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Étude d'un réseau socio-technique menant à la création d'un objet nouveau : le cas de la radio numérique à la Société Radio-Canada

Caya, Daniel January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Radio communautaire : enjeux d'appropriation d'un espace public médiatique par des « communautés imaginées »

Koulete, Kodjo Atassé Dovénè 05 December 2023 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 30 novembre 2023) / Au début des années 1990, le modèle participatif et inclusif que promeut le concept de radio communautaire retient l'attention et l'intérêt des organisations de développement international, qui voient, dans cette « petite » structure médiatique et technologique, l'outil parfait pour assurer un rattrapage technologique en Afrique et pour impulser le développement local. Nourries par les théories technico-développementalistes, dans une ère encore marquée par ce paradigme dominant, plusieurs institutions internationales financent l'installation et le développement des radios communautaires sur le continent africain entre les années 1990 et 2000. On y dénombrerait, à ce jour, plus de 2 000 radios communautaires. Malheureusement, dépouillée de sa dimension participative et inclusive, la radio communautaire africaine est abordée, très largement, dans la littérature scientifique et dans la majorité des rapports et documents internationaux comme l'outil médiatique exclusif de développement. En tirant parti des travaux de réception, nous prônons, dans cette thèse, une relative distance avec les travaux développementalistes, non pas parce qu'ils ne rendent pas compte des données empiriques et théoriques réelles de la radio communautaire africaine, mais parce qu'ils occultent, non sans le vouloir, le public des radios communautaires, que les praticiens et les théoriciens appellent communautés. Cet engagement, à la visibilisation de la communauté, à ne pas parler au nom de la communauté, mais à la laisser s'exprimer nous conduit à la formulation de la question principale de notre recherche. Comment et à quel niveau se joue l'implication et la participation de la « communauté imaginée » dans la production des discours médiatiques au sein des radios communautaires conçues pour être une agora de réflexion et de prise de décision ? Pour répondre à cette question, nous convoquons le concept de « communauté imaginée » inspiré des travaux de Bénédict Anderson (1983) pour caractériser les publics de la radio communautaire, nous nous inspirons des résultats des études de réception et nous recourons à une étude de cas de trois radios communautaires du Togo. Il s'agit de la radio carré-jeunes, de la radio rurale fraternité novissi et de la radio la paix. Pour chacune de ces radios, nous avons procédé à une analyse de contenu de certaines de leurs émissions interactives, à une observation participante et organisé des entretiens non directifs. Dans certains cas, nous avons élargi notre analyse pour prendre en compte les tentatives embryonnaires de numérisation de la diffusion constatée au sein de ces radios communautaires afin de comprendre les changements que ces situations engendrent dans le rapport que la radio communautaire entretient avec « sa » communauté. Il apparaît, au terme de cette recherche, que les radios communautaires africaines, du moins celles qui ont fait l'objet d'une analyse dans le cadre de cette recherche, sont des « radios à la carte », des radios en permanente construction, avec un espace médiatique profondément productiviste dans une visée économico-politico-développementaliste et un faible espace participatif principalement culturel, qui est malgré tout le fruit d'un braconnage. / In the early 1990s, the participatory and inclusive model promoted by the concept of community radio caught the attention and the interest of international development organizations, which saw in this « small » media and technological structure the perfect tool to ensure technological catch-up in Africa and to stimulate local development. Nourished by technical-developmentalist theories, in an era still marked by this dominant paradigm, several international institutions financed the installation and development of community radios on the African continent between the years 1990 and 2000. It is estimated that there are more than 2,000 community radios. Unfortunately, stripped of its participatory and inclusive dimension, African community radio is addressed, very widely, in the scientific literature and in the majority of international reports and documents as the exclusive media for development. Drawing on reception studies, we advocate, in this thesis, a relative distance from developmental works, not because they do not account for the real empirical and theoretical data of African community radio, but because they unintentionally obscure the public of community radios, which practitioners and theorists call communities. This commitment to the visibility of the community, not to speak on behalf of the community, but to let it express itself, takes us to the formulation of the main question of our research. Designed to be an agora of reflection and decision-making, how and at what level is the involvement and the participation of the "imagined community" in the production of media discourses within community radios played out? To answer this question, we use the concept of "imagined community" that we lend by Benedict Anderson (1983) to characterize community radio audiences and we use the case study of three community radio stations in Togo. These are radio carré-jeunes, the rural radio fraternité novissi and the radio la paix. For each of these radio stations, we conducted a content analysis, among other things, of certain interactive programs that we considered to be a radio speech, conducted a participant observation and non-directive interviews. The mobilized data have been presented and interpreted taking into account the theoretical models we have mobilized. It appears, at the end of this research, that African community radios, at least those that have been the subject of an analysis as part of this research, are customized radios, in permanent construction, with a strong deeply productivist space in an economic, political, and developmentalist perspective, and a weak participatory space, essentially cultural, which is the result of poaching.
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Les transformations du système radiophonique haïtien de 1957 à 2020 : changement et continuité

Panier, Wisnique 19 July 2022 (has links)
Cette étude analyse les changements et les continuités dans le système radiophonique haïtien au cours des 60 dernières années sous l'influence de trois séries de facteurs : linguistique, démocratique et technologique. Elle détermine dans quelle mesure les relations entre les acteurs du système ont changé et dans quelle mesure ce dernier est reconfiguré ou non sous l'influence des changements observés. Cette démonstration résulte d'une analyse qualitative des données d'observation, d'entretien et secondaires. Notre cadre théorique est fondé sur des approches diverses, mais complémentaires. Il s'agit notamment de la théorie des systèmes appliquée aux médias, du transnationalisme, de l'espace public et de la métaphore de contrat de communication publique. Cette étude révèle des changements significatifs dans les relations entre les acteurs du système radiophonique haïtien au cours des soixante dernières années sans pour autant aboutir à une reconfiguration du système. Ce dernier est imprégné d'une certaine forme d'immobilisme ou d'une forte inertie qui le maintient comme tel. Il y a des ajustements qui sont opérés dans le système, mais les dynamiques de fond qui le structurent et le définissent restent stables. Du point de vue linguistique, l'introduction du créole à la radio comme langue de communication publique à partir des années 70 a notamment permis de mettre fin à la domination du français comme langue exclusive de communication à la radio. Ceci a eu pour effet immédiat de donner un accès direct à la grande majorité de la population créolophone à l'espace radiophonique. Si le français était considéré comme une langue de domination, la langue créole est plutôt vue comme étant celle de la libération. Du point de vue démocratique, si le créole a joué un rôle dans la chute du régime duvaliériste, nous en déduisons que la libération de la parole a débuté, dans une certaine mesure, avant la chute du régime. Mais évidemment, le passage à la démocratie créait un contexte de liberté dans lequel la parole contestataire n'était plus réprimée. Depuis la chute de la dictature le 7 février 1986, nous avons assisté à une multiplication du nombre de radios et la création d'une multitude d'organisations populaires et de partis politiques qui favorisent des changements dans la dynamique du débat public. Du point de vue technologique, l'utilisation des outils numériques par les acteurs constitue un facteur capital de transformation du système radiophonique haïtien. Certains changements opérés dans le système sont des effets directs de l'usage des outils numériques, en ce qui concerne particulièrement la place et le rôle traditionnel des acteurs dans le système. Les relations entre les journalistes et l'auditoire, la nature et la dynamique des débats radiophoniques, les pratiques de collecte, de traitement et de diffusion des informations changent. Les relations entre les journalistes et les relationnistes deviennent moins formelles. Les changements liés au numérique s'inscrivent dans le prolongement de ceux apportés par le créole et la transition démocratique. Les technologies numériques accélèrent un processus de transformation qui était déjà en cours et permet de franchir certaines limites techniques liées notamment à la participation du public dans les débats. Cependant, les différents dispositifs techniques mis en place à partir des années 2000 par les propriétaires des radios ne changent pas grand-chose dans la nature et les modalités de participation des personnalités publiques ou des élites aux émissions radiophoniques de débats. Cette étude montre aussi une forte politisation du système radiophonique haïtien. De 1957 à 1986, les radios étaient sous le joug de la dictature des Duvalier par des mécanismes de contrôle très stricts. Cette politisation de la radio n'a pas changé avec la montée du créole ni avec la chute de la dictature encore moins avec le développement des outils numériques. La radio a été et demeure un outil très puissant aux mains des forces politiques et économiques. / This study analyzes changes and continuity in the relationships between the main players in the Haitian radio system over the past 60 years under the influence of three sets of factors: Linguistic, democratic, and technological. It determines to what extent the system is reconfigured or not under the influence of the observed changes. This demonstration results from a qualitative analysis of observation, interview, and documentary data. Our theoretical framework is based on complementary approaches: systems theory applied to the media, transnationalism, public space, and the metaphor of public communication contracts. The results of this study point to significant changes between the players in the Haitian radio system over the past 60 years without, however, leading to a reconfiguration of the system. It is imbued with a certain form of immobility, a strong inertia which maintains it as such. There are adjustments that are made in the system, but the underlying dynamics that structure and define it remain immutable. From a linguistic point of view, the introduction of Creole on the radio as a language of public communication from the 1970s notably made it possible to put an end to the domination of French as the exclusive language of communication on the radio. This had the immediate effect of giving direct access to most of the Creole-speaking population to the radio space. If French was considered as a language of domination, Creole is rather seen as that of liberation. From a democratic point of view, if the Creole favored the fall of the regime, we could deduce that the liberation of speech began, to a certain extent, before the fall of the regime. But obviously, the transition to democracy created a context of freedom in which the protest word was no longer suppressed. Since the fall of the dictatorship on February 7, 1986, we have witnessed an increase in the number of radio stations and the creation of a multitude of popular organizations and political parties which favor changes in the dynamics of public debate. From a technological point of view, the use of digital tools by the actors constitutes a major explanatory factor for the transformation of the Haitian radio system. Some changes in the system are direct effects of the use of digital tools, particularly regarding the place and traditional role of actors in the system. The relationships between journalists and the audience, the nature and dynamics of radio debates, the practices of collecting, processing, and disseminating information are changing. Relations between journalists and public relations are becoming less formal. The digital changes are a continuation of those brought by Creole and the democratic transition. Digital technologies are accelerating a transformation process that was already underway and allows certain technical limits to be crossed, notably linked to public participation in the debates. However, the various technical devices put in place in the 2000 do not change much in the nature and the methods of participation of public figures or elites in radio broadcasts of debates. Digital tools are much more favorable to ordinary people who were less likely to participate in the debates. The results of this study also show a strong politicization of the Haitian radio system. From 1957 to 1986, the radios were under the yoke of the Duvalier dictatorship by very strict control mechanisms. This politicization of radio has not changed with the rise of Creole or with the fall of the dictatorship, much less with the development of digital tools. Radio remains and remains a very powerful tool in the hands of political and economic forces.

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