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LES POINTS - DE - RÉSEAUX COMME FORMES URBAINES.<br />Morphogenèse et enjeux de conceptionSander, Agnès 11 December 1995 (has links) (PDF)
Les "points-de-réseaux" ont été largement ignorés par la planification des réseaux techniques, qui a souvent privilégié la circulation des flux. Ces points ont pourtant un rôle essentiel à jouer dans le fonctionnement des réseaux et dans l'organisation des territoires : ils sont à la fois des espaces fonctionnels d'entrée-sortie ou de correspondance, des espaces de services, des lieux d'interface entre réseaux et territoires, des espaces publics enfin.<br />Malgré la multiplicité des logiques à l'oeuvre dans la conception des "points-de-réseaux" (logiques d'acteurs diverses à une date donnée, mais aussi logiques successives d'un même acteur dans la durée) et malgré la diversité des sites d'implantation (dont les caractéristiques influent sur la dite conception), des procédés de régulation de la forme et de la fonction de ces points existent.<br />Ce résultat repose sur deux études empiriques venant compléter un cadre théorique proposé en première partie de la thèse. L'une concerne les points de correspondance entre autobus en région parisienne, l'autre s'intéresse sur la longue durée aux règles mises en oeuvre dans la conception des stations-service. Ces études démontrent en particulier que les procédés régulatoires, au-delà de leur variété (ils sont d'ordre organisationnel ou institutionnel ou de nature architecturale), reposent sur un principe commun de combinaisons d'éléments architecturaux structurants ou évolutifs.
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Les grands réseaux techniques en Seine & Oise de 1890 à 1964 / Major Technical Networks in Seine & Oise from 1890 to 1964Minouflet, Dominique 30 May 2012 (has links)
De 1890 à 1964, les grands réseaux techniques s’appuient sur des processus d’industrialisation et d’urbanisation engendrant des déséquilibres requérant temps d’adaptation et aménagements pionniers propres au département de Seine & Oise dans l’aire d’attraction et de chalandise parisienne. En 1914, ces processus conjuguent réseaux traditionnels à ceux nés de la seconde industrialisation dans une modernité bâtie selon une superposition-substitution continue. De 1914 à 1944, répondant aux guerres et crises économiques, le département doit envisager reconstruction et modernisation en tenant compte de la rentabilité. L’explosion urbaine confirme la césure entre habitat et emploi, et l’allongement croissant des déplacements pose la question de la mobilité. Les anciens réseaux répondaient mal aux revendications des usagers (confort, transports, communication), à l’origine d’une synthèse de systèmes techniques de la vapeur, de l’électricité et du téléphone. La modernité intégrant la vitesse prônait la flexibilité de la voiture face au rail.Les réseaux qui avaient défini la modernité urbaine requéraient des espaces proches des anciennes sources d’énergie (eau, charbon) aux possibilités d’extension limitées. Ceux issus des sciences et des technologies du 20e siècle (l’électricité et le nucléaire) obligeaient à trouver des espaces de réserve importants que les vallées fluviales saturées ne pouvaient offrir. Une remontée vers les côtes et les plateaux permettait ces développements qui dorénavant échappaient en partie au département de par l’échelle de leurs débouchés (Saclay, Fontenay aux Roses, Orsay). Communication et information allaient transformer l’espace et le temps pour les intégrer désormais à une échelle plus nationale (voire internationale) comme le prouve la décision de 1964 de diviser le département en trois nouveaux espaces: les Yvelines, l’Essonne et le Val d’Oise à travers énergies et savoirs scientifiques nouveaux. / From 1890 to 1964 major technical networks relied on industrialization and urbanization processes generating inbalances that required adaptation periods and pioneering planing charasteristic of the Seine 1 Oise in the parisian attraction and market radius.In1914, these processes combined traditional networks with those brought bu the second industrialization within a type of modernity fouded on a continuous superposition-substitution.From 1914 to 1944, to meet wars and economic crises, the departement had to consider rebuildind and modernization while taking cost effectiverness into account Urban explosion confirmed the gap between the home and the working-place, while the increasing extension of commuting raised the problem of mobility. Former networks failed to meet the claims of users (about confort, transportation and communication), which resulted in a synthesis of technical systems based on vapour, electricity end the telephone. The modern system including speed advocated the flexibility of cars as compard to trains.The networks which had designed urban modernity required areras located next to former energy sources (water, coal) which had limited capacities of extension. Those stemming from twentieth- century sciences and technologies (electricity and nuclear power) compelled to find significant storing areas which could not be provided by overcrowed fluvial valleys. Moving up towards hills and plateaus made such an evolution possible, and to some extent relrased it from the management of the departement because of the scale of their outlets (Saclay, Fontenay aux Roses, Orsay).Space and time were going to be transformed by communication and information to become part of a more national (even international) scale, as was proved by the 1964 décision of dividing the departement into three new areas, Yvelines, Essonne end Val d4oise, through new energies and scientific knowledge.
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Les réseaux techniques comme vecteur de propagation des risques en milieu urbain - Une contribution théorique et pratique à l'analyse de la résilience urbaineLhomme, Serge 03 December 2012 (has links) (PDF)
Les réseaux techniques sont des infrastructures critiques qui peuvent être vulnérables aux inondations. Leur bon fonctionnement représente donc un enjeu majeur pour la gestion des risques et des territoires. Cette recherche postule que l'analyse de la résilience des réseaux techniques constitue un préalable nécessaire, mais non suffisant, à la mise en place de politiques d'amélioration de la résilience urbaine face aux inondations. Une méthodologie d'analyse de la résilience des réseaux techniques est proposée. Elle requiert l'analyse des capacités de résistance, d'absorption et de récupération de ces réseaux. Dans ce cadre, des développements ont été réalisés afin d'analyser les propriétés structurelles des réseaux techniques, les interdépendances entre les réseaux techniques et la remise en service de ces réseaux. Ces développements reposent principalement sur la théorie des graphes, les méthodes issues de la Sûreté de Fonctionnement, l'optimisation linéaire et l'analyse spatiale. Enfin, un prototype web-SIG a été développé puis appliqué à la ville de Dublin.
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Shrinking networks ? : les nouveaux modèles économiques et territoriaux des firmes d'infrastructure face à la diminution de la consommation / Shrinking networks ? : the emergence of new business and territorial models of infrastructure firms facing diminishing demandFlorentin, Daniel 03 December 2015 (has links)
Depuis une vingtaine d'années, la plupart des villes européennes font face à un phénomène inédit et imprévu, la diminution de la consommation des différents réseaux techniques urbains, et en particulier des réseaux d'eau. Ce phénomène s'explique par des raisons diverses allant des améliorations techniques de l'électro-ménager à la désindustrialisation en passant par les changements de comportement des usagers ou le développement de politiques visant la sobriété et un usage modéré des ressources naturelles. Il s'agit cependant d'un symptôme plus que d'un processus en soi. Cette baisse de la consommation est en effet le révélateur de l'épuisement progressif du modèle traditionnel de gestion des (grands) réseaux qui a prévalu jusqu'ici et qui a reposé principalement sur une augmentation de la demande et une extension continue du réseau selon la logique du « toujours plus et toujours plus loin ». Cette érosion du modèle traditionnel confronte les opérateurs de grands réseaux à une forme nouvelle de vulnérabilité, que nous appelons la vulnérabilité infrastructurelle, et dont les effets touchent l'ensemble des composantes du réseau, de l'usager au tuyau en passant par l'opérateur. Notre travail pose pour hypothèse forte que ce changement de contexte et de régime de consommation n'est pas une simple parenthèse, mais correspond à l'émergence d'un nouveau mode de gestion du réseau. Il peut être lu comme une bifurcation infrastructurelle, à savoir une transformation radicale et pérenne des modalités de gestion du réseau pour les adapter à ce régime décroissant (de demande).Face à ce défi nouveau, les opérateurs de réseaux techniques urbains ont dû s'adapter, pour faire évoluer leur modèle économique et leur assise territoriale. Afin d'en saisir les ressorts, nous avons opté pour une immersion de plusieurs mois au sein des équipes de deux entreprises locales (publique et semi-publique) confrontées à ces questions de baisse de consommation avec plus ou moins d'intensité, un opérateur multi-services à l'Est de l'Allemagne (les Städtische Werke de Magdeburg) et un opérateur d'eau et d'assainissement dans le Sud de l'Espagne (la EMASESA à Séville).Notre approche, mêlant Science and Technologies Studies, écologie politique urbaine et études sur la décroissance urbaine, nous permet de montrer que le modèle émergent est encore à la recherche de stabilité mais que des lignes de force communes sont observables dans les différents cas étudiés. Les stratégies d'adaptation mises en place par les opérateurs ne reposent pas seulement sur des ajustements techniques ou des augmentations tarifaires visant à compenser les pertes liées aux volumes non consommés. Le changement de modèle de gestion s'articule ainsi non seulement autour de transformations techniques fortes (downsizing, resizing, recentralisation), mais aussi de transformations organisationnelles et de changements importants des rapports entre opérateur et usager. Les opérateurs ont ainsi modifié leur rôle pour devenir davantage que des pourvoyeurs de fluide : leur modèle économique a ainsi accompagné un déplacement des lieux de production de la valeur pour les opérateurs, désormais plus tournés vers les services et l'aval de la filière. Ce changement de modèle économique a également une dimension spatiale puisque l'on observe également une transformation des échelles de gestion des opérateurs. La recherche de nouvelles économies d'échelle donne lieu à une extension des aires géographiques gérées par ces opérateurs locaux et à de potentiels conflits avec les acteurs des territoires progressivement intégrés. Une nouvelle géographie des réseaux techniques urbains semble ainsi émerger, faite de nouvelles formes de redistribution et de nouvelles sources de conflictualités. Ces différentes évolutions permettent de compléter des travaux théoriques sur la firme locale d'infrastructures et les modèles d'évolution des réseaux en y intégrant la dimension d'un régime décroissant de la demande / Over the last twenty years, most European cities have had to face a new and unforeseen phenomenon, a reduction in the consumption levels of urban technical networks (and in particular water systems). The reasons for this phenomenon are numerous, from technical improvements of domestic appliances and deindustrialisation to changes in behaviours of users and the development of policies promoting sobriety and moderation in the use of natural resources. This is however a symptom of a larger process rather than a process per se. Indeed, declining consumption levels reveal the slow decay of the traditional model of management of urban networks, which has long relied on increasing demand associated with perpetual extension of the network. The erosion of this model is forcing network operators to confront a new form of vulnerability, which I term infrastructural vulnerability, the effects of which touch all components of a network, from users to pipes through operators and regulators. The thesis argues that this changing consumption regime is no single interlude, but rather constitutes the emergence of a new mode of network management. As such, it can be interpreted as an infrastructural bifurcation, i.e. a radical and durable transformation of network management as a means of adaptation to this regime of shrinking demand. To deal with this challenge, urban technical network operators have had to adapt and decided to transform both their business model and their territorial base. In order to grasp the rationales of these changes, I opted for a methodology involving being embedded for several months within two local firms facing this issue of diminished consumption with differing levels of intensity. The first is a multi-utility in the eastern part of Germany (Städtische Werke of Magdeburg), while the second is a water and sanitation operator in the south of Spain (EMASESA in Sevilla).My approach combines contributions from Science and Technology Studies (STS), urban political ecology and work on urban shrinkage to reveal that an emerging model of network management is yet to be fully stabilised, but that common adaptation strategies can be observed in both the cases. These strategies are not limited to technical adjustments or tariff increases to compensate the losses due to non-consumed volumes. The transformation in management model relies not only on major technical changes (such as downsizing, resizing or recentralisation of the network), but also on organisational shifts and new relations and arrangements between users and operators. Network operators have thus modified their role to become more than only suppliers of fluids. Their new business model has consequently reoriented production of value towards the development of services for users and the downstream part of the sector. This shift has a spatial dimension, as operators are also experiencing a form of rescaling of their management. The search for new economies of scale to preserve the stability of their socio-technical systems pushes them to extend their functional territories. This leads to potential conflicts with the local actors of the absorbed territories, but also to new forms of territorial solidarity and spatial redistribution. Systemic transformation thus sketches out a new geography of urban technical networks which advances work on local infrastructure firms and on network evolution by integrating the neglected configuration of a shrinking demand regime
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TERRITOIRES, INDUSTRIES, INNOVATIONS et RESEAUXLe Goff, Richard 18 June 2013 (has links) (PDF)
Des recherches fondatrices à l'inscription théorique du programme de recherches, c'est un cheminement institutionnel, scientifique et géographique. Toujours il y a un objet : le territoire, parce qu'il permet, suscite et cristallise toutes les interactions et dynamiques sociales et économiques, industrielles et réticulaires... C'est l'explication du titre de ce mémoire sur mes travaux de recherche réalisés, en cours d'élaboration et en projet actuellement : " TERRITOIRES, INDUSTRIES, INNOVATIONS et RESEAUX ". Il y a aussi une démarche : l'alternance permanente entre postures inductive et hypothético-déductive. Il faut aussi une méthode. Elle consiste pour ma part à mobiliser des disciplines complémentaires ainsi que leurs outils : l'Economie Industrielle, l'Economie Territoriale, et l'Economie des Politiques Publiques. Les concepts centraux mobilisés sont ceux de territoire, d'industrie, d'innovation et de réseau. Les problématiques étudiées sont celles des mutations économiques, sociales, politiques, technologiques et territoriales contemporaines. Cette démarche est originale parce qu'elle englobe, dans une approche résolument systémique et pluridisciplinaire, les apports des regards croisés d'économistes, de sociologues et de gestionnaires. Finalement, ce programme de recherche comporte six axes de recherche : Analyse structurale et théorie de la dominance économique - Réseaux sociaux, réseaux techniques et comportements stratégiques - Réseaux institutionnels et nouvelles gouvernances - Réseaux d'infrastructures et nouveaux usages - Stratégies d'acteurs et production des territoires - Apprentissages, connaissances, compétences, ancrages.
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Redes técnicas metropolitanas y acción pública local. La territorialización de la gestión del agua en el área metropolitana de Buenos Aires durante la concesión de Aguas Argentinas. 1993 – 2006 / Metropolitan technical networks and local government action. The territorialization of water management in the metropolitan area of Buenos Aires, during the Aguas Argentinas concession. 1993 – 2006 / Réseaux techniques métropolitains et action publique locale. La territorialisation de la gestion de l'eau dans l´aire métropolitaine de Buenos Aires pendant la concession d'Aguas Argentinas. 1993 – 2006Catenazzi, Andrea Claudia 19 January 2015 (has links)
La concession des services d'eau et assainissement gérée par l'entreprise privée Aguas Argentinas S. A. entre 1993 et 2006 a fait l’objet de nombreuses études et recherches qui ont mis l'accent sur la dynamique des privatisations menées en Argentine dans les années quatre-vingt-dix. Cependant, bien qu’il s'agisse d'une période de changements dans la gestion des services urbains, la concession a mis en lumière certaines constantes qui structurent la relation entre les réseaux métropolitains et l'action publique locale. Cette recherche est basée sur les interactions entre les réseaux techniques et les territoires. L’analyse met tout particulièrement l’accent sur les continuités et les ruptures des opérations du concessionnaire dans l'aire métropolitaine de Buenos Aires. L’objectif de cette thèse est de répondre à ce questionnement à travers une analyse comparée des scénarios d'interaction entre la gestion centralisée des réseaux et l'action publique locale dans trois communes en aval du bassin du fleuve Reconquista: General San Martín, San Fernando et Tigre. Ces études de cas mettent en évidence, dans des contextes hétérogènes, la versatilité d'Aguas Argentinas face aux capacités de l'action publique locale pour mettre en œuvre la concession avec un certain degré d'autonomie. Une lecture transversale de ces spécificités locales révèle également la construction de processus de regroupement d'intérêts communs entre les différentes communes. Ce double mouvement d'autonomie et d'association, permet de mieux éclairer les oscillations entre le public et le privé, le sectoriel et le territorial, ainsi qu’entre le local et le central qui se développent selon un processus de territorialisation croissante dans l'accès aux services des eaux et assainissement. / The concession of water and sewerage, operated by the private company Aguas Argentinas between 1993 and 2006, was subject of numerous researches which emphasized the dynamics of privatization led in Argentina, in the nineties. However, although this was a turning point in the management of urban services, the concession revealed some constants that structured the relationship between metropolitan networks and local public action.This research examines the interactions between the technical networks and the territories. The analysis focuses on the continuities and ruptures of the operation of the concessionaire in the metropolitan area of Buenos Aires. In order to answer that enquiry, this thesis develops an analysis compared by the interaction scenarios between centralized network management and local public action in three municipalities -General San Martin, San Fernando and Tigre- that form part of the lower basin of the Reconquista River.These cases studies highlight the versatility of Aguas Argentinas, in very heterogeneous contexts against different capabilities from the local public action to implement the concession with some degree of autonomy. Also, a cross reading of these local variations reveals the construction of the strategies of aggregation of interests between municipalities. This double movement, of autonomy and association, allows to illuminate the oscillations between the public and the private, the sectorial and the territorial, the local and the central (national and global), which take place in a process of increasing territorialization of access to water services and sewerage. / El ciclo de la concesión de los servicios de agua y desagüe cloacal, operada por la empresa privada Aguas Argentinas entre 1993 y 2006, fue objeto de numerosos estudios que la asociaron con la dinámica de las privatizaciones, propias de la década del noventa en Argentina. No obstante, si bien se trató de un momento de cambio en la gestión de los servicios urbanos, la concesión fue al mismo tiempo reveladora de algunas regularidades que estructuraban la relación entre las redes metropolitanas y la acción política local. Esta tesis se propone examinar las relaciones de mutua transformación que se establecen entre las redes técnicas y los territorios, centrando el análisis en las continuidades y rupturas que resultan de la formas de operar de la empresa concesionaria en el área metropolitana de Buenos Aires. Para dar cuenta de esa problemática, se efectúa un análisis comparado de los escenarios de interacción que se dirimen entre la gestión centralizada de las redes y la acción pública local en tres municipios -General San Martín, San Fernando y Tigre- que forman parte de la cuenca baja del río Reconquista. Los casos de estudio ponen en evidencia, en contextos heterogéneos, la versatilidad de la actuación de Aguas Argentinas frente a las capacidades de la acción pública local para implementar la concesión con cierto grado de autonomía. Una lectura transversal de esas variaciones locales revela asimismo, la construcción de procesos de agregación de intereses entre los municipios. Este doble movimiento, de autonomía y asociación, permite iluminar las oscilaciones entre lo público y lo privado, lo sectorial y lo territorial, lo local y lo central que se juegan en la creciente territorialización del acceso a los servicios de agua y desagüe cloacal.
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