectif principal du mémoire était donc de répéter le protocole d’adaptation au sol, pour rendre l’entraînement plus fonctionnel. L'objectif secondaire était de documenter l'effet de cette perturbation unilatérale sur le contrôle locomoteur bilatéral. MÉTHODES: 30 sujets sains ont marché au sol avant, pendant et après l'application d'une résistance élastique à la cheville. Des tubes élastiques (Thera-band Silver) attachés à l'avant d'une orthèse tibiale modifiée ont produit la résistance (1-8 Nm). L'angulation de la cheville, ainsi que l'activité musculaire (EMG) du soléaire ont été enregistrées bilatéralement tout au long du test. RÉSULTATS: Sur le côté entraîné, 27 sujets se sont adaptés à la perturbation et 25 ont présenté des aftereffects (augmentation de l’angle maximal en flexion plantaire 13.4±4.3 à 21.2±6.2°, p&lt; 0.0001). 18 participants ont également présenté une augmentation significative (19.5±17.5%, p&lt; 0.002) de l’activité EMG du soléaire. Du côté controlatéral, on retrouve uniquement des changements transitoires de petite amplitude, sans aftereffects. CONCLUSION: L’approche utilisée dans ce mémoire offre une méthode simple d‘entraîner de manière spécifique le contrôle de la poussée plantaire et démontre que le patron de marche peut être modifié lors de la poussée plantaire, si testé dans les bonnes conditions. Cet effet est limité à la jambe entraînée, et présente un potentiel de réadaptation important pour la population DMC, qui pourrait bénéficier d’un tel entraînement. / OBJECTIVE: People with cerebral palsy have a modified push-off control, limiting their ability to walk. Recent work has demonstrated that treadmill walking with a resistance applied to the ankle during swing can lead to modifications in ankle dorsiflexor control that persist after resistance removal (“aftereffects”). Initial attempt to replicate this finding during push-off was unsuccessful, maybe because of the different sensorimotor control of the targeted muscle groups and/or the mechanical constraints of walking on a treadmill for push-off adaptation. The primary objective of the present memoir was therefore to see if walking overground would provide a better environment for push-off adaptation. The secondary objective was to document the effect of this unilateral resistance exposure on bilateral locomotor control. METHODS: 30 healthy participants walked overground before, during, and after the application of an elastic resistance at the ankle. Elastic tubing (Thera-band Silver) attached to the front of a modified ankle-foot orthosis delivered the resistance during push-off (1-8 Nm). Ankle angle and Soleus EMG were collected bilaterally throughout the test using wireless recordings. RESULTS: On the resisted side, 27 participants adapted to the force field and 25/30 participants presented aftereffects (increased peak plantarflexion angle from 13.4±4.3 to 21.2±6.2°, p&lt; 0.0001). SOL showed significant aftereffects in 18/30 participants (mean EMG increase of 19.5±17.5%, p&lt; 0.002). On the non-resisted side, changes were only seen in SOL EMG at the beginning of resistance exposure in some participants while kinematic showed changes at the end of resistance exposure. No significant changes persisted after resistance removal. CONCLUSION: This memoir shows the feasibility of modifying push-off kinematics and EMG activation using an elastic resistance applied at the ankle while walking overground. This effect is limited to the trained leg and represents an interesting venue for gait rehabilitation in people with cerebral palsy.
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Évolution fonctionnelle et clinique d'individus ayant une amputation du membre inférieur

Beausoleil, Sarah 15 November 2019 (has links)
L’utilisation d’une nouvelle prothèse à la suite d’une amputation d’un membre inférieur (MI) demande une ré acquisition de la capacité de marcher, ce qui peut mener à différentes stratégies de mouvement. Malgré les connaissances actuelles des stratégies de mouvement employées chez la population des individus ayant une amputation du MI (IA), aucune étude n’a évalué leur évolution lors d’un exercice de marche prolongée et à la suite d’un retour en milieu écologique. Pourtant, une diminution des performances à la marche pourrait être observée suivant l’apparition de la fatigue et/ou suivant une diminution du temps alloué aux activités physiques quotidiennes. C’est pourquoi l’objectif de cette étude est de quantifier les paramètres de marche des IA 1) lors d’un test de marche de six minutes (TM6) à la fin de leur réadaptation et 2) lors d’un TM6 six semaines suivant la fin de leur réadaptation. Nous posons l’hypothèse que l’ajout de centrales inertielles lors de l’évaluation de la marche des IA en milieu clinique permettra de caractériser les stratégies adoptées. Nous nous attendons à une dégradation de ces paramètres sur une période de six minutes de marche en continu ainsi que sur une période de six semaines suivant la fin des traitements de réadaptation. Pour ce faire, des centrales inertielles ont été utilisées, puisqu’elles permettent de quantifier les paramètres spatio-temporels et cinématiques de la marche dans différents environnements et populations, permettant l’acquisition de données « sur le terrain ». Au total, 17 IA on fait le TM6 à T1 et T2 avec des centrales inertielles posées sur chacun de leur pied pour enregistrer leurs paramètres de marche (c.-à-d. dégagement minimal des orteils (minTC), phase de chargement (LDr), phase de pied plat (FFr), largeur de pas en phase oscillante, longueur de foulée, vitesse et cadence). Une analyse ANOVA non paramétrique a comparé 1) l’évolution des paramètres de marche sur une période de six minutes et 2) l’évolution des paramètres de marche entre T1 et T2. Un test de Wilcoxon des rangs signés a été exécuté lorsqu’une interaction était détectée dans l’ANOVA (P < 0.05). Contrairement à l’hypothèse posée en début de projet, une amélioration des performances au membre prothétique (AL) entre T1 et T2 a été observée (largeur de pas en phase d’oscillation, vitesse et cadence augmentées, et la phase d’appui diminuée). Cependant, le minTC n’a pas évolué proportionnellement à la vitesse de marche. Finalement, les capacités physiques et à la marche se sont améliorées entre T1 et T2 dans la population des IA malgré une incapacité d’adapter leur minTC (c.-à-d.., d’augmenter le minTC proportionnellement à la vitesse de marche) à l’augmentation de leur vitesse de marche. Ce phénomène pourrait être expliqué par un patron de marche déficient utilisant la stratégie de « hip hiking » caractérisé par un large minTC et petite largeur de pas à T1 qui s’est amélioré à T2. Toutefois, un petit minTC est aussi relié à un plus grand risque de chute. Ainsi, l’évaluation des paramètres de marche des IA en milieu clinique de même qu’un programme de réadaptation à distance ciblant l’amélioration des paramètres de marche en lien avec la réduction du risque de chute est primordial pour assurer un retour sécuritaire en communauté. / The use of a new prosthetic limb following a lower limb amputation demands a reacquisition of the ability to walk, leading to different gait strategies. Although those strategies have been identified in the lower limb amputee (LLA) population, no studies have assessed their evolution following a return in the ecological environment. Indeed, decreased gait performances could be observed following the onset of fatigue and/or a decline of the daily active time. Therefore, the aim of this study was to quantify the gait parameters of the LLA 1. Along a six-minute walk test (6MWT) following their rehabilitation and 2. Along a 6MWT six weeks following the end of the rehabilitation. It is hypothesized that the use of inertial sensors during the assessment of the IA’s gait parameters will allow the characterisation of their adopted gait strategies. We are expecting a deterioration of the gait parameters along a six-minute continuous walk and six weeks following the end of the rehabilitation treatments. To do so, inertial measurement units (IMU) have been used, as they are effective to quantify gait in different environments and populations, allowing data acquisition in “real-life”. Seventeen LLA performed a six-minute walk test (6MWT) at T1 and T2 with inertial sensors fixed on both feet to register their gait parameters (i.e. minimum toe clearance (minTC), loading ratio (LDr), flat foot ratio (FFr), swing width, step length, speed and cadence). A non-parametric ANOVA compared 1) the evolution of the gait parameters over a 6MWT and 2) the evolution of the gait parameters over T1 and T2. Post-hoc Wilcoxon signed-rank tests were performed if a main effect was detected (P < 0.05). A performance improvement on the amputated limb (AL) between T1 and T2 has been observed (swing width, speed and cadence increased, added to a decreased stance phase). However, the minTC did not evolve proportionally to the speed. Physical capacity and walking abilities have increased between T1 and T2 in LLA population despite the inability to adapt their minTC (i.e. to increase the minTC proportionally to the gait speed) to an increased speed. It could be explained by a poor walking pattern using a hip hiking strategy including a high minTC and a small step width at T1 that improved (lower minTC than at T1) at T2. However, a small minTC is related to higher risks of fall. Therefore, the evaluation of the LLA’s gait parameters in clinical settings added to a home rehabilitation programme focused on the reduction of the risks of fall is primordial to ensure a secure return in the community.
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Effet d'une intervention en physiothérapie, intégrant l'exposition graduelle in vivo, sur les peurs d'individus avec une lombalgie subaiguë : une étude pilote

Gaumond, Alain 12 April 2018 (has links)
L'étude présentée dans ce mémoire a comparé les effets, à court terme, de l'exposition in vivo jumelée à la physiothérapie usuelle à ceux de la physiothérapie usuelle seule, sur les peurs de l'activité physique et du travail et sur le statut fonctionnel chez des individus avec une lombalgie subaiguë. Cette étude pilote a utilisé un devis quasi-expérimental avec groupe contrôle non équivalent. Seize sujets ont participé à l'étude. Les mesures de résultat ont été effectuées avec l'Échelle de kinésiophobie de Tampa, le Fear-Avoidance Beliefs Questionnaire et le Roland-Morris Disability Questionnaire. Les groupes étaient comparables à l'évaluation initiale. À l'évaluation finale, l'exposition in vivo jumelée à la physiothérapie usuelle contribuait mieux à réduire les peurs de l'activité physique et du travail et à améliorer le statut fonctionnel que la physiothérapie usuelle seule. Cette étude pilote supporte la pertinence de réaliser des études avec des devis expérimentaux comportant des échantillons plus grands.
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Plasticité cérébrale et fonction motrice chez des enfants avec déficience motrice cérébrale et des adultes avec accident vasculaire cérébral : influence des stimulations magnétiques répétitives périphériques

Flamand, Véronique 23 April 2018 (has links)
La spasticité est une exagération du tonus musculaire qui s’observe très fréquemment chez les adultes avec accident vasculaire cérébral (AVC) et les enfants avec déficience motrice cérébrale (DMC). La spasticité s’accompagne de parésie (faiblesse musculaire) et de l’altération du contrôle moteur sélectif, le tout résultant de la perte des contrôles supraspinaux et limitant les capacités fonctionnelles et la qualité de vie. Spasticité et parésie sont des cibles centrales d’intervention en réadaptation neurologique mais il est fréquent que les déficiences sensorimotrices persistent. De nouvelles approches utilisant des technologies de pointe en recherche tentent précisément d’influencer la plasticité cérébrale et de réduire la spasticité invalidante pour un meilleur retour du contrôle moteur au niveau des membres parétiques spastiques. La thèse s’est intéressée à l’utilisation des stimulations magnétiques répétitives périphériques (RPMS des nerfs / muscles) noninvasives et indolores. Le but général était de tester si les RPMS étaient efficaces pour réduire la spasticité et améliorer le contrôle moteur en AVC et DMC tout en documentant les changements de fonctionnement corticomoteur (marqueurs de plasticité cérébrale, mécanismes d’action) accompagnant les améliorations motrices et fonctionnelles. Les méthodes employées pour l’évaluation de la spasticité revêtaient alors une importance particulière pour bien détecter l’effet de l’intervention testée. L’étude 1 de la thèse a souligné le manque d’évidences métrologiques des outils de mesure de la spasticité auprès de la clientèle pédiatrique avec DMC. Les études 2 à 4 ont montré que les RPMS diminuaient la spasticité et amélioraient la fonction motrice d’adultes avec AVC et d’enfants avec DMC. Plus précisément, les RPMS ont induit une baisse de la résistance à l’étirement des muscles fléchisseurs plantaires en DMC (études 2-3) et des fléchisseurs du poignet et des doigts en AVC (étude 4). Les changements corticomoteurs concomitants à ces améliorations ont témoigné d’une augmentation d’excitabilité du cortex moteur primaire (études 3-4). La thèse suggère donc que les RPMS, en induisant un flux massif d’informations sensorielles vers le cerveau, ont déclenché un changement de fonctionnement cérébral (plasticité dynamique) dans les réseaux liés au contrôle moteur. L’approche testée dans la thèse pourrait avoir un impact clinique significatif en réadaptation neurologique.
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Adaptation locomotrice suite à une lésion du système nerveux central

Blanchette, Andréanne 19 April 2018 (has links)
Les personnes présentant des déficits locomoteurs suite à une lésion du système nerveux central (SNC), deviennent, bien malgré elles, conscientes de toute la complexité que représente le contrôle de la marche. Malgré les efforts déployés lors de la réadaptation, il arrive que certains déficits locomoteurs persistent. La capacité à adapter la marche aux différentes variations de l’environnement, telles qu’un trottoir enneigé ou une plage de sable, est fréquemment affectée suite à une lésion du SNC. Le but général de cette thèse était d’utiliser un paradigme consistant à marcher en présence d’une perturbation pour évaluer la capacité d’adaptation résiduelle d’un muscle spécifique suite à une lésion du SNC. Par contre, avant l’atteinte de cet objectif, il était nécessaire de mieux comprendre les mécanismes neurophysiologiques impliqués dans l’adaptation et l’apprentissage locomoteur lors de la marche en présence d’une perturbation. Les travaux inclus dans cette thèse ont, tout d’abord, démontré qu’il est possible de modifier le patron d’activation musculaire de personnes en santé sans déficit locomoteur en appliquant une perturbation sur le membre inférieur pendant la marche et que ces modifications peuvent persister temporairement suite au retrait de la perturbation, suggérant ainsi la présence d’une recalibration des commandes centrales (Étude 1). De plus, des évidences d’apprentissage locomoteur ont été constatées lors de sessions répétées de marche avec cette perturbation (Étude 2). Par la suite, nous avons validé qu’il est possible d’induire des modifications au niveau de l’activation des fléchisseurs dorsaux, pouvant avoir un impact fonctionnel lors de la marche, en appliquant une perturbation spécifique à la cheville à l’aide d’une orthèse robotisée (Étude 3). Ces modifications ont aussi été obtenues chez certaines personnes ayant subi une lésion médullaire (Étude 4) ou un accident vasculaire cérébral (Étude 5). Cette approche pourrait permettre l’évaluation de la capacité d’adaptation résiduelle des fléchisseurs dorsaux suite à une lésion du système nerveux central et, par conséquent, être utile à la prise de décision dans la sélection d’interventions optimales en réadaptation locomotrice. / Persons affected by walking deficits following a central nervous system (CNS) lesion are aware of how complex the neural control of walking can be. Indeed, walking deficits often persist even after rehabilitation. Among these deficits, adaptation of the walking pattern to meet varied environmental demands, such as walking on a sandy beach or in snow, becomes more difficult. The main goal of this thesis was to use a paradigm consisting of walking in a perturbing environment to evaluate the residual adaptive capacity of a specific muscle group in persons who have sustained a CNS lesion. To meet this goal, however, a better understanding of the neurophysiological mechanisms involved in locomotor adaptation and learning was first necessary. The present thesis demonstrated that the muscle activation pattern of healthy subjects can be modified while walking with a perturbation applied to the lower limb and that these modifications persist temporarily after perturbation removal, suggesting the recalibration of central commands (Study 1). Furthermore, evidence of locomotor learning was observed when subjects were repeatedly exposed to a perturbation during walking (Study 2). The next study validated that it is possible to induce modifications in dorsiflexor activation of healthy subjects that may have a clinical impact on the walking pattern, by applying a specific perturbation at the ankle with a robotized ankle-foot orthosis during walking (Study 3). These modifications were also observed in some persons who sustained a spinal cord injury (Study 4) or a stroke (Study 5). Walking with a specific perturbation could be helpful to evaluate the residual adaptive capacity of ankle dorsiflexors in persons who have sustained a central nervous system lesion, and consequently, to guide decision-making for the selection of optimal rehabilitation interventions.

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